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Lachaux

Lachaux est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Lachaux
Lachaux
Plan-de-James fontaine.
Blason de Lachaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Auvergne-RhĂ´ne-Alpes
DĂ©partement Puy-de-DĂ´me
Arrondissement Thiers
Intercommunalité Communauté de communes Thiers Dore et Montagne
Maire
Mandat
Michel Couperier
2020-2026
Code postal 63290
Code commune 63184
DĂ©mographie
Population
municipale
278 hab. (2020 en diminution de 2,46 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 59′ 41″ nord, 3° 35′ 37″ est
Altitude Min. 417 m
Max. 947 m
Superficie 22,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Maringues
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lachaux
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Lachaux
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Lachaux
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Lachaux
Liens
Site web lachaux.fr

    GĂ©ographie

    Localisation

    Lachaux est située au nord-est du département du Puy-de-Dôme.

    Maison avec un four Ă  Cartailler.

    Les lieux-dits et les écarts sont : Bachasse - Bethanie - le Moulin Bigay - la Bretonne - Cartailler - les Caves - la Charboty - Chassangre - le Moulin Chassangre - le Cheret - Chez Ballet - Chez Bigay - Chez Chenu - Chez Gimel - Chez Gourniaud - Chez Ourer - Chez Pelletier - Chez Pion - Chez Rophin - Chez Terrasson - Chez Varnin - Cités CEA - la Croix - le Faux - Au Gabot - Gagaud - Goyon - la Grand Font - Guillemin - la Kerie - le Gué - la Maisonneuve - Murat - le Petit Murat - les Olagnons - Pacaud - le Petit Pelletier - le Petit Pré - le Pinon - les Peux - Philibin - le Plan de James - Plan de Saule - le Roc Blanc - Tamin - la Vignolle Haute.

    Communes limitrophes de Lachaux
    Arronnes (Allier) Ferrières-sur-Sichon (Allier)
    Ris Lachaux La Guillermie (Allier)
    Châteldon Saint-Victor-Montvianeix

    GĂ©ologie

    La ville est classée dans la zone de sismicité faible[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Lachaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,4 %), prairies (31,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de Lachaux est une notation francisée du toponyme vernaculaire La Chaum provenant du bas latin calmis haut plateau dénudé, terre arable, de qualité médiocre, située sur un plateau.

    La commune fait partie de l'aire linguistique du Croissant, zone oĂą la langue occitane et la langue d'oĂŻl se rencontrent[8]. Une influence forte de l'arpitan se fait aussi ressentir dans le secteur de Lachaux.

    Histoire

    Sous l'ancien régime, la paroisse de Lachaux,qui appartenait initialement à l'auvergne, avait été donnée (avec 80 autres paroisses du nord de la région) en 1630 à la généralité de Moulins pour créer l'élection de Gannat. Lachaux intégrait le Bourbonnais et dépendait du bailliage de Cusset. Les divisions administratives étaient alors fort complexes. Certains habitants de la paroisse dépendaient de la justice de la seigneurie de Montpeyroux, d'autres de celle de l'abbaye de Ris.

    Pour payer les impôts, certains "chaulards" (habitants de Lachaux) appartenaient à la collecte de Lachaux, d'autres à celle de "SOLLE" (qui comprenait aussi certains villages de la paroisse de Chateldon), enfin, certains étaient rattachés à la collecte de La Guillermie.

    En 1790, un nouveau découpage administratif de la France a lieu pour mettre fin au système de l'ancien régime, à son chaos, et permettre une simplification des divisions administratives. Les anciennes généralités sont remplacées par les départements. Les paroisses de Chateldon, Ris, Puy-Guillaume, Charnat, Noalhat, Limons Paslières et Lachaux retournent à l'Auvergne pour former un canton dans le nouveau département du Puy-de-Dôme.

