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Ignaucourt

Ignaucourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Ignaucourt
Ignaucourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Montdidier
Intercommunalité CC Avre Luce Noye
Maire
Mandat
Pascal Berthe
2020-2026
Code postal 80800
Code commune 80449
Démographie
Gentilé Ignaucourtois
Population
municipale
65 hab. (2020 en diminution de 22,62 % par rapport à 2014)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 49′ 36″ nord, 2° 34′ 28″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 99 m
Superficie 4,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moreuil
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Ignaucourt

    Géographie

    À dix kilomètres de Moreuil, vingt-trois de Montdidier et vingt-quatre d'Amiens, le village est situé dans la vallée de la Luce, à deux kilomètres de la source.

    Localisation

    Sol, sous-sol, relief

    Dans la vallée de la Luce, le sol est tourbeux. La faible quantité de tourbe n'a pas vraiment permis son exploitation. Sur le plateau, le limon éolien datant de l'Éocène domine tandis que dans les vallées du Blamont et des Berlandins, la craie marneuse affleure au-dessus de la craie blanche et du calcaire à silex[1].

    Hydrographie

    La commune est limitée au nord par la Luce, affluent droit de l'Avre, donc un sous-affluent de la Somme.

    La rivière Margot prend ici sa source dans les prés du château et va rejoindre la Luce à Démuin[1].

    Une nappe phréatique, située en 1899 entre 5 et 25 m de profondeur, alimentait à l'époque les puits communaux[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Ignaucourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), zones urbanisées (0,6 %), forêts (0,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Iwencourt en 1225 (Geoffroy, évêque d’Amiens, Cartulaire de Fouilloy); Ynocourt en 1235; Ynaucort, 1261. (Cart. de Fouilloy); Ynaucourt en 1266 (Accord entre la commune et l’abbaye de Corbie); Inaucort en 1281 (Official d’Amiens. Cart. de Fouilloy); Ignaucourt en 1482. (Dénombrement de la terre de Démuin, M. de Beauvillé); Ignocourt en 1584 (Epitaphe); Inaucourt en 1579 (Ortelius); Inancourt en 1638 (Tassin); Yancourt / Ygnancourt en 1648. (Pouillé); Ignocourt en 1696. (Etat des armoiries); Ignacour en 1710 (De Fer.); Ignancourt en 1836 (Etat-major); Ygnaucourt, sans date (Ordo.)[9].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -court au sens ancien de « cour de ferme > ferme > domaine rural > village ». Cet appellatif est issu du bas latin curtis ou plutôt du gallo-roman *CORTE (> ancien français cort, curt > français cour), qui désigne enclos autour d'une habitation, une cour de ferme, une ferme, un domaine rural[10] - [11] et qui a été utilisé par les Germains, notamment les Francs, à l'époque de leur installation en Gaule antérieurement à -ville. Il témoigne effectivement d'un processus de romanisation, puisqu'il traduit le germanique hof, -en (autrement graphié -hov, -en) « cour, cour de ferme, ferme » (voir Bettencourt / Bettenhoven).

    Le premier élément Ignau- représente sans doute un anthroponyme germanique selon le cas général[11] - [12].

    Albert Dauzat hésite à reconnaître le nom de personne roman d'origine germanique Isnel (donné sous sa forme latinisée Isnellus par Marie-Thérèse Morlet) qu'il identifie dans Isneauville (Seine-Maritime,Isnelvilla 1145)[13], hypothèse reprise par François de Beaurepaire qui ajoute Igneauville ((Seine-Maritime, [H]isnelvilla vers 1040)[14]. Cependant, ni l'un, ni l'autre ne cite de formes anciennes, signe qu'ils n'en connaissent pas, or elles sont incompatibles avec cette explication, en outre, Isnel[lus] ne semble pas attesté ailleurs qu'en Normandie et comme adjectif isnel « rapide », tout comme dans les textes normands ou anglo-normands, ce qui exclut une origine franque, mais bien plutôt anglo-saxonne ou anglo-scandinave cf. vieil anglais snell « rapide »[15].

    C'est pourquoi Ernest Nègre écarte cette explication et propose d’identifier dans Ignau- le nom de personne germanique *Ivonus, non attesté, mais connu par la forme Ivona citée par Marie-Thérèse Morlet[12]. En réalité, il s'agit plus précisément du cas régime d’Ivo qui a donné Yvon, alors que le cas sujet a donné Yves, les noms de personnes inclus dans les toponymes en -court étant au cas régime pour l'essentiel.

