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KTM X-Bow

La KTM X-Bow est le premier modèle automobile créé par le constructeur autrichien de motos KTM. Signifiant « arbalète » en français[1], le nom du modèle se prononce Cross-Bow[2]. Conçue en collaboration avec Dallara, la X-Bow est équipée d'un moteur à quatre cylindres d'origine Volkswagen, en l'occurrence celui équipant la compacte sportive Golf GTI.

KTM X-Bow
KTM X-Bow

Marque KTM
Années de production 2007 - 2020
Production 450 exemplaire(s)
Classe Super-sportive
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) 4 cylindres en ligne, turbocompressé
CylindrĂ©e 1 984 cm3
Puissance maximale Ă  5 500 tr/min : 240 ch (177 kW)
Couple maximal de 2 000 Ă  5 500 tr/min : 310 N m
Transmission Propulsion
Boîte de vitesses Mécanique à 6 rapports
Poids et performances
Poids Ă  vide 790 kg
Vitesse maximale 250 km/h
Accélération 0 à 100 km/h en 3,9 s
Consommation mixte 7,9 L/100 km
Émission de CO2 171 g/km
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Barquette
Châssis Monocoque en fibre de carbone
Dimensions
Longueur 3 738 mm
Largeur 1 915 mm
Hauteur 1 202 mm
Empattement 2 430 mm
Chronologie des modèles

HomologuĂ©e pour un usage routier, la X-Bow est pourtant une barquette destinĂ©e essentiellement Ă  un usage sur circuit ; elle est ainsi dĂ©pourvue de portes, de toit et de pare-brise. Son châssis est par ailleurs entièrement conçu en fibre de carbone, ce qui lui permet de maintenir son poids aux alentours de 790 kg d'après le constructeur. Machine sans concession, la X-Bow se veut l'hĂ©ritière des petits roadsters anglais tels la Lotus Seven.

En dépit d'un accueil favorable par la presse spécialisée après sa présentation en 2007, la carrière commerciale de la X-Bow est à la fois pénalisée par sa conception radicale et par les effets de la crise économique. Les ventes ne décollant pas malgré les efforts de KTM, sa production est finalement interrompue fin 2009. À partir de 2015, la KTM X-Bow GT4, une version de course à cockpit fermée, est développée.

Genèse du projet

Aux origines de la conception de la X-Bow se trouve la volontĂ© de la firme KTM de diversifier son offre. La marque autrichienne est alors le numĂ©ro deux europĂ©en de la construction de motos derrière l'allemand BMW, avec près de 100 000 unitĂ©s produites par an, et se caractĂ©rise par ses productions au caractère assez « trempĂ© Â». Pour compenser l'Ă©rosion de sa clientèle motarde, KTM dĂ©cide donc de proposer une offre pour les automobilistes[3].

La marque ne souhaite pas se lancer dans le secteur extrêmement concurrentiel de l'automobile généraliste et opte pour la production d'un modèle radical, à vocation purement et explicitement sportive[3]. Le cahier des charges définit les spécifications d'une barquette dénuée de tout confort moderne, dépourvue de portières, sans toit ni pare-brise. La X-Bow, allant au bout de son concept, ne propose ainsi ni climatisation, ni assistance électronique, ni coussin gonflable de sécurité, ni sellerie confortable[4].

La première version du modèle est prĂ©sentĂ©e dans une livrĂ©e orange au Salon de Genève en . En septembre, KTM communique les tarifs de la X-Bow, qui sera disponible Ă  la vente au printemps 2008 Ă  partir de 45 850 â‚¬ hors taxes, tarif comparable Ă  celui de ses concurrentes les plus directes comme l'Ariel Atom et la Caterham CSR 200. Bien qu'un doute subsiste alors toujours sur une Ă©ventuelle homologation pour une utilisation sur route ouverte[5], la production dĂ©bute en et les premiers modèles sont livrĂ©s en aoĂ»t. L'homologation europĂ©enne est finalement obtenue au cours de l'annĂ©e 2009[6].

Conception du châssis

Vue partielle du châssis en fibre de carbone de la X-Bow.

