Hangard
Hangard est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Hangard | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Montdidier | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Avre Luce Noye | ||||
Maire Mandat |
Olivier Dutilleux 2020-2026 |
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Code postal | 80110 | ||||
Code commune | 80414 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
122 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 19 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 49′ 25″ nord, 2° 30′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 35 m Max. 102 m |
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Superficie | 6,34 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Moreuil | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
Situé à une dizaine de kilomètres au sud-est d'Amiens, le village est accessible, au niveau routier par l'axe Amiens - Saint-Quentin ou par l'axe Amiens - Noyon.
Localisation
Cachy | Villers-Bretonneux | |||
Domart-sur-la-Luce | N | Démuin | ||
O Hangard E | ||||
S | ||||
Domart-sur-la-Luce | Domart-sur-la-Luce |
Urbanisme
Typologie
Hangard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5] - [6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,2 %), forêts (23,3 %), zones urbanisées (4,5 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Le Dictionnaire topographique du département de la Somme indique comme formes anciennes du nom du village, d'après des documents historiques, Hangart (mentionné à plusieurs reprises, dès 1135), Hangardum (mentionné en 1146), et Hangard (depuis 1507) ; y figurent aussi les graphies alternatives Hangar, Hanguart et Angart[9].
Du vieux-francique *haimgard (« clôture autour de la maison »), composé de *haim (« hameau ») et de *gard (« jardin, enclos »).
Histoire
- Préhistoire - Antiquité
Des armes, des pierres travaillées ont été trouvées sur son territoire, des silex taillées polis, les uns en forme de couteau, de racloir et d'autres en forme de hache[10].
Un dolmen, aujourd'hui disparu dans les marais d'Hourges, est descendu par le simple effort de son poids à 0,80 m au-dessous de la surface du sol. Il se compose de deux grès de 1,50 m de long, et de deux autres de 0,80 m, ils sont placés à angle droit, les uns à côté des autres, de manière à former un rectangle orienté du nord au sud, la table en a disparu depuis longtemps[10].
Des fouilles faites en 1890 par maître Perin, notaire, n'ont rien mis au jour.
- Moyen Âge
En 1362, des vignes sont mentionnées dans un dénombrement du fief que tenait madame Jehanne de Rivery (extrait châtellenie de Boves).
Quelques seigneurs du village :
- Bernard de Hangard 1146 ;
- Jehan de Hangard 1219 ;
- Henri de Hangard 1248 ;
- Drieu de Hangard 1337 ;
- Jean de Hangard 1350 ;
- Jean de Hangard 1380 ;
- fils Gilles de Hangard 1437 ;
- Jacques de Hangard 1473.
- Temps modernes
- Charles de Monthomer de Marieux vers 1685 ;
- Pierre d'Incourt de Hangard 1703 ;
- Pierre-François d'Incourt de Hangard 1736, maire d'Amiens 1757-1760 ;
- Pierre-Antoine d'Incourt de Hangard de 1760 jusqu'à la fin du droit féodal en 1789.
Pierre-François d'Incourt seigneur de Hangard (c.1725-1760), fut maïeur (maire) d'Amiens entre 1757 et sa mort survenue en 1760 (voir la liste des anciens maïeurs d'Amiens).
-En 1829 un violent incendie ravage Hangard, 7 députés de la Somme écrivent au roi Charles X qui le 30/4/1829 donne 400 frs a partager entre les victimes du sinistre
- Première Guerre mondiale
Le village se trouve dans la zone des combats ou de leurs arrières, pendant la Première Guerre mondiale.
La commune est notamment concernée par l'offensive du printemps[11] - [12] - [13] qui se déroule du au .
Le , l'évacuation du village est organisée par M. Farcy instituteur-secrétaire de la mairie de Hangard. Seul Timothée Gaby resta avec son épouse jusqu'au dimanche au soir dans sa maison.
En , on assiste à la destruction totale du village[14]. Démuin, Moreuil, Marcelcave et Hangard sont jusqu'à cette date l'objet de combats acharnés, ces villages marquent la ligne du front atteint par l'ennemi. Le , on se bat à l'arme blanche dans les rues de Hangard.
Du au jour de l'évacuation, M. Farcy a consigné dans son journal « de guerre », noté jour par jour, que la commune a logé 102 000 hommes de troupe, 3 000 officiers, 40 000 chevaux.
