Lachaux
Lachaux est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Lachaux | |||||
Plan-de-James fontaine. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Auvergne-RhĂ´ne-Alpes | ||||
DĂ©partement | Puy-de-DĂ´me | ||||
Arrondissement | Thiers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thiers Dore et Montagne | ||||
Maire Mandat |
Michel Couperier 2020-2026 |
||||
Code postal | 63290 | ||||
Code commune | 63184 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
278 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 45° 59′ 41″ nord, 3° 35′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 417 m Max. 947 m |
||||
Superficie | 22,27 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Maringues | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Puy-de-DĂ´me
GĂ©olocalisation sur la carte : Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
| |||||
Liens | |||||
Site web | lachaux.fr | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Lachaux est située au nord-est du département du Puy-de-Dôme.
Les lieux-dits et les écarts sont : Bachasse - Bethanie - le Moulin Bigay - la Bretonne - Cartailler - les Caves - la Charboty - Chassangre - le Moulin Chassangre - le Cheret - Chez Ballet - Chez Bigay - Chez Chenu - Chez Gimel - Chez Gourniaud - Chez Ourer - Chez Pelletier - Chez Pion - Chez Rophin - Chez Terrasson - Chez Varnin - Cités CEA - la Croix - le Faux - Au Gabot - Gagaud - Goyon - la Grand Font - Guillemin - la Kerie - le Gué - la Maisonneuve - Murat - le Petit Murat - les Olagnons - Pacaud - le Petit Pelletier - le Petit Pré - le Pinon - les Peux - Philibin - le Plan de James - Plan de Saule - le Roc Blanc - Tamin - la Vignolle Haute.
GĂ©ologie
La ville est classée dans la zone de sismicité faible[1].
Urbanisme
Typologie
Lachaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,4 %), prairies (31,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de Lachaux est une notation francisée du toponyme vernaculaire La Chaum provenant du bas latin calmis haut plateau dénudé, terre arable, de qualité médiocre, située sur un plateau.
La commune fait partie de l'aire linguistique du Croissant, zone oĂą la langue occitane et la langue d'oĂŻl se rencontrent[8]. Une influence forte de l'arpitan se fait aussi ressentir dans le secteur de Lachaux.
Histoire
Sous l'ancien régime, la paroisse de Lachaux,qui appartenait initialement à l'auvergne, avait été donnée (avec 80 autres paroisses du nord de la région) en 1630 à la généralité de Moulins pour créer l'élection de Gannat. Lachaux intégrait le Bourbonnais et dépendait du bailliage de Cusset. Les divisions administratives étaient alors fort complexes. Certains habitants de la paroisse dépendaient de la justice de la seigneurie de Montpeyroux, d'autres de celle de l'abbaye de Ris.
Pour payer les impôts, certains "chaulards" (habitants de Lachaux) appartenaient à la collecte de Lachaux, d'autres à celle de "SOLLE" (qui comprenait aussi certains villages de la paroisse de Chateldon), enfin, certains étaient rattachés à la collecte de La Guillermie.
En 1790, un nouveau découpage administratif de la France a lieu pour mettre fin au système de l'ancien régime, à son chaos, et permettre une simplification des divisions administratives. Les anciennes généralités sont remplacées par les départements. Les paroisses de Chateldon, Ris, Puy-Guillaume, Charnat, Noalhat, Limons Paslières et Lachaux retournent à l'Auvergne pour former un canton dans le nouveau département du Puy-de-Dôme.
Source : Lachaux sous la RĂ©volution (Bruno Ciotti)
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Lachaux est membre de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Thiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[10]. De 2010 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[11].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Thiers, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[9]. Jusqu'en , elle faisait partie du canton de Châteldon[12].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Maringues pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[12].
Élections de 2020
Le conseil municipal de Lachaux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[13] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[14]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-deux candidats en lice[15], dix sont élus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 76,33 %. Le conseiller restant à élire est élu au second tour, qui se tient le du fait de la pandémie de Covid-19, avec un taux de participation de 40,64 %[15].
Chronologie des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].
En 2020, la commune comptait 278 habitants[Note 2], en diminution de 2,46 % par rapport Ă 2014 (Puy-de-DĂ´me : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Mine d'uranium
Cette mine du massif du Forez a été l'une des premières mines d'uranium de France et le premier gisement uranifère exploitable détecté en France métropolitaine (dès 1946 par le CEA qui avait besoin de grandes quantités d'uranium pour faire la bombe atomique française voulue par le général de Gaulle) et exploité. Elle s'est avérée économiquement peu intéressante puisqu'elle n'a fourni que 34 tonnes d'uranium en 10 ans, extrait de la parsonsite découverte dans les années 1920 (forme de minerai unique au monde et jugée dans les années 1945-1950 économiquement exploitable sur ce site).
