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L'Atelier du peintre

L'Atelier du peintre est une huile sur toile de Gustave Courbet. Son titre complet est : L’Atelier du peintre. AllĂ©gorie RĂ©elle dĂ©terminant une phase de sept annĂ©es de ma vie artistique (et morale). ExĂ©cutĂ©e en 1855, elle est exposĂ©e depuis 1986 au musĂ©e d'Orsay, rez-de-chaussĂ©e, dans la salle Courbet (grands formats).

L'Atelier du peintre
Artiste
Date
1855
Type
ScÚne de genre (en), autoportrait, portrait, allégorie, peinture de personnage (en)
Technique
Dimensions (H Ă— L)
361 Ă— 598 cm
Mouvement
No d’inventaire
RF 2257
Localisation

RefusĂ©e Ă  l’Exposition universelle de 1855 alors que onze de ses Ɠuvres sont acceptĂ©es[1], l’Ɠuvre est dĂ©voilĂ©e au public lors d'une exposition personnelle de l’artiste au Pavillon du RĂ©alisme (Ă©difice provisoire qu'a fait Ă©difier Courbet Ă  ses frais avenue Montaigne presque en face de l'Exposition universelle), sous le numĂ©ro 1. Le tableau sera tout d'abord rachetĂ© par sa veuve Ă  la vente posthume Victor Antoine DesfossĂ©s, et servira de toile de fond au thĂ©Ăątre amateur de l'HĂŽtel DesfossĂ©s (6 rue GalilĂ©e Ă  Paris).

Elle est acquise en 1920 par le musĂ©e du Louvre pour 700 000 francs, offerts en partie par l'association les amis du Louvre, complĂ©tĂ©s par une souscription publique et une contribution de l’État[1].

Une restauraution publique dans l'enceinte du musĂ©e dĂ©bute le avec le soutien de 1 334 particuliers pour plus de 150 000 euros collectĂ©s par le biais d'un financement participatif et complĂ©tĂ© par un mĂ©cĂ©nat de 450 000 euros[2].

Analyse de l’Ɠuvre

Cette toile est en apparence une scÚne de genre du type portrait de groupe mais dont l'artiste a ici modifié les codes.

Description générale

La scĂšne se passe dans l'atelier de Courbet Ă  Paris, sans doute au 32 rue Hautefeuille[3]. Elle est divisĂ©e en trois parties : au centre, l’artiste, avec derriĂšre lui, un modĂšle nu. À sa droite, les Ă©lus, les bons ; Ă  sa gauche, ceux qui vivent de la mort et de la misĂšre. Le tableau, qui est une allĂ©gorie — rĂ©elle ou rĂȘvĂ©e ? —, se prĂ©sente Ă  la fois comme un cĂ©nacle organisĂ© en sociotypes, un portrait de la sociĂ©tĂ©, et un tĂ©moignage de l'Ă©tat moral de l'artiste comme il en tĂ©moigne lui-mĂȘme dans une lettre qu'il adresse Ă  son ami Champfleury en : « C'est l'histoire morale et physique de mon atelier, premiĂšre partie. Ce sont les gens qui me servent, me soutiennent dans mon idĂ©e, qui participent Ă  mon action. Ce sont les gens qui vivent de la vie, qui vivent de la mort. C'est la sociĂ©tĂ© dans son haut, dans son bas, dans son milieu. En un mot, c'est ma maniĂšre de voir la sociĂ©tĂ© dans ses intĂ©rĂȘts et ses passions. C'est le monde qui vient se faire peindre chez moi »[4]. Cependant l'interprĂ©tation de cette toile pose encore aujourd'hui de nombreuses questions[5].

Iconographie

Avec l'Atelier du peintre, Courbet remet en cause la hiĂ©rarchie des genres en livrant lĂ  une sorte de manifeste personnel, il Ă©lĂšve la scĂšne de genre au rang de la peinture historique, dont il utilise d’ailleurs le format et des thĂšmes. Il rejette Ă©galement l'AcadĂ©mie en clouant au pilori un mannequin qui figure un saint SĂ©bastien percĂ© de flĂšches et reprĂ©sente l'art acadĂ©mique[6].