Un don de la ville de Tanger (Maroc) permettra la reconstruction du village.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Moreuil[15], qui a été modifié et agrandi dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France.
Intercommunalité
La commune était membre de la communauté de communes du canton de Moreuil, créée par un arrêté préfectoral du et renommée communauté de communes Avre Luce Moreuil (CCALM) par arrêté préfectoral du .
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) prévoyant la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.
Après des hypothèses de regroupement des communautés de communes du Grand Roye (CCGR), du canton de Montdidier (CCCM), du Santerre et d’Avre, Luce et Moreuil[16], la préfète dévoile en son projet qui prévoit la « des communautés de communes d’Avre Luce Moreuil et du Val de Noye », le nouvel ensemble de 22 440 habitants regroupant 49 communes[17] - [18]. À la suite de l'avis favorable des intercommunalités[19] et de la commission départementale de coopération intercommunale en [20] puis des conseils municipaux et communautaires concernés, la fusion est établie par un arrêté préfectoral du [21], qui prend effet le .
La commune est donc désormais membre de la communauté de communes Avre Luce Noye (CCALN).
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2020, la commune comptait 122 habitants[Note 3], en stagnation par rapport à 2014 (Somme : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
L'école du village fait partie du regroupement pédagogique intercommunal de la Luce qui comprend les écoles de Démuin, Thennes, Domart-sur-la-Luce et Berteaucourt-lès-Thennes. Les villages associés d'Ignaucourt, Aubercourt et Cayeux-en-Santerre ne disposent pas de classe sur leur territoire.
Le regroupement est géré par un syndicat intercommunal scolaire (SISCO) dont le siège est situé à Démuin.
Une garderie à Berteaucourt-lès-Thennes accueille les écoliers des sept villages constituant le RPI[29].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin[30].
- L'église est placée sous le vocable de saint Martin.
- Elle fut construite en 1523. Sous le clocher est la pierre tombale de Claire de Frucourt, femme de Jacques de Roye, seigneur de Hangard, morte le . C'est elle qui aurait fait construire l'église. En 1612, celle-ci compte deux cloches qui furent remplacées par quatre autres cloches en 1786 puis une cloche qui a été bénite en 1839.
- Restaurée après les destructions de la Première Guerre mondiale, elle comprend des vitraux conçus et réalisés en 1926 par Jean Hébert-Stevens, Pauline Peugniez et André Rinuy[31] - [32] - [33] - [34] - [35] - [36] - [37] - [38].
Héraldique
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Les armes de la commune se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
- Charles Boudoux d'Hautefeuille, originaire du village et dont la famille habitait le château de Hangard, as de l'aviation française pendant la Première Guerre mondiale, mort en combat aérien en 1918. Chevalier de la Légion d'Honneur[39], Médaille militaire, Croix de guerre 1914-1918 avec 7 palmes, six citations à l'Ordre de l'Armée, une citation à l'Ordre de l'Aéronautique[40] - [41].
Anecdotes
Au XIIe siècle, l'un des seigneurs de Hangard s'appelait Foulques Lehardi, c'était un preux chevalier, qui avait donné cent preuves de son adresse, de sa force et de sa bravoure dans maints combats. Il s'était surtout fait remarquer dans deux batailles livrées contre les musulmans. Blessé gravement dans une rencontre à la tête des troupes qu'il commandait, il tomba au pouvoir des ennemis qui le firent soigner avec les plus grands égards, dans l'espoir qu'après sa guérison on offrirait une forte rançon pour un tel chef, ce qui eut lieu en effet[10].
Le dimanche , l'abbé Cauet, curé doyen de Moreuil avait mission de baptiser trois nouveau-nés (ou ressuscités de la grande guerre), Marie-Thérèse avait comme parrain et marraine, M. et Mme d'Hautefeuille, Berte, M. et Mme Léonide Dieudonné et Marcelle, M. Denis Emery et Mlle Marcelle Hume. En présence de l'abbé Jovelet curé desservant Hangard, avec la musique de Demuin et les voix des jeunes filles de Mézières, accompagnée de leur organiste.
Les habitants de la commune étaient appelés « ches boyeux rouges d'Hangard ».
