Heikki Kovalainen
Heikki Johannes Kovalainen, né le à Suomussalmi en Finlande, est un pilote automobile finlandais. Il participe à 111 Grands Prix de Formule 1, pour une victoire.
Surnom | Kova |
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Date de naissance | |
Lieu de naissance | Suomussalmi |
Nationalité | Finlandais |
Années d'activité | 2001-2013, 2015- |
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Qualité | Pilote automobile |
Années | Écurie | C. (V.) |
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2007 | Renault | 17 (0) |
2008-2009 | McLaren | 35 (1) |
2010-2012 | Team Lotus/Caterham | 57 (0) |
2013 | Lotus | 2 (0) |
Nombre de courses | 111 |
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Pole positions | 1 |
Meilleurs tours en course | 2 |
Podiums | 4 |
Victoires | 1 |
Champion du monde | 0 |
Vice-champion du championnat GP2 Series en 2005 derrière Nico Rosberg, il fait ses débuts dans le championnat du monde de Formule 1 en 2007. Après trois saisons chez Renault F1 Team et McLaren Racing, marquées par une victoire lors du Grand Prix de Hongrie en 2008, Kovalainen rejoint l'équipe Lotus de Tony Fernandes en 2010, puis pilote pour Caterham en 2012.
Il ne retrouve pas de volant de titulaire pour la saison 2013 et poursuit chez Caterham en tant que pilote-essayeur. Il remplace toutefois Kimi Räikkönen, blessé au dos, chez Lotus F1 Team pour les deux derniers Grands Prix de la saison 2013.
Biographie
Début de carrière
Heikki Kovalainen commence sa carrière dans les compétitions de karting en 1991. S'affirmant au fil des années comme l'un des spécialistes mondiaux de la spécialité, il remporte notamment en 2000 les Masters Elf organisés à Paris-Bercy.
En 2001, Kovalainen accède au sport automobile dans le championnat britannique de Formule Renault, qu'il termine à la quatrième place du classement général avec deux victoires, ce qui fait de lui le meilleur débutant de l'année. En 2002, soutenu par le Renault Driver Development (une structure montée par Bruno Michel et Flavio Briatore et destinée à préparer les futurs pilotes de la marque au losange en Formule 1), il passe en Formule 3 britannique, où il s'affirme à nouveau comme le meilleur débutant de l'année avec cinq victoires et la troisième place au championnat.
En 2003, toujours soutenu par Renault, Kovalainen dispute le championnat de World Series by Nissan. Pour sa première saison dans la discipline, il termine vice-champion derrière son coéquipier Franck Montagny, avant de conquérir le titre en 2004. Mais cette année-là , il se fait surtout connaître du grand public en remportant au Stade de France la « Race of Champions », compétition de prestige au cours de laquelle il domine successivement plusieurs stars établies du sport automobile : David Coulthard, Jean Alesi, Michael Schumacher puis Sébastien Loeb en finale[1].
En 2005, il rejoint le nouveau championnat GP2 Series qu'il aborde en position de favori. Mais après un remarquable début de saison, il est finalement battu sur le fil par Nico Rosberg et doit se contenter de la place de vice-champion. Parallèlement à sa saison de GP2, Kovalainen est en 2005 le deuxième pilote essayeur du Renault F1 Team, l'autre étant Franck Montagny, avant d'occuper seul en 2006 le poste de pilote essayeur. Avec plus de 18 000 kilomètres couverts en 2006, Heikki Kovalainen a mené aux côtés de ses équipiers Alonso et Fisichella une large part du développement de la voiture championne du monde.
Depuis ses années de pilote essayeur chez Renault, Kovalainen est surnommé « Jean-Pierre Kova » à la suite d'une boutade de Flavio Briatore, alors directeur du Renault F1 Team, faite en réponse à la presse française qui lui reprochait régulièrement de ne pas accorder sa confiance aux pilotes français[2].
