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György Faludy

György Faludy, connu dans les pays anglophones comme George Faludy ( Ă  Budapest – Ă  Budapest) est un poĂšte, traducteur, Ă©crivain, journaliste et professeur d’universitĂ© juif hongrois.

György Faludy
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Portrait de Bahget Iskander (hu)
Nom de naissance György Bernåt József Leimdörfer
Naissance
Budapest
DĂ©cĂšs (Ă  95 ans)
Budapest
Activité principale
Distinctions
Prix Kossuth (1994)
Citoyen d’honneur de Budapest (1996)
Prix commémoratif Joseph Pulitzer (1998)
Aranytoll (« Plume d’or ») de l’Union nationale des journalistes (2000)
Auteur
Langue d’écriture hongrois
Genres

ƒuvres principales

My Happy Days in Hell (1962)

Il a eu une vie aventureuse : il s’est rĂ©fugiĂ© de Hongrie avant la Seconde guerre mondiale ; il s’est enrĂŽlĂ© dans l’armĂ©e amĂ©ricaine pendant la guerre ; il est retournĂ© en Hongrie et a Ă©tĂ© dĂ©tenu pendant trois ans dans un camp de travail sous le rĂ©gime communiste ; il s’est de nouveau rĂ©fugiĂ© en Occident aprĂšs la RĂ©volution de 1956 et il est dĂ©finitivement retournĂ© en Hongrie en 1988. Il s’est mariĂ© quatre fois. Toute sa vie, il a Ă©tĂ© un hĂ©doniste et un esprit non-conformiste, Ă©tant apprĂ©ciĂ© en tant que poĂšte, traducteur de la poĂ©sie universelle, et pour ses Ă©crits autobiographiques.

Biographie

György Faludy naĂźt en 1910 Ă  Budapest, dans une famille juive relativement aisĂ©e. Il s’appelle Ă  sa naissance György BernĂĄt JĂłzsef Leimdörfer[1] - [2]. Son pĂšre, Joachim Leimdörfer, est chimiste, professeur Ă  une Ă©cole supĂ©rieure industrielle. Avec toute sa famille, il se convertit en 1923 au calvinisme. Il fait ses Ă©tudes au LycĂ©e Ă©vangĂ©lique de Budapest, obtenant son diplĂŽme de baccalaurĂ©at en 1928, puis il Ă©tudie aux universitĂ©s de Vienne (1928-1930), Berlin (1930-1931), Paris (1932) et Graz (1932-1933). Ayant des convictions politiques de gauche, il adhĂšre en 1931 au Parti social-dĂ©mocrate de Hongrie. Dans les annĂ©es 1933-1934, il fait son service militaire, le terminant comme sous-lieutenant de rĂ©serve.

Faludy commence Ă  publier dans la revue FĂŒggetlen Szemle, d’abord un article, puis des traductions de poĂšmes de François Villon. Ce sont plutĂŽt des transpositions poĂ©tiques, puisqu’il y exprime Ă©galement son propre ĂȘtre poĂ©tique, sa vision du monde, ses sentiments, s’affirmant dĂ©jĂ  comme un non-conformiste, ce qu’il restera toute sa vie. Son premier volume, comprenant des transpositions poĂ©tiques de Heinrich Heine, est publiĂ© en Roumanie, Ă  Cluj, en 1937. La mĂȘme annĂ©e, il essaye de faire publier un volume d’adaptations des ballades de Villon, mais aucun Ă©diteur ne l’accepte, c’est pourquoi il le fait publier Ă  compte d’auteur, obtenant un grand succĂšs public. En mĂȘme temps, il provoque une polĂ©mique retentissante dans le monde littĂ©raire. Certains le critiquent pour avoir trahi Villon et l’accusent de pornographie Ă  cause de ses audaces de langage, d’autres voient dans ces transpositions la propre poĂ©sie de Faludy, le considĂ©rant comme trĂšs talentueux. Bien qu’en 1938 il se rĂ©fugiera de Hongrie, ce volume sera publiĂ© de nombreuses fois jusqu’en 1944, les autoritĂ©s n’ayant rien contre Villon.

