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GĂ©ante rouge

Une étoile géante rouge ou géante rouge est une étoile lumineuse de masse faible ou intermédiaire qui se transforme en étoile géante lors du stade tardif de son évolution stellaire[1]. L'étoile devient ainsi plus grande, ce qui entraßne une diminution de sa température de surface et, conséquemment, entraßne un rougissement de celle-ci[2]. Les géantes rouges comprennent les types spectraux K et M, mais aussi les étoiles de type S et la plupart des étoiles carbonées.

Comparaison de la taille de la géante rouge Aldébaran et de celle du Soleil.

DĂ©couverte

Les étoiles les plus brillantes de l'amas globulaire NGC 288 sont des géantes rouges.

Les gĂ©antes rouges ont Ă©tĂ© identifiĂ©es au dĂ©but du XXe siĂšcle lorsque l'utilisation du diagramme de Hertzsprung–Russell (H-R) mit en Ă©vidence qu'il y avait deux types distincts d'Ă©toiles de faible tempĂ©rature ayant des tailles trĂšs diffĂ©rentes : les naines, appelĂ©es maintenant de façon formelle Ă©toiles de la sĂ©quence principale, et les gĂ©antes[3] - [4].

Le terme « branche des gĂ©antes rouges » (RGB) commence Ă  ĂȘtre utilisĂ© dans les annĂ©es 1940 et 1950 comme un terme gĂ©nĂ©ral pour faire rĂ©fĂ©rence Ă  la rĂ©gion des gĂ©antes rouges du diagramme de Hertzsprung–Russell.

À la fin des annĂ©es 1960, le nom de branche asymptotique des gĂ©antes (AGB) est donnĂ© Ă  une branche d'Ă©toiles lĂ©gĂšrement plus lumineuses et plus instables que la majoritĂ© des gĂ©antes rouges[5] - [6]. Ce sont souvent des Ă©toiles variables de forte amplitude telles Mira[7] - [8].

Caractéristiques

La géante rouge Mira.

Une géante rouge est une étoile de 0,3 à 8 masses solaires () qui a épuisé l'approvisionnement en hydrogÚne dans son noyau et qui a commencé la fusion thermonucléaire de l'hydrogÚne dans une coquille entourant le noyau[9]. Ces géantes ont des rayons allant de dizaines à des centaines de fois celui du Soleil (). Cependant, leur enveloppe extérieure est plus froide que leur noyau, ce qui leur donne un pic d'émissivité situé dans une teinte orange rougeùtre[10]. Malgré la densité énergétique plus faible de leur enveloppe, les géantes rouges sont beaucoup plus lumineuses que le Soleil en raison de leur grande taille[11].

Contrairement à leur représentation dans de nombreuses illustrations, l'assombrissement centre-bord des géantes rouges n'est pas clairement défini. Ainsi, en raison de la trÚs faible densité de masse de l'enveloppe, ces étoiles n'ont pas de photosphÚre bien délimitée[12]. Contrairement au Soleil, dont la photosphÚre est formée d'une multitude de granules ; les photosphÚres des géantes rouges, ainsi que celles des supergéantes rouges n'auraient que quelques grandes cellules. Cela serait la cause de variations de luminosité communes aux deux types d'étoiles[13].

Les géantes rouges sont catégorisées par la maniÚre dont elles génÚrent de l'énergie :

  • Les plus courantes sont des Ă©toiles situĂ©es sur la RGB. Elles fusionnent toujours l'hydrogĂšne en hĂ©lium dans une coquille entourant un noyau d'hĂ©lium inerte.
  • Les Ă©toiles du red clump, situĂ©es dans la moitiĂ© froide de la branche horizontale, fusionnent l'hĂ©lium en carbone dans leurs noyaux via la rĂ©action triple-alpha.
  • Les Ă©toiles de l'AGB ont un noyau oĂč le carbone et l'oxygĂšne se forment, une premiĂšre coquille oĂč l'hydrogĂšne fusionne et une deuxiĂšme oĂč le carbone fusionne.