Courbet mĂȘle dans ce tableau toutes les catĂ©gories traditionnelles : le paysage, la scĂšne de genre, le nu, le portrait de groupe, la nature morte (avec un chapeau Ă  plume, une guitare et un poignard au pied du chasseur), les sujets religieux : jugement dernier, descente de croix, Memento mori (avec le crĂąne posĂ© en serre-papier sur un numĂ©ro froissĂ© du Journal des dĂ©bats, rĂ©ponse de Courbet aux attaques de ce quotidien)[7]
 La toile est, de fait, une galerie de portraits, c’est-Ă -dire une rĂ©union de figures connues, d’allĂ©gories ou simplement de diffĂ©rentes catĂ©gories sociales. Il cherche ainsi Ă  donner Ă  tous ces genres leurs lettres de noblesse. Par les mots « allĂ©gorie rĂ©elle », le peintre prĂ©vient son public que chacun des personnages reprĂ©sente une idĂ©e en mĂȘme temps qu'un ĂȘtre de chair, alors que la peinture allĂ©gorique se meurt au XIXe siĂšcle. Sous l'influence de Proudhon il se fait moralisateur et c'est le monde qu'il entend juger. Le nu peut ĂȘtre perçu comme une reprĂ©sentation allĂ©gorique de la peinture qu'il admire et qui inspire l’art de Courbet. Le sous-titre donne par ailleurs la mesure du propos ambitieux et un peu Ă©nigmatique du peintre. Courbet cherche en effet Ă  faire une sorte de bilan de son Ɠuvre Ă  travers ce tableau. Le thĂšme de la crĂ©ation artistique n’est pas inhabituel mais Courbet le renouvelle en se plaçant au centre, en se positionnant en tant qu’acteur principal. Il revendique ainsi son statut d’artiste.

Composition

Courbet commente ainsi le tableau dans une lettre : « Le tableau est divisĂ© en deux parties. Je suis au milieu, peignant ». TrĂšs peu de peintres se sont, jusque-lĂ , reprĂ©sentĂ©s au centre de leurs Ɠuvres. Ses Ă©lus et rĂ©prouvĂ©s sont comme dĂ©partagĂ©s par une « religion nouvelle », celle de l’artiste ou de l’art, « religion » commune aux socialistes utopiques, aux romantiques, ainsi qu’à Proudhon, ami et confident du peintre. Courbet se dĂ©finissait lui-mĂȘme comme un rĂ©publicain « de naissance ».

Partie centrale

Au centre, le peintre, son modĂšle et les souvenirs Ă©pars de son passĂ©. Sur le chevalet figure un paysage de Franche-ComtĂ©, plus prĂ©cisĂ©ment un paysage d’Ornans que Courbet est en train de peindre, il privilĂ©gie ses origines, son milieu, son paysage natal. L'artiste dans une position orgueilleuse (Courbet est un homme « narcissique, Ă©gocentrique et individualiste »[8]) est assis sur une chaise, de profil. Il porte un pantalon Ă  carreaux et un veston Ă  col rayĂ©. Courbet, dans cette composition joue donc le rĂŽle de mĂ©diateur, de rĂ©gulateur. À ses pieds se trouve un chat blanc. Devant la toile, un petit berger comtois, pieds nus dans ses sabots, avec les cheveux en bataille, regarde la toile. Il est le symbole de l'innocence, de la libertĂ© et de la vie. À droite du peintre se trouve une femme nue (reprĂ©sentation de la VĂ©ritĂ© selon l'iconographie traditionnelle), sa muse (son modĂšle ?) qui regarde le peintre travailler ; elle est de profil et est coiffĂ©e d’un chignon ; elle retient avec ses deux mains une grande draperie qui traĂźne sur le sol ; ses habits sont jetĂ©s nĂ©gligemment sur un tabouret[6].

Gauche

Selon Courbet, il y a, « à gauche, l'autre monde de la vie triviale, le peuple, la misÚre, la pauvreté, la richesse, les exploités, les exploiteurs, les gens qui vivent de la mort ».

