György Faludy
György Faludy, connu dans les pays anglophones comme George Faludy ( Ă Budapest â Ă Budapest) est un poĂšte, traducteur, Ă©crivain, journaliste et professeur dâuniversitĂ© juif hongrois.
Nom de naissance | György Bernåt József Leimdörfer |
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Naissance |
Budapest |
DĂ©cĂšs |
(Ă 95 ans) Budapest |
Activité principale | |
Distinctions |
Prix Kossuth (1994) Citoyen dâhonneur de Budapest (1996) Prix commĂ©moratif Joseph Pulitzer (1998) Aranytoll (« Plume dâor ») de lâUnion nationale des journalistes (2000) |
Langue dâĂ©criture | hongrois |
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Genres |
Ćuvres principales
My Happy Days in Hell (1962)
Il a eu une vie aventureuse : il sâest rĂ©fugiĂ© de Hongrie avant la Seconde guerre mondiale ; il sâest enrĂŽlĂ© dans lâarmĂ©e amĂ©ricaine pendant la guerre ; il est retournĂ© en Hongrie et a Ă©tĂ© dĂ©tenu pendant trois ans dans un camp de travail sous le rĂ©gime communiste ; il sâest de nouveau rĂ©fugiĂ© en Occident aprĂšs la RĂ©volution de 1956 et il est dĂ©finitivement retournĂ© en Hongrie en 1988. Il sâest mariĂ© quatre fois. Toute sa vie, il a Ă©tĂ© un hĂ©doniste et un esprit non-conformiste, Ă©tant apprĂ©ciĂ© en tant que poĂšte, traducteur de la poĂ©sie universelle, et pour ses Ă©crits autobiographiques.
Biographie
György Faludy naĂźt en 1910 Ă Budapest, dans une famille juive relativement aisĂ©e. Il sâappelle Ă sa naissance György BernĂĄt JĂłzsef Leimdörfer[1] - [2]. Son pĂšre, Joachim Leimdörfer, est chimiste, professeur Ă une Ă©cole supĂ©rieure industrielle. Avec toute sa famille, il se convertit en 1923 au calvinisme. Il fait ses Ă©tudes au LycĂ©e Ă©vangĂ©lique de Budapest, obtenant son diplĂŽme de baccalaurĂ©at en 1928, puis il Ă©tudie aux universitĂ©s de Vienne (1928-1930), Berlin (1930-1931), Paris (1932) et Graz (1932-1933). Ayant des convictions politiques de gauche, il adhĂšre en 1931 au Parti social-dĂ©mocrate de Hongrie. Dans les annĂ©es 1933-1934, il fait son service militaire, le terminant comme sous-lieutenant de rĂ©serve.
Faludy commence Ă publier dans la revue FĂŒggetlen Szemle, dâabord un article, puis des traductions de poĂšmes de François Villon. Ce sont plutĂŽt des transpositions poĂ©tiques, puisquâil y exprime Ă©galement son propre ĂȘtre poĂ©tique, sa vision du monde, ses sentiments, sâaffirmant dĂ©jĂ comme un non-conformiste, ce quâil restera toute sa vie. Son premier volume, comprenant des transpositions poĂ©tiques de Heinrich Heine, est publiĂ© en Roumanie, Ă Cluj, en 1937. La mĂȘme annĂ©e, il essaye de faire publier un volume dâadaptations des ballades de Villon, mais aucun Ă©diteur ne lâaccepte, câest pourquoi il le fait publier Ă compte dâauteur, obtenant un grand succĂšs public. En mĂȘme temps, il provoque une polĂ©mique retentissante dans le monde littĂ©raire. Certains le critiquent pour avoir trahi Villon et lâaccusent de pornographie Ă cause de ses audaces de langage, dâautres voient dans ces transpositions la propre poĂ©sie de Faludy, le considĂ©rant comme trĂšs talentueux. Bien quâen 1938 il se rĂ©fugiera de Hongrie, ce volume sera publiĂ© de nombreuses fois jusquâen 1944, les autoritĂ©s nâayant rien contre Villon.