Débuts en F1 chez Renault
Ses prestations en tant que pilote essayeur apparaissent suffisamment convaincantes à Renault F1 Team pour que l'écurie sacrée championne du monde des constructeurs en 2006 décide de le titulariser en 2007 en remplacement du double champion du monde dans cette même écurie, l'Espagnol Fernando Alonso, transféré alors chez McLaren, lui offrant ainsi l'opportunité de courir en Grand Prix dans une équipe de pointe.
Auteur de débuts poussifs, surtout comparés à ceux de Lewis Hamilton, qui lui valent de sévères critiques de la part de son propre patron Flavio Briatore[3], Heikki semble toucher le fond à l'occasion des essais du Grand Prix du Canada au cours desquels, après deux accidents et une casse moteur, il se qualifie en dix-neuvième position mais part finalement dernier après un changement de moteur qui lui vaut une pénalité de dix places sur la grille. Le paddock bruit alors de rumeurs sur son possible limogeage mais le lendemain, il met à profit les circonstances de course (multiples interventions de la voiture de sécurité) pour décrocher la quatrième place devant Räikkönen et Alonso. Beaucoup d'observateurs s'accordent à voir dans ce résultat un choc psychologique car la semaine suivante, il se classe cinquième du Grand Prix des États-Unis, un résultat qui lui, ne doit rien aux circonstances puisque pour la deuxième fois de l'année, il semble avoir pris l'ascendant en performance sur son expérimenté coéquipier Giancarlo Fisichella.
La tendance se confirmera durant la deuxième moitié de saison et lui vaut de terminer à la septième place du championnat du monde avec en point d'orgue une deuxième place conquise de haute lutte sous la pluie au Japon face à son ami et compatriote Kimi Räikkönen. Outre ses qualités de vitesse, il se révèle également comme un pilote très fiable puisqu'il n'enregistre que deux abandons dans la saison : au soixante-seizième tour du Grand Prix de Monaco où son moteur casse (il est toutefois classé treizième), et lors de la dernière course, à Interlagos, quand un problème mécanique cause sa sortie de piste. Sans cet abandon, il serait devenu le premier pilote de Formule 1 à être classé à chaque course de sa première saison.
Cette même année, il participe au marathon ING de New York, la banque néerlandaise étant le sponsor principal de l'écurie Renault, et réalise un temps de 3 h 30.
La belle impression globale laissée par Kovalainen est toutefois insuffisante pour lui permettre de conserver sa place chez Renault qui pour la saison 2008, au côté de Fernando Alonso, préfère accorder sa confiance au jeune Brésilien Nelsinho Piquet. Le Finlandais trouve refuge au sein de la puissante écurie McLaren-Mercedes où, pour la deuxième année consécutive, il récupère le volant d'Alonso[4].
Transfert chez McLaren : premières pole position et victoire en Formule 1
Annoncé début 2008 comme le faire-valoir de son coéquipier Lewis Hamilton, grande révélation de la saison précédente, Kovalainen surprend positivement en affichant d'entrée de jeu un niveau de performance assez proche de son chef de file. Son début de saison, tout en régularité, connaît un brutal coup d'arrêt à l'occasion du Grand Prix d'Espagne au cours duquel l'explosion de son pneu avant gauche dans l'un des virages le plus rapides du circuit l'envoie percuter un mur de pneus à haute vitesse, nécessitant son évacuation par hélicoptère. Malgré la violence du choc (après l'étude des données, l'équipe anglo-allemande a établi que la vitesse d'Heikki était d'environ 240 km/h quand le pneu a explosé, et que l'impact a eu lieu à 130 km/h - Il aurait subi une décélération de 27 g.), il ne souffre que de contusions légères[5] - [6].
Deux mois plus tard, il réalise la première pole position de sa carrière en Formule 1 à l'occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne[7] - [8], sur le circuit de Silverstone.
