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Galinagues

Galinagues (en occitan Galinagas) est une commune française, situĂ©e dans le Sud-Ouest du dĂ©partement de l’Aude en rĂ©gion Occitanie.

Galinagues
Galinagues
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées audoises
Maire
Mandat
Patrick Emery
2020-2026
Code postal 11140
Code commune 11160
DĂ©mographie
Population
municipale
35 hab. (2020 en augmentation de 45,83 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 8,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 42° 48â€Č 31″ nord, 2° 02â€Č 46″ est
Altitude Min. 736 m
Max. 1 098 m
Superficie 4,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
LĂ©gislatives TroisiĂšme circonscription
Localisation
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Galinagues
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Galinagues

    Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Pays de Sault, un plateau situĂ© entre 990 et 1310 mĂštres d'altitude fortement boisĂ©. ExposĂ©e Ă  un climat de montagne, elle est drainĂ©e par le RĂ©benty et par deux autres cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « pays de Sault » et le « bassin du Rebenty ») et trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Galinagues est une commune rurale qui compte 35 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 197 habitants en 1821. Ses habitants sont appelĂ©s les Galinagois ou Galinagoises.

    GĂ©ographie

    La commune est située dans le pays de Sault.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Galinagues[1]
    Espezel Belfort-sur-Rebenty
    Galinagues Rodome
    Mazuby

    Hydrographie

    La commune est dans la région hydrographique « CÎtiers méditerranéens »[2], au sein du bassin hydrographique RhÎne-Méditerranée-Corse[3]. Elle est drainée par le Rebenty, le ruisseau de Font Escure et le ruisseau du Rach, qui constituent un réseau hydrographique de km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La Lauquette, d'une longueur totale de 17,9 km, prend sa source dans la commune de Fajac-en-Val et s'Ă©coule du sud-ouest vers le nord-est puis vers l'ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le Lauquet Ă  Ladern-sur-Lauquet, aprĂšs avoir traversĂ© 4 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© suivant[6].

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 998 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 9,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belcaire », sur la commune de Belcaire, mise en service en 1979[11] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 9,6 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 018,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et Ă  51 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[15], Ă  14,1 °C pour 1981-2010[16], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[17].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats[19] :

    et un au titre de la directive oiseaux[19] :

    • le « pays de Sault », d'une superficie de 71 499 ha, prĂ©sentant une grande diversitĂ© d'habitats pour les oiseaux. On y rencontre donc aussi bien les diverses espĂšces de rapaces rupestres, en particulier les vautours dont les populations sont en augmentation, que les passereaux des milieux ouverts (bruant ortolan, alouette lulu) et des espĂšces forestiĂšres comme le pic noir[21].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[22] : la « vallĂ©e du RĂ©benty de Belfort-sur-Rebenty Ă  Cailla » (3 553 ha), couvrant 10 communes du dĂ©partement[23] et deux ZNIEFF de type 2[Note 6] - [22] :

    • le « petit plateau de Sault » (5 054 ha), couvrant 11 communes du dĂ©partement[24] ;
    • la « vallĂ©e du RĂ©benty » (5 661 ha), couvrant 14 communes du dĂ©partement[25].
    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Galinagues.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Galinagues est une commune rurale[Note 7] - [26]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1] - [27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (68,1 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (43,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (55,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (21,5 %), forĂȘts (12,3 %), prairies (10,3 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Galinagues est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[29]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[30].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Galinagues.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 24,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (75,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 33 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 0 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 0 %, Ă  comparer aux 94 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [Carte 3].

    Armoiries

    Blasonnement de la commune : ÉcartelĂ© d’azur et d’or.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme de Galinagiis en 1360[32].

    Issu du bas latin galina (cf. occitan galina « poule »[33]), suivi du suffixe gaulois -aca[33], forme fĂ©minine d'-acum, suffixe ayant originellement une valeur locative. Le bas latin Galina recouvre peut-ĂȘtre un nom de personne gaulois *Gallinus, issu de Gallus « le Gaulois Â» avec suffixe diminutif gaulois et latin -inus[33].

