Garos
Garos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Garos | |||||
La mairie de Garos | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Luys en Béarn | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Theulé 2020-2026 |
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Code postal | 64410 | ||||
Code commune | 64234 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Garossiens | ||||
Population municipale |
264 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 22 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 30âČ 26âł nord, 0° 28âČ 19âł ouest | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 236 m |
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Superficie | 12,06 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Artix et Pays de Soubestre | ||||
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Garos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 29 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 23 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Louvigny (2,5 km), Bouillon (2,6 km), Piets-Plasence-Moustrou (3,1 km), Fichous-Riumayou (3,1 km), Larreule (3,2 km), Uzan (3,8 km), Cabidos (4,0 km), GĂ©us-d'Arzacq (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Garos fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].
Hydrographie
La commune est drainée par le Luy, le Larritou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[7] - [Carte 1].
Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à RiviÚre-Saas-et-Gourby, aprÚs avoir traversé 65 communes[8].
Le Larritou, d'une longueur totale de 4 km, prend sa source dans la commune de Fichous-Riumayou et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy à Peyre, aprÚs avoir traversé 8 communes[9].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pomps », sur la commune de Pomps, mise en service en 1974[15] et qui se trouve Ă 6 km Ă vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 034,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 12 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22] - [23] - [24].
Urbanisme
Typologie
Garos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (83,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (58,7 %), terres arables (25 %), forĂȘts (16,2 %), prairies (0,1 %)[30].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Lieux-dits et hameaux
- Bergerot
- Boy
- Cabané
- Corbun
- Hillot
- Jagou
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D262, D271, D279 et D946.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Garos est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue Ă dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le Luy et le ruisseau de la Rance. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[33] - [31].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[34]. 98,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [35].
Risque technologique
La commune est en outre situĂ©e en aval de barrages de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[37].
Toponymie
Le toponyme Garos est mentionné au XIIe siÚcle[38] (titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[39]) et apparaßt sous les formes Guaros (1342[38], notaires de Pardies[40]) et Gayros (1385[38], censier de Béarn[41]).
Le toponyme Corbun apparaĂźt sous les formes CorbuĂŒ (1343[38], hommages de BĂ©arn[42]), Corbun de Jago et Courbun (respectivement[38] 1538 et 1675, rĂ©formation de BĂ©arn[43]).
Le toponyme Jagou apparaßt sous les formes Jago (1343[38], hommages de Béarn[42]), Jaguo (1538[38], réformation de Béarn[43]) et Jagon (1749[38], rÚglement du Parlement de Navarre[44]).
Histoire
Paul Raymond[38] note que la commune de Garos et le hameau de Jagou comptaient tous deux une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn et que le bailliage de Garos, aussi appelé bailliage de Morlanne, comptait en 1343 les communes et villages de Cassaigne, Caubios, Corbun, Garos, Jagou, Morlanne, Moustrou et Riumayou. Garos était également le chef-lieu du Soubestre. En 1385, on y comptait 89 feux.
Garos, ainsi que la commune voisine Bouillon, fut un centre potier Ă partir du Moyen Ăge. La production s'effectuait Ă domicile par les femmes, et constituait une source de revenus complĂ©mentaire pour le foyer. Cette production se termina vers 1930[45].
Anecdote : En 1607 (sous Henri IV), Ă Garos, les cagots (population exclue du reste de la population dans la rĂ©gion, et contrainte Ă n'exercer que des mĂ©tiers du bois) refusĂšrent de faire les cercueils et les trĂ©teaux pour les supporter; les jurats et dĂ©putĂ©s de la ville firent alors une ordonnance par laquelle ils obligeaient les cagots Ă exĂ©cuter ces funĂšbres travaux, Ă toute sommation, et cela moyennant un salaire fixe, que paierait le maĂźtre de la maison ou se serait produit le dĂ©cĂšs. Les cagots rĂ©calcitrants Ă©taient passibles dâune « loi majeure »[46].
Politique et administration
Intercommunalité
Garos appartient Ă quatre structures intercommunales[47] :
- la communauté de communes du canton d'Arzacq ;
- le syndicat AEP d'Arzacq ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat mixte des écoles de Morlanne et Castéide-Candau.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[49].
En 2020, la commune comptait 264 habitants[Note 10], en augmentation de 11,39 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
La commune possĂšde un ensemble[52] Ă©glise, motte et basse-cour datant des XIVe et XVIe siĂšcles.
Garos possÚde des fermes[53] des XVIIIe et XIXe siÚcles classées aux monuments historiques.
Le moulin[54] du village date du XIXe siĂšcle.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Barthélemy[55] date du XIXe siÚcle. Elle recÚle neuf verriÚres[56] et divers mobiliers et objets[57] recensés par le ministÚre de la Culture.
Le cimetiĂšre de Garos possĂšde une stĂšle discoĂŻdale[58] du XVIIIe siĂšcle.
Garos dans les arts
Dans le poĂšme dâAragon, Le Conscrit des cent villages, Ă©crit comme acte de RĂ©sistance intellectuelle de maniĂšre clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[59], le poĂšte se rĂ©fĂšre Ă un village qu'il appelle Garosse. Ce village n'existe pas sous cette orthographe.
Il peut donc s'agir de deux villages:
- Garos dans le département des Pyrénées-Atlantiques
- Garrosse dans le département des Landes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[36].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Garos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Métadonnées de la commune de Garos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Garos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Garos et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Garos », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Garos », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « le Luy ».
- Sandre, « le Larritou ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Pomps - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Garos et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Orthodromie entre Garos et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem - Archives départementales de la Haute-Garonne
- Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
- Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- Anne Berdoy, « Garos et Bouillon La vĂ©ritĂ© au fond du pot », Le festin, vol. Hors-sĂ©rie « L'Aquitaine archĂ©ologique »,â .
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble église, motte et basse-cour
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes de Garos
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin
- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Note sur l'église Saint-Barthélemy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notice sur les verriÚres de l'église Saint-Barthélemy
- MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Barthélemy
- MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur la stĂšle discoĂŻdale
- Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poÚtes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Communauté de communes du canton d'Arzacq