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HĂ´pital maritime de Berck

L'hôpital maritime de Berck est un hôpital de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) situé en bordure de plage sur le territoire de la commune de Berck, dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

HĂ´pital maritime de Berck AP-HP
Image illustrative de l’article Hôpital maritime de Berck
La façade sur la mer vers 1900.
Présentation
CoordonnĂ©es 50° 24â€?nbsp;04â€?nbsp;nord, 1° 33â€?nbsp;30â€?nbsp;est
Pays France
Ville Berck
Adresse Rue du Docteur MĂ©nard
62608 Berck
Fondation
Site web http://maritimeberck.aphp.fr/
Organisation
Type Universitaire
Services
Service d’urgences non
Nombre de lits 200
Collaborateurs 370
Spécialité(s) Soins de suite et de réadaptation
(Voir situation sur carte : Pas-de-Calais)
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)

Origine (1854-1861)

L'Assistance publique de Paris envoie des « enfants trouvés », vers 1854[1], à Groffliers chez Marie-Anne Duhamel (dite « mère Duhamel » ou « veuve Duhamel »), une veuve âgée, qui habite Groffliers, un village isolé séparé de la mer et de la plage par le cordon dunaire qui va de l'Authie à la Canche. Cette femme recevait un petit salaire pour les héberger, les nourrir et les élever. Ils sont suivis par le médecin inspecteur de l'arrondissement de Montreuil, le docteur Paul Perrochaud. Celui-ci constate l'amélioration rapide de la santé et de l'état physique des enfants qui repartent à Paris en bonne forme. Il fait part de ce fait à son inspecteur divisionnaire, l'instituteur Jules Frère[2] - [Note 1], et ils prennent la décision de faire un essai de ce « traitement maritime » avec des jeunes scrofuleux[Note 2] (forme ganglionnaire de la tuberculose[3]) de leur département. Le traitement de type hydrothérapie consiste à les amener dans une brouette jusqu'à la mer, de les baigner et de panser leurs ulcères, par groupe d'une dizaine d'enfants que l'un ou l'autre des deux docteurs visite tous les trois jours. Le résultat qui leur apparaît comme positif les incite à faire profiter de ce traitement un plus grand nombre d'enfants, mais Mme Duhamel} vieillit et il leur faut rechercher un autre site d'accueil[4].

Maison de Mme Brillard sur la plage de Berck (dessin d'Émile Lavezzari 1860).

Ils trouvent à quelques kilomètres, à Berck dans un site identique du point de vue environnement maritime, une femme également veuve et solitaire, Marie-Anne Brillard (dite « veuve Brillard » ou « Marie-Anne-toute-seule »[Note 3]) qui accepte cette charge. Peu après, trois religieuses viennent la seconder. En 1856, vingt-cinq enfants, sur les trente-sept traités à Berck, quittent la plage avec, de l'avis des médecins, une amélioration significative de leur état physique et sanitaire. En 1859, Armand Husson, le nouveau directeur de l'Assistance publique de Paris, organise un voyage d'étude avec des médecins des hôpitaux parisiens pour vérifier de visu s'il est opportun de créer un hôpital maritime pour les jeunes scrofuleux du département de la Seine[5].

Le rapport de cette visite constate qu'à première vue il semble nécessaire d'installer un établissement, mais des questions sont en suspens, notamment : obtiendra-t-on le même résultat avec un groupe plus important devant supporter la contrainte des règles d'une collectivité ? Comment concevoir un établissement médical qui doit être aussi un lieu d'éducation ? Le site de Berck est-il adapté à une grande structure ? L'administration choisit d'édifier un hôpital provisoire pour permettre une étude plus approfondie de ces divers points[6].

HĂ´pital provisoire (1861-1869)

L'Assistance publique obtient de l'État, après avis des ponts et chaussĂ©es, du ministère de la guerre et de celui de la marine, qu'il lui cède un terrain de trois hectares de dunes « relais de mer ». Mais Armand Husson est confrontĂ© au problème du choix du matĂ©riau et de la durĂ©e du chantier car c'est dĂ©jĂ  l'hiver et la saison des bains dĂ©bute vers le . Il rencontre l'architecte de Montreuil, Émile Lavezzari, et va visiter son petit lazaret Ă©difiĂ© en bois sur la plage pour la « SociĂ©tĂ© humaine des naufragĂ©s », exemple d'une construction, Ă©conomique et rapide Ă  construire, qui rĂ©siste bien au vent et au sable. Peu après cet entretien, Lavezzari reçoit l'ordre de produire rapidement un projet pour un Ă©tablissement de 100 lits[7], divisĂ©s par moitiĂ© entre les garçons et les filles[8]. Quatorze jours plus tard, le projet est finalisĂ© et il lui est demandĂ© d'en prendre en charge l'exĂ©cution. Il reçoit l'autorisation de construire en . L'entreprise M. E. Carpentier, installĂ©e Ă  Abbeville, est choisie pour l'ensemble de la construction, nĂ©anmoins elle sous-traite toutes les charpentes Ă  Alexandre Crouy, de Boulogne[7].