- Historique
- L'ouverture de la concession de Lachaux date du , elle couvre des terrains situés sur le département du Puy-de-Dôme et sur celui de l'Allier.
- En 1924, on y découvre de l'uranium, ce qui initie des travaux de prospection qui dureront trois ans.
- En 1946, M. Thave cède sa concession au CEA pour 20 millions de francs, sur la base d'une présence estimée de 20 tonnes d'uranium. Le de cette même année, le CEA installe une mission fixe à Lachaux, qui inclura un service de recherche et développement. De premières excavations sont faites à Rophin, mais trop pauvres en uranium. C’est sur les gisements de Reliez, Étang de Reliez, Gagnol et Bancherelle qu'on en trouvera le plus.
- En 1948, la laverie mécanique est inaugurée.
- Le , une Division Minière de Lachaux est créée, fermée en 1955 alors qu'un gisement proche (mine des Bois Noirs, plus rentable sera ouvert).
- En 1957, le site minier situé sur le territoire de la commune et sur celui de Ris est fermé. Deux ans plus tard, en 1957 c'est l'usine de concentration du minerai qui ferme avant d'être démantelée, mais des matériaux provenant du site ont été utilisés comme remblais routier.
- Séquelles minières
- Dans les années 1980, l'association d'étude et de défense de l'environnement (AEDELEC) qui deviendra Puy-de-Dôme Nature Environnement fait une étude sur les anciennes exploitations d'uranium dans le Puy-de-Dôme, notamment sur les communes de Lachaux de d'Ambert. Il apparait que la cour de l'école de Lachaux a été remblayée avec des matériaux provenant de la mine du Plan Bigay.
- En février 1986, l'AEDELEC et le collectif Bois Noirs - Val d'Allier faisaient effectuer une première série de mesures dans la cour de l'école qui permettait de déceler un taux de radioactivité nettement au-dessus de la normale. Plusieurs courriers furent envoyés au préfet, à l'inspecteur d'académie, au directeur de la DDASS, ces courriers restèrent sans effet. L'AEDELEC contacta la CRIIRAD qui effectua des mesures de radon 222 dans une salle de classe en décembre 1988 et dans la cour en avril 1989. Les résultats étaient rassurants avec 24 désintégrations par seconde pour un mètre cube d'air à l'intérieur et 38 à l'extérieur.
- En 1989 la CRIIRAD effectua des contrôles radiométriques dans la cour de l'école et un prélèvement de sol superficiel. La mesure de l'échantillon superficiel montra une teneur en uranium usuelle, la source de rayonnement fut donc localisée dans les remblais.
- En 2000 l'AEDELEC devenue Puy-de-Dôme Nature environnement reprit un travail important sur les anciennes mines d'uranium du Puy-de-Dôme. Le compte rendu de ce travail qui avait été envoyé au préfet amena la COGEMA à effectuer des travaux importants de sécurisation de plusieurs sites contaminés. Lors d'une rencontre entre Puy-de-Dôme Nature environnement et la COGEMA sur le site de Rofin, la situation de l'école de Lachaux fut évoquée, mais en vain.
- En avril 2006, une nouvelle campagne de mesures radiométriques est effectuée par deux étudiantes de l'Institut de géographie alpine de Grenoble. En l'équipe de la CRIIRAD et un bénévole de Puy-de-Dôme Nature environnement effectuèrent de nouvelles mesures qui montrèrent des anomalies. Ces mesures furent effectuées avec un détecteur à scintillation portatif DG5 et un GPS. Des anomalies furent décelées et un caillou fut prélevé en surface. Un DG5 donne des mesures du flux de rayonnement exprimé en chocs par seconde (c/s). Le niveau naturel sur terrain sédimentaire est d'environ 20c/s. Sur des terrains granitiques comme à Lachaux il est de 200c/s. Dans la cour de l'école plusieurs zones donnèrent des taux de plus de 1000c/s avec des pointes à plus de 2000c/s, sur le caillou les mesures donnèrent un taux de 8000c/s. La CRIIRAD adressa un courrier au maire de Lachaux, préconisant le décapage complet sans délai de la cour de l'école, le maire informa aussitôt le préfet et l'académie. Un plan compteur fut confié à Subatech, Laboratoire de l'IN2P3 rattaché à l'école des mines de Nantes, qui est le partenaire habituel de la COGEMA, quand celle-ci a besoin d'un laboratoire indépendant. Le sol de la cour de l'école fut décapé durant la première quinzaine d'août, le maire autorisa les représentants de la CRIIRAD et de Puy-de-Dôme Nature environnement à assister aux travaux, leurs observations et les mesures effectuées avec le DG5 obligèrent d'ailleurs la COGEMA à décaisser un peu plus de terrain que prévu[21].