En 1937, Faludy se marie pour la premiĂšre fois. En 1938, il publie un volume de ses propres poĂšmes, intitulĂ© A pompeji strĂĄzsĂĄn (« De garde Ă  PompĂ©i »). Il est proche du cercle de la revue SzĂ©p SzĂł, dont l’un des rĂ©dacteurs responsables est son ami, le poĂšte Attila JĂłzsef, mais il garde avec soin son indĂ©pendance.

Il quitte la Hongrie tout d’abord pour des raisons politiques, vu que le rĂ©gime pro-nazi commence Ă  persĂ©cuter les sociaux-dĂ©mocrates et les Juifs, mais en mĂȘme temps, il quitte sa femme. Il s’établit Ă  Paris, oĂč il connaĂźt entre autres Arthur Koestler et frĂ©quente la communautĂ© des artistes hongrois Ă©migrĂ©s. Devant l’invasion de la France par l’armĂ©e allemande, en 1940, il se rĂ©fugie d’abord au Maroc, puis, en 1941, aux États-Unis, oĂč il est le secrĂ©taire du Mouvement hongrois libre et rĂ©dacteur de la publication Harc! (« Combat ! ») de celui-ci. En 1943, il s’enrĂŽle dans l’armĂ©e amĂ©ricaine, Ă©tant d’abord envoyĂ© faire des Ă©tudes universitaires, puis participant Ă  des combats contre les Japonais. Il est dĂ©mobilisĂ© en 1945 avec le grade de caporal. Entre-temps, sa sƓur cadette restĂ©e en Hongrie est tuĂ©e par des membres du Parti des croix flĂ©chĂ©es.

Il retourne en Hongrie en 1946. Étant opposĂ© au racisme, il dirige la dĂ©molition de la statue d’OttokĂĄr ProhĂĄszka (en) (1858-1927), un Ă©vĂȘque catholique antisĂ©mite. En 1947, il devient rĂ©dacteur au journal NĂ©pszava, organe du Parti social-dĂ©mocrate, et publie son deuxiĂšme volume de vers, Ɛszi harmat utĂĄn (« AprĂšs la rosĂ©e d’automne »). Le volume de ballades de Villon adaptĂ©es par lui arrive Ă  sa 14e Ă©dition.

AprĂšs l’instauration du rĂ©gime communiste stalinien en 1948, Faludy ne peut plus publier. En 1950, il est arrĂȘtĂ© sur la base d’accusations inventĂ©es et dĂ©tenu sans jugement d’abord dans le camp d’internement de Kistarcsa, puis dans celui de travail de Recsk. Il ne rĂ©sisterait pas avec son physique inadaptĂ© aux conditions dures de la dĂ©tention dans les caves de la police politique (ÁVH), puis dans les camps, s’il ne composait pas de poĂšmes dans sa tĂȘte. Il compose quatre vers, puis il les rĂ©pĂšte huit Ă  dix fois. Quand il a huit vers, il rĂ©pĂšte ceux-ci Ă©galement cinq ou six fois, et ainsi de suite, jusqu’à composer 40 vers qu’il s’impose par jour. Le matin, il rĂ©pĂšte tout ce qu’il a composĂ© jusqu’alors, cent, cinq cents, mille vers, etc. Ceux qu’il considĂšre comme les meilleurs, il les dit Ă  ses camarades du camp, qui les apprennent Ă  leur tour[3]. Une autre forme de rĂ©sistance intellectuelle est « l’universitĂ© » que cultivent les intellectuels dĂ©tenus en partageant leurs connaissances, et dont un animateur important est Faludy. Ses camarades tĂ©moigneront plus tard que le poĂšte a Ă©tĂ© un soutien moral trĂšs important pour eux.

Il est libĂ©rĂ© en 1953, aprĂšs la mort de Staline, quand le premier gouvernement d’Imre Nagy, dans le cadre d’une relative libĂ©ralisation du rĂ©gime, liquide le camp de Recsk. La mĂȘme annĂ©e, Faludy Ă©pouse la journaliste Zsuzsanna SzegƑ, avec qui il a un enfant. Jusqu’en 1956, il gagne sa vie en faisant des traductions.