Planche d'architecture de la version finalisée par l'ajout d'une galerie, face à la mer pour protéger la cour du vent, quelques mois après l'ouverture (par Émile Laverazzi).

Le bâtiment Ă  construire prend la forme d'un plan carrĂ© ouvert vers le large, avec les deux cĂ´tĂ©s parallèles, au nord et au sud, constituĂ©s par des corps de logis symĂ©triques longs de 45 mètres, espacĂ©s de 45 m, avec un seul Ă©tage sous une toiture Ă  deux pans. Un bâtiment, uniquement en rez-de-chaussĂ©e, ferme le cĂ´tĂ© est. La cour crĂ©Ă©e au centre est ouverte vers l'ouest et la mer, avec une chapelle situĂ©e, Ă  Ă©gale distance des deux Ă©difices latĂ©raux. Ă€ l'Est, des petits Ă©difices sont placĂ©s en symĂ©trie au nord et au sud des corps de logis[9] - [8].

L'hôpital provisoire vu par Émile Laverazzi

Pour la construction, l'architecte reprend, en l'adaptant, ce qu'il a mis au point pour le lazaret[7]. Les fondations sont identiques, elles sont rĂ©alisĂ©es avec des piquets de bois long de 1,50 m disposĂ©s lĂ©gèrement en biais dans une tranchĂ©e prĂ©alablement creusĂ©e dans le sable. Après, avoir reliĂ©s entre eux les piquets par les planches du soubassement, la cavitĂ© est rebouchĂ©e avec le sable et une couche de petits moellons de craie blanche, pour Ă©viter l'affouillement par le vent. La longueur des piquets enfouis dans le sol est de 1,20 m[10]. La structure des murs est faite : de madriers verticaux, section 22 Ă— 8 cm, disposĂ©s tous les trois mètres, et de poteaux de remplage espacĂ©s de 50 cm d'axe en axe. Toutes les pièces horizontales sont doubles et moisĂ©es, exceptĂ© les poutrelles de plancher, qui sont simples[7]. Le système de la « double enveloppe », Ă©tablie par des parois extĂ©rieurs et intĂ©rieurs, est Ă©galement repris avec la diffĂ©rence notable qu'elle est ici hermĂ©tique, afin de constituer un matelas d'air, bon isolant. Cela permet de conserver la chaleur due au chauffage intĂ©rieur en hiver et de garder de la fraicheur lors du fort ensoleillement de l'Ă©tĂ©. Le problème de l'importante condensation de la vapeur d'eau reportĂ©e sur les vitrages est traitĂ©, par l'installation sur les tablettes d'appuis des fenĂŞtres d'une tringle formant un lĂ©ger rebord, et la crĂ©ation d'une petite rigole reliĂ©e Ă  un tube en plomb passant vers l'extĂ©rieur. Afin d'Ă©viter le refoulement de l'eau, par le vent, la partie extĂ©rieure du tube est recourbĂ©e en siphon. La chapelle dispose d'une charpente de toiture, diffĂ©rente de celle des autres bâtiments, permettant vue de l'intĂ©rieur, un « rappel de voĂ»tes ogivales avec leurs nervures et pendentifs ». Toutes les toitures sont couvertes en ardoises d'Angers. Dans la cour, sur l'arrière de la chapelle, est creusĂ©e une cave qui prĂ©sente la forme d'un cuvelage de 4,30 m de diamètre dont la paroi est faite de madriers de sapin rouge posĂ©s de champ. Elle dispose d'une toiture couverte en bardeaux, situĂ©e hors-sol, Ă  la manière des moulins Ă  vent locaux[11].

