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Honnecourt-sur-Escaut

Honnecourt-sur-Escaut est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Honnecourt-sur-Escaut
Honnecourt-sur-Escaut
La mairie.
Blason de Honnecourt-sur-Escaut
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Cambrai
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Cambrai
Maire
Mandat
Jean-Michel Tison
2022-2026
Code postal 59266
Code commune 59312
Démographie
Gentilé Honnecourtois, Honnecourtoises
Population
municipale
743 hab. (2020 en diminution de 4,5 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 02′ 15″ nord, 3° 11′ 47″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 151 m
Superficie 15,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cambrai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cateau-Cambrésis
Législatives 18e circonscription du Nord
Localisation
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Honnecourt-sur-Escaut
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Honnecourt-sur-Escaut
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Honnecourt-sur-Escaut

    Géographie

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Honnecourt-sur-Escaut
    Banteux Bantouzelle
    Villers-Guislain Honnecourt-sur-Escaut Les Rues-des-Vignes
    Épehy Vendhuile

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 751 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Epehy_sapc », sur la commune d'Épehy, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 764,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cambrai-Épinoy », sur la commune d'Épinoy, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1954 et à 22 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,9 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Honnecourt-sur-Escaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cambrai, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76 %), prairies (15,9 %), zones urbanisées (4,2 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), forêts (2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    Le hameau de La Terrière, situé à 4 km à l'est, qui comprend une quarantaine de maisons et une église, fait partie de Honnecourt-sur-Escaut pour les 3/4 et le reste est sur la commune de Vendhuile (Aisne).

    • Entrée de La Terrière côté Honnecourt.
      Entrée de La Terrière côté Honnecourt.
    • l'église de La Terrière.
      l'église de La Terrière.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 348, alors qu'il était de 340 en 2014 et de 354 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 85,4 % étaient des résidences principales, 5,8 % des résidences secondaires et 8,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Honnecourt-sur-Escaut en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,8 %) supérieure à celle du département (1,6 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,2 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Honnecourt-sur-Escaut en 2019.
    Typologie Honnecourt-sur-Escaut[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 85,4 90,6 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,8 1,6 9,7
    Logements vacants (en %) 8,8 7,8 8,2

    Toponymie

    On trouve le village mentionné dès 667 sous le nom Hunulfocurtis, puis également Hunulfi Curtis ou Hunulfo Curtis au VIIe siècle, et une variété d'autres noms dont Hunulcourt (870), Hunonis Curia (1095), Hulnicorte et Hunilcorte (1102), Hunnulkurt (1133), Hounecort (1142), etc. Mannier[21] y voit la ferme ou le domaine d'Honulfe. Boniface[22] pense que la localité doit moins son nom à un homme qu'à sa situation, identifiant dans la syllabe hon un marais, un étang, un cours d'eau, et fait de Honnecourt « la métairie du marais ».

    La commune prend le nom de Honnécourt-sur-l'Escaut en 1936, et son nom actuel en 1962[23].

    Histoire

    D'Honnecourt, l'histoire religieuse a notamment retenu la présence de l'abbaye Saint-Pierre de Honnecourt (fondée en 660 et de Sainte Valérie et sainte Pollèle de Honnecourt, VIIe ou VIIIe siècle, deux vierges commémorées dans l'année à la date du . Cette abbaye est mentionnée dans le traité de Meerssen, en 870, dans lequel elle fait partie du règne de Charles Le Chauve (Regesta Imperii I., no. 1480).

    Antoine-Alexandre-Joseph Gosse, prieur et historien de la congrégation d'Arrouaise et membre de l'Académie d'Arras, rappelle que l'évêque anglais Saint Liéphart fut, vers le milieu du VIIe siècle, assassiné dans la forêt d'Arrouaise alors qu'il revenant de Rome. Il aurait été inhumé dans le village de Trécaut, à mi-chemin d'Arrouaise à Cambrai, puis ses reliques auraient été transportées à l'abbaye d'Honnecourt. Cependant, à cause des guerres, elles furent déménagées dans l'abbaye de Saint-Pri (à Saint-Quentin).

    En 1642, François, seigneur de Rambures, fils de Charles, sire de Rambures, chevalier de l'Ordre du Saint-Esprit, et de Renée de Boulainvilliers, fut tué lors de la bataille de Honnecourt, alors qu'il commandait le régiment de Rambures[24].

    Antoine-Alexandre-Joseph Gosse estimait en 1786 que Rayssius s'était trompé en écrivant [25] que ces reliques ont péri dans un siège ; puisqu'elles « viennent d'être rapportées à Honnecourt, après la suppression de l'Abbaye de Saint-Pri[26] ».

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Cambrai du département du Nord.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marcoing[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Cateau-Cambrésis

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dix-huitième circonscription du Nord.

    Intercommunalité

    Honnecourt-sur-Escaut est membre depuis 2013 de la communauté d'agglomération de Cambrai, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre initialement créé en 1992 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1802-1803[27] Adrien Hodin
    avant 1807[28] M. Waxin
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1981[29] Paul van Haetsdaele
    Les données manquantes sont à compléter.
    1990[30] mars 2008 Gérard Leroy
    mars 2008 2009[31] Francis Piton Démissionnaire
    2009 11 juillet 2022[32] Jean-Pierre Golebiewski Mort en fonction
    octobre 2022[33] En cours
    (au 7 octobre 2022)
    Jean-Michel Tison Manager retraité en maintenance sécurité chez Cora

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].

