Epipremnum aureum
Scindapsus aureus
RĂšgne | Plantae |
---|---|
Clade | Angiospermes |
Clade | Monocotylédones |
Ordre | Alismatales |
Famille | Araceae |
Genre | Epipremnum |
DâaprĂšs lâINPN[1]
- Epipremnum pinnatum 'Aureum' Nicolson, 1978
- Pothos aureus Linden & André, 1880
- Scindapsus aureus (Linden & André) Engl., 1908
- Rhaphidophora aurea (Linden & André) Birdsey, 1963
Epipremnum aureum ou Pothos ou Scindapsus dorĂ© est une plante de la famille des AracĂ©es, originaire de Moorea (PolynĂ©sie française). Ă lâĂ©tat sauvage, le pothos est une plante grimpante, sempervirente qui sâaccroche aux troncs dâarbre et aux rochers au moyen de racines aĂ©riennes. C'est par ailleurs une plante largement cultivĂ©e comme plante d'intĂ©rieur.
Il s'agit d'une plante épiphyte qui dans la nature, en zone tropicale humide, peut pousser jusqu'à 20 m de hauteur en s'enroulant et s'accrochant par des racines aériennes aux branches des arbres et à d'autres épiphytes. Ses tiges ne dépassent généralement pas 4 cm de diamÚtre et ne font que quelques mm en intérieur.
Le pothos est vendu comme « plante dĂ©polluante » mais bien que lâabsorption du formaldĂ©hyde soit incontestable en milieu contrĂŽlĂ© en laboratoire, lâeffet nâa pas pu ĂȘtre significativement Ă©tabli dans les conditions rĂ©elles dâune piĂšce Ă vivre.
Nomenclature
La premiĂšre description de lâespĂšce a Ă©tĂ© faite par Jean Linden et Ădouard AndrĂ© dans LâIllustration Horticole 27:69 pl. 381 en 1880, sous le nom de Pothos aureus, Pothos Ă feuilles dorĂ©es[2]. Les deux auteurs sont des horticulteurs et botanistes, le premier est belge et le second français. Selon lâarticle citĂ©, Linden a reçu la plante dans les Ăźles Salomon et Edouard AndrĂ© en a donnĂ© la premiĂšre description en latin (la diagnose). La planche accompagnant lâarticle montre la variĂ©tĂ© âGoldenâ (voir lâillustration ci-contre).
En 1963, le botaniste amĂ©ricain spĂ©cialiste de la flore du Venezuela, George Sydney Bunting, transfĂšre lâespĂšce dans le genre Epipremnum, dans un article de lâAnnals of the Missouri Botanical Garden, en 1963 [3]. Le nom devient donc: Epipremnum aureum (Linden & AndrĂ©) G.S. Bunting. Le botaniste Bunting indique « Cette espĂšce largement cultivĂ©e a Ă©tĂ© assignĂ©e au genre Scindapsus par Engler (Das Pflanzenreich IV 23B...1908) et a Ă©tĂ© rĂ©cemment transfĂ©rĂ©e Ă Raphidophora par Birdsey (Baileya 10 :159. 1962). [Mais] le matĂ©riel floral de cette espĂšce est trĂšs similaire Ă celui de Epipremnum pinnatum (L.) Engl. et doit ĂȘtre inclus dans le mĂȘme genre ».
En 1978, Nicolson observe quâil y a trop peu de diffĂ©rences entre E. aureum et E. pinnatum pour les considĂ©rer comme deux espĂšces distinctes. Il propose en consĂ©quence de traiter E. aureum comme un cultivar de E. pinnatum[4] - proposition non retenue[5].