    Source : Lachaux sous la RĂ©volution (Bruno Ciotti)

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Lachaux est membre de la communauté de communes Thiers Dore et Montagne[9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Thiers. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[10]. De 2010 à 2016, elle faisait partie de la communauté de communes entre Allier et Bois Noirs[11].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Thiers, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[9]. Jusqu'en , elle faisait partie du canton de Châteldon[12].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Maringues pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la cinquième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[12].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Lachaux, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours[13] avec candidatures isolĂ©es ou groupĂ©es et possibilitĂ© de panachage[14]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges Ă  pourvoir lors des Ă©lections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-deux candidats en lice[15], dix sont Ă©lus dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 76,33 %. Le conseiller restant Ă  Ă©lire est Ă©lu au second tour, qui se tient le du fait de la pandĂ©mie de Covid-19, avec un taux de participation de 40,64 %[15].

    Chronologie des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Émile Bigay
    Arthur Laplace
    Henri Raynaud
    Élie Cartailler
    Michel Duzellier
    Alain Selosse
    2018 BĂ©atrice Adamy PG
    [16]
    (réélu le [16])
    En cours
    (au )
    Michel Couperier

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

    En 2020, la commune comptait 278 habitants[Note 2], en diminution de 2,46 % par rapport Ă  2014 (Puy-de-DĂ´me : +2,74 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7757668217989929931 0291 0491 065
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0129741 0421 1181 1501 1601 1541 0781 043
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0941 0841 053874789697690631739
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    530464358301296278280280311
    2014 2019 2020 - - - - - -
    285279278------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Mine d'uranium

    Cette mine du massif du Forez a Ă©tĂ© l'une des premières mines d'uranium de France et le premier gisement uranifère exploitable dĂ©tectĂ© en France mĂ©tropolitaine (dès 1946 par le CEA qui avait besoin de grandes quantitĂ©s d'uranium pour faire la bombe atomique française voulue par le gĂ©nĂ©ral de Gaulle) et exploitĂ©. Elle s'est avĂ©rĂ©e Ă©conomiquement peu intĂ©ressante puisqu'elle n'a fourni que 34 tonnes d'uranium en 10 ans, extrait de la parsonsite dĂ©couverte dans les annĂ©es 1920 (forme de minerai unique au monde et jugĂ©e dans les annĂ©es 1945-1950 Ă©conomiquement exploitable sur ce site).

