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Epipremnum aureum

Scindapsus aureus

Epipremnum aureum
Description de cette image, également commentée ci-aprÚs
Pothos.

EspĂšce

Epipremnum aureum
(Linden & André) G.S. Bunting, 1963 [1964]

Synonymes

D’aprùs l’INPN[1]

  • Epipremnum pinnatum 'Aureum' Nicolson, 1978
  • Pothos aureus Linden & AndrĂ©, 1880
  • Scindapsus aureus (Linden & AndrĂ©) Engl., 1908
  • Rhaphidophora aurea (Linden & AndrĂ©) Birdsey, 1963
Pothos aurea, planche originale de Linden et André (1880)

Epipremnum aureum ou Pothos ou Scindapsus dorĂ© est une plante de la famille des AracĂ©es, originaire de Moorea (PolynĂ©sie française). À l’état sauvage, le pothos est une plante grimpante, sempervirente qui s’accroche aux troncs d’arbre et aux rochers au moyen de racines aĂ©riennes. C'est par ailleurs une plante largement cultivĂ©e comme plante d'intĂ©rieur.

Il s'agit d'une plante Ă©piphyte qui dans la nature, en zone tropicale humide, peut pousser jusqu'Ă  20 m de hauteur en s'enroulant et s'accrochant par des racines aĂ©riennes aux branches des arbres et Ă  d'autres Ă©piphytes. Ses tiges ne dĂ©passent gĂ©nĂ©ralement pas cm de diamĂštre et ne font que quelques mm en intĂ©rieur.

Le pothos est vendu comme « plante dĂ©polluante » mais bien que l’absorption du formaldĂ©hyde soit incontestable en milieu contrĂŽlĂ© en laboratoire, l’effet n’a pas pu ĂȘtre significativement Ă©tabli dans les conditions rĂ©elles d’une piĂšce Ă  vivre.

Nomenclature

La premiĂšre description de l’espĂšce a Ă©tĂ© faite par Jean Linden et Édouard AndrĂ© dans L’Illustration Horticole 27:69 pl. 381 en 1880, sous le nom de Pothos aureus, Pothos Ă  feuilles dorĂ©es[2]. Les deux auteurs sont des horticulteurs et botanistes, le premier est belge et le second français. Selon l’article citĂ©, Linden a reçu la plante dans les Ăźles Salomon et Edouard AndrĂ© en a donnĂ© la premiĂšre description en latin (la diagnose). La planche accompagnant l’article montre la variĂ©tĂ© ‘Golden’ (voir l’illustration ci-contre).

En 1963, le botaniste amĂ©ricain spĂ©cialiste de la flore du Venezuela, George Sydney Bunting, transfĂšre l’espĂšce dans le genre Epipremnum, dans un article de l’Annals of the Missouri Botanical Garden, en 1963 [3]. Le nom devient donc: Epipremnum aureum (Linden & AndrĂ©) G.S. Bunting. Le botaniste Bunting indique « Cette espĂšce largement cultivĂ©e a Ă©tĂ© assignĂ©e au genre Scindapsus par Engler (Das Pflanzenreich IV 23B...1908) et a Ă©tĂ© rĂ©cemment transfĂ©rĂ©e Ă  Raphidophora par Birdsey (Baileya 10 :159. 1962). [Mais] le matĂ©riel floral de cette espĂšce est trĂšs similaire Ă  celui de Epipremnum pinnatum (L.) Engl. et doit ĂȘtre inclus dans le mĂȘme genre ».

En 1978, Nicolson observe qu’il y a trop peu de diffĂ©rences entre E. aureum et E. pinnatum pour les considĂ©rer comme deux espĂšces distinctes. Il propose en consĂ©quence de traiter E. aureum comme un cultivar de E. pinnatum[4] - proposition non retenue[5].

