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Jaulzy

Jaulzy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Jaulzy
Jaulzy
L'ancienne halte de Jaulzy.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Yves Loubes
2020-2026

2020 Yves Loubes

Code postal 60350
Code commune 60324
Démographie
Gentilé Jaulziens, Jaulziennes
Population
municipale
873 hab. (2020 en diminution de 4,38 % par rapport à 2014)
Densité 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 44″ nord, 3° 03′ 48″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 152 m
Superficie 7,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-1
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Jaulzy
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Jaulzy
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Jaulzy
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Jaulzy
Liens
Site web https://www.jaulzy.fr/

    Géographie

    Localisation

    Jaulzy est un village agricole et forestier desservi par la RN 31, qui relie Rouen à Reims, situé à 18 km à l'est de Compiègne et à la même distance à l'ouest de Soissons, à 80 km au nord-est de Paris et à 52 km au sud de Saint-Quentin.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Jaulzy
    Couloisy Attichy Bitry
    Jaulzy Courtieux
    Croutoy Hautefontaine

    Hameux et écarts

    La commune comprend un hameau, Sailly, sur les pentes de la vallée de l'Aisne.

    Hydrographie

    Le territoire communal est limité au nord par le lit de l'Aisne, affluent de l'Oise et donc sous-affluent du fleuve la Seine.

    Le hameau de Sailly est drainé par un ruisseau qui se jette, via le ruisseau de Bournout, dans l'Aisne à Courtieux.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 755 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 47 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Jaulzy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,9 %), forêts (20,1 %), zones urbanisées (6,7 %), prairies (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), eaux continentales[Note 8] (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom du village, « Jaulzy » provient du nom latin « Jaziacum » dont la lettre « i » au fil des années est devenue un « y ».

    Histoire

    Par l'origine de son nom latin, nous pouvons en déduire que les origines du village remontent aux conquêtes romaines de la Gaule, au Ve siècle av. J.-C.

    Des sarcophages anciens ont d'ailleurs été découverts au lieu-dit La Croix-des-Ormeaux[21].

    En 486 ap. J.-C., avec les invasions barbares et la victoire de Clovis à Soissons, les Francs s'installent dans le village.

    Selon Émile Coët, « Il y avait autrefois un péage sur [le chemin de Compiègne à Soissons] ; Philippe le Bel accorda 200 livres de rente aux religieux du Mont St-Pierre, à toucher sur ce droit féodal. Il y avait aussi un relais de poste aux chevaux : de Compiègne à Soissons, il n'y avait qu'un péage pour la rivière d'Aisne, il était perçu à Jaulzy, au profit des ducs de Valois.
    Au mois de juin 1310, le roi donna à Gilles de Laon et à Oysile, sa femme, le péage de Jaulzy, estimé chaque année vingt livres parisis et quarante aissins[Note 9] d'avoine, à prendre sur plusieurs masures de Breuil, en dédommagement de certains lieùx qu'ils possédaient au Moncel et à Pont-Sainte-Maxence, qu'ils avaient échangés àvéç le roi
    [22] Â». Le conseil du Roi décida en 1771 la suppression de ce péage alors perçu par le Duc d'Orléans. ce qui semble-t-il n'eut pas d'effet car les péage étant encore perçu en 1789[23] - [24].

    Durant les Guerres de Religion, Jaulzy, comme les villages avoinants, subit des destructions, étant situés entre les places fortes de Soissons, aux mains des ligueurs, et Compiègne tenu parf les huguenots[25].

    Le château de Jaulzy a été détruit sous la Révolution française. A son emplacement a été construit sous le Premier empire un relais de poste permettant le relai des chevaux entre Compiègne et Soissons par le maître de poste Pierre Reculé[26].

    La commune de Jaulzy, instituée par la Révolution française, a été rattachée à celle de Courtieux de 1827 à 1832[24].

    Le village a été desservi par une gare de Jaulzy, sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons, qui est mise en service en 1881 entre Clermont et Soissons, facilitant le déplacement des habitants et le transport des marchandises.

    Première Guerre mondiale

    Le trafic ferroviaire est interrompu pendant la Première Guerre mondiale car la ligne est proche du front, mais reprend pour les besoins de l'armée en 1917, puis est restitué à l'exploitation civile après la guerre. Par contre, une voie ferrée de campagne, à voie étroite, est établie le long de l'Aisne[27]. Cette ligne a été maintenue en service pour les besoins civils et était encore en service fin 1919[28]

    Le village subit des destructions pendant la Guerre, notamment sur la RN 31[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [29].

    Seconde Guerre mondiale

    Le trafic ferroviaire cesse pour le transport des voyageurs en 1940 en raison de la baisse du trafic pendant l'entre deux guerres favorisé par le développement des transports routiers puis de la pénurie de carburant pour les autorails à partir du début de la Seconde Gierre mondiale. Quelques circulations de trains desservant la gare ont lieu à partir de 1942, et cessent à la Libération de la France.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise[30].