Les Ă©toiles de la branche des gĂ©antes rouges ont des luminositĂ©s allant jusqu'Ă  prĂšs de trois mille fois celle du Soleil (). Elles sont de types spectraux K ou M, ont des tempĂ©ratures de surface allant de 3 000 Ă  4 000 Kelvin et ont des rayons pouvant aller jusqu'Ă  200 fois celui du Soleil ().

Les étoiles situées sur la branche horizontale sont plus chaudes, ayant pour la plupart une luminosité d'environ 75 .

Les Ă©toiles de la branche asymptotique des gĂ©antes ont des luminositĂ©s similaires Ă  celles des Ă©toiles les plus brillantes de la branche des gĂ©antes rouges, mais peuvent ĂȘtre plusieurs fois plus lumineuses Ă  la fin de la phase d'impulsion thermique.

Les étoiles carbonées de type C-N et C-R faisant partie de la branche asymptotique des géantes sont produites lorsque le carbone et des molécules carbonées sont déplacés par convection vers la surface lors d'un dragage[14]. Une étoile peut ainsi passer jusqu'à trois fois par la phase de dragage.
Le premier dragage se produit lors de la combustion de couches d'hydrogĂšne sur la branche gĂ©ante rouge. Sous l'effet du mĂ©lange convectif, les rapports 12C/13C et C/N sont diminuĂ©s et les abondances de surface du lithium et du bĂ©ryllium peuvent ĂȘtre rĂ©duites. Ce premier dragage ne fait pas remonter une grande quantitĂ© de carbone Ă  la surface.
Le deuxiÚme dragage se produit dans les étoiles de 4 à 8 . Quand la fusion de l'hélium se termine dans le noyau, la convection mélange les produits du cycle CNO[15]. Le troisiÚme dragage se produit aprÚs qu'une étoile soit entrée dans la branche asymptotique des géantes et qu'un flash de l'hélium se produit. La convection créée par la fusion de l'hydrogÚne en couche provoque la remontée en surface de l'hélium, du carbone et des produits du processus s. AprÚs ce troisiÚme dragage, l'abondance du carbone par rapport à l'oxygÚne présent à la surface de l'étoile lui confÚre la signature spectrale particuliÚre des étoiles géantes carbonnées[16].

Évolution

La taille du Soleil présentement dans la séquence principale comparé à sa future taille lors de sa phase de géante rouge.

Au cours de sa vie sur la sĂ©quence principale, l'Ă©toile fusionne l'hydrogĂšne du noyau en hĂ©lium. Le temps de cette fusion au cƓur de l'Ă©toile suit une relation de dĂ©croissance exponentielle selon la masse de l'Ă©toile[17]. Ainsi, plus une Ă©toile est massive, plus elle brĂ»le rapidement l'hydrogĂšne de son noyau[17].

L'étoile quitte la séquence principale lorsque la concentration en proton d'hydrogÚne devient trop faible dans le noyau. Une étoile similaire au Soleil ayant 1 reste environ 10 milliards d'années sur la séquence principale sous la forme d'une naine jaune, alors qu'une étoile de 3 n'y est que pour 500 millions d'années[18].

Branche des géantes rouges

Cette image compare les diffĂ©rentes couches d'une Ă©toile de la branche des gĂ©antes rouges Ă  celles d’une Ă©toile de la sĂ©quence principale.

Lorsque les rĂ©serves d'hydrogĂšne sont Ă©puisĂ©es, les rĂ©actions nuclĂ©aires ne peuvent plus continuer et le noyau commence donc Ă  se contracter sous la force de sa propre gravitĂ©[19]. Cela amĂšne de l'hydrogĂšne supplĂ©mentaire dans une coquille autour du noyau oĂč la tempĂ©rature et la pression sont suffisantes pour que le processus de fusion reprenne. Lorsque le noyau approche la limite Schönberg–Chandrasekhar, il s'ensuit une contraction du noyau Ă  l'intĂ©rieur de la coquille oĂč l'hydrogĂšne brĂ»le et une contraction de la coquille elle-mĂȘme. Selon les modĂšles, on observe un effet miroir (mirror principle), qui fait en sorte que les couches Ă  l'extĂ©rieur de la coquille se dilatent lorsque celle-ci se contracte et vice-versa[20]. Les couches externes de l'Ă©toile se dilatent considĂ©rablement, car elles absorbent la majeure partie de l'Ă©nergie supplĂ©mentaire de la fusion de la coquille. Lors de ce processus de refroidissement et d'expansion, l'Ă©toile devient une sous-gĂ©ante. Lorsque l'enveloppe de l'Ă©toile refroidit suffisamment, elle devient convective et cesse de se dilater. Sa luminositĂ© commence Ă  augmenter et l'Ă©toile commence Ă  monter dans la branche des gĂ©antes rouges du diagramme H–R[17] - [21].