L'historienne de l'art française HĂ©lĂšne Toussaint y voit un juif au turban avec sa cassette de bois couleur acajou (reprĂ©sentĂ© par le Ministre des Finances Achille Fould) ou un homme Ă  la toque (Lajos Kossuth Ă©voquant la Hongrie), un curĂ© (reprĂ©sentĂ© par Louis Veuillot, journaliste catholique), un braconnier portant une blouse blanche et un foulard brun (reprĂ©sentĂ© par le gĂ©nĂ©ral Garibaldi), un fripier qui propose un vieux tapis et des oripeaux[9] (Victor de Persigny, ministre de l’IntĂ©rieur de NapolĂ©on III, en « commis voyageur » des IdĂ©es napolĂ©oniennes publiĂ©es par le prince en 1839), un faucheur (reprĂ©sentant du monde agricole) et un ouvrier (reprĂ©sentant du monde du travail) symbolisant peut-ĂȘtre des nations en lutte rĂ©volutionnaire pour leur indĂ©pendance (Italie, Hongrie, Pologne), un croque-mort (Émile de Girardin, fondateur de journaux populaires, tenu pour « fossoyeur de la RĂ©publique »), un Chinois portant une tunique d'Arlequin Ă  carreaux rouges et jaunes et une plume rouge Ă  son chapeau, un pauvre vieux ancien rĂ©publicain de 1793 (reprĂ©sentĂ© par le savant et homme politique Lazare Carnot), et enfin un chasseur sur une chaise acajou portant une pĂšlerine verdĂątre qui ressemble Ă  NapolĂ©on III (avec ses bottes cuissardes de couleur fauve et sa barbiche caractĂ©ristiques)[10].

Droite

Toujours selon Courbet, on trouve « à droite tous les actionnaires, c'est-à-dire les amis, les travailleurs, les amateurs du monde de l'art », en tout douze personnages, les amis « élus » du peintre[11].

Au premier plan, Charles Baudelaire, lisant assis sur une table ; il personnifie la poĂ©sie. À ses cĂŽtĂ©s un couple bourgeois visitant l’atelier, ce sont donc des amateurs mondains. Certains y reconnaissent le couple Sabatier, collectionneurs montpelliĂ©rains et fouriĂ©ristes militants. À leurs pieds, leur enfant qui lit, c’est l’enfance studieuse. Au milieu du groupe un couple s'embrasse pour figurer l’amour libre. Champfleury, l'ami du peintre, se trouve sur un tabouret et reprĂ©sente la prose, son domaine artistique. Jeanne Duval, maĂźtresse de Baudelaire, masquĂ©e dans un repentir Ă  la demande de l'Ă©crivain, est rĂ©apparue, Ă  la gauche de la porte, par les phĂ©nomĂšnes d'exsudation du liant et de la peinture au bout d'une cinquantaine d'annĂ©es. Le couple habillĂ© luxueusement serait Alfred Mosselman, riche mĂ©cĂšne franco-belge et Apollonie Sabatier, demi-mondaine et salonniĂšre.

Dans le fond, Pierre-Joseph Proudhon, avec ses fines lunettes, pour la philosophie sociale, Alphonse Promayet (1822-1872)[12] pour la musique, Max Buchon pour la poésie réaliste, Urbain Cuenot (1820-?), un ami intime de Courbet, et enfin, Alfred Bruyas (le mécÚne de Montpellier)[10].

Dessin

Courbet a une trĂšs bonne connaissance de l’art espagnol ce qui se ressent dans l’atelier ; en effet il s’inspirait souvent de JosĂ© de Riber et de Zurbaran. Courbet a eu recours Ă  la photographie pour son modĂšle. Chaque personnage est unique avec une expression du visage qui lui est propre.

Couleurs

Les tons dominants sont les couleurs ocre, or et marron et la tonique est le blanc.

LumiĂšre

La lumiĂšre vient de droite par une fenĂȘtre : elle Ă©claire donc les « bons » et le dos du modĂšle ; cette lumiĂšre est assez diffuse et prend une coloration jaune. Le tableau reste cependant assez sombre, cela vient sĂ»rement du fait que Courbet avait l’habitude de peindre au prĂ©alable ses toiles en noir pour revenir petit Ă  petit vers les tons clairs. Le tableau au centre, Courbet, son modĂšle et l'enfant sont mieux Ă©clairĂ©s et ressortent de la toile.