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Attichy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette organisation territoriale administrative a disparu, le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Compiègne-1[30]

    Pour les élections législatives, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Jaulzy est membre de la communauté de communes des Lisières de l'Oise[30], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 sous le nom de communauté de communes du Canton d'Attichy et qui succédait à un SIVOM créé en 1964 et qui regroupait déjà les communes de l'ancien canton d'Attichy.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1840[32] M. Baraquin Jardinier
    1888 Hyppolite Lefèvre[33] Républicain Election annulée fin 1888
    Les données manquantes sont à compléter.
    1974 1999 Jacques Cance[34] Avocat, commissaire aux comptes[35]
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001[36] 2020 Daniel Terrade Agriculteur retraité

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

    En 2020, la commune comptait 873 habitants[Note 10], en diminution de 4,38 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    272309335386580420403429438
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    417391336367324355346367364
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    353379389375413454429453483
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    516537491539732811936945909
    2014 2019 2020 - - - - - -
    913877873------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 435 hommes pour 455 femmes, soit un taux de 51,12 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2
    90 ou +
    0,7
    3,7
    75-89 ans
    4,2
    17,9
    60-74 ans
    19,6
    22,4
    45-59 ans
    20,5
    18,6
    30-44 ans
    16,3
    15,9
    15-29 ans
    16,5
    21,2
    0-14 ans
    22,1
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    La communauté de communes des Lisières de l'Oise a organisé avec la municipalité un spectacle Son et lumières en juin 2019 sur le thème « La Révolution à Jaulzy », avec la participation de plus de 350 bénévoles[42] - [43].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château de l'Ortois
    La piste cyclable sur la plate-forme de l'ancien chemin de fer.

    Jaulzy possède une église, l'église Saint Martin[44] - [45] qui a été reconstruite durant la période de la Renaissance, en 1551. Cette reconstruction a eu lieu après l'installation de la cloche fondue en 1541. Le monument résulte majoritairement de cette reconstruction, cependant le bras nord du transept, qui était à l'origine une chapelle, peut-être attribué au milieu du XIIIe siècle. Des traces de peinture datant de la même époque sont encore visibles. Parmi le mobilier de l'église, il faut noter le grand retable du maître-autel, daté de 1775 et d'un lutrin du XVIIIe siècle.
    Le chanoine Eugène Müller écrivait en 1904 « L'église de Jaulzy appartient au commencement du XIIIe siècle et au milieu du XVIe. « On remarque une croix fort ancienne dans le cimetière ». Le clocher renferme une cloche de Jacques, datée de 1541. Ce fondeur, auquel on doit aussi les cloches de Trumilly (1541) et de Pierrefonds (1374), employait, dit l'abbé Texier, « des ornements d'une très grande richesse. Les lettres sont grandes, saillantes, nettes, bien équarries et d'une forme très élégante[46] ».

    Des ruines d'un château sont visibles dans le village[47]. Le château d'Ortois aurait été construit vers 1550 par les seigneurs de Blérancourt, les de Lanvin. Cette construction remplaçait surement des vestiges plus anciens, tel que le prouve l’existence de caves datant du XIVe siècle. Le monument est détruit sous la Révolution française, seul subsistent les tourelles d'angles du parc en forme de cloche, dans la rue des Tournelles.
    Un remarquable édicule, baptisé temple, se trouve au centre[26].

    À l'emplacement du château, rue des Tournelles, se trouve l'ancien relais de poste datant du débit du XIXe siècle et constitué d'un long logis, sans étage, à toiture à croupes[26].

    Personnalités liées à la commune

    Abel Ferry, neveu de Jules Ferry, meurt à Jaulzy, sept jours en 1918 après avoir été blessé par un obus dans l'Aisne. Cet homme politique radical, député des Vosges, avait été un combattant acharné, membre du gouvernement en même temps que soldat au front[48].

    Emblème

    Emblème de Jaulzy

    L’emblème de Jaulzy, bien qu'en forme d'écu, est trop éloigné des règles héraldiques pour être envisagé comme un blason.
    L’emblème du village date de 1987. Il a été créé par Daniel Terrade, devenu maire à son tour en 2001 à la demande du maire de cette période, Jacques Cance. Plusieurs symboles y sont représentés[49] :

    • Une malle-poste est représentée en son centre, faisant référence au relais de poste du village, situé sur la route de Compiègne à Soissons ;
    • La fibule en forme d'oiseau évoque l'installation des Francs dans le village après la victoire de Clovis en 486 ;
    • Le V est l'initiale du lieu-dit Le Vallot, où la municipalité a achevé en 1984 la construction du centre du village ;
    • Les trois tours qui surplombent le blason évoquent la Renaissance, où l'église a été reconstruite en 1551 et les deux tourelles de l'ancien château de l’Ortois ;
    • sous ces trois tours se trouve le mot JAZIACUM, qui est l'ancien nom de la localité, et dont la partie finale IACUM s'est progressivement transformé en « Y ».

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. J. E. Mermet indique que les 40 aissins correspondaient à 32 hectolitres d'avoine.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Jaulzy et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Jaulzy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise : rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département, Paris, Imprimerie impériale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 213 p. (lire en ligne), p. 113, lire en ligne sur Gallica.
    22. Émile Coët, ouvrage cité en Bibliographie, p. 20.
    23. Edmond Bricelle, « Suppression du droit de pontenage à Soissons en 1789 », Bulletin de la Société archéologique, historique et scientifique de Soissons, 3e, t. XV,‎ , p. 19-23 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    24. J. E. Mermet, Essais historiques sur les cantons d'Attichy, Compiègne, Estrées Saint-Denis et Guiscard, Compiègne, impr. du "Progrès de l'Oise", , 318 p. (lire en ligne), p. 53-55, lire en ligne sur Gallica.
    25. Jacques Cance, « XVIe siècle : Les guerres de religions : Compiègne et Soissons » [PDF], Historique, sur http://www.jaulzy.fr, (consulté le ).
    26. Jacques Cance, « Le fief de jaulzy et le XVIe siècle » [PDF], Historique, sur http://www.jaulzy.fr (consulté le ).
    27. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    28. « Les transports dans les régions libérées : Le Servioe de la « voie de 0,60 », Bulletin des régions libérées, no 19,‎ , p. 145-150, et notamment p. 147 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    29. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
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    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    Voir aussi

    Bibliographie

    • Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l’arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 20, lire en ligne sur Gallica.

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Jaulzy », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 33 NO, Soissons [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
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