Bien que cette plante soit trĂšs commune en culture, elle ne fleurit gĂ©nĂ©ralement pas que soit Ă  l’état sauvage ou bien en culture (horizontalement ou verticalement). La transition florale de la croissance vĂ©gĂ©tative Ă  la croissance reproductive pourrait ĂȘtre dĂ©fectueuse. Il a Ă©tĂ© observĂ© que l'entrĂ©e dans le stade adulte est une condition prĂ©alable pour qu'une plante rĂ©ponde aux signaux inductifs floraux. Les plantes d'E. aureum Ă  croissance horizontale (HG) portant de petites feuilles sont considĂ©rĂ©es comme des juvĂ©niles, tandis que les plantes Ă  croissance verticale (VG) dont les feuilles sont plusieurs fois plus grandes sont considĂ©rĂ©es comme des adultes. Une Ă©tude chinoise rĂ©cente a fait l’hypothĂšse qu’une carence en gibbĂ©relline bioactif pourrait ĂȘtre Ă  l’origine de la difficultĂ© Ă  fleurir de la plante[6].

Étymologie

Le nom de genre Epipremnum est construit Ă  partir de deux Ă©tymons grecs (romanisĂ©s) áŒÏ€ÎŻ epi « sur » et Ï€ÏÎ­ÎŒÎœÎżÎœ premnon « souche, partie infĂ©rieure du tronc »[7], soit « sur la base du tronc » en rĂ©fĂ©rence Ă  sa nature grimpante.

L’épithĂšte spĂ©cifique aureum vient du latin aurĕus, a, um « dorĂ©, de couleur d’or » [8] par allusion aux mouchetures jaunes des feuilles d’une variĂ©tĂ©.

Synonymes

D’aprùs l’INPN[1], les synonymes sont

  • Epipremnum pinnatum 'Aureum' Nicolson, 1978
  • Pothos aureus Linden & AndrĂ©, 1880
  • Scindapsus aureus (Linden & AndrĂ©) Engl., 1908
  • Rhaphidophora aurea (Linden & AndrĂ©) Birdsey, 1963
  • Epipremnum mooreense Nadeaud (pour Kew[9] c’est un synonyme basĂ© sur un spĂ©cimen type diffĂ©rent).

DĂ©nominations vernaculaires

Dans la langue commune, il a reçu plusieurs dénominations: Pothos, Scindapsus doré, Liane du diable, Arum grimpant[1].

Le nom vernaculaire le plus utilisé au Québec est Pothos. Les anglophones l'ont appelé Golden pothos, Silver Vine, Money Plant, Centipede tongavine, Devil's Ivy et Solomon Islands' Ivy.

Il est parfois étiqueté à tort comme un Philodendron dans les magasins de plantes.

Description

Pothos grimpant sur un arbre,
Ă  grandes feuilles

Le pothos est une plante sempervirente, grimpante, semi-Ă©piphyte, possĂ©dant des tiges verdĂątres qui s’accrochent aux troncs d’arbre et aux rochers au moyen de racines aĂ©riennes[10].

Les feuilles juvĂ©niles diffĂšrent des feuilles adultes (phĂ©nomĂšne d’hĂ©tĂ©rophyllie).

Sur une plante Ă  croissance horizontale, les petites feuilles (considĂ©rĂ©es comme juvĂ©niles) sont en forme de cƓur (ovales-cordĂ©es), longues de 5 Ă  20 cm, d’un vert intense, brillantes et plus ou moins panachĂ©es de jaune ou de crĂšme.

Sur une plante Ă  croissance verticale (le long d’un tronc d’arbre), les feuilles beaucoup plus grandes sont considĂ©rĂ©es comme adultes. Elles peuvent prendre des formes irrĂ©guliĂšres (pinnatifides), et mesurĂ©es de 70 Ă  90 cm de long sur 45 cm de large. La plante peut ĂȘtre confondue avec d'autres espĂšces, comme le Monstera deliciosa et plusieurs autres espĂšces d'AracĂ©es.

La tige des plantes adultes peut atteindre 10 Ă  12 m de long. Elles peuvent ĂȘtre rayĂ©es de jaune ou de blanc.

En pot, la plante atteint peut atteindre m, voire plus si elle pousse sur un support adapté, mais développe difficilement des feuilles de taille adulte. Elle est surtout cultivée en tant que plante retombante.

Les fleurs sont produites dans une spathes dont la longueur peut atteindre 15 cm[11].

Il est presque impossible pour l'Epipremnum aureum de fleurir dans les conditions de nos intérieurs. Sa floraison est aussi trÚs discrÚte et souvent bien camouflée sous son feuillage.