Pendant la RĂ©volution de 1956, il est actif dans L’Union des Ă©crivains et au journal NĂ©pszava, aprĂšs la dĂ©faite de celle-ci se rĂ©fugiant de nouveau de Hongrie avec sa famille. Il vit Ă  Paris, puis Ă  Londres et dans des villes plus petites d’Angleterre. En 1957, il devient le premier rĂ©dacteur responsable de la publication Irodalmi ÚjsĂĄg (« Journal littĂ©raire ») des intellectuels hongrois Ă©migrĂ©s, puis reste son rĂ©dacteur jusqu’en 1961. En 1962 paraĂźt son ouvrage autobiographique My Happy Days in Hell (publiĂ© en français sous le titre « Les Beaux jours de l’enfer »), oĂč il Ă©voque sa pĂ©riode de dĂ©tention aussi. Sa femme meurt en 1963.

En 1965, Faludy s’établit Ă  Florence, puis, en 1966, Ă  Malte. Étant bisexuel, il commence une relation avec le danseur amĂ©ricain Eric Johnson, de 28 ans son cadet, qui sera son compagnon pendant 36 ans. Johnson aussi est poĂšte. Il Ă©crit des vers en latin Ă©galement[4]. En 1967, ils s’établissent au Canada, Ă  Toronto. À partir de 1969, Faludy est professeur de littĂ©rature comparĂ©e europĂ©enne contemporaine Ă  l’UniversitĂ© de Toronto. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, il enseigne Ă  l’UniversitĂ© Columbia de New York aussi. Il fait Ă©galement des confĂ©rences Ă  l’UniversitĂ© d'État de Montclair (New Jersey), Ă  l’UniversitĂ© Thomas Jefferson de Philadelphie et Ă  l’UniversitĂ© Bishop's de Sherbrooke (QuĂ©bec). En 1972, il reçoit le titre de docteur honoris causa de l’UniversitĂ© de Toronto. À cĂŽtĂ© de son activitĂ© didactique, il collabore Ă  plusieurs publications de l’émigration hongroise de diverses partie du monde, et au journal Toronto Star, avec des chroniques littĂ©raires. En 1980, il publie un volume de vers Ă  New York. Pendant ce temps, en Hongrie ses Ɠuvres sont interdites, les fiches contenant son nom retirĂ©es des catalogues des bibliothĂšques mais, curieusement, il est traitĂ© et citĂ© dans A magyar irodalom törtĂ©nete (« Histoire de la littĂ©rature hongroise ») de 1981-1986.

Pendant quelques annĂ©es (les sources ne prĂ©cisent pas de quand jusqu’à quand), il est mariĂ© pour la forme avec Lili ErĂ©nyi, propriĂ©taire d’une entreprise de tissage de tapis de Tanger.

György Faludy avec sa quatriÚme épouse.

En 1987, les Ă©ditions clandestines de Hongrie AB FĂŒggetlen KiadĂł publient en hongrois Les Beaux jours de l’enfer qui circule en samizdat. En 1988, deux cinĂ©astes de Hongrie tournent avec lui Ă  Dubrovnik un film documentaire biographique, qui s’avĂ©rera ĂȘtre l’un des Ă©lĂ©ments prĂ©parant le changement de rĂ©gime de 1989. La mĂȘme annĂ©e, Faludy retourne en Hongrie. Entre 1991 et 1996, il collabore au journal Magyar HĂ­rlap. On publie ses volumes interdits jusqu’alors, ainsi que de nouveaux volumes de vers et de traductions. Il est rĂ©compensĂ© de nombreuses distinctions, parmi lesquelles le Prix Kossuth (1994), le titre de Citoyen d’honneur de Budapest (1996), le Prix commĂ©moratif Joseph Pulitzer (1998) et le prix Aranytoll (« Plume d’or ») de l’Union nationale des journalistes (2000). En 1998, il est membre fondateur de l’AcadĂ©mie littĂ©raire numĂ©rique du MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi (hu), qui publie la plupart de ses Ɠuvres en accĂšs libre[5]. En 2002, il Ă©pouse Fanny KovĂĄcs, une vedette mĂ©diatique de 65 ans sa cadette, et se sĂ©pare d’Eric Johnson. À partir de 2005, il publie constamment dans la revue en hongrois Irodalmi Jelen (« PrĂ©sent littĂ©raire ») d’Arad (Roumanie), oĂč paraĂźt le dernier Ă©crit de son vivant. Il meurt en 2006 avant la publication de son troisiĂšme Ă©crit autobiographique, A pokol tornĂĄcĂĄn (« Sur la vĂ©randa de l’enfer »). La mĂȘme annĂ©e, le square prĂšs du logement de Faludy Ă  Toronto reçoit le nom George Faludy Place[6].