    Histoire

    En 876, le seigneur d'Aniort (Niort-de-Sault) détient les territoires d'Aniort, Gebetx, Galinagues et Mazuby[34].

    En 1016, le chevalier Bernard Odon de Niort donne à l'abbaye de Joucou la moitié du lieu de Galinagues. En 1037, il donne l'autre moitié du lieu à la canoniale de Saint-Jean de Niort.

    À la fin des annĂ©es 1990, Galinagues, petit village du bout du monde, a retrouvĂ© une seconde jeunesse avec l'arrivĂ©e de nouveaux venus de l'Europe urbaine et mĂȘme des États-Unis. La population est passĂ©e de 28 habitants en 1990 Ă  41 en 1999. La DĂ©pĂȘche du Midi relate en avril 1999 que les enfants, au nombre de 16, ont pris possession du village[I 4]. CrĂšche vivante, carnaval, omelette pascale.. ont Ă©tĂ© parmi les initiatives redonnant du sens au mot village[35].

    Au début des années 2010, les plus grands enfants ont dû se rendre en ville ramenant la population à 29, remontée à 37 en 2018.

    Le 10 juillet 2021, la 14e étape du Tour de France passe sur la commune et emprunte la cÎte de Galinagues classée en 3e catégorie au Grand prix de la montagne.

    Politique et administration

    DĂ©coupage territorial

    La commune de Galinagues est membre de la communauté de communes des Pyrénées audoises [36], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siÚge est à Quillan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

    Sur le plan administratif, elle est rattachĂ©e Ă  l'arrondissement de Limoux, au dĂ©partement de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et Ă  la rĂ©gion Occitanie[36].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[36], et de la troisiÚme circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[38].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1988 En cours Patrick Emery PS
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[40].

    En 2020, la commune comptait 35 habitants[Note 8], en augmentation de 45,83 % par rapport Ă  2014 (Aude : +2,66 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    175179176197180174176186158
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    149153151149140143148142124
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    113112100827680777364
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    574226312841434329
    2017 2020 - - - - - - -
    3535-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee Ă  partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    Division200820132018
    Commune[I 5]22,2 %17,4 %4,3 %
    DĂ©partement[I 6]10,2 %12,8 %12,6 %
    France entiĂšre[I 7]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  24 personnes, parmi lesquelles on compte 60,9 % d'actifs (56,5 % ayant un emploi et 4,3 % de chĂŽmeurs) et 39,1 % d'inactifs[Note 9] - [I 5]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'en 2008 la situation Ă©tait inverse.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 9 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 14, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 46,7 %[I 9].

    Sur ces 14 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 92 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 38,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 30,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 30,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

    Activités hors agriculture

    Deux Ă©tablissements[Note 10] seulement relevant d’une activitĂ© hors champ de l’agriculture sont implantĂ©s Ă  Galinagues au [I 12].

    Agriculture

    198820002010
    Exploitations544
    Superficie agricole utilisée (ha)115161nd[Note 11]

    La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Pays de Sault »[43]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siÚge dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (cinq en 1988)[45].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[18].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    10. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    11. nd : donnée non disponible.
    12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Galinagues » sur Géoportail (consulté le 7 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le )
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Commune de Galinagues (11160) », sur INSEE (consulté le )
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aude » (consulté le ).
    7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Galinagues » (consulté le ).
    10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Galinagues » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. « Découpage en régions hydrographiques », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le )
    3. « Désoupage en territoires SDAGE/DCE du bassin RhÎne-Méditerranée-Corse », sur www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr, (consulté le )
    4. « Fiche communale de Galinagues », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Lauquette »
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Belcaire - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Galinagues et Belcaire », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Belcaire - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Galinagues et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    19. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Galinagues », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « site Natura 2000 FR9101468 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « site Natura 2000 FR9112009 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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