Il remporte au début du mois d'août sa première victoire à Budapest, sur le Hungaroring, lors du Grand Prix de Hongrie[9] - [10], devenant pour l'anecdote le centième vainqueur d'un Grand Prix de Formule 1. Kovalainen termine septième au classement final de la saison 2008, à cause notamment d'une malchance récurrente (quatre abandons dus à des soucis techniques).
En 2009, Kovalainen veut faire mieux mais la McLaren n'est pas du tout au niveau en début de saison, si bien qu'Hamilton et Kovalainen sont parfois en lutte avec les plus modestes Force India pour passer le cap de la première séance de qualification. Kovalainen fait jeu égal avec son coéquipier en qualifications mais ne concrétise pas en course. À Sepang et à Monaco, il tape le mur, à Melbourne et à Silverstone, il est percuté respectivement par Mark Webber et Sébastien Bourdais et à Barcelone, il est victime d'une casse de boîte de vitesses en début de course. Il est pourtant souvent devant son équipier au moment de ses abandons.
Le Finlandais ne marque des points qu'à sept reprises : à Shanghai où, auteur d'une course sage, il remonte jusqu'au cinquième rang, au Nürburgring, où il arrache le point de la huitième place, sur le Hungaroring avec une nouvelle cinquième place alors que son coéquipier Hamilton remporte la course, à Valence (quatrième), en Belgique (sixième), à Monza (sixième) et à Singapour (septième). Kovalainen ne termine que onzième du championnat du monde avec 22 points, il perd sa place chez McLaren au profit du champion du monde en titre, Jenson Button.
2010-2012 : les années Lotus/Caterham
Le , la nouvelle écurie Lotus Racing titularise Kovalainen et Jarno Trulli pour 2010[11]. Après quatre courses, le Finlandais domine son coéquipier en qualifications comme en course et décroche comme meilleur résultat une treizième place à Melbourne.
Dans des conditions climatiques difficiles, il hisse sa Lotus en Q2 en qualification à Sepang et Spa-Francorchamps et parvient à pointer au sixième rang provisoire lors des courses de Shanghai et Montréal. À Singapour, le Finlandais fait preuve d'un calme surprenant lorsque, après avoir été accroché par Sébastien Buemi, sa voiture prend feu : le pilote éteint lui-même l'incendie à l'aide d'un extincteur. Lors de la course suivante, à Suzuka, Kovalainen assure la dixième place de Lotus Racing au championnat constructeurs en terminant douzième du Grand Prix du Japon, avant d'obtenir une nouvelle treizième place en Corée. Il se classe vingtième du championnat du monde, sans avoir inscrit de point, pour la première fois de sa carrière.
En 2011, la monoplace est dotée d'un moteur V8 Renault et, sans toutefois atteindre les objectifs initiaux, est plus performante que sa devancière. Heikki Kovalainen se hisse à trois reprises en Q2 et se bat régulièrement avec des monoplaces plus rapides en milieu de peloton. Il est le pilote du plateau qui devance le plus souvent son coéquipier en qualifications (17 confrontations remportées sur 19). Sa meilleure position sur la grille est une quinzième place en Espagne et son meilleur résultat une treizième place à Monza. Son patron Tony Fernandes est tellement impressionné par ses performances qu'il déclare : "Si nous fournissions une meilleure voiture à Heikki, il se battrait pour le titre mondial"[12]. Il finit la saison vingt-deuxième, sans avoir inscrit de point.
2013 : Pilote-essayeur chez Caterham et pigiste chez Lotus
En 2013, Caterham F1 Team change l'intégralité de son duo de pilotes : Charles Pic arrive de chez Marussia F1 Team et Giedo van der Garde accède à la Formule 1. Heikki Kovalainen se retrouve initialement sans volant.
Face aux décevants résultats de début de saison, Caterham rappelle Kovalainen pour effectuer plusieurs séances d'essais le vendredi matin, à partir du Grand Prix d'Espagne.