Plaque commémorative au premier domicile de György Faludy.
Sépulture de György Faludy.

ƒuvres[7]

Anthumes

  • 1937
    • (hu) Heinrich Heine, NĂ©metorszĂĄg (« Allemagne »), Cluj, Korunk (transpositions poĂ©tiques)
    • (hu) François Villon balladĂĄi (« Les Ballades de François Villon »), Budapest, Officina (transpositions poĂ©tiques)
  • 1938
    • (hu) A pompeji strĂĄzsĂĄn (« De garde Ă  PompĂ©i »), Officina (poĂšmes)
    • (hu) DicsĂ©rtessĂ©k. A katolikus lĂ­ra remekei (« Laudetur. Chefs-d’Ɠuvre de la poĂ©sie lyrique catholique »), Budapest, Singer et Wolfner (traductions)
    • (hu) EurĂłpai költƑk antolĂłgiĂĄja (« Anthologie des poĂštes europĂ©ens »), Budapest, CserĂ©pfalvi
  • 1946 – (hu) A felszabadultak az elnyomottakĂ©rt (« Les dĂ©livrĂ©s pour les opprimĂ©s »), Budapest, Parti social-dĂ©mocrate (album commĂ©moratif en soutien au mouvement de rĂ©sistance d’Espagne)
  • 1947 – (hu) Ɛszi harmat utĂĄn (« AprĂšs la rosĂ©e d’automne »), Officina (poĂšmes)
  • 1948 – (hu) Rabelais Pantagruelje (« Pantagruel de Rabelais »), CserĂ©pfalvi (traduction)
  • 1957 – (de) Tragödie eines Volkes (« TragĂ©die d’un peuple »), Vienne, Europa Verlag (histoire de la Hongrie jusqu’à la RĂ©volution de 1956, en collaboration avec MĂĄria TatĂĄr (pseudonyme de Zsuzsanna Faludy) et György PĂĄlĂłczi-HorvĂĄth (hu))
  • 1961 – (hu) EmlĂ©kkönyv a rƑt BizĂĄncrĂłl (« Livre de souvenirs sur Byzance la rousse »), Londres, Magyar Könyves CĂ©h (poĂšmes)
  • 1962 – (en) My Happy Days in Hell, traduction de Kathleen SzĂĄsz, Londres, AndrĂ© Deutsch
  • 1966 – (en) Karoton, traduction de Flora Papastavrou, Londres, Eyre and Spottiswoode (roman)
  • 1970 – (en) Erasmus of Rotterdam (« Érasme de Rotterdam »), traduction d’Eric Johnson, Londres, Eyre and Spottiswoode (roman)
  • 1975
    • (hu) Levelek az utĂłkorhoz (« Lettres Ă  la postĂ©ritĂ© »), Toronto, Institut Marsile Ficin
    • (hu) Ballada a senki fiĂĄrĂłl. Villon-ĂĄtköltĂ©s (« Ballade du fils de personne. Transposition poĂ©tique d’aprĂšs Villon »), Novi Sad, UdruĆŸenje Kolekcionara Jugoslavije
  • 1983
    • (en) Learn This Poem of Mine by Heart. Sixty Poems and One Speech (« Apprends ce poĂšme par cƓur. Soixante poĂšmes et un discours »), traduction de John Robert Colombo, Toronto, Hounslow Press
    • (en) Twelve Sonets (« Douze sonnets »), traduction de Robin Skelton, Victoria (Colombie-Britannique), Pharos Press
    • (hu) – Börtönversek. 1949–52. Az ÁVÓ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken (« PoĂšmes de prison. 1949-52. Dans les caves de l’ÁVH et Ă  Recsk »), Munich, Association Recsk
  • 1985 – (en) Ballad for Isabelle, traduction de Robin Skelton, White Rock (Colombie-Britannique), White Rino Press