  • Spathes violacĂ©es et spadices
    Spathes violacées et spadices
  • Pothos d’intĂ©rieur avec branches retombantes
    Pothos d’intĂ©rieur avec branches retombantes
  • Pothos grimpant sur un cocotier (Starr, Hawaaii)
    Pothos grimpant sur un cocotier (Starr, Hawaaii)
  • DĂ©tail d'une jeune pousse.
    DĂ©tail d'une jeune pousse.
  • Croissance d'une jeune feuille.
    Croissance d'une jeune feuille.

Il est frĂ©quent de confondre cet Epipremnum avec des espĂšces de Philodendron (de la mĂȘme famille) de type liane, dont l'aspect est trĂšs proche. Ces derniĂšres se distinguent gĂ©nĂ©ralement par de jeunes pousses rougeĂątres et qui croissent dĂ©jĂ  alors que la derniĂšre feuille n'est pas encore mature et par la gaine de la feuille qui est dĂ©gagĂ©e de la tige et tombe souvent aprĂšs s'ĂȘtre dessĂ©chĂ©e, tandis que chez le pothos elle reste solidaire de la tige de la feuille prĂ©cĂ©dente, sous forme d'une bordure brune.

Aire de répartition

Pothos dans la forĂȘt d'Udawatta Kele Sanctuary (Sri Lanka)

Epipremnum aureum est une plante originaire de Moorea (Archipel de la Société), selon POWO[9].

Cette plante grimpante pousse principalement dans le biome tropical humide. Dans l’Archipel de la SociĂ©tĂ©, les lianes d'E. aureum occupent le sous-bois des forĂȘts anthropiques; lorsque ses feuilles couvrent la voute forestiĂšre, elles rendent problĂ©matique la rĂ©gĂ©nĂ©ration de la forĂȘt[12].

À la suite d’introduction, elle s’est naturalisĂ©e dans plusieurs rĂ©gions du globe[13]. On la trouve notamment Ă  La RĂ©union ou aux Antilles françaises[11], grimpant le long des troncs d’arbre ; elle peut devenir envahissante Ă  l’orĂ©e des bois mĂ©so-hygrophiles[14].

Elle a notamment Ă©tĂ© introduite en AmĂ©rique (BrĂ©sil, Équateur, Suriname, Trinidad-Tobago, HaĂŻti, Costa Rica, RĂ©publique dominicaine, Cuba, Floride), en Afrique (Cameroun, CĂŽte d'Ivoire, Kenya, Seychelles...), en Asie (Bangladesh, Inde, Assam, Chine, ThaĂŻlande, Malaisie, Queensland...)[9].

Culture et utilisation

Le pothos fait partie des plantes d'intérieur les plus populaires. Il existe de nombreux cultivars sélectionnés pour leurs feuilles panachées de blanc, jaune ou vert clair, rustiques, capables de vivre avec une faible intensité lumineuse (c'est une plante de sous-bois qui s'épanouit sous la canopée et qui ne supporte pas un fort ensoleillement direct, qui lui brûle les feuilles).

Elle résiste à des microclimats secs et à un air relativement pollué, nécessitant peu de soins, ce pourquoi elle est notamment utilisée dans les écrans décoratifs des bureaux et de divers lieux publics.

Elle apprécie une température de 17 à 30 °C.

Il suffit de l'arroser quand le sol du pot commence Ă  ĂȘtre sec au toucher. Un apport d'engrais liquide est parfois recommandĂ© au printemps. Le rempotage est recommandĂ© tous les deux ans, mais c'est une plante robuste qui pousse facilement en hydroponie.

  • 'Neon'
    'Neon'
  • 'Golden'
    'Golden'
  • 'Marble Queen'
    'Marble Queen'
  • 'Manjula'
    'Manjula'

Il existe plusieurs cultivars, notamment :

  • 'Golden' (variĂ©tĂ© originelle): au feuillage et tiges panachĂ©s de jaune, avec une intensitĂ© variable tout dĂ©pendant de ses conditions de culture.
  • 'Marble queen': au feuillage blanc crĂšme panachĂ© de vert. Le blanc devient grisĂątre lorsque la plante manque de lumiĂšre.
  • 'Snow queen': une dĂ©nomination du cultivar Marble queen, lorsque les feuilles sont de couleur vert pĂąle avec des marbrures sur la majoritĂ© de la plante.
  • 'Jade': au feuillage vert foncĂ©. Ce cultivar nĂ©cessite moins de lumiĂšre que tous les autres car il contient plus de chlorophylle.
  • 'Neon' : au feuillage vert trĂšs pĂąle de couleur lime pouvant s'apparenter au jaune.
  • 'Manjula': au feuilles de formes plus arrondis et alĂ©atoires, panachĂ©s de blanc et de teintes de vert.
  • 'Harlequin': une dĂ©nomination du cultivar 'Manjula', lorsque les feuilles sont presque toutes blanches (lorsque la plante reçoit une grande quantitĂ© de lumiĂšre).
  • 'Pearl n'Jade:'
  • 'N'joy': plus compacte avec des feuilles de plus petite taille, avec des sections de teintes de vert et de blanc.
  • 'Global Green'
  • 'Emerald'
  • 'Jessenia'

