Herbignac
Herbignac est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait partie du pays de Guérande, un des pays traditionnels de Bretagne.
Herbignac | |||||
L'entrée du château de Ranrouët. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Saint-Nazaire | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de la Presqu'île de Guérande Atlantique | ||||
Maire Mandat |
Christelle Chassé 2020-2026 |
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Code postal | 44410 | ||||
Code commune | 44072 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Herbignacais | ||||
Population municipale |
7 088 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 99 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 26′ 59″ nord, 2° 18′ 58″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 55 m |
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Superficie | 71,43 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Herbignac (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Guérande | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | herbignac.com | ||||
Géographie
- Situation
Herbignac (7 194 ha) est situé au nord-ouest du département, à proximité des marais de la Brière, à 16 km au nord de Guérande et 9 km au sud de La Roche-Bernard. La commune est limitrophe du département voisin du Morbihan, en région Bretagne.
Deux lieux-dits, Marlais et Arbourg, sont limitrophes de Saint-Lyphard ; Pompas, autre hameau d’Herbignac, se situe sur l'axe routier Guérande-Herbignac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de climat type océanique, pluvieux et doux, selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,3 | 3 | 4,6 | 5,9 | 9,3 | 11,6 | 13,4 | 13,3 | 11,2 | 9,2 | 5,5 | 3,4 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 6,4 | 6,7 | 8,9 | 10,6 | 14,3 | 16,9 | 18,7 | 19 | 16,6 | 13,4 | 9,2 | 6,6 | 12,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,4 | 10,4 | 13,2 | 15,4 | 19,3 | 22,3 | 24,1 | 24,7 | 22 | 17,6 | 13 | 9,8 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−11,1 02.01.1997 |
−13,3 10.02.1991 |
−9,6 01.03.05 |
−3,6 12.04.1986 |
−1,3 14.05.1995 |
2 09.06.1989 |
6,2 31.07.1988 |
4,3 30.08.1986 |
2,5 26.09.10 |
−2,5 30.10.1997 |
−6 29.11.10 |
−8 29.12.1996 |
−13,3 1991 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17 24.01.16 |
22,8 27.02.19 |
25,3 30.03.21 |
28,7 20.04.18 |
32,2 26.05.17 |
37,2 30.06.15 |
38,6 23.07.19 |
39,4 09.08.03 |
33,5 03.09.05 |
29 02.10.11 |
21,4 01.11.15 |
17,3 19.12.15 |
39,4 2003 |
Précipitations (mm) | 96,1 | 75,4 | 62,4 | 66,5 | 62,1 | 43,5 | 47,1 | 39,4 | 70 | 101,4 | 98,7 | 94,8 | 857,4 |
Urbanisme
Typologie
Herbignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [8] - [9] - [10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Herbignac, une unité urbaine monocommunale[11] de 6 822 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12] - [13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14] - [15].
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 3,2 % | 229 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 1,0 % | 71 |
Extraction de matériaux | 1,9 % | 135 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 43,4 % | 3093 |
Vergers et petits fruits | 0,4 % | 31 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 9,1 % | 651 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 22,6 % | 1609 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 0,6 % | 44 |
Forêts de feuillus | 5,9 % | 421 |
Forêts de conifères | 5,0 % | 361 |
Forêts mélangées | 1,0 % | 71 |
Marais intérieurs | 5,7 % | 405 |
Plans d'eau | 0,1 % | 9 |
Source : Corine Land Cover[16] |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Irbiniac en 1217, Herbignac en 1287, Yvrignac en 1426[17], Erbignac en 1441[18] - [19].
Il s'agit d'une formation toponymique gauloise ou gallo-romaine en -(i)acum[19], suffixe d'origine gauloise -acon (celtique commun *-āko, britonnique *-ōgon), localisant à l'origine, puis marquant la propriété.
Le premier élément Herbi(g)n- correspond sans doute un anthroponyme[19] selon le cas général. Albert Dauzat suggère le nom de personne latin Arbinius[19] (porté par un autochtone). Dans cette perspective, il compare avec le nom de lieu Arbigny (Haute-Marne, Arbigney) dans lequel le suffixe -acum a régulièrement évolué en -ey / -y, comme dans la plupart des régions traditionnellement de langue d'oïl. Cependant, à la rubrique Arbigny, il propose une version un peu différente de cet anthoponyme, à savoir Arbennius[19], d'aspect gaulois. Plus haut encore, il renvoie Arbéost à Arbigny, en citant une hypothèse initialement formulée par Gerhard Rohlfs qui voit dans ce toponyme le nom de personne gallo-romain Arvenius[19], d'origine gauloise. Outre cette incertitude dans l'identification exacte du nom de personne, les formes anciennes ne montrent pas le passage de [ar-] à [ir-] qui reste possible phonétiquement mais hypothétique.
