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Saint-Molf

Saint-Molf est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire. Elle fait partie du pays de Guérande.

Saint-Molf
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Pays de la Loire
DĂ©partement Loire-Atlantique
Arrondissement Saint-Nazaire
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Presqu'ßle de Guérande Atlantique
Maire
Mandat
Hubert Delorme
2020-2026
Code postal 44350
Code commune 44183
DĂ©mographie
Gentilé Mendulphins, Mendulphines
Population
municipale
2 805 hab. (2020 en augmentation de 12,42 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 123 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 23â€Č 31″ nord, 2° 25â€Č 26″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 30 m
Superficie 22,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Nazaire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guérande
LĂ©gislatives SeptiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

    Cette petite commune rurale est située entre la cÎte Atlantique et le parc naturel de BriÚre.

    Elle possÚde de nombreux marais salants, moins connus que ceux de Guérande.

    GĂ©ographie

    La superficie de la commune est de 22,82 km2 (2 282 ha).

    Situation

    Situation de la commune de Saint-Molf dans le département de la Loire-Atlantique.

    Saint-Molf est situĂ©e dans la presqu'Ăźle guĂ©randaise, Ă  km au nord de GuĂ©rande, km au nord-est de La Turballe et 20 km au sud de La Roche-Bernard.

    Les communes limitrophes sont Assérac, Herbignac, Guérande, La Turballe et Mesquer.

    GĂ©ographie humaine

    Utilisation des sols

    Sur les 2 282 hectares de la commune, on trouve :

    • 301 hectares de bois ;
    • 315 hectares de zones humides ;
    • 1 235 hectares de terres agricoles avec 16 exploitants ;
    • 140 hectares de marais salants avec 14 paludiers.

    Cette rĂ©partition entre terres agricoles et marais salants reflĂšte la double tradition de la commune : celle des paludiers et celle des landais (cultivateurs ou Ă©leveurs). Les surfaces cultivĂ©es n’ont guĂšre changĂ©, mais le nombre d’exploitants agricoles a fortement diminuĂ©, comme partout en France, tandis que le nombre de paludiers est en augmentation depuis quelques annĂ©es, du fait de la remise en exploitation de marais abandonnĂ©s.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent aux donnĂ©es mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 2] : 807 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « GuĂ©rande », sur la commune de GuĂ©rande, mise en service en 1994[7] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 654,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et Ă  22 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,3 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,6 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Molf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous prĂ©sente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 4,8 % 112
    Équipements sportifs et de loisirs 1,0 % 24
    Terres arables hors périmÚtres d'irrigation 29,9 % 695
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 23,9 % 555
    SystĂšmes culturaux et parcellaires complexes 19,2 % 446
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 1,4 % 33
    ForĂȘts de feuillus 3,2 % 75
    ForĂȘts mĂ©langĂ©es 3,0 % 69
    Landes et broussailles 1,9 % 45
    Marais intérieurs 4,5 % 104
    Marais salants 7,0 % 163
    Mers et océans 0,1 % 2
    Source : Corine Land Cover[19]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint Moulf en 1392, Sanctus Madulphus au XIVe siÚcle, Saint Mool en 1415, Saint Moul en 1415[20].

    Un moine irlandais du nom de Maidulf (Maildulphus en latin) dut s’exiler dans le sud-ouest de l’Angleterre oĂč il fonda le monastĂšre de Malmesbury en 638 ; il mourut en 676. Par la suite, le souvenir de ce saint homme fut apportĂ© par les Ă©migrants bretons de Grande-Bretagne, fuyant les Saxons. Ils s’établirent dans le village oĂč, depuis le Ve siĂšcle, on honorait dĂ©jĂ  saint Germain ; ils lui donnĂšrent le nom du saint homme et son patronage supplanta celui du saint auxerrois. Mais Maidulf, trop difficile Ă  prononcer, fut progressivement transformĂ© en Molf, prononcĂ© « MĂŽ » par la population et latinisĂ© en Medulphus par l’Église. Il est peu probable que saint Molf ait Ă©tĂ© canonisĂ©. Cependant, en 1775, l’abbĂ© MacĂ©, alors recteur de Saint-Molf fit venir d’Angleterre un fragment d’un os du bras du saint moine Ă  titre de relique et conservĂ© comme telle dans le reliquaire actuel.

    La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Molf[20].

    Histoire

    Préhistoire

    On trouve des traces de l’ñge de pierre (4000 à 3000 av. J.-C.) à la Butte-aux-Cerfs, prùs du hameau de Trebrezan, qui fut certainement le centre d’un atelier rudimentaire de flùches, d’hameçons et de poignards de silex.

    À l’ñge des mĂ©taux (1800 av. J.-C.), les environs du Petit Traict devinrent la «zone industrielle» de la Presqu’üle :

    • Ăąge du bronze Ă  Trebrezan et Ă  Quifistre oĂč ont Ă©tĂ© dĂ©couverts des coins et des haches de ce mĂ©tal,
    • Ăąge du fer au lieu-dit Les Forges, noyau primitif du village, situĂ© alors prĂšs de la premiĂšre chapelle Saint-Germain.

    Les centres industriels de Saint-Molf, buttes des Carpadoux et de Kervenel, Butte-aux-Cerfs et butte du Binguet sont-ils celtes ou gaulois ? Les archĂ©ologues n’ont pas encore tranchĂ©.

    Antiquité

    Des voies romaines sillonnent la commune :

    • une petite voie romaine Saint-Lyphard–Piriac avec un embranchement vers Merquel et un autre vers Clis ;
    • une grande voie dallĂ©e, vĂ©ritable artĂšre du pays, reliant la Vilaine Ă  la Loire par AssĂ©rac et GuĂ©rande, passant par Trebrezan, Montpignac, La Motte, Malabri et Kerguenec[21].