Bien que cette plante soit trĂšs commune en culture, elle ne fleurit gĂ©nĂ©ralement pas que soit Ă lâĂ©tat sauvage ou bien en culture (horizontalement ou verticalement). La transition florale de la croissance vĂ©gĂ©tative Ă la croissance reproductive pourrait ĂȘtre dĂ©fectueuse. Il a Ă©tĂ© observĂ© que l'entrĂ©e dans le stade adulte est une condition prĂ©alable pour qu'une plante rĂ©ponde aux signaux inductifs floraux. Les plantes d'E. aureum Ă croissance horizontale (HG) portant de petites feuilles sont considĂ©rĂ©es comme des juvĂ©niles, tandis que les plantes Ă croissance verticale (VG) dont les feuilles sont plusieurs fois plus grandes sont considĂ©rĂ©es comme des adultes. Une Ă©tude chinoise rĂ©cente a fait lâhypothĂšse quâune carence en gibbĂ©relline bioactif pourrait ĂȘtre Ă lâorigine de la difficultĂ© Ă fleurir de la plante[6].
Ătymologie
Le nom de genre Epipremnum est construit Ă partir de deux Ă©tymons grecs (romanisĂ©s) áŒÏÎŻ epi « sur » et ÏÏÎÎŒÎœÎżÎœ premnon « souche, partie infĂ©rieure du tronc »[7], soit « sur la base du tronc » en rĂ©fĂ©rence Ă sa nature grimpante.
LâĂ©pithĂšte spĂ©cifique aureum vient du latin aurÄus, a, um « dorĂ©, de couleur dâor » [8] par allusion aux mouchetures jaunes des feuilles dâune variĂ©tĂ©.
Synonymes
DâaprĂšs lâINPN[1], les synonymes sont
- Epipremnum pinnatum 'Aureum' Nicolson, 1978
- Pothos aureus Linden & André, 1880
- Scindapsus aureus (Linden & André) Engl., 1908
- Rhaphidophora aurea (Linden & André) Birdsey, 1963
- Epipremnum mooreense Nadeaud (pour Kew[9] câest un synonyme basĂ© sur un spĂ©cimen type diffĂ©rent).
DĂ©nominations vernaculaires
Dans la langue commune, il a reçu plusieurs dénominations: Pothos, Scindapsus doré, Liane du diable, Arum grimpant[1].
Le nom vernaculaire le plus utilisé au Québec est Pothos. Les anglophones l'ont appelé Golden pothos, Silver Vine, Money Plant, Centipede tongavine, Devil's Ivy et Solomon Islands' Ivy.
Il est parfois étiqueté à tort comme un Philodendron dans les magasins de plantes.
Description
Ă grandes feuilles
Le pothos est une plante sempervirente, grimpante, semi-Ă©piphyte, possĂ©dant des tiges verdĂątres qui sâaccrochent aux troncs dâarbre et aux rochers au moyen de racines aĂ©riennes[10].
Les feuilles juvĂ©niles diffĂšrent des feuilles adultes (phĂ©nomĂšne dâhĂ©tĂ©rophyllie).
Sur une plante Ă croissance horizontale, les petites feuilles (considĂ©rĂ©es comme juvĂ©niles) sont en forme de cĆur (ovales-cordĂ©es), longues de 5 Ă 20 cm, dâun vert intense, brillantes et plus ou moins panachĂ©es de jaune ou de crĂšme.
Sur une plante Ă croissance verticale (le long dâun tronc dâarbre), les feuilles beaucoup plus grandes sont considĂ©rĂ©es comme adultes. Elles peuvent prendre des formes irrĂ©guliĂšres (pinnatifides), et mesurĂ©es de 70 Ă 90 cm de long sur 45 cm de large. La plante peut ĂȘtre confondue avec d'autres espĂšces, comme le Monstera deliciosa et plusieurs autres espĂšces d'AracĂ©es.
La tige des plantes adultes peut atteindre 10 Ă 12 m de long. Elles peuvent ĂȘtre rayĂ©es de jaune ou de blanc.
En pot, la plante atteint peut atteindre 2 m, voire plus si elle pousse sur un support adapté, mais développe difficilement des feuilles de taille adulte. Elle est surtout cultivée en tant que plante retombante.
Les fleurs sont produites dans une spathes dont la longueur peut atteindre 15 cm[11].
Il est presque impossible pour l'Epipremnum aureum de fleurir dans les conditions de nos intérieurs. Sa floraison est aussi trÚs discrÚte et souvent bien camouflée sous son feuillage.
- Spathes violacées et spadices
- Pothos dâintĂ©rieur avec branches retombantes
- Pothos grimpant sur un cocotier (Starr, Hawaaii)
- DĂ©tail d'une jeune pousse.