Ce sobriquet, appliqué aussi aux gens de Guilaucourt et aux Artésiens, semble faire allusion à la couleur rouge ; il est à supposer que les habitants recherchent cette nuance pour leurs vêtements.
Autre sobriquet : « ches carimaros »
Le mot carimo vient du latin carmen qui veut dire chant sacré, et par extension, sortilège, on a dû dire d'abord « carimareur » (sorcier) dit aussi des habitants de Fresnoy-en-Chaussée et de quelques autres communes.
Il existe en Prusse rhénane (Allemagne) près de Neunkirchen un village du nom de Hangard dont la plupart des familles, originaires du département de la Somme se sont installées dans ce pays entre les années 1670-1690 (quelques noms des habitants : Didion, Didie, Piro, Purring, Ruffing). Il semblerait que ce soient des protestants persécutés sous Louis XIV.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Hangard sur le site de l'Institut géographique national.
- « Dossier complet : Commune de Hangard (80414) », Recensement général de la population de 2014, INSEE, (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 21 NE, Montdidier [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1, éd. J.-B. Dumoulin, impr. Lemer, 1867, p. 459-460. Mémoires de la Société des antiquaires de Picardie, 3e série, tome 1. [lire en ligne].
- « Histoire », Mairie de Hangard (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Cachy (près et au sud-ouest). Première ligne française tenue par le 94e régiment d'infanterie. A l'extrême droite, à l'horizon, Hangard-en-Santerre », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 7, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Villers-Bretonneux (À 1000 mètres au sud de). Route de Hangard. Tank allemand "Elfriede" tombé dans une carrière au cours de la première attaque des tanks allemands, le 24 avril. La carrière sert de poste avancé français », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 6, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Section photographique de l'armée, « Photo : Bois de Hangard. A la lisière du bois : fusiliers mitrailleurs français sortis des trous où ils s'étaient terrés pendant la préparation d'artillerie ennemie et tirant sur les vagues d'assaut allemandes cherchant à franchir le feu de barrage de nos 75 », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 10, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées,document mentionné en liens externes, 1920.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Cécile Latinovic, « HAUTE-SOMME Moreuil exclue des projets de fusions intercommunaux? », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
- « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- Vincent Fouquet et Cécile Latinovic, « Haute-Somme : La nouvelle carte du territoire fait réagir les présidents : La révélation de la nouvelle carte du département, et des découpages des intercommunalités fait réagir les présidents, qui sont majoritairement satisfaits », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
- Carlos Da Silva, « Intercommunalité - Moreuil accepte l’idée de fusionner avec le Val de Noye, mais veut voir plus grand : Les élus de la CCALM (Communauté de communes Avre, Luce et Moreuil) ont validé le projet de fusion avec Ailly-sur-Noye, mais veulent aussi étudier l’idée d’un rapprochement plus élargi, avec notamment Montdidier et Roye », Le Courrier picard, édition du Santerre,‎ (lire en ligne).
- « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
- « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Avre Luce Noye issue de la fusion de la communauté de communes Avre Luce Moreuil et de la communauté de communes du Val de Noye à compter du » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
- « Les maires de Hangard », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Sur le site de la mairie de Thennes.
- Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Hangard, canton de Moreuil, d'après nature, », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
- « Verrière figurée : Vierge à l'Enfant », notice no IM80000740, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « >Verrière figurée : Sainte Jeanne d'Arc », notice no IM80000739, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Verrière figurée : Saint Michel honore la tombe d'un soldat inconnu », notice no IM80000738, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Verrière figurée : Saint Joseph et l'enfant Jésus », notice no IM80000737, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Verrière figurée : Saint Domice et sainte Ulphe », notice no IM80000736, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Verrière figurée : Immaculée Conception », notice no IM80000735, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « verrière figurée : Calvaire », notice no IM80000734, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Verrière figurée : Annonciation », notice no IM80000733, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Marie Auguste Joseph Charles Boudoux d'Hautefeuille », base Léonore, ministère français de la Culture.
- « Stèle du pilote Lt Boudoux d’Hautefeuille » [PDF], Dossier de monument, sur http://www.mairie-chateau-thierry.net/ (consulté le ).
- « Le lieutenant aviateur Charles Boudoux d’Hautefeuille », Portraits de combattants, Santerre 14-18 - Préserver la mémoire de la Grande Guerre dans le Santerre, (consulté le ).