Situation historique de l'Ɠuvre

Dans la carriùre de l’artiste

L’Atelier est perçu comme une Ɠuvre majeure et caractĂ©ristique de Courbet. La toile est exĂ©cutĂ©e Ă  Ornans en novembre et , et dans les quatre premiers mois de 1855 : pressĂ© par le temps pour rĂ©aliser sa trentaine de personnages, Courbet s'inspire de portraits prĂ©existants (Baudelaire, son ami d'enfance le violoniste Alphonse Promayet en rouge, Ă  cĂŽtĂ© son mĂ©cĂšne Alfred Bruyas)[13].

L’annĂ©e 1855 et plus particuliĂšrement ce tableau marquent son bilan personnel. C’est une Ă©poque oĂč Courbet tente de prendre ses distances avec la peinture. Il faut ajouter que son tableau, La rencontre, est pour sa part acceptĂ© Ă  l’exposition universelle de la mĂȘme annĂ©e.

L’Atelier de Courbet a donc une forte valeur emblĂ©matique, c’est une Ɠuvre moderne et rĂ©volutionnaire, dans le sens oĂč il Ă©lĂšve son histoire au rang de peinture d’histoire, ainsi que ses idĂ©es et connaissances.

Ce tableau, assez dĂ©criĂ© en 1855, est aujourd’hui considĂ©rĂ© comme un grand modĂšle artistique, reprĂ©sentant non seulement l’Ɠuvre de Courbet mais aussi un mouvement artistique Ă  part entiĂšre, le rĂ©alisme. Il y a aussi le dĂ©sir et le pouvoir de protĂ©ger la forme et la couleur des choses contre la dĂ©chĂ©ance, ce qui valut Ă  Courbet d'ĂȘtre classĂ© comme rĂ©aliste. Les interprĂ©tations de ce tableau restent multiples, on peut compter trois niveaux de lecture : le tableau de genre avec le portrait de groupe, le paysage et le nu ; les personnifications et les allĂ©gories. Parce que Courbet utiliserait aussi son propre atelier comme les trĂ©teaux de sa mise en scĂšne de soi mĂ©diatique et performative, son atelier au 32, rue Hautefeuille a Ă©tĂ© un des plus visitĂ©s de son temps[14].

En 1977, l'historienne de l'art HélÚne Toussaint émet l'hypothÚse que le peintre s'est inspiré d'un travail de Henri Valentin, auteur de L'Atelier de Clésinger (1849) : cette toile de 54 x 61 cm, passée en vente en 2016, présente de nombreux points communs avec le grand tableau de Courbet qui avait pour habitude d'utiliser des gravures, des photographies et des dessins durant son travail préparatoire. La toile de Valentin fut d'ailleurs traduite en gravure dans Le Magasin pittoresque de [15].

Dans l’histoire de l’art

Les critiques de l’époque ont qualifiĂ© l’Ɠuvre de « vulgaire ». En revanche, on connaĂźt Ă  ce sujet l’opinion positive d'EugĂšne Delacroix : « Je vais voir l’exposition de Courbet qu’il a rĂ©duite Ă  dix sous. J’y reste seul pendant prĂšs d’une heure et j’y dĂ©couvre un chef-d’Ɠuvre dans son tableau refusĂ© ; je ne pouvais m’arracher Ă  cette vue. On a rejetĂ© lĂ  un des ouvrages les plus singuliers de ce temps mais ce n’est pas un gaillard Ă  se dĂ©courager pour si peu. »[16]. Jean-Jacques Henner, lui, en dit alors : « VoilĂ  un fond que VĂ©lazquez n’aurait pas mieux peint. Et cette figure nue, avec quel talent, quel goĂ»t elle est faite »[17].

Champfleury disait que, devant Courbet, « la femme apparaĂźt avec plus de franchise qu'elle ne s'en accorde Ă  elle-mĂȘme devant son miroir ». Contrairement Ă  L'aprĂšs-dĂźner Ă  Ornans, au Retour des paysans de la foire de Flagey ou bien aux Casseurs de pierre, qui sont des scĂšnes de genre et des peintures de petit format, L'Atelier est un grand format mĂȘlant tous les genres que Courbet a pu peindre. Ce n'est pas une peinture qui a un rapport avec sa rĂ©gion et Ornans plus prĂ©cisĂ©ment.

Le tableau fait partie des « 105 Ɠuvres dĂ©cisives de la peinture occidentale » constituant Le MusĂ©e imaginaire de Michel Butor[18].

