Blérancourt
Blérancourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Blérancourt | |||||
Chùteau de Blérancourt. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Aisne | ||||
Arrondissement | Laon | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Picardie des Chùteaux | ||||
Maire Mandat |
Patrick Laplace 2020-2026 |
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Code postal | 02300 | ||||
Code commune | 02093 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Blérancourtois(es) | ||||
Population municipale |
1 306 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 121 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 31âČ 01âł nord, 3° 09âČ 05âł est | ||||
Altitude | Min. 53 m Max. 159 m |
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Superficie | 10,8 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Vic-sur-Aisne | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Aisne
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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GĂ©ographie
Localisation
Blérancourt est un bourg situé au croisement de la route départementale D 934, entre Noyon (au nord-ouest) et Coucy-le-Chùteau-Auffrique (à l'est), avec la route départementale D 6 menant à Soissons (au sud-est).
Communes limitrophes
Besmé | Saint-Paul-aux-Bois | |||
Camelin | N | Saint-Aubin | ||
O Blérancourt E | ||||
S | ||||
Nampcel | Audignicourt |
- Venant de Coucy, la D 934 tourne Ă droite en plein centre-ville.
- Une rue du village.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[7] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 724,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933 et Ă 33 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Blérancourt est une commune rurale[Note 6] - [14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (57,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (58,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (44,7 %), forĂȘts (34 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12 %), zones urbanisĂ©es (8,5 %), prairies (0,7 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Histoire
La terre de BlĂ©rancourt reste aux sires de Coucy jusqu'en 1230, pour passer ensuite aux mains de la famille de Fontaine. Bernard Potier de Gesvres, l'un des principaux propriĂ©taires de Normandie par son mariage avec Charlotte de Vieux-Pont, en 1600, a une grande influence sur le dĂ©veloppement et la prospĂ©ritĂ© de BlĂ©rancourt. Il emploie son immense fortune Ă l'embellissement du bourg, au soulagement des misĂšres, Ă la fondation d'Ćuvres charitables. Ce personnage prestigieux, apprĂ©ciĂ© par Henri IV et Marie de MĂ©dicis, fait Ă©riger le chĂąteau oĂč il attire savants et artistes. Gouverneur de FougĂšres, de Langres, grand bailli de Coucy, il fait construire une halle, un pressoir, des boutiques, crĂ©e un couvent des Feuillants et un hospice pour orphelins. Le chĂąteau, mis Ă sac par les Espagnols, est achetĂ© en 1793 par les « Bandes noires », pour ĂȘtre dĂ©mantelĂ©.
Vers 1750, Jean-JérÎme-Joseph Grenet de Marquette, seigneur de Marquette-en-Ostrevant, est le fils de JérÎme-Joseph Grenet de Marquette, chevalier, conseiller de la ville de Lille, subdélégué de l'Intendant à Cambrai, anobli en 1743, substitut du procureur du roi, et de Mademoiselle de Hoves. Jean-JérÎme -Joseph devient conseiller-pensionnaire (conseiller juridique) de Lille. Il achÚte les terres de Wasmes et de Blérancourt et meurt le . Il épouse en 1744 Antoinette-Joseph-ThérÚse Aulent, fille de Pierre-Alexandre, seigneur de la Longuerie, et conseiller de la gouvernances, et de demoiselle Chauwin[21].
JĂ©rĂŽme-Joseph Grenet de Marquette, fils de Jean-JĂ©rĂŽme-Joseph, est marquis de BlĂ©rancourt, seigneur de Marquette. Il Ă©pouse le Ă Paris, Alexandrine-Joseph de Chabenat de Bonneuil, fille d'AndrĂ©-Charles-Louis, prĂ©sident de la deuxiĂšme chambre des enquĂȘtes au Parlement de Paris. Alexandrine-Joseph meurt Ă Paris le . Son mari Ă©pouse le (une semaine plus tard) Marie-Albertine Imbert de la Basecque[21].
Julien Grenet (1786-1839), marquis de BlĂ©rancourt, fils de JĂ©rĂŽme-Joseph, nait le et meurt le . Il Ă©pouse Anne-Bernardine de GuĂ©roult de Boisclaireau, morte Ă Saint-Germain, le , sans enfants. Pauline Grenet de BlĂ©rancourt, sĆur de Julien, nĂ©e en 1790 Ă©pouse le marquis de Saint-ĂxupĂ©ry[21].