En 1937, Faludy se marie pour la premiĂšre fois. En 1938, il publie un volume de ses propres poĂšmes, intitulĂ© A pompeji strĂĄzsĂĄn (« De garde Ă PompĂ©i »). Il est proche du cercle de la revue SzĂ©p SzĂł, dont lâun des rĂ©dacteurs responsables est son ami, le poĂšte Attila JĂłzsef, mais il garde avec soin son indĂ©pendance.
Il quitte la Hongrie tout dâabord pour des raisons politiques, vu que le rĂ©gime pro-nazi commence Ă persĂ©cuter les sociaux-dĂ©mocrates et les Juifs, mais en mĂȘme temps, il quitte sa femme. Il sâĂ©tablit Ă Paris, oĂč il connaĂźt entre autres Arthur Koestler et frĂ©quente la communautĂ© des artistes hongrois Ă©migrĂ©s. Devant lâinvasion de la France par lâarmĂ©e allemande, en 1940, il se rĂ©fugie dâabord au Maroc, puis, en 1941, aux Ătats-Unis, oĂč il est le secrĂ©taire du Mouvement hongrois libre et rĂ©dacteur de la publication Harc! (« Combat ! ») de celui-ci. En 1943, il sâenrĂŽle dans lâarmĂ©e amĂ©ricaine, Ă©tant dâabord envoyĂ© faire des Ă©tudes universitaires, puis participant Ă des combats contre les Japonais. Il est dĂ©mobilisĂ© en 1945 avec le grade de caporal. Entre-temps, sa sĆur cadette restĂ©e en Hongrie est tuĂ©e par des membres du Parti des croix flĂ©chĂ©es.
Il retourne en Hongrie en 1946. Ătant opposĂ© au racisme, il dirige la dĂ©molition de la statue dâOttokĂĄr ProhĂĄszka (en) (1858-1927), un Ă©vĂȘque catholique antisĂ©mite. En 1947, il devient rĂ©dacteur au journal NĂ©pszava, organe du Parti social-dĂ©mocrate, et publie son deuxiĂšme volume de vers, Ćszi harmat utĂĄn (« AprĂšs la rosĂ©e dâautomne »). Le volume de ballades de Villon adaptĂ©es par lui arrive Ă sa 14e Ă©dition.
AprĂšs lâinstauration du rĂ©gime communiste stalinien en 1948, Faludy ne peut plus publier. En 1950, il est arrĂȘtĂ© sur la base dâaccusations inventĂ©es et dĂ©tenu sans jugement dâabord dans le camp dâinternement de Kistarcsa, puis dans celui de travail de Recsk. Il ne rĂ©sisterait pas avec son physique inadaptĂ© aux conditions dures de la dĂ©tention dans les caves de la police politique (ĂVH), puis dans les camps, sâil ne composait pas de poĂšmes dans sa tĂȘte. Il compose quatre vers, puis il les rĂ©pĂšte huit Ă dix fois. Quand il a huit vers, il rĂ©pĂšte ceux-ci Ă©galement cinq ou six fois, et ainsi de suite, jusquâĂ composer 40 vers quâil sâimpose par jour. Le matin, il rĂ©pĂšte tout ce quâil a composĂ© jusquâalors, cent, cinq cents, mille vers, etc. Ceux quâil considĂšre comme les meilleurs, il les dit Ă ses camarades du camp, qui les apprennent Ă leur tour[3]. Une autre forme de rĂ©sistance intellectuelle est « lâuniversitĂ© » que cultivent les intellectuels dĂ©tenus en partageant leurs connaissances, et dont un animateur important est Faludy. Ses camarades tĂ©moigneront plus tard que le poĂšte a Ă©tĂ© un soutien moral trĂšs important pour eux.
Il est libĂ©rĂ© en 1953, aprĂšs la mort de Staline, quand le premier gouvernement dâImre Nagy, dans le cadre dâune relative libĂ©ralisation du rĂ©gime, liquide le camp de Recsk. La mĂȘme annĂ©e, Faludy Ă©pouse la journaliste Zsuzsanna SzegĆ, avec qui il a un enfant. Jusquâen 1956, il gagne sa vie en faisant des traductions.
