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Haudricourt

Haudricourt est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Haudricourt
Haudricourt
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle
Maire
Mandat
Dany Delabouglise
2020-2026
Code postal 76390
Code commune 76344
DĂ©mographie
Gentilé Haudricourtois
Population
municipale
423 hab. (2020 en diminution de 6 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 44â€Č 03″ nord, 1° 42â€Č 21″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 240 m
Superficie 29,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Gournay-en-Bray
LĂ©gislatives 6e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Haudricourt
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Haudricourt
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Haudricourt

    GĂ©ographie

    Description

    Vue sur le village.

    Haudricourt est une commune normande du Pays de Bray dans la Seine-Maritime, limitrophe de l'Oise et situĂ©e Ă  43 km au-sud-est de la Manche au TrĂ©port, 46 km au sud-ouest d'Amiens et Ă  55 km au nord-est de Rouen.

    Elle est desservie par l'autoroute A29 et l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Bresle au hameau de Villers.

    La commune est drainĂ©e par plusieurs ruisseaux qui forment la VitardiĂšre, qui y conflue en aval du hameau de Villers dans le fleuve cĂŽtier la Bresle, sur lesquels se trouvaient le moulin d’Haudricourt, au centre du village et le moulin de Caumont, un peu plus en aval du ruisseau

    Des travaux menĂ©s en 2022 par le syndicat mixte d’amĂ©nagement de la Bresle (SMAB) de renaturation sur 1,3 km de la VitardiĂšre ont permis d'en enlever la vase, facilitant ainsi le passage des poissons et des sĂ©diments et rĂ©duisant ainsi les risques d'inondation lors des crues du cours d'eau[1]

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 829 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve Ă  14 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 766,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, dans le dĂ©partement de l'Oise, mise en service en 1944 et Ă  42 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Haudricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (85,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (86,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), prairies (34,2 %), forĂȘts (12,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (4,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (0,9 %), zones urbanisĂ©es (0,8 %), zones humides intĂ©rieures (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    La commune compte une vingtaine de hameaux et d'Ă©carts[22], dont Bretagne[23] Beaufresne, Roupied et Villers.

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 243, alors qu'il Ă©tait de 239 en 2014 et de 226 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 78,5 % étaient des résidences principales, 9,5 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Haudricourt en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,5 %) supérieure à celle du département (4 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,9 % en 2014), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Haudricourt en 2019.
    Typologie Haudricourt[I 1] Seine-Maritime[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 78,5 87,8 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 9,5 4 9,7
    Logements vacants (en %) 12 8,2 8,2

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Aldricort vers 1138[24], puis sous la forme latinisée Audricuria en 1337[25].

    Il s'agit d'un type toponymique antĂ©rieur au Xe siĂšcle en -court[26], jadis notĂ© -cort. Cet appellatif toponymique caractĂ©ristique du nord de la France est issu du gallo-roman corte « cour de ferme, ferme, domaine rural », Ă©galement notĂ© cƍrtem[24]. La forme -curia des mentions latinisĂ©es s'explique par une Ă©tymologie erronĂ©e d'aprĂšs le latin curia « cour, curie », responsable Ă©galement de la graphie moderne du mot cour en français, alors que l'anglais court conserve la graphie ancienne du français.

    Le premier Ă©lĂ©ment Aldri-, Audri- ou Haudri- reprĂ©sente un anthroponyme germanique conformĂ©ment Ă  la plupart des toponymes en -court. Son identification exacte est complexe, peut-ĂȘtre Hild-ric[24], ou mieux Aldricus[27] - [28], voire Haldricus[29]. Cet anthroponyme germanique se perpĂ©tue dans les noms de famille Haudry et Audry[29] - [Note 7].

    Selon Albert Dauzat, Haudry est composé des éléments hald « héros » et ric « puissant »[30] et Audry de Alda « vieux » et ric « puissant »[31].

    Le hameau de Bretagne tire probablement son nom de son ancien propriétaire, mentionné en 1481 comme étant Bretan, dit Bretaigne[23]

    Histoire

    À partir de 1840 ont Ă©tĂ© trouvĂ©s des cercueils en pierre et en plĂątre, sur le penchant d'une colline, au lieu dit le Camp Varnier[32].

    Aux Larris-de-la-commune a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1987 une nĂ©cropole mĂ©rovingienne comptant 103 sĂ©pultures des VIe et VIIe siĂšcles. On constate une diffĂ©rence d'orientation des tombes : une majoritĂ© est orientĂ©e nord-sud, une partie est orientĂ©e est-ouest et une autre ouest-est. Cette diffĂ©rence est peut-ĂȘtre l'indice de communautĂ©s culturelles d'origines ethniques et gĂ©ographiques diffĂ©rentes[33]. Le mobilier « guerrier Â» de certaines tombes (un scramasaxe, une lame de couteau en fer), certains bijoux et plaques boucles en fer damasquinĂ© font penser Ă  un groupe de Germains et leurs familles, comme on le voit ailleurs.