Provenance

Jusqu'en 1881, le tableau se trouve dans la collection Juliette Courbet, sƓur de l'artiste. Elle le met en vente le 9 dĂ©cembre 1881 Ă  l'HĂŽtel Drouot (lot no 8), acquis par la Galerie Haro (Paris) pour 21 000 francs. En 1897, il est acquis par Victor Antoine DesfossĂ©s, mort en 1899, et reste dans la famille de son Ă©pouse jusqu'en 1919 ; le tableau sert alors de toile de fond dans le thĂ©Ăątre d'amateurs de l'HĂŽtel DesfossĂ©s, 6 rue GalilĂ©e, Paris. De 1919 Ă  1920, il est Ă  la galerie Barbazanges, qui parvient Ă  la vendre au musĂ©e du Louvre, avec l'aide d'une souscription publique et de la SociĂ©tĂ© des amis du Louvre. En 1986, il est affectĂ© au musĂ©e d'Orsay[19].

Notes et références

  1. (fr) « L'atelier du peintre, Gustave Courbet, 1855 », sur www.cineclubdecaen.com (consulté le )
  2. « Entrez dans L'atelier de Courbet ! », musee-orsay.fr (consulté le )
  3. Adresse communiquĂ©e par Gustave Courbet au jury des Salons de 1852 et 1853 — Base Salons, musĂ©e d'Orsay.
  4. Damien Colas, Florence GĂ©treau, Malou Haine, Musique, esthĂ©tique et sociĂ©tĂ© au XIXe siĂšcle, Wavre, Mardaga, 2007, p. 320 — extrait en ligne.
  5. « Ce que révÚle L'Atelier du peintre de Courbet, aprÚs restauration », sur Culturebox, le 18 décembre 2016.
  6. Georges Riat, Gustave Courbet, Parkstone International, , p. 94.
  7. RenĂ© Huyghe, Germain Bazin et Jean AdhĂ©mar, L'atelier du peintre : allĂ©gorie rĂ©elle, 1855, Éditions des musĂ©es nationaux, , p. 26.
  8. Courbet et la Commune, Réunion des musées nationaux, , p. 85.
  9. Un dolman aux passementeries dorées gßt sur le sol.
  10. HĂ©lĂšne Toussaint, « Le dossier de L’Atelier de Courbet », Exposition Gustave Courbet, Paris, RĂ©union des musĂ©es nationaux, 1977, p. 241-277.
  11. ChloĂ© Tredez, « Zoom sur : L’Atelier du Peintre, Gustave Courbet (1854-1855) », Museum TV,‎ (lire en ligne)
  12. « Musée d'Orsay : Gustave Courbet Alphonse Promayet », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )
  13. Dominique Fourcade, Courbet dans les collections privées françaises, Galerie C. Aubry Impr. Union, , p. 38.
  14. Martin Schieder, « Ne fais pas ce que je fais », Dans l’atelier de Gustave Courbet, in France Nerlich et Alain Bonnet (Ă©ds.): Apprendre Ă  peindre. Les ateliers privĂ©s Ă  Paris 1780–1863, Tours 2013, p. 333–352.
  15. Thierry Savatier, « L’Atelier de Courbet : une source probable aux enchĂšres », sur Blog du journal Le Monde, 22 mai 2016.
  16. « L’Atelier de Courbet », sur hal.archives-ouvertes.fr (consultĂ© le )
  17. « Voir : Document 4‐ Texte de Pierre Wat « Constable entre ciel et terre » Edit Herscher, Novembre 2002 », sur m155bullingdon.typepad.com (consultĂ© le )
  18. Michel Butor, « Gustave Courbet. L’atelier du peintre », dans Le MusĂ©e imaginaire de Michel Butor, 105 Ɠuvres dĂ©cisives de la peinture occidentale, Paris, Flammarion, , 368 p. (ISBN 978-2-08-145075-2), p. 236-239.
  19. « L'Atelier du peintre », sur le site du Musée d'Orsay

Bibliographie

  • NoĂ«l Barbe, « L’Atelier de Courbet : une Ă©nonciation du travail du peintre », Le travail en reprĂ©sentations, Paris, Éditions du CTHS, vol. Actes du 127e CongrĂšs national des sociĂ©tĂ©s historiques et scientifiques, « Le travail et les hommes »,‎ , p. 495-514. (lire en ligne)

Liens externes

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