Haudricourt
Haudricourt est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Haudricourt | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle | ||||
Maire Mandat |
Dany Delabouglise 2020-2026 |
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Code postal | 76390 | ||||
Code commune | 76344 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Haudricourtois | ||||
Population municipale |
423 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 44âČ 03âł nord, 1° 42âČ 21âł est | ||||
Altitude | Min. 125 m Max. 240 m |
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Superficie | 29,98 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
LĂ©gislatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
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GĂ©ographie
Description
Haudricourt est une commune normande du Pays de Bray dans la Seine-Maritime, limitrophe de l'Oise et située à 43 km au-sud-est de la Manche au Tréport, 46 km au sud-ouest d'Amiens et à 55 km au nord-est de Rouen.
Elle est desservie par l'autoroute A29 et l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est drainĂ©e par plusieurs ruisseaux qui forment la VitardiĂšre, qui y conflue en aval du hameau de Villers dans le fleuve cĂŽtier la Bresle, sur lesquels se trouvaient le moulin dâHaudricourt, au centre du village et le moulin de Caumont, un peu plus en aval du ruisseau
Des travaux menĂ©s en 2022 par le syndicat mixte dâamĂ©nagement de la Bresle (SMAB) de renaturation sur 1,3 km de la VitardiĂšre ont permis d'en enlever la vase, facilitant ainsi le passage des poissons et des sĂ©diments et rĂ©duisant ainsi les risques d'inondation lors des crues du cours d'eau[1]
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 766,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, dans le dĂ©partement de l'Oise, mise en service en 1944 et Ă 42 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Haudricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (86,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), prairies (34,2 %), forĂȘts (12,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,9 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %), zones humides intĂ©rieures (0,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et Ă©carts
La commune compte une vingtaine de hameaux et d'Ă©carts[22], dont Bretagne[23] Beaufresne, Roupied et Villers.
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 243, alors qu'il Ă©tait de 239 en 2014 et de 226 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 78,5 % étaient des résidences principales, 9,5 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Haudricourt en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,5 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,9 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Aldricort vers 1138[24], puis sous la forme latinisée Audricuria en 1337[25].
Il s'agit d'un type toponymique antĂ©rieur au Xe siĂšcle en -court[26], jadis notĂ© -cort. Cet appellatif toponymique caractĂ©ristique du nord de la France est issu du gallo-roman corte « cour de ferme, ferme, domaine rural », Ă©galement notĂ© cĆrtem[24]. La forme -curia des mentions latinisĂ©es s'explique par une Ă©tymologie erronĂ©e d'aprĂšs le latin curia « cour, curie », responsable Ă©galement de la graphie moderne du mot cour en français, alors que l'anglais court conserve la graphie ancienne du français.
Le premier Ă©lĂ©ment Aldri-, Audri- ou Haudri- reprĂ©sente un anthroponyme germanique conformĂ©ment Ă la plupart des toponymes en -court. Son identification exacte est complexe, peut-ĂȘtre Hild-ric[24], ou mieux Aldricus[27] - [28], voire Haldricus[29]. Cet anthroponyme germanique se perpĂ©tue dans les noms de famille Haudry et Audry[29] - [Note 7].
Selon Albert Dauzat, Haudry est composé des éléments hald « héros » et ric « puissant »[30] et Audry de Alda « vieux » et ric « puissant »[31].
Le hameau de Bretagne tire probablement son nom de son ancien propriétaire, mentionné en 1481 comme étant Bretan, dit Bretaigne[23]
Histoire
à partir de 1840 ont été trouvés des cercueils en pierre et en plùtre, sur le penchant d'une colline, au lieu dit le Camp Varnier[32].