Afin de respecter son objectif de produire un modèle aussi léger que performant sur circuit, KTM opte pour l'utilisation de fibre de carbone, ce qui implique de recourir aux services d'un partenaire doté de l'expérience nécessaire au travail de ce matériau. La marque autrichienne fait appel à Dallara Automobili, un spécialiste de la construction de châssis pour la compétition automobile[7]. La rencontre entre le constructeur de motos et la fabricant de châssis est en outre l'occasion pour Giampaolo Dallara de concrétiser un vieux rêve : rendre hommage à Colin Chapman en créant une héritière digne de la Lotus Seven[3].

Le savoir-faire de Dallara est prépondérant lors de la conception du châssis. Il est même prévu que l'assemblage des barquettes serait également confié au spécialiste italien, mais le succès auprès du public et les nombreuses pré-commandes enregistrées dès la présentation de la X-Bow incitent le PDG de la marque, Stefan Pierer, à modifier sa stratégie[7]. En effet, il s'agit désormais de produire des centaines de châssis – un volume bien supérieur aux possibilités de l'artisan Dallara. KTM rachète alors la société allemande Wethje, un spécialiste des matériaux composites[8], et engage en parallèle la construction d'une nouvelle usine à Graz, en Autriche[7].

Dictées par les impératifs de performance, les proportions de ce châssis – et donc, par extension, celles de la X-Bow – sont peu courantes : avec 3,74 m de long pour 1,92 m de large, la KTM est à la fois bien plus courte qu'une Renault Clio et aussi large qu'une Ferrari F430. Son empattement de plus de 2,40 m, valeur importante pour un véhicule de cette longueur, rejette les roues aux quatre coins et renforce l'allure atypique de la X-Bow[7].

Une mécanique éprouvée

L'Audi S3 prête sa base mécanique à la KTM X-Bow.

Tout comme pour la conception du châssis, KTM ne dispose pas de l'expérience ou du savoir-faire nécessaires à la fabrication d'une mécanique automobile. Le développement d'un bloc moteur spécifique étant trop coûteux pour un tel projet, la X-Bow doit emprunter une base mécanique issue d'un autre modèle. KTM va ainsi chercher au sein du groupe VAG la motorisation de son roadster et arrête son choix sur le bloc 2,0 litres TFSI qui équipe entre autres les Volkswagen Golf V, León Cupra et Cupra R, Audi TTS et Audi S3[7].

D'une cylindrĂ©e de 1 984 cm3, ce bloc suralimentĂ© Ă  quatre cylindres en ligne dĂ©veloppe, dans la version retenue pour la X-Bow, une puissance de 240 chevaux – soit 25 de moins que la version montĂ©e dans la S3, mais 20 de plus que celle utilisĂ©e lors de la prĂ©sentation de la X-Bow en [5] – et 310 newtons-mètres de couple, disponibles dès les plus bas rĂ©gimes. Compte tenu du poids limitĂ© du vĂ©hicule, ce moteur permet Ă  la KTM d'afficher un rapport poids/puissance de 3,3 kg/ch, plus favorable que celui d'une Porsche 911 GT3[8]. En outre, ce bloc retient Ă©galement l'attention des ingĂ©nieurs de KTM en raison de sa fiabilitĂ©, Ă©prouvĂ©e après deux saisons d'utilisation en compĂ©tition automobile[9]. En revanche, sa sonoritĂ©, dĂ©jĂ  particulièrement discrète voire banale Ă  l'arrĂŞt, est vite entièrement couverte par les bruits aĂ©rodynamiques dus Ă  l'absence de toit et de pare-brise[10] - [11].

Ce moteur est accouplé à une boîte de vitesses mécanique à six rapports et commande manuelle également d'origine Audi[9]. Le recours à une boîte robotisée à double-embrayage de type DSG a un temps été envisagé avant d'être écarté pour des raisons de poids[7]. L'embrayage est lui aussi en provenance directe de la banque d'organes Audi, ce qui lui confère une douceur de fonctionnement et une facilité d'utilisation peu communes dans ce segment automobile[8].

