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La Chapelle-Blanche-Saint-Martin

La Chapelle-Blanche-Saint-Martin est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

La Chapelle-Blanche-Saint-Martin
La Chapelle-Blanche-Saint-Martin
Mairie de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes Loches Sud Touraine
Maire
Mandat
Martine Tartarin
2020-2026
Code postal 37240
Code commune 37057
DĂ©mographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
681 hab. (2020 en diminution de 0,87 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 05′ 13″ nord, 0° 47′ 35″ est
Altitude Min. 67 m
Max. 126 m
Superficie 28,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Descartes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Blanche-Saint-Martin
Liens
Site web la-chapelleblanche-saintmartin.fr/

    GĂ©ographie

    Situation

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Communes limitrophes de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin
    Bossée Manthelan
    La Chapelle-Blanche-Saint-Martin Vou
    Bournan Ligueil

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin.

    Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 27,46 km, comprend deux cours d'eau notables, la Ligoire (2,226 km) et la Riolle (5,875 km), et divers petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].

    La Ligoire, d'une longueur totale de 20,9 km, prend sa source dans la commune de Varennes et se jette dans l'Esves Ă  Sepmes, après avoir traversĂ© 8 communes[3]. Sur le plan piscicole, la Ligoire est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[4].

    La Riolle, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source sur le territoire communal et se jette dans la Ligoire Ă  Bournan, après avoir traversĂ© 3 communes[5]. Sur le plan piscicole, la Riolle est Ă©galement classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole[4].

    Deux zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « l'étang du Grand Clos » et « les étangs de Grillemont et la vallée de la Riolle »[6] - [7].

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Blanche-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [8] - [9] - [10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[11] - [12].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), forêts (19,3 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), zones urbanisées (0,9 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Manthelan-Chambourg, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[17].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 69,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 353 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 251 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 71 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18] - [19].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990, 1991, 1992, 1993, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

    Toponymie

    Le nom du village est lié à la légende de Saint Martin. Lorsqu'il évangélisait la région, Martin aurait été attaqué par des païens et son sang aurait rempli une fontaine. Plus tard lors du passage des reliques du saint, la campagne se serait couverte de neige d'où le qualificatif de « blanche »[20].

    Historique

    Grillemont vers 1830

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? Christian Le Gouz de Saint-Seine
    mars 2001 mars 2008 Didier Champigny
    mars 2008 mars 2014 José Dumoulin
    mars 2014 En cours Martine Tartarin PS Retraitée Fonction publique

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2020, la commune comptait 681 habitants[Note 4], en diminution de 0,87 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    830920931950962960929963963
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    949931910878924888913927877
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    873890909836814803770777773
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    715717628609518520560585657
    2014 2019 2020 - - - - - -
    687681681------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La Chapelle-Blanche-Saint-Martin se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Loches.

    L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Piéta de l'église Saint-Martin
    L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin.
    • L'Église Saint-Martin est inscrite Ă  l'inventaire supplĂ©mentaire des monuments historiques[25] depuis 1948. La nef est d'Ă©poque romane (XIIe siècle) et a Ă©tĂ© reprise au XVIe siècle. Elle est recouverte d'une fausse voĂ»te depuis 1922, et s'ouvre au nord sur une petite chapelle seigneuriale du XVe siècle oĂą se trouve une PiĂ©ta, redĂ©couverte en plusieurs morceaux en 1902, après avoir Ă©tĂ© cachĂ©e dans les maçonneries du clocher, probablement pour Ă©chapper aux destructions pendant les Guerres de Religion ou la RĂ©volution. Cette PiĂ©ta a Ă©tĂ© restaurĂ©e deux fois, après sa redĂ©couverte puis en 1994. Le chĹ“ur et son collatĂ©ral nord sont gothiques, attribuĂ©s au XIIIe siècle. Leurs hautes voĂ»tes d'ogive (XIVe siècle) sont remarquables. En 1520, deux contreforts viennent soutenir la façade. Le maĂ®tre-autel et le retable sont inscrits au titre des monuments historiques ; ils ont Ă©tĂ© acquis en 1823, on ignore leur provenance. Une cuve baptismale du XVe siècle ou XVIe siècle est Ă©galement inscrite au titre des monuments historiques.
    • Château de Grillemont
    Château de Grillemont, 2011

    Le château et ses communs sont inscrits comme monuments historiques et certaines parties classées (Fiche Mérimée : PA00097635).

    • Chemin de l'Ă©vĂŞque de Tours. Ce chemin pĂ©destre balisĂ© de 236 km fait Ă©cho Ă  l'« enlèvement » de Saint Martin de l'abbaye de LigugĂ© par les Tourangeaux pour en faire leur Ă©vĂŞque. Il va de Poitiers Ă  Tours passant par la Chapelle-Blanche.