Aux Larris-de-la-commune a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1987 une nĂ©cropole mĂ©rovingienne comptant 103 sĂ©pultures des VIe et VIIe siĂšcles. On constate une diffĂ©rence d'orientation des tombes : une majoritĂ© est orientĂ©e nord-sud, une partie est orientĂ©e est-ouest et une autre ouest-est. Cette diffĂ©rence est peut-ĂȘtre l'indice de communautĂ©s culturelles d'origines ethniques et gĂ©ographiques diffĂ©rentes[33]. Le mobilier « guerrier » de certaines tombes (un scramasaxe, une lame de couteau en fer), certains bijoux et plaques boucles en fer damasquinĂ© font penser Ă un groupe de Germains et leurs familles, comme on le voit ailleurs.
N.-R. Potin de La Mairie relate qu'en 1592, Henri IV blessé lors d'un combat avec le duc de Parme, est pansé dans une ferme du hameau de Bretagne, tenue par le fermier Cauchois[23].
La commune de Haudricourt, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1823 celle de Villers-sur-Aumale, puis, le , celle de Beaufresne[34].
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.
Intercommunalité
Haudricourt était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[39].
En 2020, la commune comptait 423 habitants[Note 11], en diminution de 6 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ăglise Saint-Jean-et-Saint-Martin. l'AbbĂ© Cochet mentionnait en 1871 : « L'Ă©glise, dĂ©diĂ©e Ă saint Jean et Ă saint Martin, doit remonter, pour le fond, au XIe et au XIIe siĂšcle. Dans l'appareil de la nef, qui est en forme d'arĂȘte de poisson , on remarque des tuiles antiques. Le pignon de l'ouest est percĂ© d'une porte et d'une fenĂȘtre romanes. Au chevet, un grand cintre encadre trois ogives inĂ©gales, emblĂšme de la TrinitĂ©. Le reste de l'Ă©glise a Ă©tĂ© refait au XVIIe et au XVIIIe siĂšcle[32] ».
- Le coq du clocher a Ă©tĂ© bĂ©ni lâabbĂ© Jean-Claude Varin aprĂšs la rĂ©fection du clocher, dĂ©but 2021[41]. Celui-ci est connu pour ĂȘtre fortement inclinĂ©. Selon de nombreux habitants, il s'agirait d'une dĂ©formation de la charpente, mais il semblerait qu'il s'agit d'une situation volontaire permettant de mieux lutter contre la force des vents violents du secteur[42]
- Ăglise Notre-Dame Ă Villers[43]. Egalement selon l'AbbĂ© Cochet, elle comprend une « nef du XVIIe et du xXVIIIe siĂšcle, flanquĂ©e au midi d'une chapelle seigneuriale, ornĂ©e d'une corniche sculptĂ©e et garnie d'une belle fenĂȘtre ogivale Ă meneaux, avec verriĂšre reprĂ©sentant le Jugement dernier. Le chĆur, construit au XVIe siĂšcle, en pierre blanche, remplacĂ©e par de la brique en certains endroits, est Ă©clairĂ© par cinq fenĂȘtres Ă un meneau, dont trois sont au chevet. Deux contiennent des verriĂšres. Au midi est une Annonciation au bas de laquelle on voit les donateurs conduits par leurs saints patrons. Au nord sont la Naissance de JĂ©sus-Christ, l'Adoration des Bergers et les emblĂšmes mystiques de la Vierge Marie. Au bas est le donateur, M. Philippe FĂ©ret, curĂ© du lieu eu 1546. Corniche en bois sculptĂ© et restes d'un baldaquin placĂ© sur l'autel pour porter des rideaux et une suspension du saint sacrement[32] ».
- Ăglise d'Haudricourt .
- Ăglise d'Haudricourt .
- Ăglise de Villers (hameau d'Haudricourt).
- Mairie d'Haudricourt.
- Monument aux morts d'Haudricourt.
- Ăglise de Beaufresne (hameau d'Haudricourt).
Personnalités liées à la commune
Collections du Metropolitan Museum of Art.
- Jean Baptiste Arthur Gentien Mey de Chùles (1857- ), capitaine au 41e régiment d'infanterie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[44].
- Prosper Albert Armand Monnier (1859-1934), adjudant-chef, gardien de batterie au parc d'artillerie de la place de Maubeuge, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[45].