    N.-R. Potin de La Mairie relate qu'en 1592, Henri IV blessé lors d'un combat avec le duc de Parme, est pansé dans une ferme du hameau de Bretagne, tenue par le fermier Cauchois[23].

    La commune de Haudricourt, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1823 celle de Villers-sur-Aumale, puis, le , celle de Beaufresne[34].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.

    Intercommunalité

    Haudricourt était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[35]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1806 1808 Pierre Pongny
    1808 janvier 1816 François Lassé
    janvier 1816 juillet 1816 Pierre Jean Vasseur
    aout 1816 1832 Blaise Mallart
    1832 1857 Paul Pollet[Note 8]
    1858 1859 Blaise Mallart[Note 9]
    1859 1875 Charles Yvart
    Les données manquantes sont à compléter.
    1888 1892 Pierre Louis Mallet
    1892 1912 EugĂšne ArsĂšne Coussot
    1912 1919 Alfred Berneuil
    1919 1945 Emile Retourné
    1945 1947 Henri Testu
    1947 1949 Charles Pierre Marie Poilvet[Note 10]
    1949 1958 EugĂšne Decorde
    1958 1959 Athanase Dumont
    1959 1966 Jean Retourné
    1966 1982 Désiré Darry DVG
    1982 2014[36] Jacques Rousselin
    2014 En cours
    (au 13 septembre 2022)
    Dany Delabouglise PrĂ©sident du SI de gestion de l’eau (SIGE) de Conteville et Haudricourt[22]
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[22] - [37]

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 423 habitants[Note 11], en diminution de 6 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    401396421459771776791779800
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    776762726714671656621618558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    538528539507524501533574515
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    508423491456443443457471422
    2020 - - - - - - - -
    423--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Jean-et-Saint-Martin. l'AbbĂ© Cochet mentionnait en 1871 : « L'Ă©glise, dĂ©diĂ©e Ă  saint Jean et Ă  saint Martin, doit remonter, pour le fond, au XIe et au XIIe siĂšcle. Dans l'appareil de la nef, qui est en forme d'arĂȘte de poisson , on remarque des tuiles antiques. Le pignon de l'ouest est percĂ© d'une porte et d'une fenĂȘtre romanes. Au chevet, un grand cintre encadre trois ogives inĂ©gales, emblĂšme de la TrinitĂ©. Le reste de l'Ă©glise a Ă©tĂ© refait au XVIIe et au XVIIIe siĂšcle[32] Â».
    Le coq du clocher a Ă©tĂ© bĂ©ni l’abbĂ© Jean-Claude Varin aprĂšs la rĂ©fection du clocher, dĂ©but 2021[41]. Celui-ci est connu pour ĂȘtre fortement inclinĂ©. Selon de nombreux habitants, il s'agirait d'une dĂ©formation de la charpente, mais il semblerait qu'il s'agit d'une situation volontaire permettant de mieux lutter contre la force des vents violents du secteur[42]
    • Église Notre-Dame Ă  Villers[43]. Egalement selon l'AbbĂ© Cochet, elle comprend une « nef du XVIIe et du xXVIIIe siĂšcle, flanquĂ©e au midi d'une chapelle seigneuriale, ornĂ©e d'une corniche sculptĂ©e et garnie d'une belle fenĂȘtre ogivale Ă  meneaux, avec verriĂšre reprĂ©sentant le Jugement dernier. Le chƓur, construit au XVIe siĂšcle, en pierre blanche, remplacĂ©e par de la brique en certains endroits, est Ă©clairĂ© par cinq fenĂȘtres Ă  un meneau, dont trois sont au chevet. Deux contiennent des verriĂšres. Au midi est une Annonciation au bas de laquelle on voit les donateurs conduits par leurs saints patrons. Au nord sont la Naissance de JĂ©sus-Christ, l'Adoration des Bergers et les emblĂšmes mystiques de la Vierge Marie. Au bas est le donateur, M. Philippe FĂ©ret, curĂ© du lieu eu 1546. Corniche en bois sculptĂ© et restes d'un baldaquin placĂ© sur l'autel pour porter des rideaux et une suspension du saint sacrement[32] ».
    • Église d'Haudricourt .
      Église d'Haudricourt .
    • Église d'Haudricourt .
      Église d'Haudricourt .
    • Église de Villers (hameau d'Haudricourt).
      Église de Villers (hameau d'Haudricourt).
    • Mairie d'Haudricourt.
      Mairie d'Haudricourt.
    • Monument aux morts d'Haudricourt.
      Monument aux morts d'Haudricourt.
    • Église de Beaufresne (hameau d'Haudricourt).
      Église de Beaufresne (hameau d'Haudricourt).