Les finitions sont réalisées, avec une peinture à l'huile au ton brun Van Dyck pour toutes les menuiseries alors que les parois intérieures sont peintes à la colle en gris de lin. La chapelle qui dispose de vitrages de couleurs violet et orange, est peinte couleur saumon foncé, avec du vermillon ou de l'outremer pour souligner les nervures, et les petits pilastres et toutes les menuiseries sont en brun Van Dyck, rechampis de vermillon[12]. Le chauffage est réalisé par des poêles à bois installés au rez-de-chaussée, les autres pièces ont des petites cheminées en fonte, le tout étant disposé avec des dispositifs simples pour éviter de mettre le feu à la structure en bois. Excepté les lits, la literie, les linges et la vaisselle, l'entreprise a fourni et posé l'ensemble des équipements intérieurs, notamment les baignoires et le fourneau de la cuisine, mais aussi les clôtures[13].

Le chantier, débuté le [8] par d'importants terrassements, se poursuit jusqu'au , date de la pose du premier piquet de fondation. Le , l'ensemble des jeunes pensionnaires sont installés, ils sont cent quinze. Une inauguration solennelle a lieu le de la même année[7].

Hôpital Napoléon (1869-1870)

À gauche l'ancien hôpital provisoire en bois, devenu une annexe et à droite l'hôpital Napoléon, en 1869

La construction, prévue pour cinq cents lits, débute avec l'adjudication des travaux le et se termine officiellement par l'inauguration, le [14], de l'« Hôpital Napoléon » par l�a href="Eug%C3%A9nie_de_Montijo.html" title="Eugénie de Montijo">Impératrice Eugénie et le Prince impérial accompagnés par de nombreux invités.

L'établissement est débaptisé, après la chute du Second Empire en 1870, et renommé « Grand hôpital maritime » pour le différencier de l'établissement d'origine qui est nommé « Petit hôpital maritime »[3].

HĂ´pital maritime (depuis 1870)

Vers 1900, le grand hĂ´pital maritime et des enfants patients sur la plage.

En 1874, les plans et dessins, de l'architecte Émile Lavezzari, de l'« Hôpital maritime de Berck-sur-Mer » sont présentés dans le pavillon de la Ville de Paris à l'exposition internationale de Londres[15] (réalisée chaque année de 1871 à 1874).

En 1879, Henri Cazin devient le « médecin-chef » après le décès de son prédécesseur le docteur Perrochaud. À sa mort le , le jeune chirurgien François Calot assure l'intérim de sa fonction de « chirurgien-chef » jusqu'à la nomination de Victor Ménard, à la fin de l'année, au poste de médecin-chef[16] - [17].

L'hôpital au XXe siècle

Les malades du sanatorium de Berck, emmenés dans des voitures à ânes sur la plage, en 1908

Au début des années 1900, l'ancien hôpital provisoire inutilisé depuis plusieurs années est détruit pour permettre l'agrandissement de l'établissement. Trois pavillons en maçonnerie, dus à l'architecte Gaston Dezermeaux, sont construits par A. Gavet, de 1905 à 1910[14].

En 1914, le bâtiment comportant une piscine d'eau de mer est transformé en salle de réception[18].

En 1958, des aménagements sont effectués pour accueillir des « malades poliomyélitiques » dans le contexte du renforcement de la lutte contre cette maladie. C'est le pavillon Perrochaud qui est réaménagé, avec notamment le cloisonnement des salles d'hospitalisation en boxes de huit lits, l'ajout de groupes sanitaires, création de salles de réunions à chaque étage, pour pouvoir rapidement accueillir des lits supplémentaires. En juillet un premier convoi d'enfants venant de l'hôpital de Garches est installé dans l'hôpital maritime[19].

En 1964, une piscine d'eau de mer est réaménagée dans le bâtiment conçu pour cette fonction à l'origine[18].

L'hôpital au XXIe siècle

En , l'hĂ´pital maritime est l'un des quatre Ă©tablissements dĂ©centralisĂ©s de l'AP-HP, ll compte 180 lits et 310 salariĂ©s. Depuis quelques annĂ©es, des services ont Ă©tĂ© fermĂ©s, notamment la pharmacie, le laboratoire, la radiographie et le bloc. La piscine d'eau de mer a Ă©tĂ© totalement refaite au dĂ©but des annĂ©es 2000 pour un coĂ»t de 2,1 millions d'euros[20]. Cette refonte de la piscine est due Ă  l'architecte Emmanuel Gallet qui a pris le parti de retrouver la structure originale datant de la construction du « Grand HĂ´pital » en dĂ©truisant les amĂ©nagements postĂ©rieurs, notamment ceux de 1964. Cette base originelle est constituĂ©e d'un bâtiment en brique avec une toiture faite d'une verrière Ă  quatre pentes. La nouvelle installation comporte principalement trois bassins ayant chacun une fonction : natation, rĂ©Ă©ducation et marche (ce dernier ayant un fond mobile), et des amĂ©nagements pĂ©riphĂ©riques comme les vestiaires-douches. L'ensemble est accessibles aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite[18].