Toxicité, précautions

L'American Society for the Prevention of Cruelty to Animals (ASPCA) a rĂ©pertoriĂ© cette plante parmi celles qui sont toxiques pour les chats ou chiens qui la mĂąchouilleraient, en raison de la prĂ©sence d'oxalate de calcium insoluble. Des prĂ©cautions doivent donc ĂȘtre prises pour que la plante ne soit pas consommĂ©e par les animaux domestiques.

Les symptÎmes peuvent comprendre une irritation orale, des vomissements et une difficulté à avaler[15].

Plante dépolluante

La capture des polluants par les plantes se fait au niveau des feuilles et au niveau des racines. La capture des polluants aĂ©riens comme les COV (composĂ©s organiques volatils, grand responsable de la pollution des intĂ©rieurs) se fait par les stomates (orifices) des feuilles ou au niveau de la cuticule des feuilles oĂč les polluants se fixent. La capture des polluants dissous dans le sol se fait par les racines[16]. Une fois captĂ©s, ces polluants sont mĂ©tabolisĂ©s et dĂ©gradĂ©s. Ainsi, les Ă©tudes de l’absorption et de la transformation du formaldĂ©hyde marquĂ© au carbone 14C par Epipremnum aureum ont indiquĂ© que ce composĂ© chimique Ă©tait transformĂ© en CO2 et intĂ©grĂ© au matĂ©riel vĂ©gĂ©tal via le cycle de Calvin[17].

Le pothos a acquis sa rĂ©putation de « plante dĂ©polluante » de l'air intĂ©rieur, notamment contre des polluants tels que le formaldĂ©hyde, le xylĂšne et le benzĂšne, Ă  la suite des cĂ©lĂšbres Ă©tudes de Wolverton, pour le compte de la NASA dans les annĂ©es 1980[18]. Les plantes Ă©taient exposĂ©es Ă  des doses trĂšs Ă©levĂ©es de polluants en milieux contrĂŽlĂ©s pouvant mieux reprĂ©senter les conditions de l’intĂ©rieur d’une capsule spatiale que l’intĂ©rieur d’une habitation actuelle.

Au XXIe siĂšcle, le pothos fait en effet partie des plantes qui ont Ă©tĂ© testĂ©es comme plante dĂ©polluante en conditions contrĂŽlĂ©es en France par le programme Phyt'air. Il absorbe activement le benzĂšne, le toluĂšne, le monoxyde de carbone et le formaldĂ©hyde[19] - [20]. Le monoxyde de carbone (CO) diminue en plus forte proportion comparĂ©e aux deux autres polluants Ă©tudiĂ©s, le benzĂšne et le formaldĂ©hyde. L’efficacitĂ© de l’épuration peut ĂȘtre toutefois diminuĂ©e par une baisse de la tempĂ©rature ambiante et une augmentation de l’humiditĂ©.

PHYTAIR dans sa derniĂšre phase a testĂ© les capacitĂ©s d’épuration des plantes en jardiniĂšre dans des conditions rĂ©elles d’exposition notamment en termes de ventilation d’une piĂšce. L’ensemble des essais rĂ©alisĂ©es avec des sources multiples (comme chauffage d’appoint, bĂąton d’encens, parquet en pin) ne permet pas de conclure quant Ă  une potentielle efficacitĂ© des plantes sur l’élimination des polluants[16].

L'Agence de l'environnement et de la maßtrise de l'énergie (ADEME) considÚre en 2011 que l'argument « plantes dépolluantes » n'est pas validé scientifiquement au regard des niveaux de pollution généralement rencontrés dans les habitations et des nouvelles connaissances scientifiques dans le domaine[16].