  • 1987 – (hu), (en) HullĂĄk, kamaszok, tĂŒcsökzene – Corpses, Brats and Cricket Music (« Cadavres, adolescents, musique de criquets »), traduction en anglais de Robin Skelton, Vancouver, Tanks (poĂšmes en Ă©dition bilingue)
  • 1988
    • (en) Notes from the Rainforest (« Notes de la jungle »), Toronto, Hounslow Press (essais, en collaboration avec Eric Johnson)
    • (hu) Test Ă©s lĂ©lek. A vilĂĄglĂ­ra 1400 gyöngyszeme (« Corps et Ăąme. 1400 perles de la poĂ©sie lyrique du monde »), Budapest, Magyar VilĂĄg
  • 1989 – (hu) Börtönversek. 1950–53. Az ÁVÓ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken. A szenvedĂ©s ĂĄbĂ©cĂ©je (« PoĂšmes de prison. 1950-53. Dans les caves de l’ÁVH et Ă  Recsk. AbĂ©cĂ© de la souffrance »), Magyar VilĂĄg
  • 1990
    • (hu) 200 szonett (« 200 sonnets »), Magyar VilĂĄg
    • (hu) Erotikus versek. A vilĂĄglĂ­ra 50 gyöngyszeme (« PoĂšmes Ă©rotiques. 50 perles de la poĂ©sie lyrique du monde »), Magyar VilĂĄg
  • 1994 – (hu) Jegyzetek a kor margĂłjĂĄra (« Notes en marge de l’époque »), Magyar VilĂĄg (articles)
  • 1995 – (hu) 100 könnyƱ szonett (« 100 sonnets lĂ©gers »), Magyar VilĂĄg
  • 1998
    • (hu) VitorlĂĄn KekovĂĄba (« À voile Ă  Kekova »), Magyar VilĂĄg (poĂšmes)
    • (hu) Jean de La Fontaine, ÁllatmesĂ©k (« Fables »), Budapest, GlĂłria
  • 2000
    • (hu) Pokolbeli napjaim utĂĄn (« AprĂšs mes jours en enfer »), Magyar VilĂĄg (Ă©crit autobiographique)
    • (hu) KĂ­nai költĂ©szet (« PoĂ©sie chinoise »), GlĂłria
    • (hu) JapĂĄn költĂ©szet (« PoĂ©sie japonaise »), GlĂłria
  • 2001
    • (hu) Görög költĂ©szet (« PoĂ©sie grecque »), GlĂłria
    • (hu) Latin költĂ©szet (« PoĂ©sie latine »), GlĂłria
    • (hu) (hu) Limerickek (« Limericks »), GlĂłria
    • (hu) Longus, Daphnisz Ă©s ChloĂ© (Daphnis et ChloĂ©), GlĂłria (traduction et un poĂšme de Faludy)
  • 2002
    • (hu) KözĂ©pkori költĂ©szet (« PoĂ©sie du Moyen Âge »), GlĂłria
    • (hu) Perzsa költĂ©szet (« PoĂ©sie persane »), GlĂłria
    • (hu) EurĂłpai gyöngyszemek (« Perles europĂ©ennes »), Magyar VilĂĄg (traductions des annĂ©es 1930)
    • (hu) A szerelem jogĂĄn (« Le droit Ă  l’amour »), PilisszentivĂĄn, Forever (poĂšmes, en collaboration avec Fanny KovĂĄcs)
    • (hu) Viharos Ă©vszĂĄzad (« SiĂšcle tempĂ©tueux »), Forever (poĂšmes)
    • (hu) PĂ©trone, Satyricon, GlĂłria
  • 2003 – (hu) ReneszĂĄnsz költĂ©szet (« PoĂ©sie de la Renaissance »), GlĂłria
  • 2004
    • (hu) Barokk költĂ©szet (« PoĂ©sie baroque »), GlĂłria
    • (hu) Testek vonzĂĄsĂĄban. A vilĂĄgirodalom legszebb erotikus versei (« Dans l’attraction des corps. Les plus beaux poĂšmes Ă©rotiques de la littĂ©rature universelle »), GlĂłria