Branche horizontale

Le chemin que prend une Ă©toile sur la branche des gĂ©antes rouges dĂ©pend de sa masse. Pour les Ă©toiles de moins de 2 [22], le noyau deviendra suffisamment dense pour que la pression de dĂ©gĂ©nĂ©rescence des Ă©lectrons l'empĂȘche de s'effondrer davantage. Une fois que le noyau est dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, il continuera Ă  chauffer jusqu'Ă  ce qu'il atteigne une tempĂ©rature d'environ 108 K, ce qui est suffisant pour commencer la fusion de l'hĂ©lium au carbone via le processus triple-alpha. Une fois que le noyau dĂ©gĂ©nĂ©rĂ© aura atteint cette tempĂ©rature, le noyau entier commencera la fusion d'hĂ©lium presque au mĂȘme moment, menant au flash de l'hĂ©lium.

Dans les Ă©toiles plus massives, le noyau s'effondrant atteindra 108 K avant d'ĂȘtre suffisamment dense pour ĂȘtre dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©, de sorte que la fusion de l'hĂ©lium commencera beaucoup plus en douceur et il n'y aura aucun flash de l'hĂ©lium[17]. Lors de la phase de fusion de l'hĂ©lium du noyau, les Ă©toiles de faible mĂ©tallicitĂ© entrent dans la branche horizontale, alors que les Ă©toiles avec une mĂ©tallicitĂ© plus grande se retrouvent plutĂŽt dans le red clump du diagramme H–R[23].

Branche asymptotique des géantes

Les différentes couches de nucléosynthÚse à l'intérieur d'une géante rouge massive.

Pour les Ă©toiles ayant une masse supĂ©rieure Ă  8 , un processus similaire se produit lorsque l'hĂ©lium du noyau est Ă©puisĂ© et que l'Ă©toile s'effondre Ă  nouveau, provoquant la fusion de l'hĂ©lium dans une coquille[22]. En mĂȘme temps, la fusion de l'hydrogĂšne peut commencer dans une coquille juste Ă  l'extĂ©rieur de la coquille oĂč l'hĂ©lium fusionne. Cela place l'Ă©toile sur la branche asymptotique des gĂ©antes[24]. La fusion de l'hĂ©lium entraĂźne la constitution d'un cƓur de carbone et d'oxygĂšne.

Fin du stade de géante rouge

Tous les processus précédents mÚnent l'étoile à perdre de la masse, que ce soit en raison de flashs d'hélium qui expulsent les couches supérieures, des vents solaires et de la fusion nucléaire qui transforme la masse en énergie thermique[25]. Le noyau sera fait de cendre d'hélium, ce qui marque une fin de la convection de l'étoile. En conséquence, l'énergie gravitationnelle reprend le dessus, ce qui mÚne à une diminution du volume de l'étoile. La géante rouge éjectera ensuite toutes ses couches externes, formant une nébuleuse planétaire, et ce qui reste forme une naine blanche[17]. La phase de la géante rouge ne dure généralement qu'un milliard d'années au total pour une étoile de masse solaire, dont la quasi-totalité est consacrée à la branche de la géante rouge. Les phases de branche horizontale et de branche asymptotique des géantes se déroulent des dizaines de fois plus rapidement.

Le fer est l'élément chimique possédant la plus forte énergie de liaison.