    Personnalités liées à la commune

    • Martin de Tours (316-397), saint Ă©vĂŞque Ă©vangĂ©lisateur de la rĂ©gion a laissĂ© son nom au village auquel il est liĂ© par plusieurs lĂ©gendes.
    • Roland de LescoĂ«t, grand veneur de France de 1457Ă  1467, chambellan et conseiller du roi, bailli de grande prudence de Montargis, capitaine gĂ©nĂ©ral de Loches. Il fit construire vers 1460 la forteresse Ă  l'origine du château actuel de Grillemont
    • Henriette Delamarre de Monchaux, Ă©pouse Pierre Lecointre (fils de GĂ©rasime Lecointre qui avait achetĂ© Grillemont). Elle est la petite fille du gĂ©nĂ©ral Hubert Joseph Lyautey[26]. Elle mène des Ă©tudes gĂ©ologiques et palĂ©ontologiques sur les faluns de Touraine (Falun (gĂ©ologie)#Faluns et falunières d'Anjou - Touraine - BlĂ©sois). Ses ouvrages, notamment Les Faluns de La Touraine[27] sont aussi un plaidoyer pour la thĂ©orie de l'Ă©volution. Avec son fils Georges, elle prĂ©cise l'intĂ©rĂŞt des faluns comme amendements agricoles. Elle s'est aussi intĂ©ressĂ©e au folklore tourangeau et fut une fĂ©ministe très engagĂ©e[26].
    • Georges Lecointre (1888-1972), fils de la prĂ©cĂ©dente, gĂ©ologue. Il a participĂ© Ă  l'Ă©tablissement de cartes gĂ©ologiques en France et au Maroc. Il Ă©tudia les falunières de la rĂ©gion et en fit connaĂ®tre l'intĂ©rĂŞt. Il est connu pour avoir trouvĂ©, Ă  l'âge de 7 ans, dans une falunière proche de Grillemont, la plus ancienne mâchoire de primate rĂ©pertoriĂ©e en rĂ©gion Centre[28]. Pendant la guerre 1939-1945, il Ă©tait en relation avec le rĂ©seau Hector, renseignait l'abbĂ© Dupont[20], facilita l'Ă©vasion de prisonniers, incarcĂ©rĂ©s dans son château rĂ©quisitionnĂ© par les Allemands, en particulier de soldats d'Afrique du Nord grâce Ă  sa connaissance de l'arabe [Note 5].
    • Henri-RenĂ© Dupont (1900-1978), prĂŞtre catholique originaire de la Chapelle-Blanche et adjudant de rĂ©serve fut, après sa libĂ©ration de captivitĂ© pour raisons mĂ©dicales en 1942, l'âme de la RĂ©sistance Ă  la Chapelle-Blanche jusqu'au , date Ă  laquelle il fut dĂ©noncĂ© et arrĂŞtĂ©[29].
    • Colette Lecointre, comtesse Christian de Saint-Seine (1920-2017), fille de Georges Lecointre, passionnĂ©e d'Ă©levage, fut prĂ©sidente du syndicat caprin d'Indre-et-Loire, secrĂ©taire du Livre gĂ©nĂ©alogique de la race caprine Alpine; elle a fortement contribuĂ© Ă  l'amĂ©lioration des Ă©levages caprins de Touraine. Elle a aussi Ă©tĂ© une cynophile rĂ©putĂ©e dès sa jeunesse; elle organisait rĂ©gulièrement des courses de lĂ©vriers au cynodrome du parc de Grillemont[30].

    Blasonnement

    Les armoiries de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin se blasonnent ainsi :

    De gueules à la barre d'or, au château du lieu, à l'église du lieu à un évêque bénissant, le tout d'argent, rangé en bande et brochant.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Anecdote racontée par les guides du château qui se visite

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - la Ligoire », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Fiche Sandre - la Riolle », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    6. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    7. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-Blanche-Saint-Martin », sur Géorisques (consulté le )
    16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    17. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
    18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    19. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    20. Thierry Vivier, Touraine, années terribles, Turquant, Anovi, , 335 p., p. 185.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    25. Notice no PA00097636, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    26. Sylvie Pouliquen, Dames de Touraine, tome 1, Chemillé-sur-Indrois, Éditions Hugues de Chivré,, , p. 258-263.
    27. Comtesse Pierre Lecointre, Les Faluns de La Touraine, Tours, (lire en ligne).
    28. « « Trois scientifiques au musée des faluns », La Nouvelle République, 24 avril 2018 (lire en ligne) », La Nouvelle République,,‎ (lire en ligne).
    29. Jack Vivier, PrĂŞtres de Touraine dans la RĂ©sistance, C.L.D. (lire en ligne).
    30. Desbons Pierre, « Lecointre Colette », sur Histoire de l'agriculture en Touraine (consulté le ).
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