Pendant la RĂ©volution de 1956, il est actif dans LâUnion des Ă©crivains et au journal NĂ©pszava, aprĂšs la dĂ©faite de celle-ci se rĂ©fugiant de nouveau de Hongrie avec sa famille. Il vit Ă Paris, puis Ă Londres et dans des villes plus petites dâAngleterre. En 1957, il devient le premier rĂ©dacteur responsable de la publication Irodalmi ĂjsĂĄg (« Journal littĂ©raire ») des intellectuels hongrois Ă©migrĂ©s, puis reste son rĂ©dacteur jusquâen 1961. En 1962 paraĂźt son ouvrage autobiographique My Happy Days in Hell (publiĂ© en français sous le titre « Les Beaux jours de lâenfer »), oĂč il Ă©voque sa pĂ©riode de dĂ©tention aussi. Sa femme meurt en 1963.
En 1965, Faludy sâĂ©tablit Ă Florence, puis, en 1966, Ă Malte. Ătant bisexuel, il commence une relation avec le danseur amĂ©ricain Eric Johnson, de 28 ans son cadet, qui sera son compagnon pendant 36 ans. Johnson aussi est poĂšte. Il Ă©crit des vers en latin Ă©galement[4]. En 1967, ils sâĂ©tablissent au Canada, Ă Toronto. Ă partir de 1969, Faludy est professeur de littĂ©rature comparĂ©e europĂ©enne contemporaine Ă lâUniversitĂ© de Toronto. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, il enseigne Ă lâUniversitĂ© Columbia de New York aussi. Il fait Ă©galement des confĂ©rences Ă lâUniversitĂ© d'Ătat de Montclair (New Jersey), Ă lâUniversitĂ© Thomas Jefferson de Philadelphie et Ă lâUniversitĂ© Bishop's de Sherbrooke (QuĂ©bec). En 1972, il reçoit le titre de docteur honoris causa de lâUniversitĂ© de Toronto. Ă cĂŽtĂ© de son activitĂ© didactique, il collabore Ă plusieurs publications de lâĂ©migration hongroise de diverses partie du monde, et au journal Toronto Star, avec des chroniques littĂ©raires. En 1980, il publie un volume de vers Ă New York. Pendant ce temps, en Hongrie ses Ćuvres sont interdites, les fiches contenant son nom retirĂ©es des catalogues des bibliothĂšques mais, curieusement, il est traitĂ© et citĂ© dans A magyar irodalom törtĂ©nete (« Histoire de la littĂ©rature hongroise ») de 1981-1986.
Pendant quelques annĂ©es (les sources ne prĂ©cisent pas de quand jusquâĂ quand), il est mariĂ© pour la forme avec Lili ErĂ©nyi, propriĂ©taire dâune entreprise de tissage de tapis de Tanger.
En 1987, les Ă©ditions clandestines de Hongrie AB FĂŒggetlen KiadĂł publient en hongrois Les Beaux jours de lâenfer qui circule en samizdat. En 1988, deux cinĂ©astes de Hongrie tournent avec lui Ă Dubrovnik un film documentaire biographique, qui sâavĂ©rera ĂȘtre lâun des Ă©lĂ©ments prĂ©parant le changement de rĂ©gime de 1989. La mĂȘme annĂ©e, Faludy retourne en Hongrie. Entre 1991 et 1996, il collabore au journal Magyar HĂrlap. On publie ses volumes interdits jusquâalors, ainsi que de nouveaux volumes de vers et de traductions. Il est rĂ©compensĂ© de nombreuses distinctions, parmi lesquelles le Prix Kossuth (1994), le titre de Citoyen dâhonneur de Budapest (1996), le Prix commĂ©moratif Joseph Pulitzer (1998) et le prix Aranytoll (« Plume dâor ») de lâUnion nationale des journalistes (2000). En 1998, il est membre fondateur de lâAcadĂ©mie littĂ©raire numĂ©rique du MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi (hu), qui publie la plupart de ses Ćuvres en accĂšs libre[5]. En 2002, il Ă©pouse Fanny KovĂĄcs, une vedette mĂ©diatique de 65 ans sa cadette, et se sĂ©pare dâEric Johnson. Ă partir de 2005, il publie constamment dans la revue en hongrois Irodalmi Jelen (« PrĂ©sent littĂ©raire ») dâArad (Roumanie), oĂč paraĂźt le dernier Ă©crit de son vivant. Il meurt en 2006 avant la publication de son troisiĂšme Ă©crit autobiographique, A pokol tornĂĄcĂĄn (« Sur la vĂ©randa de lâenfer »). La mĂȘme annĂ©e, le square prĂšs du logement de Faludy Ă Toronto reçoit le nom George Faludy Place[6].