    Le village de Saint-Molf a Ă©tĂ© construit autour de l'Ă©glise Saint Germain, Ă©vĂȘque d'Auxerre, Ă©vangĂ©lisateur de la rĂ©gion entre 430 et 448. La tradition en fait le fondateur de l'Ă©glise et de la paroisse, ce qui est cohĂ©rent avec les usages de l'Ă©poque.

    Moyen Âge

    AprÚs la migration bretonne dans la région, la paroisse prend le nom de Saint Molf, qui est attesté au IXe siÚcle). Au XIe siÚcle, une nouvelle église est construite sous le vocable de Saint Maidulphe ou Mendulphe (devenu Saint Molf) et l'ancienne église Saint Germain devient une chapelle annexe entourée du cimetiÚre. La langue bretonne y fut parlée jusqu'au XVIII°.

    PĂ©riode moderne

    Comme ses voisines de l'arriĂšre pays nazairien, Saint-Molf s'est trouvĂ©e prise Ă  la fin de la Seconde Guerre mondiale dans la Poche de Saint-Nazaire ce qui lui valut une prolongation de l'Occupation allemande de 9 mois de plus que le reste de la rĂ©gion (d'aoĂ»t 1944 au )

    EmblĂšmes

    HĂ©raldique

    Armoiries :

    Elles reprĂ©sentent le marais salant – symbolisĂ© par les tas de sel et la vĂ©gĂ©tation qui le borde – l’agriculture et la Bretagne. Son auteur est M. Jean-Pierre MarzeliĂšre. Le blason a Ă©tĂ© adoptĂ© par le Conseil municipal le 26 septembre 1980 et enregistrĂ© officiellement en date du 3 octobre de la mĂȘme annĂ©e par la Commission hĂ©raldique urbaine, siĂ©geant Ă  la PrĂ©fecture de Nantes.

    Devise

    Devise de Saint-Molf :

    « In Terra Veritas. »

    Administration municipale

    Liste des maires successifs[22]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mai 1908 octobre 1919 Henri Le Chauff de Kerguenec[23] Colonel d'infanterie
    octobre 1919 1929 Auguste Gautreau
    mars 1929 mai 1935 Henri Le Chauff de Kerguenec[23] Colonel d'infanterie
    mai 1935 mai 1953 Alphonse Drogueux
    mai 1953 décembre 1958
    (décÚs)
    Auguste Niget
    décembre 1958 mai 1975
    (décÚs)
    Camille Berthe[24] (1912-1975) Cultivateur
    RĂ©Ă©lu en 1959, 1965 et 1971
    juin 1975 mars 1983 Camille Bertho
    mars 1983 mars 2001 Michel Bertho
    mars 2001 mars 2008 Daniel Guihard Chef d'entreprise retraité
    mars 2008 mars 2014 Véronique Cardine Retraitée du notariat
    mars 2014 février 2016
    (démission)
    Patrick Brossaud Conseiller bancaire
    février 2016 En cours
    (au 8 février 2022)
    Hubert Delorme SE-DVD Cadre financier
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026

    Population et société

    DĂ©mographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Saint-Molf fait partie de l'aire urbaine, de la zone d'emploi et du bassin de vie de Saint-Nazaire. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[25]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 97 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 3 % dans des zones « trÚs peu denses »[26].

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[28].

    En 2020, la commune comptait 2 805 habitants[Note 6], en augmentation de 12,42 % par rapport Ă  2014 (Loire-Atlantique : +7,32 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0479959631 1111 2001 2411 2051 2901 298
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3091 3691 3071 2461 2341 2571 2881 2931 282
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3141 2321 150995982927835745759
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    7536907068521 1541 5002 0302 1792 452
    2018 2020 - - - - - - -
    2 6832 805-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee Ă  partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  37,4 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 20,0 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 23,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 339 hommes pour 1 344 femmes, soit un taux de 50,09 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,42 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,1
    90 ou +
    0,4
    3,2
    75-89 ans
    4,1
    15,9
    60-74 ans
    16,4
    23,1
    45-59 ans
    21,7
    18,7
    30-44 ans
    21,6
    16,1
    15-29 ans
    15,2
    22,9
    0-14 ans
    20,8
    Pyramide des ùges du département de la Loire-Atlantique en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    1,7
    5,8
    75-89 ans
    8,6
    14,7
    60-74 ans
    16
    19,6
    45-59 ans
    18,9
    20,1
    30-44 ans
    19,2
    19,2
    15-29 ans
    17,5
    20
    0-14 ans
    18

    Lieux et monuments

    Moulin Marchand
    • Église Saint-Molf (XIXe siĂšcle).
    • Moulins Marchand

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « DĂ©finition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consultĂ© le )
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Guérande - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Molf et Guérande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Guérande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Molf et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de métropole commune : répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur Corine Land Cover, (consulté le ).
    20. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    21. D’aprĂšs le livre de P. Mercieret Y. Moreau Dans la boucle du MĂšs, Mesquer, Quimiac, Saint-Molf, Ă©puisĂ©.
    22. Fiche généalogique Henri Marie Léon Le Chauff de Kerguenec, sur Geneanet
    23. « Le patrimoine mendulphin : La place Camille Berthe », sur mairie-saint-molf.fr.
    24. « Commune de Saint-Molf (44183) », Insee (consulté le ).
    25. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Molf (44183) », (consultĂ© le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Loire-Atlantique (44) », (consultĂ© le ).
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