Criquiers
Criquiers est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Criquiers | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | CC interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle | ||||
Maire Mandat |
David Michel 2020-2026 |
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Code postal | 76390 | ||||
Code commune | 76199 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Criquérois | ||||
Population municipale |
711 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 31″ nord, 1° 42′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 164 m Max. 245 m |
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Superficie | 23,6 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Gournay-en-Bray | ||||
Législatives | 6e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
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Géographie
Localisation
Criquiers est un village-rue rural normand bâti le long de la RD 236 -Gaillefontaine - Poix-de-Picardie, située sur le plateau autrefois appelé « Montagne », à l'extrême est de la Seine-Maritime, en bordure du département de l'Oise.
La ligne de Saint-Roch à Darnétal-Bifurcation, qui assure les liaisons TER entre Amiens et Rouen, passe en limite sud du territoire, mais la gare la plus proche est la gare de Formerie.
Hameaux et écarts
Criquiers possède deux hameaux importants : le Bois des Puits avec plus de 80 maisons et Les Anthieux avec environ 30 maisons.
On note également de nombreux lieux-dits : Pierrement, Hadancourt, le Vergenet, le Bout la Haut, le Paradis, les Fosses Catrèches, la Tête de Vache, le Calvaire, Huleux, le Moulin à Godet et le Nouveau Monde[1]....
Communes limitrophes
Conteville | Haudricourt | Lannoy-Cuillère | ||
Gaillefontaine | N | Blargies- | ||
O Criquiers E | ||||
S | ||||
Haucourt | Formerie |
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Arnoult », sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Criquiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,4 %), prairies (33,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,9 %), zones urbanisées (4,3 %), forêts (2,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 338, alors qu'il était de 339 en 2013 et de 324 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 81,3 % étaient des résidences principales, 10,1 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Criquiers en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,1 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Criquehers (sans date)[22], Criquiers en 1337; Crequiers en 1401; 1431 (Longnon), 1433 et 1460; Ecclesia parrochia Beate Marie de Crequiers en 1495; Notre Dame de Criquiers en 1716[23]; Créquiers en 1648; Criquiers en 1704 (Pouillé); Créquier ou Criquier en 1715 (Frémont); Criquiers en 1757 (Cassini)[24].
Histoire
Les plus anciennes preuves connues d'une présence humaine remontent à l'Antiquité. Ainsi, les traces d'une voie romaine ont été retrouvées à Criquiers. Certains historiens, tels que Jean Benoît Désiré Cochet, pensent que cette voie reliait Dieppe à Beauvais[25]. D'autres, comme N.-R. Potin de La Mairie, pensent qu'elle reliait Rouen à Amiens[26]. Ce qui est sûr, c'est que cette voie forme aujourd'hui la rue principale de Criquiers, auparavant appelée chaussée Brunehaut[25]. Des débris romains ont également été retrouvés à la section des Authieux, ainsi qu'au hameau du Bos-des-Puits[25].
Au Moyen Âge, l'ancien village de Criquiers est détruit, puis reconstruit afin de favoriser le repeuplement du secteur, au début du XIVe siècle par l'abbaye Saint-Laurent de Beaubec qui donne aux habitants des franchises. « Outre l’église, dont l’établissement est soumis à l’autorisation de l’ordinaire, les religieux feront faire à leurs frais une mare, un puits et un four. La charte règle de manière précise, voire tatillonne, la condition des tenanciers. Chacun se voit accorder en perpétuel héritage une « resséantise » – un terrain portant sa demeure – pour laquelle il est tenu de verser un chapon à Noël, et des terres, à raison de 10 sous l’acre. Les hommes pourront user de leurs tènements et resséantises à volonté ; les transmettre à leurs héritiers moyennant le versement d’un relief de 5 sous par resséantise, somme qui acquitterait une acre de terre, les terres de plein champ se relevant à raison de 12 deniers l’acre[27] ». Ce nouveau village prend un temps le nom de Neuville, mais l'ancien nom de Criquiers s'impose rapidement[26].
Par une charte datant de l'année 1314, Enguerrand de Marigny, chambellan et ministre de Philippe le Bel, donne à Criquiers « trois acres de terre pour établir un cimetière, une église et un presbytère »[26]. Le presbytère est fondé en 1326 par l'abbaye de Beaubec[26].
Avant la Révolution française, Criquiers était « une paroisse de l'archidiaconé d'Eu, du doyenné, de la vicomté et de l'élection de Neufchâtel[26] ».
Un grand fossé existait, à une époque inconnue, entre Criquiers et Formerie. Ce fossé était appelé le fossé Castresse, et avait également le nom plus ancien de fossa Castrensis[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Aumale[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Criquiers est désormais rattaché au canton de Gournay-en-Bray.
Intercommunalité
Criquiers était membre de la petite communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.