En s'ouvre le chantier de démolition d'une partie des bâtiments, notamment ceux situés au nord du « Grand hôpital » alors que le bâtiment construit en 1869 est conservé et continue à être dédié à une activité hospitalière[21].

La piscine en eau de mer est de nouveau rénovée en 2023 sans modification de son architecture. La verrière est conservée mais la charpente métallique oxydée par le sel prend une couleur anthracite qui met en valeur ses détails. L'étanchéité des plages est refaite et un carrelage bleu opale remplace le carrelage installé dans les années 1990.

L'activité hospitalière contemporaine

En 2022, l'hôpital maritime de Berck AP-HP a accueilli près de 1000 patients en hospitalisation complète de rééducation et de réadaptation (SSR). L'hôpital compte 200 lits, 2 salles de kinésithérapie, un plateau d'ergothérapie, un atelier d'appareillage, un atelier fauteuils roulants et toujours une balnéothérapie en eau de mer ainsi qu'une pharmacie.

L'hôpital emploie plus de 370 professionnels sur site alors que des fonctions supports sont regroupées en île-de-France dans l'un des 6 autres hôpitaux qui forment avec l'hôpital maritime, le groupe hospitalier universitaire Paris-Saclay (GHU APHP.Université Paris-Saclay).

L'hôpital maritime de Berck AP-HP s'est ouvert sur son territoire. La moitié des patients réside dans les Hauts-de-France et l'autre moitié réside en Île-de-France.

DĂ©diĂ© aux soins de suite et de rĂ©adaptation adultes en hospitalisation complète, l’hĂ´pital maritime de Berck  AP-HP est un Ă©tablissement de rĂ©fĂ©rence dans la prise en charge des patients en rĂ©Ă©ducation neurologique (113 lits), la rĂ©Ă©ducation des patients obèses (60 lits), la rĂ©Ă©ducation des personnes âgĂ©es (37 lits).

Il contribue avec le centre hospitalier de l'arrondissement de Montreuil (CHAM), à la filière gériatrique du Montreuillois.

Il est également Centre Intégré au Centre Spécialisé de l'Obésité (CI-CSO) Paris Île-de-France Centre.

En 2022, l'hôpital maritime de Berck AP-HP est le premier hôpital à obtenir le « Label Hospitalité », qui valorise la qualité de l’accueil et de la prise en charge des patients par les équipes.


 

Notes et références

Notes

  1. Jules Frères est lui-même un « enfant trouvé » de l'Assistance (voir l'article de la référence précédente)
  2. Informations lexicographiques et étymologiques de « scrofule » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  3. Dite aussi « Marianne-toute-seule ». C'est sous cette forme que son surnom est donnée, en hommage à son action, à une avenue de Berck et à une réplique d'un ancien bateau de pêche, le Marianne Toute Seule.