    Personnalités liées à la commune

    Autoportrait de Mary Cassatt, vers 1878.
    Collections du Metropolitan Museum of Art.
    • Jean Baptiste Arthur Gentien Mey de ChĂąles (1857- ), capitaine au 41e rĂ©giment d'infanterie, chevalier de la LĂ©gion d'honneur, nĂ© Ă  Haudricourt[44].
    • Prosper Albert Armand Monnier (1859-1934), adjudant-chef, gardien de batterie au parc d'artillerie de la place de Maubeuge, chevalier de la LĂ©gion d'honneur, nĂ© Ă  Haudricourt[45].
    • L'artiste peintre amĂ©ricaine Mary Cassatt (1844-1926), propriĂ©taire du chĂąteau de Beaufresne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Haudricourt », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Certains auteurs notent les noms de personnes germaniques avec la désinence latinisée -us, tels qu'ils apparaissent dans les documents anciens rédigés en latin
    8. Décédé le 10/04/1857
    9. Décédé le 21/02/1859 fils du précédent Blaise Mallart
    10. Décédé le 14/09/1949
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Romain Amichaud, « Les truites devraient revenir grĂące aux travaux sur la VitardiĂšre Ă  Haudricourt : Une des raisons principales de ce chantier de trois mois Ă  Haudricourt est de permettre la croissance des truites fario dans ce cours d'eau qui se trouve en amont de la Bresle », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,‎ 25/9/2022 mis Ă  jour le 28/9/2022 (lire en ligne, consultĂ© le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Haudricourt et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Haudricourt et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Vincent Beny, « Municipales 2020 : le maire d’Haudricourt, prĂšs d’Aumale, a dĂ©cidĂ© de se reprĂ©senter : Sur les 15 maires de l’ex-canton d’Aumale, Dany Delabouglise Ă©tait l’un des derniers Ă  ne pas avoir dĂ©voilĂ© ses intentions pour les Ă©lections municipales. », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle Oise Somme,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    23. « pourquoi la Bretagne a son hameau prĂšs d’Aumale en lien avec Henri iV ? », Le RĂ©veil, Ă©dition Bresle Oise Somme, no 3787,‎ , p. 8.
    24. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 978-2-7084-0040-5, OCLC 6403150), p. 91.
    25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 345a.
    26. François de Beaurepaire, op. cit., p. 9.
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    28. Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
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    30. Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 321.
    31. Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p. 15.
    32. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 169, lire en ligne sur Gallica.
    33. Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule: La Seine-Maritime, Fondation Maison des Sciences de l'Homme 1998.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    35. En mairie Ă©tat civil de 1806 Ă  1982
    36. « Jacques Rousselin a dĂ©cidĂ© d'arrĂȘter », Le RĂ©veil, Ă©dition Oise normande, no 3331,‎ , p. 16.
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    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. Vincent Beny, « Le coq du clocher d'Haudricourt a Ă©tĂ© bĂ©ni : Moment important pour la commune d'Haudricourt, prĂšs d'Aumale, le coq de l'Ă©glise a Ă©tĂ© bĂ©ni. Les travaux de restauration seront bientĂŽt terminĂ©s », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    42. Vincent Beny, « Haudricourt, prĂšs d’Aumale. Pourquoi le clocher de l’église est-il inclinĂ© ? : Si l’inclinaison du clocher de l’église d'Haudricourt est bien connue de ses habitants, peu de gens en connaissent les vraies raisons. L'hypothĂšse la plus probable est Ă©tonnante », Le RĂ©veil de NeufchĂątel,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « En effet, plus haut clocher de l’ex-canton d’Aumale, il a dĂ», Ă  travers les temps, faire face Ă  de nombreuses tempĂȘtes avec des vents parfois trĂšs puissants venant du nord ouest. Son inclinaison lui a donc permis de rĂ©sister aux vents dominants. Et visiblement cela a fonctionnĂ© puisque lors de l’intervention des charpentiers et couvreurs lors de sa rĂ©novation, seulement quelques petites poutres ont dĂ» ĂȘtre remplacĂ©es ».
    43. CĂ©line Leray, « Église Notre-Dame Ă  Haudricourt : oĂč sont passĂ©es les subventions ? : Le chantier de l’église de Villers devrait s’achever en septembre. Si les travaux avancent bien, les subventions peinent Ă  arriver dans les caisses de la municipalitĂ©. », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    44. « GENTIEN MEY DE CHÂLES, Jean Baptiste Arthur », base LĂ©onore, ministĂšre français de la Culture.
    45. « MONNIER, Prosper Albert Armand », base Léonore, ministÚre français de la Culture.
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