- Croissance d'une jeune feuille.
Il est frĂ©quent de confondre cet Epipremnum avec des espĂšces de Philodendron (de la mĂȘme famille) de type liane, dont l'aspect est trĂšs proche. Ces derniĂšres se distinguent gĂ©nĂ©ralement par de jeunes pousses rougeĂątres et qui croissent dĂ©jĂ alors que la derniĂšre feuille n'est pas encore mature et par la gaine de la feuille qui est dĂ©gagĂ©e de la tige et tombe souvent aprĂšs s'ĂȘtre dessĂ©chĂ©e, tandis que chez le pothos elle reste solidaire de la tige de la feuille prĂ©cĂ©dente, sous forme d'une bordure brune.
Aire de répartition
Epipremnum aureum est une plante originaire de Moorea (Archipel de la Société), selon POWO[9].
Cette plante grimpante pousse principalement dans le biome tropical humide. Dans lâArchipel de la SociĂ©tĂ©, les lianes d'E. aureum occupent le sous-bois des forĂȘts anthropiques; lorsque ses feuilles couvrent la voute forestiĂšre, elles rendent problĂ©matique la rĂ©gĂ©nĂ©ration de la forĂȘt[12].
Ă la suite dâintroduction, elle sâest naturalisĂ©e dans plusieurs rĂ©gions du globe[13]. On la trouve notamment Ă La RĂ©union ou aux Antilles françaises[11], grimpant le long des troncs dâarbre ; elle peut devenir envahissante Ă lâorĂ©e des bois mĂ©so-hygrophiles[14].
Elle a notamment Ă©tĂ© introduite en AmĂ©rique (BrĂ©sil, Ăquateur, Suriname, Trinidad-Tobago, HaĂŻti, Costa Rica, RĂ©publique dominicaine, Cuba, Floride), en Afrique (Cameroun, CĂŽte d'Ivoire, Kenya, Seychelles...), en Asie (Bangladesh, Inde, Assam, Chine, ThaĂŻlande, Malaisie, Queensland...)[9].
Culture et utilisation
Le pothos fait partie des plantes d'intérieur les plus populaires. Il existe de nombreux cultivars sélectionnés pour leurs feuilles panachées de blanc, jaune ou vert clair, rustiques, capables de vivre avec une faible intensité lumineuse (c'est une plante de sous-bois qui s'épanouit sous la canopée et qui ne supporte pas un fort ensoleillement direct, qui lui brûle les feuilles).
Elle résiste à des microclimats secs et à un air relativement pollué, nécessitant peu de soins, ce pourquoi elle est notamment utilisée dans les écrans décoratifs des bureaux et de divers lieux publics.
Elle apprécie une température de 17 à 30 °C.
Il suffit de l'arroser quand le sol du pot commence Ă ĂȘtre sec au toucher. Un apport d'engrais liquide est parfois recommandĂ© au printemps. Le rempotage est recommandĂ© tous les deux ans, mais c'est une plante robuste qui pousse facilement en hydroponie.
- 'Neon'
- 'Golden'
- 'Marble Queen'
- 'Manjula'
Il existe plusieurs cultivars, notamment :
- 'Golden' (variété originelle): au feuillage et tiges panachés de jaune, avec une intensité variable tout dépendant de ses conditions de culture.
- 'Marble queen': au feuillage blanc crÚme panaché de vert. Le blanc devient grisùtre lorsque la plante manque de lumiÚre.
- 'Snow queen': une dénomination du cultivar Marble queen, lorsque les feuilles sont de couleur vert pùle avec des marbrures sur la majorité de la plante.
- 'Jade': au feuillage vert foncé. Ce cultivar nécessite moins de lumiÚre que tous les autres car il contient plus de chlorophylle.
- 'Neon' : au feuillage vert trĂšs pĂąle de couleur lime pouvant s'apparenter au jaune.
- 'Manjula': au feuilles de formes plus arrondis et aléatoires, panachés de blanc et de teintes de vert.
