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Croutoy

Croutoy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Croutoy
Croutoy
L'église Notre-Dame et son cimetière fortifié
(XVIe siècle).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Guillain de France
2020-2026
Code postal 60350
Code commune 60184
Démographie
Gentilé Croutoyens, Croutoyennes
Population
municipale
207 hab. (2020 en diminution de 2,82 % par rapport à 2014)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 23′ 13″ nord, 3° 02′ 33″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 146 m
Superficie 3,27 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives 5e circonscription de l'Oise
Localisation
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Croutoy
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Croutoy
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Croutoy

    Géographie

    Localisation

    Ambiance du village : l'église sur le plateau.

    Croutoy est un village rural du Soissonnais situé à l'est de la forêt de Compiègne, entre Pierrefonds au sud-ouest et Attichy au nord, à 16 km à l'ouest de Compiègne, 21 km à l'ouest de Soissons et à 49 km au nord de Meaux. Il est situé sur le rebord du plateau qui surplombe la vallée de l'Aisne.

    Il est aisément accessible par la Route nationale 31.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 748 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 48 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Croutoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,1 %), forêts (28,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Croutoy compte un hameau, Martimont, au sud du territoire communal.

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 107, alors qu'il était de 104 en 2013 et de 100 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 82,9 % étaient des résidences principales, 7 % des résidences secondaires et 10 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Croutoy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (76,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Croutoy en 2018.
    Typologie Croutoy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 82,9 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 10 7,1 8,2

    Histoire

    Moyen-Âge

    Croutoy appartient au IXe siècle à l'abbaye Saint-Etienne de Choisy-au-Bac[21].

    Le hameau de Martinont est une ancienne seigneurie qui a été aussi importante que la villa royale de Cuise-la-Motte. Il est réuni au domaine royal et donné en garde à des chevaliers, qui prennent le nom de Martimont. Ce fief comprenait les terres de Courtieux et de Jaulzy et dépendait des châtelains de Pierrefonds et est ruiné dans lors de guerres ; l'église de Martinont est détruite en 1740, après sa réunion à la paroisse de Croutoy[21].

    Première Guerre mondiale

    Le terrain d'aviation de Croutoy – Hautefontaine est aménagé lors de la première Guerre mondiale par l'armée française[22].

    Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [23].

    Seconde Guerre mondiale

    Lors de la bataille de France, pour ralentir l'avancée allemande, le Génie français détruit partiellement le pont d'Attichy le et l'armée ordonne l'évacuation du village le même jour. Les jours suivants, les militaires prenaient possession des lieux. Le château devient l'état-major du 237e RI puis du 1er Bataillon du 170e RI. Le 8 juin, Croutoy est transformé en point d'appui par les troupes en repli et se trouve encerclé[24]

    Le , après un bombardement aérien allemand puis des combats de rue acharnés, 22 soldats français sont tués près de l'église, dont 10 brancardiers. Le 25 juin, lorsque la population revient dans le village, vingt-cinq maisons sont détruites. Néanmoins, Croutoy devient un cantonnement de la Wehrmacht et de la Luftwaffe[25] - [24].

    L'aérodrome, en travaux, n'est pas utilisé par l'armée française pendant la Bataille de France. En 1943, il est répertorié en octobre 1943 par la Luftwaffe comme « Platz Kommando Haute Fontaine » et comprend deux aires de dispersion, avec au total 13 abris avions et 6 en construction en 1944[22]. Lors du Débarquement de Normandie, le terrain d'aviation de Croutoy est réactivé par la Luftwaffe et bombardé par les avions alliés[24].

    Le village est libéré le par la 1re Armée américaine à la poursuite des Allemands en retraite[24].

    A la Libération, le terrain est transformé par le Continental Central Prisoners of War Enclosure (CCPWE) en camp de prisonniers allemands, le plus important de France, puisqu'il a atteint 10 000 internés. Ce camp a fermé en 1947 et le terrain rendu à l'agriculture[22] - [24].

    Le premier plan de reconstruction du village est réalisé par l'architecte-urbaniste M. Le Caisne, architecte-urbaniste en juillet 1943, mais les travaux ne commencent que le pour s'achever le , jour de la cérémonie dite de la résurrection de Croutoy[24].

