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Garos

Garos est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Garos
Garos
La mairie de Garos
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes des Luys en Béarn
Maire
Mandat
Jean-Marc Theulé
2020-2026
Code postal 64410
Code commune 64234
DĂ©mographie
Gentilé Garossiens
Population
municipale
264 hab. (2020 en augmentation de 11,39 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 30â€Č 26″ nord, 0° 28â€Č 19″ ouest
Altitude Min. 94 m
Max. 236 m
Superficie 12,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton d'Artix et Pays de Soubestre
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Garos

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Garos se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe Ă  29 km par la route[Note 1] de Pau[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  23 km d'Artix[3], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arzacq-Arraziguet[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Louvigny (2,5 km), Bouillon (2,6 km), Piets-Plasence-Moustrou (3,1 km), Fichous-Riumayou (3,1 km), Larreule (3,2 km), Uzan (3,8 km), Cabidos (4,0 km), GĂ©us-d'Arzacq (4,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Garos fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un État et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă  laquelle s’oppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[5].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Garos.

    La commune est drainĂ©e par le Luy, le Larritou et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[7] - [Carte 1].

    Le Luy, d'une longueur totale de 154,5 km, prend sa source dans la commune d'Espoey et s'Ă©coule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  RiviĂšre-Saas-et-Gourby, aprĂšs avoir traversĂ© 65 communes[8].

    Le Larritou, d'une longueur totale de km, prend sa source dans la commune de Fichous-Riumayou et s'Ă©coule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy Ă  Peyre, aprĂšs avoir traversĂ© 8 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 143 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pomps », sur la commune de Pomps, mise en service en 1974[15] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 034,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  12 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel prĂ©sentant un intĂ©rĂȘt patrimonial n'est recensĂ© sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[22] - [23] - [24].

    Urbanisme

    Typologie

    Garos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [25] - [26] - [27].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[28] - [29].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (83,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (58,7 %), terres arables (25 %), forĂȘts (16,2 %), prairies (0,1 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Lieux-dits et hameaux

    • Bergerot
    • Boy
    • CabanĂ©
    • Corbun
    • Hillot
    • Jagou

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales D262, D271, D279 et D946.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Garos est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment le Luy et le ruisseau de la Rance. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983 et 2009[33] - [31].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Garos.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[34]. 98,1 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 3]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [35].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval de barrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[37].

    Toponymie

    Le toponyme Garos est mentionné au XIIe siÚcle[38] (titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[39]) et apparaßt sous les formes Guaros (1342[38], notaires de Pardies[40]) et Gayros (1385[38], censier de Béarn[41]).

    Le toponyme Corbun apparaĂźt sous les formes CorbuĂŒ (1343[38], hommages de BĂ©arn[42]), Corbun de Jago et Courbun (respectivement[38] 1538 et 1675, rĂ©formation de BĂ©arn[43]).

    Le toponyme Jagou apparaßt sous les formes Jago (1343[38], hommages de Béarn[42]), Jaguo (1538[38], réformation de Béarn[43]) et Jagon (1749[38], rÚglement du Parlement de Navarre[44]).

    Histoire

    Paul Raymond[38] note que la commune de Garos et le hameau de Jagou comptaient tous deux une abbaye laĂŻque, vassale de la vicomtĂ© de BĂ©arn et que le bailliage de Garos, aussi appelĂ© bailliage de Morlanne, comptait en 1343 les communes et villages de Cassaigne, Caubios, Corbun, Garos, Jagou, Morlanne, Moustrou et Riumayou. Garos Ă©tait Ă©galement le chef-lieu du Soubestre. En 1385, on y comptait 89 feux.

    Garos, ainsi que la commune voisine Bouillon, fut un centre potier Ă  partir du Moyen Âge. La production s'effectuait Ă  domicile par les femmes, et constituait une source de revenus complĂ©mentaire pour le foyer. Cette production se termina vers 1930[45].

    Anecdote : En 1607 (sous Henri IV), Ă  Garos, les cagots (population exclue du reste de la population dans la rĂ©gion, et contrainte Ă  n'exercer que des mĂ©tiers du bois) refusĂšrent de faire les cercueils et les trĂ©teaux pour les supporter; les jurats et dĂ©putĂ©s de la ville firent alors une ordonnance par laquelle ils obligeaient les cagots Ă  exĂ©cuter ces funĂšbres travaux, Ă  toute sommation, et cela moyennant un salaire fixe, que paierait le maĂźtre de la maison ou se serait produit le dĂ©cĂšs. Les cagots rĂ©calcitrants Ă©taient passibles d’une « loi majeure »[46].

    Politique et administration

    Entrée dans Garos.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2001 Jean-Laurent Dupouy
    2001 2008 Jean-Marc Theulé
    2008 2014 Jean-Marc Theulé
    2008 En cours Jean-Marc Theulé
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Garos appartient Ă  quatre structures intercommunales[47] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[49].

    En 2020, la commune comptait 264 habitants[Note 10], en augmentation de 11,39 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    758556724768753719760729723
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    676658627576551540530536502
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    503508450388364358342330292
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    271239203207186191209212230
    2017 2020 - - - - - - -
    257264-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee Ă  partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    La commune possĂšde un ensemble[52] Ă©glise, motte et basse-cour datant des XIVe et XVIe siĂšcles.

    Garos possÚde des fermes[53] des XVIIIe et XIXe siÚcles classées aux monuments historiques.

    Le moulin[54] du village date du XIXe siĂšcle.

    Patrimoine religieux

    L'église Saint-Barthélemy

    L'église Saint-Barthélemy[55] date du XIXe siÚcle. Elle recÚle neuf verriÚres[56] et divers mobiliers et objets[57] recensés par le ministÚre de la Culture.

    Le cimetiĂšre de Garos possĂšde une stĂšle discoĂŻdale[58] du XVIIIe siĂšcle.

    Garos dans les arts

    Dans le poĂšme d’Aragon, Le Conscrit des cent villages, Ă©crit comme acte de RĂ©sistance intellectuelle de maniĂšre clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[59], le poĂšte se rĂ©fĂšre Ă  un village qu'il appelle Garosse. Ce village n'existe pas sous cette orthographe.

    Il peut donc s'agir de deux villages:

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[36].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Garos » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Garos », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Garos et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Garos et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Garos », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Fiche communale de Garos », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    8. Sandre, « le Luy ».
    9. Sandre, « le Larritou ».
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Pomps - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Garos et Pomps », sur fr.distance.to (consulté le ).
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    18. « Orthodromie entre Garos et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Liste des ZNIEFF de la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « Liste des espaces protégés sur la commune de Garos », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    27. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    31. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Garos », sur Géorisques (consulté le )
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    33. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    34. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    35. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    36. Article R214-112 du code de l’environnement
    37. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
    38. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    39. titres de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem - Archives départementales de la Haute-Garonne
    40. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    41. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385 (lire en ligne). .
    42. Manuscrit de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    43. Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
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    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    52. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'ensemble église, motte et basse-cour
    53. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur les fermes de Garos
    54. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le moulin
    55. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Note sur l'église Saint-Barthélemy
    56. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notice sur les verriÚres de l'église Saint-Barthélemy
    57. MinistÚre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'église Saint-Barthélemy
    58. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur la stĂšle discoĂŻdale
    59. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poÚtes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375

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