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Lafat

Lafat est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Lafat
Lafat
Carte postale du Castel Courtioux (oblitération de 1918).
Blason de Lafat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Creuse
Arrondissement Guéret
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Dunois
Maire
Mandat
Marie-Claude Glénison
2020-2026
Code postal 23800
Code commune 23103
DĂ©mographie
Gentilé Lafatois, Lafatoises
Population
municipale
322 hab. (2020 en diminution de 10,8 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 15 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 46° 20â€Č 08″ nord, 1° 36â€Č 53″ est
Altitude Min. 261 m
Max. 368 m
Superficie 21,28 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction La Souterraine
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Dun-le-Palestel
LĂ©gislatives Circonscription unique
Localisation
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Lafat
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Lafat
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Lafat

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est situĂ©e Ă  environ 7 kilomĂštres au nord-ouest de Dun-le-Palestel.

    Hydrographie

    La Brézentine se jette dans la Sédelle sur le territoire de Lafat[1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 926 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Eguzon », sur la commune d'Éguzon-ChantĂŽme, mise en service en 1991[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 937,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « ChĂąteauroux DĂ©ols », sur la commune de DĂ©ols, dans le dĂ©partement de l'Indre, mise en service en 1893 et Ă  56 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,5 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  11,8 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Lafat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de la Souterraine, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (91 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (65 %), prairies (23,2 %), forĂȘts (7,4 %), terres arables (2,7 %), zones urbanisĂ©es (1,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lafat est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lafat.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 41,6 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (33,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 334 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 89 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 27 %, Ă  comparer aux 25 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du dĂ©partement sont concernĂ©es par le risque radon Ă  un niveau plus ou moins Ă©levĂ©. Selon la classification de 2018, la commune de Lafat est classĂ©e en zone 3, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon significatif[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    2014 2020 Serge Riollet SE Artisan
    2020 en cours Marie-Claude Glénisson Directrice d'école retraitée

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 322 habitants[Note 7], en diminution de 10,8 % par rapport à 2014 (Creuse : −3,8 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8729469229611 0201 1161 0281 1031 101
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0491 0901 1101 0201 0561 0161 0141 0271 021
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0171 0871 052890869858850840773
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    703643601546458384381374384
    2014 2019 2020 - - - - - -
    361323322------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Exploitations agricoles.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Une tombe néolithique, découverte au moment de la réalisation de la ligne de chemin de fer de Saint Sébastien à Guéret. Elle est située prÚs de la maisonnette "des Gouttes", aucune fouille n'y a été réalisée...
    Un peu plus loin, dans le village de la "Petite Guierche" s'Ă©lĂšve la motte castrale de l'ancienne demeure seigneuriale. Elle mesure une quinzaine de mĂštres de haut, la terre qui la constitue provient des douves qui l'entoure.

    Personnalités liées à la commune

    Deux personnes issues de la mĂȘme famille ont laissĂ© leurs traces dans le village.

    Le Docteur Charles-EugÚne Quinquaud, fils de Joseph Quinquaud et de Marie Eléonore Boyron est né à Lafat le . Il est décédé le à 52 ans. Il épouse le à Paris, ThérÚse Caillaux (1859-1928), sculpteur, élÚve de Rodin avec qui il aura 4 enfants dont Anna citée ci-aprÚs. Charles a été interne des hÎpitaux de Paris en 1868, lauréat de la Faculté en 1872, médecin du bureau central en 1878, agrégé de la faculté en 1885, plusieurs fois lauréat de l'Académie des Sciences et de l'Académie de Médecine.
    La sculptrice Anna Quinquaud s'illustre dans le domaine de la sculpture, l'Ă©glise Saint-Sulpice de Lafat conservant d'elle une Sainte GeneviĂšve (1942). Elle est nĂ©e le et dĂ©cĂ©dĂ©e an 1984 Ă  l'Ăąge de 93 ans. Prix de Rome en 1924. En 1925, elle parcourt Mauritanie, SĂ©nĂ©gal, Soudan, Mali, en pirogue sur le Niger, femme blanche et blonde, accompagnĂ©e seulement de "boys" soudanais. Elle revient en France en 1926, retourne Ă  nouveau en Afrique en 1930, en 1932, elle visite l'Éthiopie et rĂ©alise le buste du NĂ©gus HailĂ© SĂ©lassiĂ©. On lui doit de nombreuses sculptures, bas reliefs, des bustes d'enfants, des mĂ©dailles commĂ©moratives...Elle fut dĂ©corĂ©e de la lĂ©gion d'honneur.

    HĂ©raldique

    Blason de Lafat Blason
    D'azur Ă  deux cotices ondĂ©es et abaissĂ©es d'argent, accompagnĂ©es en chef d'une volute de crosse d'or ; au franc-quartier d'or chargĂ© d'un hĂȘtre au naturel[32].
    DĂ©tails
    Les cotices symbolisent la BrĂ©zentine et la Sedelle qui arrosent la commune, la volute de crosse est l'attribut de saint Sulpice et le hĂȘtre Ă©voque le nom de la commune.

    Création Jean-François Binon, adoptée le .

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Brézentine (L4524000) » (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Eguzon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lafat et Éguzon-ChantĂŽme », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Eguzon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lafat et Déols », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Chùteauroux Déols - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Lafat », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lafat », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. L'Ă©glise Saint-Sulpice - Lafat sur le site www.tourisme-valleedespeintres-creuse.com
    31. « Les objets classés de l'église », base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    32. « 23103 Lafat (Creuse) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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