    Historique
    • L'ouverture de la concession de Lachaux date du , elle couvre des terrains situĂ©s sur le dĂ©partement du Puy-de-DĂ´me et sur celui de l'Allier.
    • En 1924, on y dĂ©couvre de l'uranium, ce qui initie des travaux de prospection qui dureront trois ans.
    • En 1946, M. Thave cède sa concession au CEA pour 20 millions de francs, sur la base d'une prĂ©sence estimĂ©e de 20 tonnes d'uranium. Le de cette mĂŞme annĂ©e, le CEA installe une mission fixe Ă  Lachaux, qui inclura un service de recherche et dĂ©veloppement. De premières excavations sont faites Ă  Rophin, mais trop pauvres en uranium. C’est sur les gisements de Reliez, Étang de Reliez, Gagnol et Bancherelle qu'on en trouvera le plus.
    • En 1948, la laverie mĂ©canique est inaugurĂ©e.
    • Le , une Division Minière de Lachaux est crĂ©Ă©e, fermĂ©e en 1955 alors qu'un gisement proche (mine des Bois Noirs, plus rentable sera ouvert).
    • En 1957, le site minier situĂ© sur le territoire de la commune et sur celui de Ris est fermĂ©. Deux ans plus tard, en 1957 c'est l'usine de concentration du minerai qui ferme avant d'ĂŞtre dĂ©mantelĂ©e, mais des matĂ©riaux provenant du site ont Ă©tĂ© utilisĂ©s comme remblais routier.
    Séquelles minières
    • Dans les annĂ©es 1980, l'association d'Ă©tude et de dĂ©fense de l'environnement (AEDELEC) qui deviendra Puy-de-DĂ´me Nature Environnement fait une Ă©tude sur les anciennes exploitations d'uranium dans le Puy-de-DĂ´me, notamment sur les communes de Lachaux de d'Ambert. Il apparait que la cour de l'Ă©cole de Lachaux a Ă©tĂ© remblayĂ©e avec des matĂ©riaux provenant de la mine du Plan Bigay.
    • En fĂ©vrier 1986, l'AEDELEC et le collectif Bois Noirs - Val d'Allier faisaient effectuer une première sĂ©rie de mesures dans la cour de l'Ă©cole qui permettait de dĂ©celer un taux de radioactivitĂ© nettement au-dessus de la normale. Plusieurs courriers furent envoyĂ©s au prĂ©fet, Ă  l'inspecteur d'acadĂ©mie, au directeur de la DDASS, ces courriers restèrent sans effet. L'AEDELEC contacta la CRIIRAD qui effectua des mesures de radon 222 dans une salle de classe en dĂ©cembre 1988 et dans la cour en avril 1989. Les rĂ©sultats Ă©taient rassurants avec 24 dĂ©sintĂ©grations par seconde pour un mètre cube d'air Ă  l'intĂ©rieur et 38 Ă  l'extĂ©rieur.
    • En 1989 la CRIIRAD effectua des contrĂ´les radiomĂ©triques dans la cour de l'Ă©cole et un prĂ©lèvement de sol superficiel. La mesure de l'Ă©chantillon superficiel montra une teneur en uranium usuelle, la source de rayonnement fut donc localisĂ©e dans les remblais.
    • En 2000 l'AEDELEC devenue Puy-de-DĂ´me Nature environnement reprit un travail important sur les anciennes mines d'uranium du Puy-de-DĂ´me. Le compte rendu de ce travail qui avait Ă©tĂ© envoyĂ© au prĂ©fet amena la COGEMA Ă  effectuer des travaux importants de sĂ©curisation de plusieurs sites contaminĂ©s. Lors d'une rencontre entre Puy-de-DĂ´me Nature environnement et la COGEMA sur le site de Rofin, la situation de l'Ă©cole de Lachaux fut Ă©voquĂ©e, mais en vain.
    • En avril 2006, une nouvelle campagne de mesures radiomĂ©triques est effectuĂ©e par deux Ă©tudiantes de l'Institut de gĂ©ographie alpine de Grenoble. En l'Ă©quipe de la CRIIRAD et un bĂ©nĂ©vole de Puy-de-DĂ´me Nature environnement effectuèrent de nouvelles mesures qui montrèrent des anomalies. Ces mesures furent effectuĂ©es avec un dĂ©tecteur Ă  scintillation portatif DG5 et un GPS. Des anomalies furent dĂ©celĂ©es et un caillou fut prĂ©levĂ© en surface. Un DG5 donne des mesures du flux de rayonnement exprimĂ© en chocs par seconde (c/s). Le niveau naturel sur terrain sĂ©dimentaire est d'environ 20c/s. Sur des terrains granitiques comme Ă  Lachaux il est de 200c/s. Dans la cour de l'Ă©cole plusieurs zones donnèrent des taux de plus de 1000c/s avec des pointes Ă  plus de 2000c/s, sur le caillou les mesures donnèrent un taux de 8000c/s. La CRIIRAD adressa un courrier au maire de Lachaux, prĂ©conisant le dĂ©capage complet sans dĂ©lai de la cour de l'Ă©cole, le maire informa aussitĂ´t le prĂ©fet et l'acadĂ©mie. Un plan compteur fut confiĂ© Ă  Subatech, Laboratoire de l'IN2P3 rattachĂ© Ă  l'Ă©cole des mines de Nantes, qui est le partenaire habituel de la COGEMA, quand celle-ci a besoin d'un laboratoire indĂ©pendant. Le sol de la cour de l'Ă©cole fut dĂ©capĂ© durant la première quinzaine d'aoĂ»t, le maire autorisa les reprĂ©sentants de la CRIIRAD et de Puy-de-DĂ´me Nature environnement Ă  assister aux travaux, leurs observations et les mesures effectuĂ©es avec le DG5 obligèrent d'ailleurs la COGEMA Ă  dĂ©caisser un peu plus de terrain que prĂ©vu[21].

    Le Rez-de-Sol

    Table d'orientation du Rez de Sol.