Quant Ă  elles, les Ă©toiles trĂšs massives se transforment en supergĂ©antes rouges et suivent une trajectoire Ă©volutive qui les fait aller et venir horizontalement sur le diagramme H–R jusqu'Ă  atteindre la nuclĂ©osynthĂšse du fer. Celui-ci Ă©tant l'Ă©lĂ©ment le plus stable, il absorbe Ă©normĂ©ment d'Ă©nergie et ne peut fusionner. DĂšs que le cƓur atteint la masse de Chandrasekhar, celui-ci s'effondre sur lui-mĂȘme en formant des neutrons et un Ă©norme flux de neutrinos Ă  partir des Ă©lectrons et des protons, ce qui expulse les couches supĂ©rieures de l'Ă©toile dans une supernova[26]. Le noyau de l'Ă©toile est au mĂȘme moment transformĂ© en Ă©toile Ă  neutrons ou en trou noir. La transformation du cƓur de l'Ă©toile dĂ©pend de facteurs comme la mĂ©tallicitĂ© et la masse de l'Ă©toile. Une Ă©toile entre 10 et 25 s'effondre en Ă©toile Ă  neutrons. Tout comme les Ă©toiles de plus de 25 avec une faible composition en hĂ©lium et hydrogĂšne. Par contre, les Ă©toiles de plus de 25 qui ont une faible mĂ©tallicitĂ© finissent en un trou noir[27].

GĂ©antes rouges remarquables

Nom de l'Ă©toile Constellation Distance
(années-lumiÚre)
Notes
AldébaranTaureau65,3Aldébaran est une géante orange[28].
AntarÚsScorpion550AntarÚs est une supergéante rouge[29].
ArcturusBouvier26,7Arcturus est la géante rouge la plus lumineuse de l'hémisphÚre nord[29].
BételgeuseOrion500 à 640Bételgeuse est une supergéante rouge parmi les plus brillantes du ciel[30].
MiraBaleine299Mira est une géante rouge d'un systÚme binaire[29].
UY ScutiÉcu de Sobieski5000UY Scuti est une supergĂ©ante rouge ayant un rayon estimĂ© Ă  1708 . En 2013, elle serait la plus grande Ă©toile observĂ©e[31].

Notes et références

  1. Olivier Esslinger, « Les géantes rouges », sur http://www.astronomes.com, (consulté le ).
  2. Jacques Gispert, « Les Géantes Rouges », sur http://astronomia.fr/, Association AndromÚde, (consulté le )
  3. (en) W. S. Adams, A. H. Joy, G. Stromberg et C. G. Burwell, « The parallaxes of 1646 stars derived by the spectroscopic method », Astrophysical Journal, vol. 53,‎ , p. 13 (DOI 10.1086/142584, Bibcode 1921ApJ....53...13A)
  4. (en) R. J. Trumpler, « Spectral Types in Open Clusters », Publications of the Astronomical Society of the Pacific, vol. 37,‎ , p. 307 (DOI 10.1086/123509, Bibcode 1925PASP...37..307T)
  5. (en) Icko Iben, « Stellar Evolution Within and off the Main Sequence », Annual Review of Astronomy and Astrophysics, vol. 5,‎ , p. 571 (DOI 10.1146/annurev.aa.05.090167.003035, Bibcode 1967ARA&A...5..571I)
  6. (en) Onno R. Pols, Klaus-Peter Schröder, Jarrod R. Hurley, Christopher A. Tout et Peter P. Eggleton, « Stellar evolution models for Z = 0.0001 to 0.03 », Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, vol. 298, no 2,‎ , p. 525 (DOI 10.1046/j.1365-8711.1998.01658.x, Bibcode 1998MNRAS.298..525P)
  7. (en) Allan Sandage, Basil Katem et Jerome Kristian, « An Indication of Gaps in the Giant Branch of the Globular Cluster M15 », Astrophysical Journal, vol. 153,‎ , p. L129 (DOI 10.1086/180237, Bibcode 1968ApJ...153L.129S)
  8. (en) Halton C. Arp, William A. Baum et Allan R. Sandage, « The color-magnitude diagram of the globular cluster M 92 », Astronomical Journal, vol. 58,‎ , p. 4 (DOI 10.1086/106800, Bibcode 1953AJ.....58....4A)
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Voir aussi

Bibliographie

Document utilisĂ© pour la rĂ©daction de l’article : document utilisĂ© comme source pour la rĂ©daction de cet article.

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Articles connexes

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