Toutefois, selon les résultats de 2012 du programme phyt'air, en conditions expérimentales, et aux doses habituelles de benzÚne ou formaldéhyde, ce sont essentiellement les micro-organismes (bactéries, champignons) du sol qui épureraient l'air, la plante jouant néanmoins un rÎle important, puisqu'un substrat ayant contenu un Epipremmum se montre plus performant pour épurer l'air que s'il n'en a pas contenu[21].

Une Ă©tude portant sur 13 plantes ornementales a montrĂ© leurs capacitĂ©s diffĂ©rentes Ă  rĂ©duire la concentration de formaldĂ©hyde dans une enceinte expĂ©rimentale. Les trois plantes les plus efficaces sont Syngonium podophyllum Schott, Pandanus veitchii Hort., et Dieffenbachia picta Lodd., qui sont capables d’absorber plus de mg/m2 de surface foliaire, par contre Epipremnum aureum fait partie du groupe qui a absorbĂ© 1 Ă  2 mg de formaldĂ©hyde par m2 de surface foliaire[22]. Les feuilles des plantes purifient principalement le formaldĂ©hyde Ă  travers les stomates sur les feuilles: la molĂ©cule est convertie en substances non toxiques via des rĂ©actions d'oxydo-rĂ©duction.

Notes et références

Notes

    Références

    1. (fr) Référence INPN : Pothos, Scindapsus doré, Liane du diable, Arum grimpant (Français) (TAXREF)
    2. Référence Biodiversity Heritage Library : 15949139#page/84/
    3. Référence Biodiversity Heritage Library : 20101971#page/32
    4. P. Boyce, « A Review of Epipremnum (Araceae) in Cultivation », Aroideana, vol. 27,‎ (lire en ligne)
    5. (en) Référence Tropicos : Epipremnum pinnatum (L.) Engl. (+ liste sous-taxons)
    6. Chiu-Yueh Hung, Jie Qiu et al., « Gibberellin deficiency is responsible for shy-flowering nature of Epipremnum aureum », Scientific Reports,‎ (lire en ligne)
    7. Bailly, « Ï€ÏÎ­ÎŒÎœÎżÎœ »
    8. Gaffiot, « aurĕus, a, um »
    9. (en) Référence Plants of the World online (POWO) : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting
    10. Pietro Puccio (traduction Michel Olivié), Monaco Nature Encyclopedia, « Epipremnum aureum » (consulté le )
    11. Jacques Fournet, Flore illustrée des phanérogames de Guadeloupe et de Martinique, Gondwana éditions, Cirad,
      Tome 1 (ISBN 2-87614-489-1) ; Tome 2 (ISBN 2-87614-492-1).
    12. J. Florence IRD, Orstom, 1993, « La végétation de quelques ßles de Polynésie française » (consulté le )
    13. (en) « Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting | Plants of the World Online | Kew Science », sur Plants of the World Online (consulté le )
    14. Sastre C., Breuil A., Plantes, milieux et paysages des Antilles françaises. Écologie, biologie, identification, protection et usages., Biotope, Mùze,
    15. Site de ASPCA (consulté 2009-03-11)
    16. Collectif, « Plantes et Ă©puration de l’air intĂ©rieur », Les Avis de l’Ademe,‎ (lire en ligne)
    17. Majbrit Dela Cruz, Jan H. Christensen, Jane Dyrhauge Thomsen & Renate MĂŒller, « Can ornamental potted plants remove volatile organic compounds from indoor air? — a review », Environmental Science and Pollution Research, vol. 21,‎ , p. 13909–13928
    18. Wolverton, BCHow To Grow Fresh Air, Penguin Books, New York, 1997.
    19. « Les plantes dépolluantes » [PDF], sur plantairpur.fr (consulté le ).
    20. (en) Kamal Meattle, « How to grow fresh air », sur ted.com, (consulté le ).
    21. Damien Cuny, "« Biosurveillance des polluants de l'air intérieur, Les apports du Programme Phytair », Air pur - Environnement et santé, no 1, octobre 2012, voir pages 2 à 7, APPA Nord-Pas-de-Calais).
    22. Yang Han, ... Richard Brown, « Plant-based remediation of air pollution: A review », Journal of Environmental Management, vol. 301,‎ (lire en ligne)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bases de référence

    Autres liens externes


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