    Histoire

    • En 1636, durant la guerre de Trente Ans, les Espagnols mettent à feu le village et ravagent l'église. Happeglène est alors détruit et probablement la chapelle Saint-Claude[1].
    • En 1690, le village a déjà son école[1].
    • Avant sa canalisation, la Luce actionnait un moulin à wade, à l'entrée du marais[1].
    • À la fin de l'épopée napoléonienne, en 1814 et 1815, les Cosaques occupent Ignaucourt[1].
    • Le village est concerné par la guerre franco-allemande de 1870. Lors de la bataille de Villers-Bretonneux, les Allemands sont présents dans la commune. La « contribution » locale se monte à 23 000 F[1].
    Première Guerre mondiale.

    Le village perdra trois de ses enfants pendant la Première Guerre mondiale. Leur nom figure sur une plaque commémorative dans la mairie.

    À la fin de la guerre, le village, considéré comme totalement détruit[16], a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [17].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

    Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[18], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.

    Intercommunalité

    La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

    Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[19], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[20] - [21]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[22] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [23] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [24], qui prend effet le .

    La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[25]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    en cours en 1914 Albert Paul Amédée Cailleux[Note 3] Médecin
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? Louis Dumont DVD
    mars 2001 mai 2020 Alain Leclercq[26] - [27]
    mai 2020[28] En cours
    (au 26 mai 2020)
    Pascal Berthe

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 65 habitants[Note 4], en diminution de 22,62 % par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    197220207199201223207222220
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    222223227215218214204214191
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    171144114911149710010897
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    827981646382807791
    2015 2020 - - - - - - -
    8065-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 1710, on compte 30 feux à Ignaucourt.

    Enseignement

    Le village fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend les écoles de Thennes, Domart-sur-la-Luce et Berteaucourt-lès-Thennes. Les villages associés de Hangard et Aubercourt ne disposent pas de classe sur leur territoire.

    Le regroupement est géré par un syndicat intercommunal scolaire dont le siège est situé à Démuin.

    Une garderie à Domart-sur-la-Luce accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[32].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Quentin[33], datée des XVIe siècle et XVIIe siècle, le clocher primitif était une tour carrée en bois.
    Elle est reconstruite après la Première Guerre mondiale en briques et béton, et contient un buste-reliquaire de saint Quentin en bois taillé et peint du début du XIXe siècle, comprenant des parties plus anciennes pouvant dater du XVIe siècle[34].
    • Château d'Ignaucourt du XVIIIe siècle. Vestiges d'un château du XIIIe siècle.
    • Chapelle seigneuriale d'Happeglenne (ou Happeglène), dépendant d'un ancien château ayant appartenu à la famille d'Aguesseau et détruit vers 1860 ;
    • Manoir de Camp-Vermont, XVIe siècle, appartint jusqu'à la Révolution à la famille de Béthisy[35] ;
    • Chapelle Notre-Dame-de-Liesse, dressée en 1741, après l'incendie d'une ferme[36].
    • Vue de l'église avant sa destruction lors de la Première Guerre mondiale.
      Vue de l'église avant sa destruction lors de la Première Guerre mondiale.
    • La nouvelle église Saint-Quentin.
      La nouvelle église Saint-Quentin.
    • Château d'Happeglène.
      Château d'Happeglène.

    Personnalités liées à la commune

    Paul Gillon (Paris, 1926- Amiens, 2011), dessinateur et scénariste de bandes dessinées, a vécu à Ignaucourt[37].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Albert Paul Amédée Cailleux (1874-1920).
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. M. Moitié, Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur d'Ignaucourt, 1898, Archives départementales de la Somme, Amiens, Lire en ligne
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, T. 1, Paris / Amiens, 1867 - 1878, p. 498 (lire en ligne sur DicoTopo
    10. Quicherat 1867, p. 54
    11. Charles Rostaing, Les Noms de lieux, Presses universitaires de France, coll. Que sais-je ?, 1985 (1re édition 1945), p. 71.
    12. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes, Genève, libr. Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5), p. 897 (lire en ligne sur Google Books)
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, , p. 359a
    14. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard 1979, p. 97 - 98.
    15. Guy Chartier, « Les noms de personne scandinaves dans les chartes des ducs de Normandie entre 911 et 1066 » in Nouvelle revue d'onomastique, Année 1995, 25-26, p. 148 (lire en ligne sur Persée)
    16. Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
    17. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    20. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    21. Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
    22. Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
    23. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
    24. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
    25. « Les maires de Ignaucourt », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    26. Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    28. « Six hommes et une femme composent l’équipe municipale d’Ignaucourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « v ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. Sur le site de la mairie de Thennes.
    33. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Ignaucourt, d'après nature, 1877. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    34. « Le buste-reliquaire de saint Quentin », notice no PM80001570, base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. Philippe Seydoux, Gentilhommières en Picardie, tome 1er, Amiénois et Santerre, Paris, Editions de La Morander, (ISBN 2-902091-32-X), p. 223 & 229
    36. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 215 p., p. 212 (ASIN B000WR15W8).
    37. Fred Haslin, « Derniers souvenirs de Paul Gillon », Le Courrier picard - Bulles picardes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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