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Eps

Eps, connue également sous le nom de Eps-Herbeval, est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Eps
Eps
La rue d'Anvin.
Blason de Eps
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Philippe Mayeur
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62299
Démographie
Gentilé Epsois
Population
municipale
246 hab. (2020 en diminution de 3,15 % par rapport à 2014)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 20″ nord, 2° 17′ 48″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 155 m
Superficie 6,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Eps
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Eps
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Eps

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Eps est une commune rurale qui se trouve à 14 km au sud-est de Fruges, 50 km au nord-est de Hesdin et à 40 km au nord-ouest d'Arras.

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes d’Eps
    Heuchin Boyaval
    Anvin Eps
    Monchy-Cayeux Hestrus

    Hydrographie

    La commune est drainée par la rivière d'Eps, cours d'eau naturel de km, qui prend sa source dans la commune de Boyaval et se jette dans la Ternoise au niveau de la commune d'Anvin[1] et par le Vieil Eps, d'une longueur de 0,77 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la rivière d'Eps au niveau de la commune de Boyaval[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3].

    Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[3].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 912 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le vallon de Bergueneuse à Fiefs, d’une superficie de 934 hectares et d'une altitude variant de 60 à 185 mètres. Cette ZNIEFF, qui s’étend au nord/nord-ouest de la commune d’Anvin, est une des plus importantes vallées sèches drainant les collines de l'Artois[4].

    et une ZNIEFF de type 2[Note 4] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[5].

    Urbanisme

    Un ancien panneau d'entrée de la commune.

    Typologie

    Eps est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [6] - [7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9] - [10].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,2 %), prairies (24,3 %), zones urbanisées (7,7 %), forêts (3,8 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Lieux-dits, hameaux et écarts

    La commune comprend un hameau, Herbeval, ce qui explique le nom d'usage d'Eps-Herbeval de la collectivité.

    Voies de communication

    La commune est desservie par les routes départementales D 70, D 70 E1 et D 71 E4[13].

    Transport ferroviaire

    La commune est limitrophe de la commune d'Anvin, sur laquelle se trouve la gare d'Anvin, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Eiz en 1196 ; Ays en 1273 ; Es en 1295 ; Hes en 1296 ; Ez au XIVe siècle ; Eepz en 1407 ; Eez en 1415 ; Eyps en 1422 ; Dexz en 1430 ; Epx en 1444[14], Eps depuis 1793 et 1801[15].

    • Herbeval était connu en 1121 sous le nom d' Herbouval ; Erboval en 1206 ; Heberval en 1469[16].

    Histoire

    Circonscriptions d'Ancien Régime

    Eps, en 1789, faisait partie de la sénéchaussée de Sait-Pol et suivait la coutume d'Artois. Son église paroissiale, d'abord diocèse de Thérouanne, puis de Boulogne, doyenné de Saint-Pol, était consacrée à saint Martin et avait Hestrus pour secours[16].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[15].

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [17] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[18]. À l'initiative des intercommunalités concernées[19], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[Note 7] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [20] - [21].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [22].

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie depuis 1801 du canton d'Heuchin[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 2020 Arthur Hermant PS [23] - Réélu pour le mandat 2014-2020[24] - [25]
    23 mai 2020 En cours Philippe Mayeur Chef d'entreprise[26] - [27]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) constitué des communes de Boyaval, Hestrus, Tangry, Saint-lès-Pernes et Eps-Herbeval, et qui accueille pour l'année scolaire 2018-2019 un effectif de 83 enfants[23]. Dans ce cadre, La commune administre une école maternelle[28].

    Justice, sécurité, secours et défense

    La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[29].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de la commune sont appelés les Epsois[30].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

    En 2020, la commune comptait 246 habitants[Note 8], en diminution de 3,15 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    332402385428413413409427436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    423427417405434443457451434
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    449427412347350332340336329
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    317302279249222182235257249
    2020 - - - - - - - -
    246--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 119 hommes pour 130 femmes, soit un taux de 52,21 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8
    90 ou +
    3,1
    5,9
    75-89 ans
    9,2
    19,3
    60-74 ans
    17,7
    21,8
    45-59 ans
    16,2
    19,3
    30-44 ans
    19,2
    10,9
    15-29 ans
    19,2
    21,8
    0-14 ans
    15,4
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Manifestations culturelles et manifestations

    Plusieurs manifestations animent la commune[23] :

    • Le repas champêtre le 4 mai ;
    • La ducasse le 21 juillet ;
    • La brocante le 24 août ;
    • L'arbre de Noël.

