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Monchy-Cayeux

Monchy-Cayeux est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Monchy-Cayeux
Monchy-Cayeux
Le monument aux morts devant l'église Saint-Pierre.
Blason de Monchy-Cayeux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Benoit Hoguet
2020-2026
Code postal 62134
Code commune 62581
Démographie
Population
municipale
297 hab. (2020 en diminution de 6,6 % par rapport à 2014)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 26′ 19″ nord, 2° 16′ 39″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 138 m
Superficie 6,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Monchy-Cayeux
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Monchy-Cayeux
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Monchy-Cayeux

    La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

    Géographie

    Localisation

    Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

    Communes limitrophes de Monchy-Cayeux
    Anvin Eps
    Monchy-Cayeux Hestrus
    Fleury Hernicourt

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

    La commune est traversée par la Ternoise, un cours d'eau naturel non navigable de 41,43 km, qui prend sa source dans la commune d'Ostreville et conflue dans la Canche dans la commune d'Huby-Saint-Leu[1].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1] : la vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse. Cette ZNIEFF, située au nord d'une ligne allant de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, d’une superficie de 9 502 hectares et d'une altitude variant de 22 à 90 mètres, présente des fonds de vallées, des coteaux crayeux et des zones prairiales[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Monchy-Cayeux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [3] - [4] - [5].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6] - [7].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (13,4 %), zones urbanisées (8,8 %), forêts (5,1 %)[8].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Monchi (1261) ; Monchiacum in Ripparia (1299) ; Moncy-le-Cayeu (1474) ; Monchy-Cayeu (1507) ; Monchy-le-Cayeu (1528) ; Monchy-le-Caieux (1545) ; Moncycaieu (1587) ; Monchy-Gayot (1759)[10].

    Cayeux est un ancien fief, attesté sous les formes Caiuz en 1207 (mém. Soc. acad. de Boul., t. XIII, p. 369) Caieu-lez-Moncy en 1474 (Colbert, Flandre, t. XCII, f° 2 r°)[11].

    Histoire

    Le 10 mars 1598, Robert de la Tramerie, chevalier, seigneur dudit lieu et du Forest, et son frère Ponthus de la Tramerie, seigneur de Hestaing, descendent paternellement et maternellement des Monchy-Cayeux. Ils passent un accord avec Hugues de Bassecourt, seigneur de Hornaing, au sujet des armes de Monchy que ledit Hugues de Bassecourt écartelait avec les siennes.

    Hugues de Bassecourt est le fils de Claude de Bassecourt, seigneur de Saint-Floris en partie et de Marie Duriez, fille de Philippe Duriez, en son vivant censier de l'abbaye de Corbie à Monchy-au-Bois, et cousin germain maternel de Jérôme Duriez, écuyer, seigneur du Hamel, qui avait obtenu une sentence de noblesse en mai 1592 . Les Duriez portaient pour armes « De gueules à trois maillets d'or, posés droits ». Hugues de Bassecourt a écartelé ses armes comme il l'a fait pour se distinguer du seigneur de Grigny, son frère aîné. Robert de la Tramerie et Ponthus de la Tramerie reconnurent aux Bassecourt le droit de porter les armes des Duriez[12].

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

    Commune et intercommunalités

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.

    Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [13] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

    Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[14]. À l'initiative des intercommunalités concernées[15], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[16] ;
    - la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [17] - [18].

    La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [19].

    Circonscriptions administratives

    La commune faisait partie du canton d'Heuchin[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Circonscriptions électorales

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 ? M. Jean-Claude Goethals
    1995 2014[21] - [22] M. Claude Hoguet
    2014[23] - [24] 2020 M. Dominique Plancke Retraité de l'éducation nationale
    3 juillet 2020 En cours
    (au 30 mars 2022)
    Benoit Hoguet Agriculteur[25] - [26]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2020, la commune comptait 297 habitants[Note 4], en diminution de 6,6 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    183436194330364370365369366
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    324340399406401399429373366
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    382391360397413420382333368
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    343313286277297274282283311
    2017 2020 - - - - - - -
    300297-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 160 hommes pour 138 femmes, soit un taux de 53,69 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6
    90 ou +
    2,9
    3,8
    75-89 ans
    7,3
    19,5
    60-74 ans
    21,8
    23,7
    45-59 ans
    20,2
    16,7
    30-44 ans
    19,4
    19,2
    15-29 ans
    15,0
    16,5
    0-14 ans
    13,5
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[31]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,5
    5,4
    75-89 ans
    8,9
    15,9
    60-74 ans
    17,3
    20,2
    45-59 ans
    19,4
    19,1
    30-44 ans
    18,2
    18,6
    15-29 ans
    16,3
    20,3
    0-14 ans
    18,3

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal qui regroupe Fleury, Pierremont, Wavrans-sur-Ternoise, Hernicourt et Monchy-Cayeux, avec une cantine dans l'ancienne école de Saint-Martin-lès-Hernicourt[32].

