Galinagues
Galinagues (en occitan Galinagas) est une commune française, situĂ©e dans le Sud-Ouest du dĂ©partement de lâAude en rĂ©gion Occitanie.
Galinagues | |
Vue générale. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Aude |
Arrondissement | Limoux |
Intercommunalité | Communauté de communes des Pyrénées audoises |
Maire Mandat |
Patrick Emery 2020-2026 |
Code postal | 11140 |
Code commune | 11160 |
DĂ©mographie | |
Population municipale |
35 hab. (2020 ) |
Densité | 8,5 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 42° 48âČ 31âł nord, 2° 02âČ 46âł est |
Altitude | Min. 736 m Max. 1 098 m |
Superficie | 4,14 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
Départementales | Canton de la Haute-Vallée de l'Aude |
LĂ©gislatives | TroisiĂšme circonscription |
Localisation | |
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situĂ© entre 990 et 1310 mĂštres d'altitude fortement boisĂ©. ExposĂ©e Ă un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le RĂ©benty et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Galinagues est une commune rurale qui compte 35 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 197 habitants en 1821. Ses habitants sont appelés les Galinagois ou Galinagoises.
GĂ©ographie
La commune est située dans le pays de Sault.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique « CÎtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique RhÎne-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Rebenty, le ruisseau de Font Escure et le ruisseau du Rach, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
La Lauquette, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Fajac-en-Val et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est puis vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lauquet à Ladern-sur-Lauquet, aprÚs avoir traversé 4 communes[5].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[6].
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belcaire », sur la commune de Belcaire, mise en service en 1979[11] et qui se trouve Ă 7 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 9,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 018,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et Ă 51 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis Ă 14,5 °C pour 1991-2020[17].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[19] :
- le « bassin du Rebenty », d'une superficie de 8 567 ha, qui offre une palette d'habitats naturels sur une grande gamme altitudinale et climatique et sur des substrats variĂ©s (calcaires, marnes, schistes). En particulier, on y rencontre de belles pinĂšdes de pins Ă crochets sur sol acide. La riviĂšre hĂ©berge des espĂšces aquatiques (Chabot commun et Barbeau mĂ©ridional, Ăcrevisse Ă pattes blanches) et mammifĂšres (Desman des PyrĂ©nĂ©es)[20]
et un au titre de la directive oiseaux[19] :
- le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, présentant une grande diversité d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espÚces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espÚces forestiÚres comme le pic noir[21].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[22] : la « vallĂ©e du RĂ©benty de Belfort-sur-Rebenty Ă Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [22] :
- le « petit plateau de Sault » (5 054 ha), couvrant 11 communes du département[24] ;
- la « vallée du Rébenty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du département[25].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Galinagues est une commune rurale[Note 7] - [26]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (43,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (55,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,5 %), forĂȘts (12,3 %), prairies (10,3 %)[28].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Galinagues est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 24,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (75,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 33 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă comparer aux 94 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 3].
Armoiries
Blasonnement de la commune : ĂcartelĂ© dâazur et dâor. |
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme de Galinagiis en 1360[32].
Issu du bas latin galina (cf. occitan galina « poule »[33]), suivi du suffixe gaulois -aca[33], forme fĂ©minine d'-acum, suffixe ayant originellement une valeur locative. Le bas latin Galina recouvre peut-ĂȘtre un nom de personne gaulois *Gallinus, issu de Gallus « le Gaulois » avec suffixe diminutif gaulois et latin -inus[33].
Histoire
En 876, le seigneur d'Aniort (Niort-de-Sault) détient les territoires d'Aniort, Gebetx, Galinagues et Mazuby[34].
En 1016, le chevalier Bernard Odon de Niort donne à l'abbaye de Joucou la moitié du lieu de Galinagues. En 1037, il donne l'autre moitié du lieu à la canoniale de Saint-Jean de Niort.
Ă la fin des annĂ©es 1990, Galinagues, petit village du bout du monde, a retrouvĂ© une seconde jeunesse avec l'arrivĂ©e de nouveaux venus de l'Europe urbaine et mĂȘme des Ătats-Unis. La population est passĂ©e de 28 habitants en 1990 Ă 41 en 1999. La DĂ©pĂȘche du Midi relate en avril 1999 que les enfants, au nombre de 16, ont pris possession du village[I 4]. CrĂšche vivante, carnaval, omelette pascale.. ont Ă©tĂ© parmi les initiatives redonnant du sens au mot village[35].
Au début des années 2010, les plus grands enfants ont dû se rendre en ville ramenant la population à 29, remontée à 37 en 2018.
Le 10 juillet 2021, la 14e étape du Tour de France passe sur la commune et emprunte la cÎte de Galinagues classée en 3e catégorie au Grand prix de la montagne.
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune de Galinagues est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [36], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].
Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă l'arrondissement de Limoux, au dĂ©partement de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'Ătat, et Ă la rĂ©gion Occitanie[36].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[36], et de la troisiÚme circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[38].
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40].
En 2020, la commune comptait 35 habitants[Note 8], en augmentation de 45,83 % par rapport Ă 2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
Emploi
Division | 2008 | 2013 | 2018 |
---|---|---|---|
Commune[I 5] | 22,2 % | 17,4 % | 4,3 % |
DĂ©partement[I 6] | 10,2 % | 12,8 % | 12,6 % |
France entiĂšre[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 24 personnes, parmi lesquelles on compte 60,9 % d'actifs (56,5 % ayant un emploi et 4,3 % de chÎmeurs) et 39,1 % d'inactifs[Note 9] - [I 5]. En 2018, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 46,7 %[I 9].
Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 92 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 38,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 30,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 30,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
Deux Ă©tablissements[Note 10] seulement relevant dâune activitĂ© hors champ de lâagriculture sont implantĂ©s Ă Galinagues au [I 12].
Agriculture
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Exploitations | 5 | 4 | 4 |
Superficie agricole utilisée (ha) | 115 | 161 | nd[Note 11] |
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[43]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (cinq en 1988)[45].
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- FĂ©lix Armand (1742-1823), curĂ© de la paroisse de 1771 Ă 1774, connu pour ĂȘtre l'instigateur du percement des gorges de la Pierre-Lys permettant de relier Saint-Martin-Lys Ă Quillan puis ultĂ©rieurement Ă toute la Haute vallĂ©e de l'Aude.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- nd : donnée non disponible.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Galinagues » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Commune de Galinagues (11160) », sur INSEE (consulté le )
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Galinagues » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
- « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin RhÎne-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
- « Fiche communale de Galinagues », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « la Lauquette »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR9101468 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « Liste des ZNIEFF de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Robert Aymard, Les Pyrénéens au miroir de leur toponymie: Atlas toponymique pyrénéen, 1995, page 115
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Galinagues - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Galinagues sur le site de lâInstitut gĂ©ographique national