Le Rez-de-Sol
D'une superficie de 88 hectares, ce site constitue une Zone Naturelle d'Intérêt Écologique Floristique et Faunistique de niveau 1 répertoriée par la Direction régionale de l'environnement de l'Auvergne[22].
Selon la Diren, Le Rez de Sol constitue le plus grand filon de quartz du Massif Central faisant saillie sur près d'un kilomètre et culminant à 943 mètres d'altitude. Il présente un intérêt paysager certain lié à la géologie particulière, au panorama ouvert sur le massif des Bois-Noirs et la plaine de Limagne.
Le site est essentiellement forestier, recouvert de taillis de chênes maigres et clairières sur sols squelettiques. Ces chênaies acido-xérophiles, pauvres en espèces, sont pénétrées d'espèces montagnardes : strate abondante de Myrtille, Alisier blanc, Sorbier des oiseleurs, Hêtre… L'homogénéité des forêts de feuillus est intéressante bien que menacées par le reboisement en résineux.
La faune est composée d'espèces nicheuses typiquement forestières : Bondrée apivore, Bécasse, Bec-croisé des sapins, Mésange huppée, …
Ce site est accessible par un petit chemin quittant la RD 43 peu de temps après le lieu-dit Plan de Saule , sur la même route, à environ 4 km du bourg de Lachaux.
La Pierre du sang
Il s'agit d'une roche à cupule en granite de 20 à 30 m3 de granite avec présence de bassins et de sièges.
La légende locale, comme le rapporte un document touristique visible sur place il y a quelques années encore, en a fait une pierre à sacrifice du temps des druides. En effet, certains ont cru reconnaître dans cette pierre, la place du druide (bourreau) et celle de sa victime. Lorsque le druide coupait la tête de sa victime, celle-ci roulait dans une sorte de goulet et s'arrêtait à un point précis. Le sang, continuait dans le goulet et pouvait ainsi être récupéré en contrebas.
Le rocher est situé près du lieu-dit Plan de James (sur la D 43 quand on quitte le bourg de Lachaux en direction du Rez-de-Sol).
Un autre rocher à cupule beaucoup plus important est situé à la limite des communes de Lachaux et le lieu-dit Rongère-Montagne (commune de Châteldon) : le rocher du Combeau.
Patrimoine naturel
- La commune de Lachaux est adhérente du parc naturel régional Livradois-Forez.
HĂ©raldique
Blason | Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à une branche de gui posée en barre, au 2e d'or à une volute de crosse de gueules, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent[23]. |
|
---|---|---|
Détails | La crosse est pour saint Bonnet, évêque de Clermont-Ferrand au VIIe siècle et patron de la paroisse locale. Le gui, plante druidique, rappelle l'existence d'un site mégalithique à Lachaux : la Pierre du Sang. Enfin, les ondes représentent les nombreuses sources qui alimentent les divers cours d'eau de la commune : le Theux, le Vauziron et le Terrasson. Création Jean-François Binon, adoptée le . |
Voir aussi
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français. Lachaux est mentionnée dans les exceptions, alors que la majorité des communes du département est dans la zone de sismicité modérée.
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- « Atlas sonore des langues régionales de France », sur https://atlas.limsi.fr/ ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
- « Commune de Lachaux (63184) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « CC Thiers Dore et Montagne (No SIREN : 200070712) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « CC Entre Allier et Bois Noirs (No SIREN : 200023489) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
- « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
- Article L. 252 du Code Ă©lectoral.
- « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- « Michel Couperier réélu maire de Lachaux (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- La Galipote, no 113, décembre 2006, p. 43-44.
- Direction RĂ©gionale de l'environnement de l'Auvergne (Diren)
- « 63184 Lachaux (Puy-de-Dôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).