    Culture

    Une boite à livres a été implantée devant l'école[33].

    Économie

    Le village ne compte plus, en 2017, de commerces de proximité.

    L'activité économique est représentée par quatre exploitations agricoles, une de pisciculture, un artisan producteur de yaourts fermiers et autres produits lai tiers, une métallerie et un électricien chauffagiste[32].

    Un foyer d'hébergement, l'ESAT (établissement et service d'aide par le travail), est menacé de fermeture et devrait être transféré à Saint-Pol-sur-Ternoise[32]. Il produit notamment des paniers de légumes, vendus à des collectivités et aux particuliers[34].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Pierre, de style néogothique et construite en 1865 grâce aux dons de la châtelaine de l'époque, Roseline d’Hinnisdal. Elle a fait l'objet d'un chantier d'entretien en 2016-2017[35].
    • Château des XVIIIe et XIXe siècles, propriété privée dont les bâtiments ruinés laissent craindre à leur disparition prochaine.

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    d’argent à l’écusson de gueules, accompagné de huit perroquets de sinople, becqués, membrés et colletés de gueules, ordonnés en orle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ternoise (E5400650 ) » (consulté le )
    2. « ZNIEFF 310007268 - La Vallée de la Ternoise et ses versants de Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin et le vallon de Bergueneuse », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    9. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    10. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 256.
    11. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 92.
    12. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 17-18, lire en ligne.
    13. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
    14. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    15. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    16. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    17. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    18. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    19. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Aline Chartrel, « Monchy-Cayeux: au bilan du maire, la défense incendie presque ficelée mais l’appréhension face aux rythmes scolaires : Voilà trois mandats, soit dix-neuf ans, que Claude Hoguet administre la commune de Monchy-Cayeux et ses 300 habitants. Après la création d’un parking et l’aménagement du jardin public, il s’attelle désormais à la défense incendie. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    22. « Monchy-Cayeux : Claude Hoguet ne repartira pas pour les municipales », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    23. Aline Chartrel, « Monchy-Cayeux – « Des travaux ont été engagés sur la salle des fêtes et l’église » : LES PROJETS DES MAIRES. Nouveau maire aux affaires, Dominique Plancke ne fait pas office pour autant de nouvelle tête dans le village. Car s’il est secrétaire de mairie pour certains Ternésiens du canton, il a aussi été élu pendant deux mandats à Monchy-Cayeux. Priorité y est donnée à la voirie et aux bâtiments communaux. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Christelle Dourlens, « Des travaux à la pelle certes mais ne pas confondre vitesse et précipitation : Depuis les dernières élections municipales, Dominique Plancke succède à Claude Hoguet. Il est désourmais à la tête des Monts Cayens et des Monts Cayennes. Les débuts de sa mandature vont lui permettre de finaliser les dossiers en cours et de mettre d’autres projets sur les rails », L'Abeille de la Ternoise, no 8476,‎ , p. 20.
    25. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
    26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Monchy-Cayeux (62581) », (consulté le ).
    31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    32. Christelle Dourlens, « Le logement communal sera rénové », L'Abeille de la Ternoise, nos 8617-1714,‎ , p. 26.
    33. Thomas Bourgois, « Y a-t-il de quoi se mettre sous la dent dans les cabanes à livres ? : Elles fleurissent un peu partout dans les villes et les villages : ces cabanes à livres qui permettent d’emprunter, de garder ou de déposer des livres au gré de ses envies. On a voulu savoir ce qu’on pouvait bien y dénicher », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    34. « Monchy-Cayeux : avec l’ESAT, le maraîchage passe aussi par des formules de paniers de légumes : Des écoliers saint-polois ont pu découvrir, dans le cadre des temps d’activités périscolaires, l’activité maraîchage de l’ESAT de Saint-Michel. À Monchy-Cayeux, des personnes atteintes d’un handicap cultivent fruits et légumes, qu’ils vendent à des collectivités, aux particuliers… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
    35. « Une plaque dévoilée pour la restauration des vitraux de l’église : C’est un événement, les vitraux de l’église Saint-Pierre viennent d’être restaurés. Fin mars a eu lieu la bénédiction par l’abbé Pierre-Marie Leroy, ainsi que l’inauguration d’une plaque par de nombreux élus », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
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