    En 2020, la commune comptait 743 habitants[Note 8], en diminution de 4,5 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0309601 0671 2491 4171 4221 4841 5501 553
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6221 6711 7411 9912 0561 8061 9101 9041 849
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8651 7841 679851996941908913946
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    849763674668715734779784743
    2015 2020 - - - - - - -
    787743-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 404 hommes pour 373 femmes, soit un taux de 51,99 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    1,8
    90 ou +
    4,3
    6,9
    75-89 ans
    11,4
    21,7
    60-74 ans
    17,7
    24,5
    45-59 ans
    24,6
    14,6
    30-44 ans
    15,2
    17,4
    15-29 ans
    9,3
    13,0
    0-14 ans
    17,5
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[38]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,1
    75-89 ans
    8,1
    14,3
    60-74 ans
    15,6
    19,2
    45-59 ans
    18,6
    19,6
    30-44 ans
    18,7
    20,7
    15-29 ans
    19,1
    20,7
    0-14 ans
    18,5

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Entrée du village.
      Entrée du village.
    • Panorama du village niché dans la verdoyante vallée de l'Escaut.
      Panorama du village niché dans la verdoyante vallée de l'Escaut.
    • L'église.
      L'église.
    • L'écluse sur le Canal de Saint-Quentin.
      L'écluse sur le Canal de Saint-Quentin.

    Personnalités liées à la commune

    Reconstitution d'une scie à bois sur des plans de Villard sur la place de Honnecourt.

    Honnecourt est le village de naissance de Villard de Honnecourt, architecte du XIIIe siècle. Villard de Honnecourt est l'auteur d'un corpus de 33 parchemins, qui rassemblent environ 250 dessins. Ces documents sont conservés à la Bibliothèque nationale de France. De 1191 à 1235, Villard de Honnecourt fut chargé de la construction de l'église de l'abbaye de Vaucelles (monument actuellement situé sur la commune des Rues-des-Vignes).

    Une roue à maillets a été reconstituée suivant la machine imaginée par Villard au XIIe siècle, fabriquée par Daniel Cauet, le menuisier ébéniste du village qui, pour l’occasion, a reçu l’aide de Pierre Broie, menuisier à Villers-Guislain. Cette roue à maillets ou poids, articulés, provoque un déséquilibre permanent… Cette réplique a été installée à l’entrée du village près du pont du canal de Saint-Quentin.

    Une coquille a été posée, matérialisant le chemin de Compostelle. La coquille est encastrée sur la chaussée servant de fléchage à tous les pèlerins en route vers ce lieu saint espagnol.

    Héraldique

    Blason de Honnecourt-sur-Escaut Blason
    D'argent semé de billettes de gueules, au lion du même brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Louis Boniface, Etude sur la signification des noms topographiques de l'arrondissement de Cambrai, Valenciennes, Impr. Louis Henry, (lire en ligne)
    • Eugène Mannier, Études étymologiques, historiques et comparatives sur les noms des villes, bourgs et villages du département du Nord, Paris, Auguste Aubry, Libraire-Éditeur, (lire en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Epehy_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Honnecourt-sur-Escaut et Épehy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Epehy_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Honnecourt-sur-Escaut et Épinoy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Cambrai-Épinoy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Cambrai », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Mannier 1861, p. 287.
    22. Boniface 1866, p. 9.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Anselme de Sainte-Marie, Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France, Paris, La Compagnie des Libraires, 1733, p. 68.
    25. Hierog. Belg. p. 251.
    26. Antoine-Alexandre-Joseph Gosse, Histoire de l'Abbaye et de l'ancienne Congrégation des chanoines réguliers d'Arrouaise, avec des notes critiques, historiques et diplomatiques, imprimé à Lille, chez Léonard Danel, 1786 (Ouvrage numérisé par Google books)
    27. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 275, lire en ligne.
    28. « Annuaire statistique Département du Nord Année 1807 », p. 136/ Image 166.
    29. « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1065.
    30. « Gérard Leroy reçoit la médaille de maire honoraire pour ses cinq mandats », L'Observateur du Cambresis, no 1336,‎ , p. 16.
    31. Guillaume Wateaux, « Honnecourt : Le maire démissionne, nouvelle élection les 21 et 28 juin », L'Observateur du Cambresis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Deux conseillers municipaux avaient déjà démissionné en mars et avril. Trois autres élus viennent d’annoncer leur départ du conseil municipal de Honnecourt-sur-Escaut. Y compris le maire, Francis Piton, élu pour la première fois en mars 2008 ».
    32. Antoine Swietlicki, « Honnecourt/Escaut : Le maire, Jean-Pierre Golebiewski, est décédé », L'Observateur du Cambresis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ce dernier avait été élu lors des élections partielles de 2009, suite à la démission de l’ancien maire, Francis Piton. Depuis cette date, Jean-Pierre Golebiewski avait été réélu en 2014 puis en 2020, preuve de la qualité du travail accompli ».
    33. « Honnecourt-sur-Escaut : Jean-Michel Tison élu maire : Le conseil municipal d’Honnecourt-sur-Escaut s’est réuni ce vendredi soir pour élire son nouveau maire. L’ancien premier adjoint Jean-Michel Tison endosse l’écharpe de premier magistrat de la ville », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J’ai fait un mandat en tant que conseiller, un second en tant qu’adjoint et un troisième en tant que premier adjoint », détaille le nouveau magistrat de la ville ».
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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