Mise au point

Le train arrière de la X-Bow.

Ă€ l'instar d'un modèle de compĂ©tition, la X-Bow est construite sur la base d'un châssis monocoque en fibre de carbone de type « baignoire Â» sur lequel sont greffĂ©s quelques Ă©lĂ©ments de carrosserie, le bloc motopropulseur et les suspensions[10] – une architecture basĂ©e sur l'emploi intensif de matĂ©riaux composites et donc garante de lĂ©gèretĂ© et de rigiditĂ©[12].

Mise au point par Loris Bicocchi, un essayeur et metteur au point expérimenté qui a déjà travaillé pour des marques prestigieuses telles que Bugatti ou Pagani[3], la X-Bow se montre à la fois maniable et efficace grâce à son système de suspensions très élaboré. Équipée d'amortisseurs entièrement réglables en compression comme en détente, elle est très progressive lorsque poussée à ses limites[13]. Son poids contenu et son aérodynamique pensée pour générer autant d'appui que possible lui permettent en outre des vitesses de passage en courbe élevées – KTM annonce d'ailleurs un potentiel de 1,5 G en virage[8].

DessinĂ©e par Gerald Kiska, le designer « maison Â» de la marque[7], la X-Bow a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e pour apporter, grâce Ă  ses divers Ă©lĂ©ments de carrosserie et Ă  son fond plat, un appui aĂ©rodynamique de 48 kg Ă  100 km/h et de 193 kg Ă  200 km/h[14], ce qui lui confère un niveau d'adhĂ©rence très important[11]. Par ailleurs, sa rĂ©partition des masses très portĂ©e sur le train arrière – le ratio avant/arrière est de 37/63 % en statique et de 35/65 % en dynamique – et son pont arrière Ă  diffĂ©rentiel autobloquant permettent Ă  la X-Bow d'offrir une excellente motricitĂ©[8].

Comportement et performances

Le poste de conduite, avec le volant amovible retiré...
... puis volant en place.

Bien que sa base mĂ©canique soit directement issue de vĂ©hicules de grande sĂ©rie, la X-Bow a Ă©tĂ© conçue en tant que pure sportive. Ainsi, sa structure très dĂ©pouillĂ©e et dĂ©pourvue de tout Ă©lĂ©ment de confort lui permet d'afficher une masse relativement contenue puisqu'annoncĂ©e par le constructeur Ă  790 kg Ă  sec[10]. Cette radicalitĂ© se retrouve dans l'habitacle et le poste de pilotage, qui se distinguent notamment par des sièges baquets fixĂ©s directement Ă  la coque, des harnais Ă  quatre points « Schroth », un pĂ©dalier rĂ©glable et un volant extractible[2].

Cette conception très axĂ©e vers un usage sportif se traduit sur la route par un comportement « brut Â», sans aucun filtre ni compromis[13]. DĂ©pourvue de toute assistance Ă  la conduite – direction assistĂ©e, ABS, antipatinage, etc. –, la X-Bow se montre extrĂŞmement prĂ©cise et vive sur le plan du comportement routier tout en Ă©tant, grâce Ă  sa mĂ©canique de grande sĂ©rie, nettement plus docile qu'une vĂ©ritable voiture de compĂ©tition[2]. Pour certains journalistes, la KTM fait ainsi preuve d'une « tenue de route ahurissante Â» doublĂ©e d'une « agilitĂ© stupĂ©fiante Â»[11], rappelant le comportement d'une monoplace[13]. Pour autant, la X-Bow demeure relativement facile d'utilisation et saine dans ses rĂ©actions lorsque menĂ©e Ă  la limite[10], ce qui la rend beaucoup moins exigeante Ă  piloter – mais Ă©galement moins « fine Â» et efficace – qu'une Ariel Atom[15].