La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du prescrivant, dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale, que les intercommunalités à fiscalité propre doivent, sauf exceptions, regrouper au moins 15 000 habitants, l'intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont Criquiers est désormais membre.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Criquérois [33].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2020, la commune comptait 711 habitants[Note 10], en augmentation de 7,89 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Criquiers possède une école maternelle ainsi qu’une école élémentaire de 2 classes scolarisant environ 65 élèves en 2019. Ils disposent d'un restaurant scolaire dans la salle des fêtes et un accueil périscolaire[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Notre-Dame, fondée en 1326 par l'Abbaye Saint-Laurent de Beaubec, et dont le curé dépendait encore de l'abbaye en 1661. Le premier curé séculier est Marie Henry, en fonction de 1674 à 1706. La restructuration de l'église de 1866 lui donne son aspect actuel, avec la reconstruction du chœur, le relèvement des murs de la nef, construction d'un contrefort entre chaque fenêtre de la nef, puis, en 1875, percement de 12 nouvelles fenêtres, réfection des dallages. L'autel, en marbre blanc de Carare, a été offert par Mme veuve Maubert-Quesnel en mémoire des combattants de la Première Guerre mondiale[37]
- La façade et sa fresque (vers 2013)
- La nef vers le chœur
- La nef vers l'entrée
- La chaire
- Le chœur
- Chapelle Saint-Lambert (les Anthieux), reconstruite en 1876, puis rénovée et embellie en 2010-2011[38].
- Huit calvaires se trouvent au village et dans ses hameaux[39] :
- 1 Ã Hadancourt,
- 2 Ã Bois des Puits,
- 1 au Bout la Haut,
- 1 pendu,
- 1 à l'Église,
- 1 au cimetière,
- 1 Ã la Chapelle Maubert
- Mairie-Salle des fêtes
- L'ancienne école
- Halle Pierre Boulet, place Jean Noyon
- Calvaire sur le côté de l'église
- Monument aux morts de Criquiers.
- Buste de poilu par Eugène Bénet, datant de 1920, sur le monument aux morts
Personnalités liées à la commune
- Pierre Sacquéepée (1783-1843), sergent au 11e régiment de tirailleurs, chevalier de la Légion d'honneur, né et mort à Criquiers[40].
Héraldique
Blason | D'argent au créquier arraché au naturel fruité de pourpre, à la filière d'azur |
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Détails | Création Francis Pinguet, 2001. |
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Criquiers (76199) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Criquiers », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Criquiers » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Décédé le 07/12/1833
- Décédé le 12/04/1863
- Décédé le 06/02/1912
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Criquiers » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Criquiers - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Criquiers - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Seine-Maritime » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- « Présentation de la commune », Mairie de Criquiers, (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Criquiers et Saint-Arnoult », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Arnoult - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Criquiers et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Recueil des publications, Société havraise d'études diverses, , p. 496.
- Archives de Seine-Maritime G 17, 1500, 3269, 1500, 740.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 287.
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 168-169, sur Gallica.
- N.-R. Potin de La Mairie, Recherches historiques, archéologiques et biographiques sur les possessions des Sires normands de Gournay : le Bray normand et le Bray picard et sur toutes les communes de l'arrondissement de Neufchâtel, vol. 1, Gournay-en-Bray, Letailleur-Andrieux, imprimeur libraire, , 287 p. (lire en ligne), p. 186-188, sur Google Books
- Pierre Bauduin, « Trois cas de peuplement en franchises en Normandie orientale : Villedieu-la-Montagne, Gourchelles, Criquiers (1168-1306) », Histoire & Sociétés Rurales, vol. 15, nos 2001/1,‎ , p. 131-164 (lire en ligne, consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Archives départementales de Seine-Maritime : État civil de Criquiers de 1800 à 1914 et en mairie registre des délibérations de 1914 à 2001
- Vincent Beny, « Claude Michel présente sa liste à Criquiers : Claude Michel vient de présenter la liste qu’il conduira lors des élections municipales. Son nom : « l’Expérience, le renouveau et l’avenir », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Vincent Beny, « A la surprise de tous, Claude Michel laisse la place de maire à son fils à Criquiers : Surprise à Criquiers où quelques minutes avant l’élection du maire, Claude Michel, en poste depuis deux mandats, a décidé de laisser la place à son fils », Le Réveil,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Claude Michel reste tout de même 1er adjoint ».
- « Le maire et son 1er adjoint décident de financer les travaux sans subventions : La municipalité de Criquiers n’a pas voulu attendre davantage les subventions du Conseil Départemental pour faire des travaux devant son église. Après avoir essuyé deux refus, elle a décidé d’aller de l’avant après un an et demi d’attente », Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no 37654,‎ , p. 13.
- « Gentilé des habitants de Criquiers », sur Habitants.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- [CRiquiers - Eglise Notre-Dame - WP 20190420 15 08 63 Rich.jpg Plaque explicative placée devant l'église]
- « Les Anthieux - Chapelle saint lambert » [PDF], Histoire et monuments, sur http://www.criquiers.fr (consulté le ).
- « Histoire et monuments », sur http://www.criquiers.fr (consulté le ).
- « Pierre Sacquéepée », base Léonore, ministère français de la Culture.