    Économie

    En 2019, la commune accueille cinq agriculteurs et cinq autres entreprises (café, restaurant et artisans)[23].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Martin.
    • L'église Saint-Martin, datant du XVIe siècle : le clocher fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [36]
    • Des éléments patrimoniaux de l'église Saint-Martin sont classés ou inscrits au titre d'objets des monuments historiques :
      • la cloche, datant de 1786, est classée depuis le [37]. Elle est remise en état après avoir reçu la foudre en [23].
      • la chaire à prêcher, datant du XVIIIe siècle, est inscrite depuis le [38].
      • les cinq blochets de la voûte lambrissée de la nef, datant du XVIe siècle, sont inscrits depuis le [39].
      • la console sculptée scellée dans le mur sud, datant du XVIe siècle, est inscrite depuis le [40].
      • la statue du Christ en croix, datant du XIXe siècle, est inscrite depuis le [41].
      • la dalle funéraire d'Antoine Garson, bailli de la vicomté d'Eps, datant de 1624, est inscrite depuis le [42].
    • Le monument aux morts[43].

    Patrimoine culturel

    La commune d'Eps bénéficie des services d'une médiathèque intercommunautaire[23].

    Héraldique

    Blason de Eps Blason
    D'argent à l'aigle bicéphale de sable, becquée, lampassée et armée de gueules[44].
    Détails
    Armes de Jean d'Eps, écuyer, seigneur du lieu en 1474.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière d'Eps (E5400670 ) » (consulté le )
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieil Eps (E5401330) » (consulté le )
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « ZNIEFF 310013281 - Vallon de Bergueneuse à Fiefs », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    5. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
    14. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 135, 194 sur Gallica.
    17. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    18. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    19. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    20. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    21. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    22. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    23. Christelle Dourlens, « Réguler la vitesse excessive : Niché au cœur de la communauté de communes d’Anvin et désormais gouverné par la nouvelle entité qu’est TernoisCom, Eps-Herbeval est un village situé au creux de la ruralité. Arthur Hermant, premier magistrat, gère sa commune en bon père de famille depuis 1989 », L'Abeille de la Ternoise, nos 8716-1909,‎ , p. 21 « Élu au sein du conseil municipal en 1979 en tant que conseiller, Arthur Hermant a depuis le temps parcouru un long chemin. Même si la commune ne comptabilise que 257 âmes, chiffre du dernier recensement, les projets ne manquent pas. Malheureusement l’argent reste le nerf de la guerre. Sachant que les dotations n’ont pas été revues à la hausse ».
    24. Aline Chartrel, « À Eps, Arthur Hermant s’engage pour un cinquième mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. Aline Chartrel, « Eps – Une priorité: la défense incendie en cinq citernes : Difficile d’avoir une visibilité sur six ans quand les projets d’un village se trouvent en partie suspendus aux dotations de l’État. En tout état de cause, Eps devrait travailler sa défense incendie et son accessibilité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    27. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    28. « Établissement scolaire d’Eps », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
    29. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
    30. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Eps (62299) », (consulté le ).
    35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    36. « Le clocher. », notice no PA00108268, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Cloche », notice no PM62000618, base Palissy, ministère français de la Culture.
    38. « La chaire », notice no PM62006788, base Palissy, ministère français de la Culture.
    39. « les cinq blochets », notice no PM62006789, base Palissy, ministère français de la Culture.
    40. « La console », notice no PM62006788, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. « Le Christ en croix », notice no PM62006791, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « La dalle funéraire », notice no PM62006792, base Palissy, ministère français de la Culture.
    43. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
    44. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
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