Ćuvres[7]
Anthumes
- 1937
- (hu) Heinrich Heine, Németorszåg (« Allemagne »), Cluj, Korunk (transpositions poétiques)
- (hu) François Villon balladåi (« Les Ballades de François Villon »), Budapest, Officina (transpositions poétiques)
- 1938
- (hu) A pompeji stråzsån (« De garde à Pompéi »), Officina (poÚmes)
- (hu) DicsĂ©rtessĂ©k. A katolikus lĂra remekei (« Laudetur. Chefs-dâĆuvre de la poĂ©sie lyrique catholique »), Budapest, Singer et Wolfner (traductions)
- (hu) EurĂłpai költĆk antolĂłgiĂĄja (« Anthologie des poĂštes europĂ©ens »), Budapest, CserĂ©pfalvi
- 1946 â (hu) A felszabadultak az elnyomottakĂ©rt (« Les dĂ©livrĂ©s pour les opprimĂ©s »), Budapest, Parti social-dĂ©mocrate (album commĂ©moratif en soutien au mouvement de rĂ©sistance dâEspagne)
- 1947 â (hu) Ćszi harmat utĂĄn (« AprĂšs la rosĂ©e dâautomne »), Officina (poĂšmes)
- 1948 â (hu) Rabelais Pantagruelje (« Pantagruel de Rabelais »), CserĂ©pfalvi (traduction)
- 1957 â (de) Tragödie eines Volkes (« TragĂ©die dâun peuple »), Vienne, Europa Verlag (histoire de la Hongrie jusquâĂ la RĂ©volution de 1956, en collaboration avec MĂĄria TatĂĄr (pseudonyme de Zsuzsanna Faludy) et György PĂĄlĂłczi-HorvĂĄth (hu))
- 1961 â (hu) EmlĂ©kkönyv a rĆt BizĂĄncrĂłl (« Livre de souvenirs sur Byzance la rousse »), Londres, Magyar Könyves CĂ©h (poĂšmes)
- 1962 â (en) My Happy Days in Hell, traduction de Kathleen SzĂĄsz, Londres, AndrĂ© Deutsch
- 1966 â (en) Karoton, traduction de Flora Papastavrou, Londres, Eyre and Spottiswoode (roman)
- 1970 â (en) Erasmus of Rotterdam (« Ărasme de Rotterdam »), traduction dâEric Johnson, Londres, Eyre and Spottiswoode (roman)
- 1975
- (hu) Levelek az utókorhoz (« Lettres à la postérité »), Toronto, Institut Marsile Ficin
- (hu) Ballada a senki fiĂĄrĂłl. Villon-ĂĄtköltĂ©s (« Ballade du fils de personne. Transposition poĂ©tique dâaprĂšs Villon »), Novi Sad, UdruĆŸenje Kolekcionara Jugoslavije
- 1983
- (en) Learn This Poem of Mine by Heart. Sixty Poems and One Speech (« Apprends ce poĂšme par cĆur. Soixante poĂšmes et un discours »), traduction de John Robert Colombo, Toronto, Hounslow Press
- (en) Twelve Sonets (« Douze sonnets »), traduction de Robin Skelton, Victoria (Colombie-Britannique), Pharos Press
- (hu) â Börtönversek. 1949â52. Az ĂVĂ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken (« PoĂšmes de prison. 1949-52. Dans les caves de lâĂVH et Ă Recsk »), Munich, Association Recsk
- 1985 â (en) Ballad for Isabelle, traduction de Robin Skelton, White Rock (Colombie-Britannique), White Rino Press
- 1987 â (hu), (en) HullĂĄk, kamaszok, tĂŒcsökzene â Corpses, Brats and Cricket Music (« Cadavres, adolescents, musique de criquets »), traduction en anglais de Robin Skelton, Vancouver, Tanks (poĂšmes en Ă©dition bilingue)
- 1988
- (en) Notes from the Rainforest (« Notes de la jungle »), Toronto, Hounslow Press (essais, en collaboration avec Eric Johnson)