- L'artiste peintre américaine Mary Cassatt (1844-1926), propriétaire du chùteau de Beaufresne.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune d'Haudricourt (76344) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Haudricourt », MinistÚre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Haudricourt » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Certains auteurs notent les noms de personnes germaniques avec la désinence latinisée -us, tels qu'ils apparaissent dans les documents anciens rédigés en latin
- Décédé le 10/04/1857
- Décédé le 21/02/1859 fils du précédent Blaise Mallart
- Décédé le 14/09/1949
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Haudricourt » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Haudricourt - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Haudricourt - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entiÚre » (consulté le ).
Autres sources
- Romain Amichaud, « Les truites devraient revenir grĂące aux travaux sur la VitardiĂšre Ă Haudricourt : Une des raisons principales de ce chantier de trois mois Ă Haudricourt est de permettre la croissance des truites fario dans ce cours d'eau qui se trouve en amont de la Bresle », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,â 25/9/2022 mis Ă jour le 28/9/2022 (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Haudricourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Haudricourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Vincent Beny, « Municipales 2020 : le maire dâHaudricourt, prĂšs dâAumale, a dĂ©cidĂ© de se reprĂ©senter : Sur les 15 maires de lâex-canton dâAumale, Dany Delabouglise Ă©tait lâun des derniers Ă ne pas avoir dĂ©voilĂ© ses intentions pour les Ă©lections municipales. », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle Oise Somme,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « pourquoi la Bretagne a son hameau prĂšs dâAumale en lien avec Henri iV ? », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle Oise Somme, no 3787,â , p. 8.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150), p. 91.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 345a.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 9.
- François de Beaurepaire, op. cit., p. 91.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- François de Beaurepaire, op. cit.
- Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 321.
- Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 15.
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 169, lire en ligne sur Gallica.
- Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule: La Seine-Maritime, Fondation Maison des Sciences de l'Homme 1998.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- En mairie Ă©tat civil de 1806 Ă 1982
- « Jacques Rousselin a dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter », Le RĂ©veil, Ă©dition Oise normande, no 3331,â , p. 16.
- « un nouveau mandat pour Dany Delabouglise », Le RĂ©veil, no 3661,â , p. 45.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Vincent Beny, « Le coq du clocher d'Haudricourt a Ă©tĂ© bĂ©ni : Moment important pour la commune d'Haudricourt, prĂšs d'Aumale, le coq de l'Ă©glise a Ă©tĂ© bĂ©ni. Les travaux de restauration seront bientĂŽt terminĂ©s », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Vincent Beny, « Haudricourt, prĂšs dâAumale. Pourquoi le clocher de lâĂ©glise est-il inclinĂ© ? : Si lâinclinaison du clocher de lâĂ©glise d'Haudricourt est bien connue de ses habitants, peu de gens en connaissent les vraies raisons. L'hypothĂšse la plus probable est Ă©tonnante », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,â (lire en ligne, consultĂ© le ) « En effet, plus haut clocher de lâex-canton dâAumale, il a dĂ», Ă travers les temps, faire face Ă de nombreuses tempĂȘtes avec des vents parfois trĂšs puissants venant du nord ouest. Son inclinaison lui a donc permis de rĂ©sister aux vents dominants. Et visiblement cela a fonctionnĂ© puisque lors de lâintervention des charpentiers et couvreurs lors de sa rĂ©novation, seulement quelques petites poutres ont dĂ» ĂȘtre remplacĂ©es ».
- CĂ©line Leray, « Ăglise Notre-Dame Ă Haudricourt : oĂč sont passĂ©es les subventions ? : Le chantier de lâĂ©glise de Villers devrait sâachever en septembre. Si les travaux avancent bien, les subventions peinent Ă arriver dans les caisses de la municipalitĂ©. », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « GENTIEN MEY DE CHĂLES, Jean Baptiste Arthur », base LĂ©onore, ministĂšre français de la Culture.
- « MONNIER, Prosper Albert Armand », base Léonore, ministÚre français de la Culture.