Le Finlandais retrouve finalement un poste de titulaire en fin de saison, au sein de l'écurie Lotus F1 Team. Il est en effet choisi pour remplacer Kimi Räikkönen, en conflit larvé avec son équipe, qui renonce à disputer les deux dernières épreuves de l'année pour se faire opérer du dos avant de poursuivre sa carrière chez Ferrari[13]. Huitième des qualifications du Grand Prix automobile des États-Unis 2013, il termine quatorzième de la course après plusieurs ennuis techniques, dont la perte de son SREC. À nouveau quatorzième lors du Grand Prix automobile du Brésil 2013, il termine vingt-et-unième du championnat du monde.
Reconversion
Le , BMW Motorsport annonce que le pilote finlandais va piloter une BMW M4 DTM, lors d'une journée d'essais, sur le Lausitzring, en Allemagne[14]. À l'issue de cette journée, Kovalainen considère la voiture « impressionnante » et l'équipe, ainsi que l'environnement, « très professionnel[s] »[15]. Il est fortement pressenti pour piloter pour BMW en 2015, pour remplacer António Félix da Costa ou Joey Hand[16]. Cela n'arrive toutefois pas. Heikki Kovalainen fait son retour sur les circuits en 2015, en Super GT, le championnat de voitures de tourisme japonais ; le Finlandais y fait son apprentissage et termine 13e du classement général. Il participe également à son premier rallye, comptant pour le Championnat de Finlande des rallyes. En 2016, le pilote finlandais remporte son premier titre de champion Super GT catégorie GT500 sur Denso Kobelco SARD RC F.
Résultats en GP2 Series
Saison | Écurie | Courses disputées | Pole positions | Victoires | Points inscrits | Classement |
---|---|---|---|---|---|---|
2005 | Arden International | 23 | 2 | 5 | 105 | 2e |
Résultats en championnat du monde de Formule 1
À l'issue du Grand Prix automobile du Brésil 2013
- 111 Grands Prix.
- 1 victoire.
- 4 podiums: 1 victoire, 2 fois 2e, 1 fois 3e.
- 105 points marqués.
- 1 pole position
- 5 départs en première ligne
- 2 meilleurs tours en course.
- 29 arrivées dans les points
- 42 tours en tête
- 21 abandons.
- Débuts en Formule 1 : le 18 mars 2007 au Grand Prix d'Australie, sur le Circuit de l'Albert Park – 10e.
- Meilleur résultat en championnat : 7e en 2007 et 2008.
Saison | Écurie | Châssis | Moteur | Pneus | GP disputés | Pole Positions | Victoire | Records du tour | Podiums | Dans les points | Abandons | Points inscrits | Classement |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2007 | ING Renault F1 Team | R27 | Renault V8 | Bridgestone | 17 | 0 | 0 | 0 | 1 | 11 | 1 | 30 | 7e |
2008 | Vodafone McLaren Mercedes | MP4-23 | Mercedes V8 | Bridgestone | 18 | 1 | 1 | 2 | 3 | 11 | 4 | 53 | 7e |
2009 | Vodafone McLaren Mercedes | MP4-24 | Mercedes V8 | Bridgestone | 17 | 0 | 0 | 0 | 0 | 7 | 5 | 22 | 12e |
2010 | Lotus Racing | T127 | Cosworth V8 | Bridgestone | 18 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 5 | 0 | 20e |
2011 | Team Lotus | T128 | Renault V8 | Pirelli | 19 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 5 | 0 | 22e |
2012 | Caterham F1 Team | CT01 | Renault V8 | Pirelli | 20 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 22e |
2013 | Lotus F1 Team | E21 | Renault V8 | Pirelli | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 21e |
Saison | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | Classement |
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2007 | AUS 10 |
MAL 8 |
BAH 9 |
ESP 7 |
MON 13 |
CAN 4 |
USA 5 |
FRA 15 |
GBR 7 |
EUR 8 |
HON 8 |
TUR 6 |
ITA 7 |
BEL 8 |
JPN 2 |
CHN 9 |
BRA Abd. |
7e | |||
2008 | AUS 5 |
MAL 3 |
BAH 5 |
ESP Abd. |
TUR 12 |
MON 8 |
CAN 9 |
FRA 4 |
GBR 5 |
GER 5 |
HON 1 |
EUR 4 |
BEL 10 |
ITA 2 |
SIN 10 |
JPN Abd. |
CHN Abd. |
BRA 7 |
7e | ||
2009 | AUS Abd. |
MAL Abd. |
CHN 5 |
BAH 12 |
ESP Abd. |
MON Abd. |
TUR 14 |
GBR Abd. |
GER 8 |
HON 5 |
EUR 4 |
BEL 6 |
ITA 6 |
SIN 7 |
JPN 11 |
BRA 12 |
ABD 11 |
12e | |||
2010 | BAH 15 |
AUS 13 |
MAL 18 |
CHN 14 |
ESP Np. |
MON Abd. |
TUR Abd. |
CAN 16 |
EUR Abd. |
GBR 17 |
GER Abd. |
HON 14 |
BEL 16 |
ITA 18 |
SIN 16 |
JPN 12 |
COR 13 |
BRA 18 |
ABD 17 |
20e | |
2011 | AUS Abd. |
MAL 15 |
CHI 16 |
TUR 19 |
ESP Abd. |
MON 14 |
CAN Abd. |
EUR 19 |
GBR Abd. |
ALL 16 |
HON Abd. |
BEL 15 |
ITA 13 |
SIN 16 |
JAP 18 |
COR 14 |
IND 14 |
ABU 17 |
BRÉ 16 |
22e | |
2012 | AUS Abd. |
MAL 18 |
CHI 23 |
BAH 17 |
ESP 16 |
MON 13 |
CAN 18 |
EUR 14 |
GBR 17 |
ALL 19 |
HON 17 |
BEL 17 |
ITA 14 |
SIN 15 |
JAP 15 |
COR 17 |
IND 18 |
ABU 13 |
USA 18 |
BRÉ 14 |
22e |
2013 | AUS | MAL | CHI | BAH | ESP | MON | CAN | GBR | ALL | HON | BEL | ITA | SIN | COR | JPN | IND | ABD | USA 14 |
BRÉ 14 |
21e |
Victoire en championnat du monde de Formule 1
# | Année | Manche | Date | Grand Prix | Circuit | Position départ | Écurie | Voiture |
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1 | 2008 | 11/18 | Hongrie | Hungaroring | 2e | McLaren | MP4-23 |
Race of Champions
- Champion des Champions : 2004.
- Coupe des Nations: 2006 (en équipe avec Marcus Grönholm)
Notes et références
- « Kovalainen, la surprise du chef », sur eurosport.fr, (consulté le )
- (en) « Eff One », sur grandprix.com,
- « Kovalainen : « Mon premier Grand Prix a été un désastre » », sur f1-action.net, (consulté le )
- « Heikki Kovalainen signe chez McLaren », sur f1-action.net, (consulté le )
- « Très gros accident pour Kovalainen », sur f1-action.net,
- « McLaren a identifié le problème de roue », sur f1-action.net,
- « Grande-Bretagne 2008 », sur statsf1.com
- « Kovalainen était intouchable », sur lefigaro.fr,
- « Hongrie 2008 », sur statsf1.com
- « GP de Hongrie : victoire de Kovalainen », sur europe1.fr, (voir archive)
- Lotus dévoile le nom de ses pilotes, sur lotusf1racing.my, consulté le 14 décembre 2009
- Tony Fernandes encense Kovalainen sur twitter.com, le 28 août 2011
- communiqué officiel Lotus F1 Team, « Heikki Kovalainen chez Lotus F1 Team », sur lotusf1team.com, (consulté le )
- « DTM – Kovalainen en essais avec BMW », sur autohebdo.fr, (consulté le ).
- « DTM : Premier test satisfaisant pour Kovalainen sur la BMW », sur toilef1.com, (consulté le ).
- (de) « BMW 2015: Kommen Kovalainen und Klingmann? », sur autobild.de, (consulté le )