- (hu) Test Ă©s lĂ©lek. A vilĂĄglĂra 1400 gyöngyszeme (« Corps et Ăąme. 1400 perles de la poĂ©sie lyrique du monde »), Budapest, Magyar VilĂĄg
- 1989 â (hu) Börtönversek. 1950â53. Az ĂVĂ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken. A szenvedĂ©s ĂĄbĂ©cĂ©je (« PoĂšmes de prison. 1950-53. Dans les caves de lâĂVH et Ă Recsk. AbĂ©cĂ© de la souffrance »), Magyar VilĂĄg
- 1990
- (hu) 200 szonett (« 200 sonnets »), Magyar Vilåg
- (hu) Erotikus versek. A vilĂĄglĂra 50 gyöngyszeme (« PoĂšmes Ă©rotiques. 50 perles de la poĂ©sie lyrique du monde »), Magyar VilĂĄg
- 1994 â (hu) Jegyzetek a kor margĂłjĂĄra (« Notes en marge de lâĂ©poque »), Magyar VilĂĄg (articles)
- 1995 â (hu) 100 könnyƱ szonett (« 100 sonnets lĂ©gers »), Magyar VilĂĄg
- 1998
- (hu) Vitorlån Kekovåba (« à voile à Kekova »), Magyar Vilåg (poÚmes)
- (hu) Jean de La Fontaine, ĂllatmesĂ©k (« Fables »), Budapest, GlĂłria
- 2000
- (hu) Pokolbeli napjaim utån (« AprÚs mes jours en enfer »), Magyar Vilåg (écrit autobiographique)
- (hu) KĂnai költĂ©szet (« PoĂ©sie chinoise »), GlĂłria
- (hu) Japån költészet (« Poésie japonaise »), Glória
- 2001
- (hu) Görög költészet (« Poésie grecque »), Glória
- (hu) Latin költészet (« Poésie latine »), Glória
- (hu) (hu) Limerickek (« Limericks »), Glória
- (hu) Longus, Daphnisz és Chloé (Daphnis et Chloé), Glória (traduction et un poÚme de Faludy)
- 2002
- (hu) KözĂ©pkori költĂ©szet (« PoĂ©sie du Moyen Ăge »), GlĂłria
- (hu) Perzsa költészet (« Poésie persane »), Glória
- (hu) Európai gyöngyszemek (« Perles européennes »), Magyar Vilåg (traductions des années 1930)
- (hu) A szerelem jogĂĄn (« Le droit Ă lâamour »), PilisszentivĂĄn, Forever (poĂšmes, en collaboration avec Fanny KovĂĄcs)
- (hu) Viharos évszåzad (« SiÚcle tempétueux »), Forever (poÚmes)
- (hu) PĂ©trone, Satyricon, GlĂłria
- 2003 â (hu) ReneszĂĄnsz költĂ©szet (« PoĂ©sie de la Renaissance »), GlĂłria
- 2004
- (hu) Barokk költészet (« Poésie baroque »), Glória
- (hu) Testek vonzĂĄsĂĄban. A vilĂĄgirodalom legszebb erotikus versei (« Dans lâattraction des corps. Les plus beaux poĂšmes Ă©rotiques de la littĂ©rature universelle »), GlĂłria
Posthumes
- 2006
- (hu) A Pokol tornĂĄcĂĄn (« Sur la vĂ©randa de lâenfer »), PĂ©cs, Alexandra (Ă©crit autobiographique)
- (hu) Gondolatok és portrék, Måraira hangolva (« Pensées et portraits, accordés à Mårai »), Attila Vincze (dir.), Budapest, Urbis (en collaboration avec Måria Szepes
- 2007
- (hu) Pokolbeli vĂg ĂłrĂĄink. Ăjabb beszĂ©lgetĂ©sek Faludy Györggyel (« Nos heures joyeuses en enfer. Nouveaux entretiens avec György Faludy »), Alexandra
- (hu) Jegyzetek az idĆ sodrĂĄban (« Notes dans le courant du temps »), Alexandra (articles)
En dâautres langues
Hormis les Ćuvres Ă©crites en hongrois et parus dâabord en traduction anglaise, sont parus traduits en dâautres langues :