Remarques : Herbignac était situé sur la frontière linguistique bretonne[20], le parler gallo-roman qui a donné le gallo, était parlé plus à l'est dans les communes voisines. Le suffixe -acum n'a pas évolué en zone bretonnante comme en zone romane (exemple : Savenay, Saviniacum). On parlait breton dans le Pays de Guérande - dont Herbignac - jusqu'au XVIIe siècle. La langue bretonne a même été parlée jusqu'au début XXe siècle dans les marais salants voisins (voir les travaux de Gildas Buron, conservateur du musée de Batz-sur-Mer). Jean-Yves Le Moing estime à 61,8 % le taux de toponymes d'origine bretonne sur la commune d'Herbignac[21].
Herbignac possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale, écrit Èrbinyac selon l'écriture ELG[22], Arbigna en écriture ABCD[23], ou Èrbigna ou ·Rbignâ selon l'écriture MOGA. En gallo, le nom de la commune se prononce généralement [ɛrbiɲɑ̈], mais les variantes [əʁbiɲɑ] et [aʁbiɲɑ] ont aussi été relevées[24].
Herbignac a été plus récemment traduit en breton par Erbigneg[18].
Histoire
La présence humaine sur la commune est attestée dès le Néolithique (dolmen du Riholo).
Peu de renseignements subsistent de la période gallo-romaine (ancienne voie romaine, tessons de poterie).
Vers le Xe siècle, la juridiction seigneuriale d'Herbignac est l'une des plus importantes de la région. Dès lors, l'histoire d'Herbignac se confond avec celle des familles seigneuriales qui possèdent le château du lieu : Ranrouët. Vers 1125, les seigneurs d'Assérac, descendants de Vikings fixés dans la région depuis le Xe siècle, érigent une motte féodale où ils s'installent après avoir quitté leur domaine d'Assérac. Fédor, fils de Richard premier seigneur d'Assérac connu, pourrait être le bâtisseur de Ranrouët. Une charte de l'abbaye de Blanche-Couronne (1210) mentionne Wilhem comme propriétaire de Ranrouët. Cette construction initiale sera remplacée par un château en pierre dans la seconde moitié du XIIIe siècle sous l'impulsion d'Alain d'Assérac, seigneur des lieux[25].
Thibaud de Rochefort, baron d'Ancenis et vicomte de Donges, prend possession de Ranrouët par alliance en 1275. Mort en 1295, il ne laisse pas d'héritier direct. Sa nièce, Jeanne de Rochefort, mariée en 1374 (ou 1378) à Jean II de Rieux (compagnon de Jeanne d'Arc et maréchal de France), transmet alors Ranrouët à son fils, Pierre de Rieux, troisième du nom.
Jean IV de Rieux (1447-1518), né à Ranrouët, devient maréchal de Bretagne en 1470 puis est nommé tuteur de la duchesse Anne de Bretagne. Celle-ci lui fournit 100 000 écus d'or pour qu'il reconstruise Ranrouët après la destruction de 1488. Il combat aussi en Italie aux côtés du roi Charles VIII.
En 1574, sous le règne de Henri III, les châtellenies de Ranrouët et de Faugaret sont réunies et érigées en marquisat en faveur de Jean de Rieux. Le marquis a « en sa ville d'Herbignac » un marché tous les lundis et quatre foires par an : le lundi de la mi-carême et aux fêtes de Saint-Jean-portes Latine (6 mai), saint Cyr et sainte Julitte, patrons de la paroisse (16 juin) et sainte Catherine (25 novembre), anniversaire de la dédicace de l'église d'Herbignac.
Durant les guerres de religion, Jean VIII de Rieux rejoint la Ligue catholique et est pendu en 1593. Le château de Ranrouët devient ensuite un refuge pour des soldats qui subsistent en se livrant aux pillages dans les environs. En 1618-1620, le démantèlement partiel de Ranrouët est ordonné par Louis XIII. Cependant, Jean IX de Rieux (ou Jean-Emmanuel de Rieux), frère de Jean VIII, décide de reconstruire son château. Les travaux s'achèvent vers 1639 ; les tours sont réaménagées. Criblé de dettes, Pierre-Emmanuel de Rieux doit, avant de mourir, vendre une partie de ses terres dont le marquisat d'Assérac au surintendant des finances Nicolas Fouquet en 1656 qui en fait l'année suivante hommage au roi. La veuve du défunt marquis, Jeanne-Pélagie de Rieux, parvient à reprendre possession d'Assérac et en fait à son tour hommage au roi dès 1658. Dès 1679, son fils Jean-Gustave de Rieux (1649-1713) est à son tour contraint de céder son marquisat à René de Lopriac, baron de Coëtmadeuc. Félicité de Lopriac, épouse du marquis de Kerhoent, est la dernière marquise d'Assérac : elle est guillotinée à Paris en 1794.
En 1793, lors des chouanneries, une armée républicaine envoyée dans la presqu'île guérandaise pour éliminer les contre-révolutionnaires, incendie et détruit le château. Bien que réduit à l'état de ruines, celui-ci servira pendant la tourmente révolutionnaire à l'abbé Durand de local pour les messes clandestines. Laissé à l'abandon, le site sert de carrière de pierres[25].