Parmi les grandes figures de Blérancourt, il faut également citer celle de Louis Antoine de Saint-Just, qui est désigné en 1790 comme électeur départemental pour le canton. Il est présent à l'assemblée lorsque est choisi le chef-lieu du département de l'Aisne. Partisan de Soissons, il doit s'incliner devant la majorité qui vota pour Laon. Député puis président de la Convention, il monte sur l'échafaud le (10 thermidor an II), en compagnie de Robespierre, qui l'entraßne dans sa chute.
En 1917, Anne Morgan et Anne Murray Dike vinrent s'installer au chùteau, qui leur avait été assigné comme quartier général, pour soulager la population des misÚres de l'occupation ennemie.
En 1968, Blérancourt absorbe la commune voisine de Blérancourdelle.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Blérancourt est membre de la communauté de communes Picardie des Chùteaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Pinon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[22].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[23]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[23], et de la quatriÚme circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].
Administration municipale
Gaston Dessoubrie a parrainé la candidature de Raymond Barre aux élections présidentielles de 1988.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[31].
En 2020, la commune comptait 1 306 habitants[Note 7], en augmentation de 6,09 % par rapport Ă 2014 (Aisne : â1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Entreprises
- L'Atelier des Coteaux[34], entreprise de restauration d'automobiles anciennes, notamment de marque Jaguar.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Pierre-Ăšs-Liens[35], dont le portail est dĂ©corĂ© de chaque cĂŽtĂ© par la sculpture d'un chevalier en armure, est classĂ©e aux monuments historiques depuis 1921. Vitraux de 1926 par Louis Mazetier et vitraux contemporains par Alain Mongrenier et Fleur Nabert.
- Chùteau (ancien chùteau des ducs de Gesvres), au sein duquel se situe le Musée national de la coopération franco-américaine et les jardins du Nouveau-Monde. Construit à partir de 1612 en pierre de taille et entouré de fossé, il fut déclaré comme bien national sous la Révolution, puis fut fortement endommagé pendant la PremiÚre Guerre mondiale. à la fin de celle-ci, il abrita le quartier général pour l'organisation de secours portés aux civils puis fut transformé dans l'entre-deux-guerres en musée. L'édifice a été classé monument historique en cinq tranches entre 1925 et 2002.
- Maison de Saint-Just (Maison du conventionnel Saint-Just) située 2 rue de la Chouette et dont la façade et les toitures sont classées au titre des Monuments historiques depuis 1987. La famille du futur révolutionnaire montagnard s'y est installée en 1776.
- Ancien couvent des Feuillants, dont la porte monumentale est classée depuis 1928.
- HÎtel de Fourcroy, ancienne propriété de Bernard Potier et de son épouse Charlotte de Vieuxpont, devenu en 1661 une Fondation pour l'éducation des orphelins de la région, classé depuis 1927.
Personnalités liées à la commune
- Louis Antoine de Saint-Just, révolutionnaire français (théoricien de la Terreur), fréquente l'école du village (1776-1779).
- Paul Sézille (né en 1879 à Blérancourt - 1944), collaborateur français et propagandiste antisémite durant l'Occupation, secrétaire général de l'Institut d'étude des questions juives, officine financée par les nazis.
- Claude-Nicolas Le Cat (1700-1768) : chirurgien, y est né.
- Bernard Quilliet, historien : son livre de souvenirs familiaux Un goût de pierre à fusil[36] a principalement pour cadre "Blavincourt" pendant la PremiÚre guerre mondiale, bourg fictif qui est en réalité Blérancourt, berceau de sa famille paternelle.
HĂ©raldique
Blason | D'azur à trois mains dextres appaumées d'or, au franc-quartier échiqueté d'argent et d'azur de quatre tires brochant[37].
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Détails | Selon l'Armorial de France, le blason ne comporte que deux mains : celles de deux frÚres morts au service du Roi. Blason adopté par la municipalité. |
Voir aussi
Bibliographie
- Dessin, Charles. Le bourg de Blérancourt : ses environs, son histoire, ses monuments. Saint-Quentin, s.n., 1926.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Blérancourt sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Blérancourt et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Blérancourt et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le )
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- ĂlĂ©onore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la gĂ©nĂ©ralitĂ© de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 83-85.
- « communauté de communes Picardie des Chùteaux - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Blérancourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1878, p241.
- Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1879, p223.
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
- « Patrick Laplace est reconduit Ă la tĂȘte de la commune de BlĂ©rancourt », L'Aisne nouvelle,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « L'Ă©lection du maire et des adjoints a eu lieu le 28 mai ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Atelier des Coteaux
- Notice no PA00115538.
- Bernard Quilliet, Un goût de pierre à fusil, , 355 p. (ISBN 978-2856163016, présentation en ligne)
- « 02093 Blérancourt (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).