- (da) Myne lykkelige Dage i Helvede (« Les Beaux jours de lâenfer »), traduction de Lotte Eskelung, Copenhague, Forlaget Fremad, 1964
- (de) Heitere Tage in der Hölle (« Les beaux jours de lâenfer »), traduction de Hans Wagenseil, Munich, RĂŒtten und Loening, 1964
- (fr) Les Beaux jours de lâenfer, traduction de LĂĄszlĂł Gara, Paris, John Didier, 1965
- (de) Erasmus von Rotterdam, traduction de Walter Seib et Waltraut Engel, Francfort-sur-le-Main, SocietÀts Verlag, 1973
Notes et références
- CsiszĂĄr 2008, p. 11.
- Section dâaprĂšs Faludy 2011a, Faludy 2011b, Faludy 2011c, (hu) « Ăletrajz » [« Biographie »], sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi (consultĂ© le ), CsiszĂĄr 2008 et Sarudi 2005, sauf les informations des sources indiquĂ©es Ă part.
- Note Ă Faludy 2011d.
- Jonas 2004.
- (hu) « Ăletrajz » [« Biographie »], sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi (consultĂ© le )
- (en) « City of Toronto names public space in honour of Hungarian-Canadian poet George Faludy », sur wx.toronto.ca, City of Toronto, (consulté le )
- Section dâaprĂšs (hu) « BibliogrĂĄfia », sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi (consultĂ© le ).
Bibliographie
- (hu) CsiszĂĄr, GĂĄbor, KöltĆi szerepek Ă©s imĂĄzsalkotĂĄs Faludy György Ă©letmƱvĂ©ben [« RĂŽles poĂ©tiques et crĂ©ation dâimages dans lâĆuvre de György Faludy »], Budapest, UniversitĂ© LorĂĄnd-Eötvös, (lire en ligne)
- (hu) Faludy, György, PokolbĂ©li vĂg napjaim [« Les Beaux jours de lâenfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi, (lire en ligne)
- (hu) Faludy, György, Pokolbeli napjaim utĂĄn [« AprĂšs mes jours en enfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi, (lire en ligne)
- (hu) Faludy, György, A pokol tornĂĄcĂĄn [« Sur la vĂ©randa de lâenfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi, (lire en ligne)
- (hu) Faludy, György, Börtönversek. 1950â53. Az ĂVĂ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken. A szenvedĂ©s ĂĄbĂ©cĂ©je [« PoĂšmes de prison. 1950-53. Dans les caves de lâĂVH et Ă Recsk. AbĂ©cĂ© de la souffrance »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi, (lire en ligne)
- (hu) Jonas, George, « Faludy Ă©s a szerelem » [« Faludy et lâamour »], sur terasz.hu, (consultĂ© le ), traduction par Hanna Dömötör de (en) George Jonas, « The poet and the ballet dancer » [« Le poĂšte et le danseur de ballet »], National Post, 8 mars 2004
- (hu) Sarudi, Ăgnes, « 95 Ă©ves Faludy György » [« György Faludy a 95 ans »], sur mult-kor.hu, (consultĂ© le )
Lecture supplémentaire
- (en) « Author's page. György FALUDY (1910-2006) », sur hunlit.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetĆfi, (consultĂ© le )
- (en) Dobszay, Jånos, « Literature will not survive the 21st century », sur hvg.hu, Heti Vilåggazdasåg, (consulté le )
- (en) « György Faludy », European Cultural Review, no 14,â (lire en ligne, consultĂ© le )
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :