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Espieilh

Espieilh est une commune française situĂ©e dans le centre du dĂ©partement des Hautes-PyrĂ©nĂ©es, en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la rĂ©gion des Baronnies, dont le nom est issu d’une lĂ©gende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin.

Espieilh
Espieilh
Vue du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement BagnĂšres-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses
Maire
Mandat
VĂ©ronique Mounic
2020-2026
Code postal 65130
Code commune 65167
DĂ©mographie
Gentilé Espieilhois
Population
municipale
25 hab. (2020 en diminution de 7,41 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 12 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 04â€Č 38″ nord, 0° 14â€Č 38″ est
Altitude 455 m
Min. 360 m
Max. 568 m
Superficie 2,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Espieilh
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Espieilh
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Espieilh
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Espieilh

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Esqueda, le ruisseau Bidaudos et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Espieilh est une commune rurale qui compte 25 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 150 habitants en 1851. .

    Ses habitants sont appelés les Espieilhois.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune d'Espieilh se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

    Elle se situe Ă  22 km Ă  vol d'oiseau de Tarbes[1], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  km de BagnĂšres-de-Bigorre[2], sous-prĂ©fecture, et Ă  12 km de Tournay[3], bureau centralisateur du canton de la VallĂ©e de l'Arros et des BaĂŻses dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de BagnĂšres-de-Bigorre[I 1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Esconnets (1,4 km), FrĂ©chendets (1,6 km), Bourg-de-Bigorre (2,1 km), Escots (2,3 km), Bettes (2,5 km), Castillon (2,7 km), Sarlabous (2,8 km), Lies (3,0 km).

    Sur le plan historique et culturel, Espieilh fait partie de la rĂ©gion des Baronnies, dont le nom est issu d’une lĂ©gende selon laquelle quatre seigneurs du Moyen Âge (les barrons d’Esparros et de LomnĂ©, le vicomte d’AstĂ© et le sire d’Uzer) avaient pour habitude de festoyer ensemble aux sources de l’Arros, chacun d’eux gardant un pied sur sa terre et l’autre sur celle du voisin[5].

    Carte de la commune d'Espieilh et des proches communes.
    Communes limitrophes d’Espieilh[6]
    Bettes Bourg-de-Bigorre
    Espieilh
    Esconnets

    Hydrographie

    La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Esqueda, le ruisseau Bidaudos et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[8] - [Carte 1].

    Le Esqueda, d'une longueur totale de 10,7 km, prend sa source dans la commune de Banios et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Arros Ă  Antin, aprĂšs avoir traversĂ© 7 communes[9].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[10]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 137 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[13] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[14] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Artigues », sur la commune de Campan, mise en service en 1959[15] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[16] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 7,7 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 220,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[17]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-PyrĂ©nĂ©es », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et Ă  25 km[18], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă  12,6 °C pour 1981-2010[20], puis Ă  12,9 °C pour 1991-2020[21].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensĂ©e sur la commune[22] : le « rĂ©seau hydrographique des Baronnies » (390 ha), couvrant 35 communes du dĂ©partement[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [22] : les « Baronnies » (20 367 ha), couvrant 43 communes du dĂ©partement[24].

    Urbanisme

    Typologie

    Espieilh est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [25] - [I 2] - [26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3] - [I 4].

    • Rues du village.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (64,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (58,8 %), forĂȘts (35,1 %), prairies (6,1 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    • Carte en couleurs prĂ©sentant l'occupation des sols.
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
    • Photo aĂ©rienne en couleurs de la commune.
      Carte orthophotogrammétrique de la commune.

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 26[I 5].
    Parmi ces logements, 45,8 % sont des résidences principales, 40,6 % des résidences secondaires et 13,5 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes dĂ©partementales D 84 et D 684.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Espieilh Ă  l'est de BagnĂšres-de-Bigorre.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[28] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    DĂ©nominations historiques :

    Étymologie : du gascon ancien espelh (= poste de guet, du latin speculum) devenu espielh par attraction de espiar.

    Nom occitan : Espielh.

    Histoire

    Monographie

    Cadastre d'Espieilh

    Le plan cadastral napoléonien d'Espieilh est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[30].

    Politique et administration

    La mairie en 2020.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1989 mars 2001 RĂ©mi Fourcade
    mars 2001 mars 2020 Gilbert Fourcade
    mars 2020 en cours VĂ©ronique Mounic

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection de Nébouzan, viguerie de Mauvezin, canton de BagnÚres-de-Bigorre, de Bourg (1790), de Lannemezan (depuis 1801)[31].

    Intercommunalité

    Espieilh appartient à la communauté de communes du Plateau de Lannemezan Neste-Baronnies-Baïses créée en janvier 2017 et qui réunit 57 communes.

    Services publics

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[34]. En 2020, la commune comptait 25 habitants[Note 8], en diminution de 7,41 % par rapport Ă  2014 (Hautes-PyrĂ©nĂ©es : +0,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    856796108117126132136150
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    132112115107121135134132124
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    11210490908580736275
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    706951514445363326
    2018 2020 - - - - - - -
    2625-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee Ă  partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[37].

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 6]4,8 %0 %0 %
    DĂ©partement[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
    France entiĂšre[I 8]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  17 personnes, parmi lesquelles on compte 70,6 % d'actifs (70,6 % ayant un emploi et 0 % de chĂŽmeurs) et 29,4 % d'inactifs[Note 9] - [I 6]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est infĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est hors attraction des villes[Carte 3] - [I 9]. Elle compte emplois en 2018, contre 7 en 2013 et 6 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 12, soit un indicateur de concentration d'emploi de 57,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48 %[I 10].

    Sur ces 12 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 91,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 8,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le monument aux morts municipal.
    • SĂ©lection de vues de l'Ă©glise Saint-Martin d'Espieilh.
    • L'Ă©glise en 2016.
      L'Ă©glise en 2016.
    • L'Ă©glise en 2020.
      L'Ă©glise en 2020.
    • Le clocher.
      Le clocher.
    • Le clocher.
      Le clocher.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[12].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique d'Espieilh » sur Géoportail (consulté le 3 novembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. Stephan Georg, « Distance entre Espieilh et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Espieilh et BagnÚres-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Espieilh et Tournay », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches d'Espieilh », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 283-284.
    6. Carte IGN sous GĂ©oportail
    7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    8. « Fiche communale d'Espieilh », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    9. Sandre, « le Esqueda »
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Artigues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Espieilh et Campan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Artigues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Espieilh et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Espieilh », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « réseau hydrographique des Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF les « Baronnies » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, 2000.
    29. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie d'Espieilh en 1887
    30. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d'Espieilh en 1830
    31. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    32. « Liste des juridictions compétentes pour Espieilh », sur le site du ministÚre de la Justice (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    37. « Annuaire : RĂ©sultats de recherche », sur le site du ministĂšre de l'Éducation nationale (consultĂ© le ).
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