    D'une superficie de 88 hectares, ce site constitue une Zone Naturelle d'Intérêt Écologique Floristique et Faunistique de niveau 1 répertoriée par la Direction régionale de l'environnement de l'Auvergne[22].

    Selon la Diren, Le Rez de Sol constitue le plus grand filon de quartz du Massif Central faisant saillie sur près d'un kilomètre et culminant Ă  943 mètres d'altitude. Il prĂ©sente un intĂ©rĂŞt paysager certain liĂ© Ă  la gĂ©ologie particulière, au panorama ouvert sur le massif des Bois-Noirs et la plaine de Limagne.

    Le site est essentiellement forestier, recouvert de taillis de chênes maigres et clairières sur sols squelettiques. Ces chênaies acido-xérophiles, pauvres en espèces, sont pénétrées d'espèces montagnardes : strate abondante de Myrtille, Alisier blanc, Sorbier des oiseleurs, Hêtre… L'homogénéité des forêts de feuillus est intéressante bien que menacées par le reboisement en résineux.

    La faune est composée d'espèces nicheuses typiquement forestières : Bondrée apivore, Bécasse, Bec-croisé des sapins, Mésange huppée, …

    Ce site est accessible par un petit chemin quittant la RD 43 peu de temps après le lieu-dit Plan de Saule , sur la même route, à environ km du bourg de Lachaux.

    La Pierre du sang

    La pierre de sang.

    Il s'agit d'une roche Ă  cupule en granite de 20 Ă  30 m3 de granite avec prĂ©sence de bassins et de sièges.

    La légende locale, comme le rapporte un document touristique visible sur place il y a quelques années encore, en a fait une pierre à sacrifice du temps des druides. En effet, certains ont cru reconnaître dans cette pierre, la place du druide (bourreau) et celle de sa victime. Lorsque le druide coupait la tête de sa victime, celle-ci roulait dans une sorte de goulet et s'arrêtait à un point précis. Le sang, continuait dans le goulet et pouvait ainsi être récupéré en contrebas.

    Le rocher est situé près du lieu-dit Plan de James (sur la D 43 quand on quitte le bourg de Lachaux en direction du Rez-de-Sol).

    Un autre rocher à cupule beaucoup plus important est situé à la limite des communes de Lachaux et le lieu-dit Rongère-Montagne (commune de Châteldon) : le rocher du Combeau.

    Patrimoine naturel

    HĂ©raldique

    Blason de Lachaux Blason
    Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à une branche de gui posée en barre, au 2e d'or à une volute de crosse de gueules, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent[23].
    DĂ©tails
    La crosse est pour saint Bonnet, évêque de Clermont-Ferrand au VIIe siècle et patron de la paroisse locale. Le gui, plante druidique, rappelle l'existence d'un site mégalithique à Lachaux : la Pierre du Sang. Enfin, les ondes représentent les nombreuses sources qui alimentent les divers cours d'eau de la commune : le Theux, le Vauziron et le Terrasson.

    Création Jean-François Binon, adoptée le .

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Décret no 2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français. Lachaux est mentionnée dans les exceptions, alors que la majorité des communes du département est dans la zone de sismicité modérée.
    2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - RĂ©partition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (mĂ©tropole) », sur le site des donnĂ©es et Ă©tudes statistiques du ministère de la Transition Ă©cologique (consultĂ© le ).
    8. « Atlas sonore des langues régionales de France », sur https://atlas.limsi.fr/ ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, CNRS, .
    9. « Commune de Lachaux (63184) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    10. « CC Thiers Dore et Montagne (No SIREN : 200070712) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    11. « CC Entre Allier et Bois Noirs (No SIREN : 200023489) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
    12. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
    13. Article L. 252 du Code Ă©lectoral.
    14. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
    15. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    16. « Michel Couperier réélu maire de Lachaux (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    21. La Galipote, no 113, décembre 2006, p. 43-44.
    22. Direction RĂ©gionale de l'environnement de l'Auvergne (Diren)
    23. « 63184 Lachaux (Puy-de-Dôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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