Posthumes

  • 2006
    • (hu) A Pokol tornĂĄcĂĄn (« Sur la vĂ©randa de l’enfer »), PĂ©cs, Alexandra (Ă©crit autobiographique)
    • (hu) Gondolatok Ă©s portrĂ©k, MĂĄraira hangolva (« PensĂ©es et portraits, accordĂ©s Ă  MĂĄrai »), Attila Vincze (dir.), Budapest, Urbis (en collaboration avec MĂĄria Szepes
  • 2007
    • (hu) Pokolbeli vĂ­g ĂłrĂĄink. Újabb beszĂ©lgetĂ©sek Faludy Györggyel (« Nos heures joyeuses en enfer. Nouveaux entretiens avec György Faludy »), Alexandra
    • (hu) Jegyzetek az idƑ sodrĂĄban (« Notes dans le courant du temps »), Alexandra (articles)

En d’autres langues

Hormis les Ɠuvres Ă©crites en hongrois et parus d’abord en traduction anglaise, sont parus traduits en d’autres langues :

  • (da) Myne lykkelige Dage i Helvede (« Les Beaux jours de l’enfer »), traduction de Lotte Eskelung, Copenhague, Forlaget Fremad, 1964
  • (de) Heitere Tage in der Hölle (« Les beaux jours de l’enfer »), traduction de Hans Wagenseil, Munich, RĂŒtten und Loening, 1964
  • (fr) Les Beaux jours de l’enfer, traduction de LĂĄszlĂł Gara, Paris, John Didier, 1965
  • (de) Erasmus von Rotterdam, traduction de Walter Seib et Waltraut Engel, Francfort-sur-le-Main, SocietĂ€ts Verlag, 1973

Notes et références

  1. CsiszĂĄr 2008, p. 11.
  2. Section d’aprĂšs Faludy 2011a, Faludy 2011b, Faludy 2011c, (hu) « Életrajz » [« Biographie »], sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi (consultĂ© le ), CsiszĂĄr 2008 et Sarudi 2005, sauf les informations des sources indiquĂ©es Ă  part.
  3. Note Ă  Faludy 2011d.
  4. Jonas 2004.
  5. (hu) « Életrajz » [« Biographie »], sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi (consultĂ© le )
  6. (en) « City of Toronto names public space in honour of Hungarian-Canadian poet George Faludy », sur wx.toronto.ca, City of Toronto, (consulté le )
  7. Section d’aprĂšs (hu) « BibliogrĂĄfia », sur pim.hu, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi (consultĂ© le ).

Bibliographie

  • (hu) CsiszĂĄr, GĂĄbor, KöltƑi szerepek Ă©s imĂĄzsalkotĂĄs Faludy György Ă©letmƱvĂ©ben [« RĂŽles poĂ©tiques et crĂ©ation d’images dans l’Ɠuvre de György Faludy »], Budapest, UniversitĂ© LorĂĄnd-Eötvös, (lire en ligne)
  • (hu) Faludy, György, PokolbĂ©li vĂ­g napjaim [« Les Beaux jours de l’enfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi, (lire en ligne)
  • (hu) Faludy, György, Pokolbeli napjaim utĂĄn [« AprĂšs mes jours en enfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi, (lire en ligne)
  • (hu) Faludy, György, A pokol tornĂĄcĂĄn [« Sur la vĂ©randa de l’enfer »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi, (lire en ligne)
  • (hu) Faludy, György, Börtönversek. 1950–53. Az ÁVÓ pincĂ©jĂ©ben Ă©s Recsken. A szenvedĂ©s ĂĄbĂ©cĂ©je [« PoĂšmes de prison. 1950-53. Dans les caves de l’ÁVH et Ă  Recsk. AbĂ©cĂ© de la souffrance »], Budapest, MusĂ©e littĂ©raire PetƑfi, (lire en ligne)
  • (hu) Jonas, George, « Faludy Ă©s a szerelem » [« Faludy et l’amour »], sur terasz.hu, (consultĂ© le ), traduction par Hanna Dömötör de (en) George Jonas, « The poet and the ballet dancer » [« Le poĂšte et le danseur de ballet »], National Post, 8 mars 2004
  • (hu) Sarudi, Ágnes, « 95 Ă©ves Faludy György » [« György Faludy a 95 ans »], sur mult-kor.hu, (consultĂ© le )

Lecture supplémentaire

Liens externes

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