Alors que la Loire-Inférieure est libérée au cours du mois d'août 1944 (Nantes le 12, le sud Loire le 30), Herbignac est une des communes de la poche de Saint-Nazaire, qui reste occupée par les Allemands jusqu'au .
L'après-guerre est marqué par la présence à la tête de la municipalité de Jacques Chombart de Lauwe, commandant des FFI de Loire-Inférieure en 1944-45, député de 1945 à 1951, directeur du journal nantais L'Avenir de l'Ouest de 1945 à 1948.
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[26].
Population et société
Démographie
Selon le classement établi par l'Insee, Herbignac est une ville isolée qui est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Saint-Nazaire[27]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 92 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 8 % dans des zones « très peu denses »[28].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2020, la commune comptait 7 088 habitants[Note 5], en augmentation de 9,98 % par rapport à 2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,8 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 3 414 hommes pour 3 516 femmes, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Herbignac compte deux écoles publiques (René-Guy-Cadou et Marie-Pape-Carpantier) et une privée (Sainte-Marie), et deux collèges, un public (Jacques-Prévert) et un privé (Saint-Joseph).
Culture et patrimoine
Selon le découpage de la région Bretagne fait par Erwan Vallerie, Herbignac fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays Nantais.
Langues
La langue bretonne était parlée dans cette commune jusqu'au début du XIXe siècle. Le gallo est encore connu de nos jours, il a d'ailleurs gardé plusieurs mots bretons comme une añnouyère pour une génisse, du breton annoar.
Lieux et monuments
- l'atelier de potier ;
- le château de Ranrouët (XIIIe – XVIIe siècle), propriété de la famille Ecomard de Sainte-Pazanne depuis les années 1930, racheté en 1989 par le conseil départemental de la Loire-Atlantique ;
- la chapelle Notre-Dame La Blanche (1779) ;
- le moulin de Ranrouët (XVIIe siècle) : moulin de type « petit pied » ou « taille de guêpe » ;
- le dolmen du Riholo (IVe millénaire, Néolithique moyen) ;
- les jardins de Kermoureau[35] est l'un des seuls espaces verts du département classés Jardin remarquable (avec le jardin des plantes de Nantes).
Héraldique
Blasonnement :
De sinople au château d'or donjonné de trois tours, crénelé, maçonné et ouvert de sable ; à la bordure gironnée d'or et d'azur de huit pièces.
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Personnalités notables liées à la commune
- Jacques Chombart de Lauwe (1905-1975), dit « Colonel Félix » dans la Résistance, député et conseiller général de la Loire-Atlantique, mort à Herbignac ;
- Jules Paressant (1917-2001), peintre et sculpteur natif d'Herbignac ;
- René Leroux, né à Herbignac en 1952, homme politique français, député de la Loire-Atlantique de 1997 à 2002.
- Yvon Loussouarn, né à Herbignac en 1923, juriste français.
Voir aussi
Bibliographie
- Fernand Guériff, Les potiers d'Herbignac : l'art du feu dans un coin de Bretagne, monographie historique, La Baule, Éditions des Paludiers, coll. « Folklore guérandais », , 100 p. (BNF 35317701)
- J. de Kersauzon, Herbignac. Histoire civile, histoire ecclésiastique., Paris, Le Livre d'histoire, , 59 p. (ISBN 2-84373-807-5, présentation en ligne).
- Denis Danilo et Stéphane Batigne, Poterie traditionnelle de Bretagne Sud : Malansac, Saint-Jean-la-Poterie, Herbignac, Questembert, Stéphane Batigne Éditeur, , 120 p. (ISBN 9791090887954)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélu en 2014.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 44072002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Herbignac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de métropole : répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
- (br) Vallerie, Erwan., Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, Le Relecq-Kerhuon, An Here, , 256 p. (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 614197178, lire en ligne), p. 78.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 349a.
- Walter, Henriette, (1929- ...).,, L'aventure des langues en Occident : leur origine, leur histoire, leur géographie, Paris, Librairie générale française, , 595 p. (ISBN 2-253-14000-7 et 978-2-253-14000-9, OCLC 708338371, lire en ligne)
- Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne : Jean-Yves Le Moing, Coop Breizh (Spézed), , 480 p. (ISBN 2-903708-04-5, OCLC 963221846, lire en ligne), p. 357.
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- Régis Auffray, Le Petit Matao, Rue des Scribes, 2007, Broché, p. 90
- « ChubEndret — Motier d non d'endret », Chubri (consulté le ).
- Loire-Atlantique, le magazine du département, juin 2009, p. 20-21.
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Herbignac, consultée le 26 octobre 2017
- « Commune d'Herbignac (44072) », Insee (consulté le ).
- « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Herbignac (44072) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
- « jardins de Kermoureau », Comité des parcs et jardins de France (consulté le ).