Références

  1. « Présentation de l'hôpital maritime de Berck : historique » (consulté le ).
  2. « Un novateur : Jules Frère », Le Journal du dimanche : gazette hebdomadaire de la famille,�/span> , p. 4-5 (lire en ligne, consulté le ).
  3. Pierre-Louis Laget (dossier grand hĂ´pital maritime), 2006, p. 1.
  4. Dr V. Du Claux, 1884, p. 119-120.
  5. Dr V. Du Claux, 1884, p. 120-121.
  6. Dr V. Du Claux, 1884, p. 121-122.
  7. Émile Lavezzari, 1862, p. 62.
  8. Pierre-Louis Laget (dossier petit hĂ´pital maritime), 2011, p. 1.
  9. Dr V. Du Claux, 1884, p. 123.
  10. Émile Lavezzari, 1862, p. 59.
  11. Émile Lavezzari, 1862, p. 63.
  12. Émile Lavezzari, 1862, p. 63-64.
  13. Émile Lavezzari, 1862, p. 65-66.
  14. Yves Perret-Gentil, Alain Lottin, Jean-Pierre Poussou et al., Les villes balnéaires d'Europe occidentale du XVIIIe siècle à nos jours, Paris, PUPS, coll. « Histoire maritime », , 495 p. (ISBN 978-2-84050-601-0 et 2-84050-601-7, lire en ligne), p. 14-20.
  15. Catalogue spécial de l'exposition de la ville de Paris : renseignements sur les services exposants et sur les objets exposés, Paris, mpr. de Chaix et Cie, , 368 p. (lire en ligne), p. 293-294.
  16. Philippe Loisel, « François Calot : de la guérison des bossus à la création de l'institut orthopédique », Histoire des sciences médicales, t. XXXIX, no 3,�/span> , p. 278 (ISSN 0440-8888, lire en ligne, consulté le ).
  17. « 1er mars 1944 : décès de François Calot, le chirurgien orthopédiste qui fit la renommée internationale de Berck-sur-Mer », sur Archives du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  18. Martine Quinette, « Berck-sur-Mer Balnéothérapie : l'hôpital maritime retrouve sa piscine en eau de mer », Le Moniteur, no 5128,�/span> (lire en ligne, consulté le ).
  19. R. Pouzet (préfet de la Seine), « Conseil municipal : séance du 5 juillet 1958 », Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris,�/span> , p. 528 (lire en ligne, consulté le ).
  20. Olivier Ducuing, « L'hôpital maritime de Berck dans la tourmente », Les Échos,�/span> (lire en ligne, consulté le ).
  21. « La démolition de l'hôpital maritime de Berck », sur Les Renc'Arts des amis d'Hom.Arts (association), (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Émile Lavezzari, « Constructions Ă©conomiques : bâtiments en bois Ă  double enveloppe », Revue gĂ©nĂ©rale de l'architecture et des travaux publics, vol. XX,â€?/span> , p. 58-65 (planches 13 et 14) (lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Émile Lavezzari, « HĂ´pital NapolĂ©on Ă  Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) », Revue gĂ©nĂ©rale de l'architecture et des travaux publics, vol. XXVIII,â€?/span> , p. 72-81 (planches 20 Ă  27) (lire en ligne, consultĂ© le ).
  • Dr V. Du Claux (prĂ©f. Francisque Sarcey), La Chronique de l'hygiène : en 1883, Paris, Librairie J.-B. Baillère et Fils, , 194 p. (lire en ligne), « Berck et les hĂ´pitaux maritimes (septembre 1883) », p. 119-137.
  • Administration gĂ©nĂ©rale de l'assistance publique (Paris), L'Assistance publique en 1900 ((1 vol : ill. portraits, plans), Paris, Masson et Cie, , 834 p. (lire en ligne), « HĂ´pital maritime : Ă  Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) », p. 577-582.
  • AndrĂ© Mesureur, L'Ĺ’uvre de l'Assistance publique de Paris : Congrès international de la tuberculose, Paris, Berger-Levrault et Cie, Éditeur, (lire en ligne), « HĂ´pital maritime de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais) », p. 17-20.
  • M. et G. Crepin et C. Lys-Cousin, Un HĂ´pital crĂ©e une ville, l'hĂ´pital maritime de Berck-sur-Mer, Assistance publique hĂ´pitaux de Paris : De sa crĂ©ation jusqu’en 1920, MusĂ©e de Berck, coll. « Cahiers du MusĂ©e de Berck / Histoire » (no 1),
  • Pierre-Louis Laget (rĂ©daction et dossier), HĂ´pital marin dit hĂ´pital NapolĂ©on, puis grand hĂ´pital maritime (Dossier no IA62001246), RĂ©gion Nord - Pas-de-Calais, coll. « Inventaire gĂ©nĂ©ral », , 150 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  • Pierre-Louis Laget (rĂ©daction et dossier), HĂ´pital marin dit petit hĂ´pital maritime (Dossier no IA62001245), RĂ©gion Nord - Pas-de-Calais, coll. « Inventaire gĂ©nĂ©ral », , 2 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne [PDF]).
  • Laurent Provost (rĂ©dacteur), « Chronique de l'HĂ´pital maritime de Berck : 1914-1919 », Retranscription (des archives) faites Ă  partir des cotes 603 Foss 113, 9 L 9, 9 l 41parti [PDF], sur Historix, .
  • Archives Assistance publique hĂ´pitaux de Paris, Berck-sur-Mer (Dossier avec un bref historique et une liste d'archives), Paris, coll. « Archives », , 5 p. (prĂ©sentation en ligne, lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes

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