En outre, grâce Ă  son poids contenu, la X-Bow atteint un niveau de performance très Ă©levĂ© compte tenu de son niveau de puissance. Le 0 Ă  100 km/h est ainsi annoncĂ© par le constructeur en 3s 9[4], tandis que les 160 km/h sont atteints en 11 secondes[16]. En revanche, elle n'atteint en vitesse maximale que 217 km/h – valeur relativement modeste pour un vĂ©hicule disposant de 240 chevaux[17]. Son profil aĂ©rodynamique, pensĂ© pour apporter avant tout de l'appui dans le cadre d'une utilisation sur circuit automobile, reprĂ©sente un handicap en vitesse pure car il gĂ©nère une traĂ®nĂ©e importante.

Ce bilan globalement positif est toutefois terni par le seul vĂ©ritable reproche fait Ă  la X-Bow : son poids. Pesant moins de 800 kg, elle demeure nettement plus lĂ©gère qu'une automobile « standard Â», mais est pourtant beaucoup plus lourde que ses concurrentes directes comme l'Ariel Atom (530 kg) ou la Caterham CSR 200 (630 kg)[7]. Elle est Ă©galement plus lourde que les premières versions de la Lotus Elise, qui s'en tenaient Ă  720 kg[18] et Ă©taient pourtant Ă©quipĂ©es – contrairement Ă  la KTM – de portières, de vitres latĂ©rales, d'un pare-brise, d'un système de chauffage ou encore d'un toit amovible.

Accueil et Ă©volution

La version ROC de la X-Bow, ici pilotée par David Coulthard au Stade de Wembley, en 2008.

La X-Bow est globalement bien accueillie par la presse spécialisée. Beaucoup d'essais en dressent un bilan très positif, notamment en raison de son haut niveau de performances et malgré une définition radicale très pénalisante en usage quotidien[19]. En outre, la X-Bow permet au constructeur autrichien de proposer à ses clients une gamme complète et cohérente de modèles sportifs à deux et quatre roues[20].

En dépit de cet accueil favorable, la X-Bow est – sur le plan commercial – un réel échec, en grande partie en raison de la crise économique survenue quasiment simultanément à son lancement. Alors que les prévisions de KTM visaient un objectif de mille modèles vendus en Europe, seuls 450 véhicules trouvent preneur à la fin 2009, dont trente en France[19].

La version GT4 de la X-Bow, non homologuée pour un usage routier.

Ces difficultĂ©s n'empĂŞchent pas le constructeur de faire Ă©voluer son modèle, avec le lancement en 2009 d'une version baptisĂ©e ROC, en rĂ©fĂ©rence Ă  la Course des Champions[Note 1]. Une version Street est Ă©galement lancĂ©e la mĂŞme annĂ©e[21]. Cinq versions de la X-Bow sont finalement disponibles Ă  la vente[22] - [Note 2], dĂ©clinant la X-Bow en une gamme complète dont les tarifs s'Ă©chelonnent de 62 764 â‚¬ Ă  104 105 â‚¬[9].

Les versions Clubsport et Superlight proposent une Ă©volution mĂ©canique orientĂ©e vers la compĂ©tition incluant notamment un châssis « course Â» rĂ©glable, un diffĂ©rentiel Ă  glissement limitĂ© ou encore un extincteur. La GT4 est quant Ă  elle totalement prĂ©parĂ©e pour la compĂ©tition automobile et n'est de ce fait, et contrairement aux autres versions, pas homologuĂ©e pour un usage routier[9].

Malgré cela, les difficultés rencontrées par KTM sur le marché de la moto aux États-Unis, combinées aux mauvaises ventes de la X-Bow, finissent par provoquer la suspension temporaire de sa production en 2009, le temps pour la marque d'écouler les stocks et d'attendre un marché plus favorable[19].

Le , KTM annonce avoir tenu une rĂ©union avec l'ensemble de ses concessionnaires pour les rassurer sur la santĂ© de l'entreprise d'une part et d'autre part pour prĂ©senter deux nouvelles versions de la X-Bow. La version R, prĂ©vue pour 2011, verra sa puissance portĂ©e Ă  300 chevaux[23] ; la Touring proposera quant Ă  elle un pare-brise et devrait sortir en 2012[24].