    Le village a été cité à l'ordre de la brigade : « Localité dont toutes les habitations ont été sinistrées et dont la population a fait preuve de courage dans l'épreuve et dans la lutte contre l'ennemi.
    Déjà citée au titre de la guerre 1914-1918
    » et décoré de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze[24].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1950[24] M. de France Général
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 18 juin 2012[26] Bernard Charlet Décédé en fonction
    septembre 2012 2014 Alain Charpentier Cadre commercial
    2014[27] mai 2020 Axell de Bruyn agriculteur
    mai 2020[28] En cours
    (au 2 décembre 2021)
    Guillain de France

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 207 habitants[Note 8], en diminution de 2,82 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    182178233211410239234229222
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    219214204199198201193192183
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    178169224171179177200143191
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    168165150163161173233236219
    2015 2020 - - - - - - -
    212207-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 31,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 103 hommes pour 104 femmes, soit un taux de 50,24 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,0
    90 ou +
    1,0
    5,8
    75-89 ans
    5,8
    11,7
    60-74 ans
    15,4
    30,1
    45-59 ans
    28,8
    17,5
    30-44 ans
    19,2
    21,4
    15-29 ans
    12,5
    12,6
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    • La fête de la pomme, organisée par l'association les Corneilles et le comité des fêtes. Sa 25e édition a eu lieu en 2008[35]

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église classée monument historique (MH) en 1920[36], au milieu d'un des rares cimetières fortifiés conservés dans l'Oise, datant du XVIe siècle, avec une échauguette qui protège l'angle du mur d'enceinte percé de trous d'arquebuse. Une tourelle à coupole située à l'autre extrémité fait de même du côté des champs.
      Elle a été sérieusement endommagée en 1940.
      À l’intérieur, fonts baptismaux en pierre (XIIIe siècle), Vierge à l’enfant en marbre (fin XIVe siècle), aigle lutrin en bois sculpté[37].
      • Vitraux de l’église : exécutés par Jean-Jacques Grüber, maître verrier, villa d'Alésia à Paris et posés en 1952, ils ont été réalisés grâce aux dons des habitants de Croutoy et des anciens du 170e RI.
      • ChÅ“ur : à gauche, Noël, Marie et Jésus avec deux femmes ; au centre, couronnement de Notre-Dame par son fils ; à droite, Marie avec l’ange Gabriel (Ave Maria).
      • Chapelle de gauche : on retrouve les hirondelles, symbole du 170e régiment d’infanterie.
    • L'église fortifiée du Croutoy
    • Tourelle en encorbellement de l’église
      Tourelle en encorbellement de l’église
    • La Ferme, à pignon à pas de moineau, dont le mur d'enceinte est percé d'un porche en plein cintre, encadré de pilastres à bossages et de vestiges de bas-reliefs : à droite, au-dessus d'une embrasure, un heaume et deux rameaux, le tout surmonté d'un fronton triangulaire ; à gauche, une date difficilement lisible, entourée d'un cartouche ovale, et un visage estompé[25].
    • L'arbre de la Liberté, un marronier planté, dit-on, le 14 juillet 1790, lors de la Fête de la Fédération[25].
    • Circuit pédestre (balisage jaune et marron) des deux côtés des douves du château, long d'environ 3,5 kilomètres et sans difficulté particulière[38].

    Croutoy dans les arts et la culture

    Une toile d'Edmond Daynes représentant l'église est conservée au musée Antoine-Vivenel de Compiègne.

    Héraldique

    Blason de Croutoy Blason
    Écartelé :
    au 1) contre écartelé au I et au IV d’azur à la fleur de lys d’or, au II et III de gueules à la tour d’or coulissée, ajourée et maçonnée de sable,
    au 2) d’azur à la croix tréflée d’or accostée de deux crosses abbatiales affrontées du même,
    au 3) fascé d’argent et d’azur, les fasces d’argent chargées de six fleurs de lys de gueules ordonnées 3.2.1
    au 4) de gueules à la lance de tournoi d’or au guidon d’argent chargé d’une aigle de sable, adextrée en pointe d’une fleurs de lys aussi d’or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Croutoy », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Croutoy et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Croutoy et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 17-18, sur Gallica.
    22. Jacques Calcine, « Croutoy – Hautefontaine », Atlas France, sur https://www.anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
    23. Journal officiel du 24 février 2021, p. 2475.
    24. Jean-Yves Bonnard, Les communes décorées de l'Oise : Croix de guerre 39/45, ONAC, coll. « Les sentiers de l'histoire », , 90 p. (ISBN 978-2-11-151411-9, lire en ligne [PDF]), p. 40-41.
    25. Pascal Corpart, « Une heure trente autour de Croutoy : Profitez du soleil annoncé pour une promenade essentiellement champêtre autour de Croutoy, dont vous pourrez découvrir le riche passé. Eglise et ferme fortifiées, château du XVIIe siècle et arbre de la Liberté vous y aideront », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Le maire, Bernard Charlet, est décédé », sur Le Parisien, (consulté le ).
    27. « Croutoy », Cartes de France (consulté le ).
    28. A.C., « Lisières de l'Oise : les nouveaux maires et ceux attendus », Oise Hebdo, no 1369,‎ , p. 18 (ISSN 1774-6418).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Croutoy (60184) », (consulté le ).
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
    35. « A Croutoy, on fête la pomme depuis vingt-cinq ans », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    36. « la plateforme ouverte du patrimoine », sur Ministère de la culture (consulté le )
    37. Dominique Vermand, « Croutoy, église Saint-Martin : Diocèse : Soissons », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
    38. « Le village de Croutoy , dominant la… », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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