En 2015, KTM et l'écurie allemande Reiter Engineering développent conjointement une version à cockpit fermée de la KTM X-Bow GT4[25] - [26].

Caractéristiques techniques

NB : sauf indication contraire, toutes les valeurs mentionnées ci-dessous proviennent du site officiel de KTM[14].

Face avant de KTM X-Bow dont la plaque minéralogique est personnalisée.
Vue arrière de KTM X-Bow.
KTM X-Bow sur le circuit de Grindelwald en Suisse.
Caractéristiques techniques de la KTM X-Bow
Moteur4 cylindres en ligne Audi de 1 984 cm3 de cylindrĂ©e
Suralimentation par turbocompresseur avec Ă©changeur
Disposition centrale-arrière tranversale
Moteur semi-porteur intégré au châssis
Distribution2 arbres Ă  cames en tĂŞte (DOHC[Note 3])
4 soupapes par cylindre
RĂ©gime maximalRĂ©gime maximum : 6 500 tours par minute
PuissancePuissance maximale : 240 ch (177 kW) Ă  5 500 tours par minute
Puissance spĂ©cifique : 121 ch/l[Note 4]
CoupleCouple maxi : 310 N m (31,6 mkg) constant de 2 000 Ă  5 500 tours par minute

Couple spĂ©cifique : 156,2 N m/l[Note 5]

PoidsMasse Ă  sec annoncĂ©e par le constructeur : 790 kg
Masse maximum contrĂ´lĂ©e en ordre de marche : 933 kg[16]
Répartition avant/arrière 37 % / 63 %
Rapport Poids/PuissanceRapport poids/puissance en ordre de marche : 3,887 kg/ch[Note 6]
Transmission et
Boîte de vitesses
Propulsion
Boîte de vitesses mécanique à 6 rapports, à commande manuelle
Pont arrière à différentiel autobloquant
Aucun système électronique antipatinage ou de contrôle de trajectoire
ChâssisMonocoque en fibre de carbone
Longueur : 3 738 mm
Largeur : 1 915 mm
Hauteur : 1 202 mm
Empattement : 2 430 mm
Voie avant : 1 672 mm
Voie arrière : 1 626 mm
Hauteur du centre de gravitĂ© : 390 mm
Direction à crémaillère non-assistée
Diamètre de braquage : 10,80 m
FreinsSystème hydraulique assisté sans système d'antiblocage
Freins avant : disques Brembo en fonte d’acier de 305 mm de diamètre[9]
Freins arrière : disques Brembo en fonte d’acier de 262 mm de diamètre[9]
RouesPneumatiques avant : 205/45 ZR 17[16]
Pneumatiques arrière : 235/40 ZR 18[16].
RéservoirRéservoir en matériau composite
Capacité : 40 litres
Vitesse maximaleVitesse maximale annoncée : 217 km/h
Vitesse maximale mesurée sur circuit : 220 km/h[16]
Accélération0 à 100 km/h : 3 s 9
0 Ă  160 km/h : 11 s[16]
0 Ă  200 km/h : 21 s 2[16]
Reprises80 à 120 km/h en quatrième : 3 s 5[16]
80 à 120 km/h en cinquième : 4 s 5[16]
80 à 120 km/h en sixième : 6 s[16]
ConsommationMoyenne annoncĂ©e : 7,9 l/100 km
Consommation constatĂ©e en conduite sportive : 18,0 l/100 km[16]
Autonomie Ă  ce rythme : 200 km[Note 7]
Émissions de CO2 : 171 g/km

Notes et références

Notes

  1. En anglais : Race of Champions.
  2. Il s'agit des versions Street, Clubsport, Superlight, GT4 et ROC.
  3. De l'anglais : Double Overhead Camshaft.
  4. Calculée à partir de la cylindrée et de la puissance annoncée de 240 ch.
  5. CalculĂ© Ă  partir de la cylindrĂ©e et du couple annoncĂ© de 310 N m.
  6. CalculĂ© Ă  partir du poids contrĂ´lĂ© de 933 kg.
  7. Calculée à partir de la contenance du réservoir moins 10 % de réserve, soit 36 l.

Références

  1. (fr) Jean-François Destin, Motorlegend, « KTM X-Bow – Design extérieur et intérieur », (consulté le )
  2. (fr) Christophe Labedan et David Launay, Le blog auto.com, « Essai de la KTM X-Bow », (consulté le )
  3. (fr) Yves Bey-Rozet, essai de la KTM X-Bow dans Sport Auto, numéro 559, août 2008, page 59
  4. (fr) Jérôme Dobrovny, Autoblog.com, « KTM X-Bow : tout simplement fantastique », (consulté le )
  5. (fr) Yves Bey-Rozet, Julien Diez, Thibault Larue, Alain Pernot & Jean-Éric Raoul, rubrique « Un mois d'automobile » dans Sport Auto, numĂ©ro 549, octobre 2007, page 17
  6. (fr) Auteur anonyme, site officiel de KTM, « La première automobile de KTM » (consulté le ), date de mise en ligne inconnue
  7. (fr) Gabriel Lessard, L’automobile sportive, « KTM X-Bow : Guillaume Tell » (consulté le ), date de mise en ligne inconnue
  8. (fr) Yves Bey-Rozet, essai de la KTM X-Bow dans Sport Auto, numéro 559, août 2008, page 60
  9. (fr) Jean-François Destin, Motorlegend, « KTM X-Bow – Mécanique, châssis », (consulté le )
  10. (fr) Yves Bey-Rozet, essai de la KTM X-Bow, dossier « Coups de cĹ“ur 2009 Â» dans Sport Auto, numĂ©ro 564, janvier 2009, page 51
  11. (fr) Jean-François Destin, Motorlegend, « KTM X-Bow – Sur la route », (consulté le )
  12. (fr) Thierry Soave, dossier spécial « comparatif performances » dans Sport Auto, numéro 410, mars 1996, page 48
  13. (fr) Yves Bey-Rozet, essai de la KTM X-Bow dans Sport Auto, numéro 559, août 2008, page 63
  14. (en) Site officiel de la KTM X-Bow, « KTM-X-Bow Technical Data ». Date de mise en ligne inconnue, consulté le 16/05/2010
  15. (fr) Robert Puyal, « La vedette et la torpille Â», essai-match entre l'Ariel Atom 300 et la Rolls-Royce Phantom Drophead CoupĂ© dans Sport Auto, numĂ©ro 586, novembre 2010, page 74
  16. (fr) Auteur anonyme, Zeperfs.com, « KTM X-BOW 240 ch - Fiche technique & performances ». Date de mise en ligne inconnue, consulté le 16/04/2010
  17. (fr) Jean-François Destin, Motorlegend, « KTM X-Bow – Présentation », (consulté le )
  18. (fr) Sébastien Dupuis, L’automobile sportive, « Lotus Elise S1 120 ch : Light is right ! » (consulté le ), date de mise en ligne inconnue
  19. (fr) Jean-François Destin, Motorlegend, « KTM X-Bow – Notre avis », (consulté le )
  20. (fr) Yves Bey-Rozet, essai de la KTM X-Bow dans Sport Auto, numéro 559, août 2008, page 62
  21. (en) Jeremy Korzeniewski, Autoblog.com, « KTM X-Bow ROC unveiled », (consulté le )
  22. (en) Site officiel de la KTM X-Bow, « KTM-X-Bow Models ». Date de mise en ligne inconnue, consulté le 16/05/2010
  23. (en) Site officiel de la KTM X-Bow, « KTM X-Box - Model year 2011 ». Date de mise en ligne inconnue, consulté le 23/10/2010
  24. (fr) Jean-François Marchet, « KTM sort du tunnel Â», brève dans la rubrique « ActualitĂ©s Â» dans Motor Sport, numĂ©ro 36, septembre-octobre 2010, page 10
  25. Patrick Garcia, « Voici le KTM X-Bow GT4 Coupé », sur caradisiac.com, (consulté le )
  26. « KTM : le X-Bow GT4 Coupé se dévoile », sur turbo.fr, (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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