- 'Harlequin': une dénomination du cultivar 'Manjula', lorsque les feuilles sont presque toutes blanches (lorsque la plante reçoit une grande quantité de lumiÚre).
- 'Pearl n'Jade:'
- 'N'joy': plus compacte avec des feuilles de plus petite taille, avec des sections de teintes de vert et de blanc.
- 'Global Green'
- 'Emerald'
- 'Jessenia'
Toxicité, précautions
L'American Society for the Prevention of Cruelty to Animals (ASPCA) a rĂ©pertoriĂ© cette plante parmi celles qui sont toxiques pour les chats ou chiens qui la mĂąchouilleraient, en raison de la prĂ©sence d'oxalate de calcium insoluble. Des prĂ©cautions doivent donc ĂȘtre prises pour que la plante ne soit pas consommĂ©e par les animaux domestiques.
Les symptÎmes peuvent comprendre une irritation orale, des vomissements et une difficulté à avaler[15].
Plante dépolluante
La capture des polluants par les plantes se fait au niveau des feuilles et au niveau des racines. La capture des polluants aĂ©riens comme les COV (composĂ©s organiques volatils, grand responsable de la pollution des intĂ©rieurs) se fait par les stomates (orifices) des feuilles ou au niveau de la cuticule des feuilles oĂč les polluants se fixent. La capture des polluants dissous dans le sol se fait par les racines[16]. Une fois captĂ©s, ces polluants sont mĂ©tabolisĂ©s et dĂ©gradĂ©s. Ainsi, les Ă©tudes de lâabsorption et de la transformation du formaldĂ©hyde marquĂ© au carbone 14C par Epipremnum aureum ont indiquĂ© que ce composĂ© chimique Ă©tait transformĂ© en CO2 et intĂ©grĂ© au matĂ©riel vĂ©gĂ©tal via le cycle de Calvin[17].
Le pothos a acquis sa rĂ©putation de « plante dĂ©polluante » de l'air intĂ©rieur, notamment contre des polluants tels que le formaldĂ©hyde, le xylĂšne et le benzĂšne, Ă la suite des cĂ©lĂšbres Ă©tudes de Wolverton, pour le compte de la NASA dans les annĂ©es 1980[18]. Les plantes Ă©taient exposĂ©es Ă des doses trĂšs Ă©levĂ©es de polluants en milieux contrĂŽlĂ©s pouvant mieux reprĂ©senter les conditions de lâintĂ©rieur dâune capsule spatiale que lâintĂ©rieur dâune habitation actuelle.
Au XXIe siĂšcle, le pothos fait en effet partie des plantes qui ont Ă©tĂ© testĂ©es comme plante dĂ©polluante en conditions contrĂŽlĂ©es en France par le programme Phyt'air. Il absorbe activement le benzĂšne, le toluĂšne, le monoxyde de carbone et le formaldĂ©hyde[19] - [20]. Le monoxyde de carbone (CO) diminue en plus forte proportion comparĂ©e aux deux autres polluants Ă©tudiĂ©s, le benzĂšne et le formaldĂ©hyde. LâefficacitĂ© de lâĂ©puration peut ĂȘtre toutefois diminuĂ©e par une baisse de la tempĂ©rature ambiante et une augmentation de lâhumiditĂ©.
PHYTAIR dans sa derniĂšre phase a testĂ© les capacitĂ©s dâĂ©puration des plantes en jardiniĂšre dans des conditions rĂ©elles dâexposition notamment en termes de ventilation dâune piĂšce. Lâensemble des essais rĂ©alisĂ©es avec des sources multiples (comme chauffage dâappoint, bĂąton dâencens, parquet en pin) ne permet pas de conclure quant Ă une potentielle efficacitĂ© des plantes sur lâĂ©limination des polluants[16].
L'Agence de l'environnement et de la maßtrise de l'énergie (ADEME) considÚre en 2011 que l'argument « plantes dépolluantes » n'est pas validé scientifiquement au regard des niveaux de pollution généralement rencontrés dans les habitations et des nouvelles connaissances scientifiques dans le domaine[16].
Toutefois, selon les résultats de 2012 du programme phyt'air, en conditions expérimentales, et aux doses habituelles de benzÚne ou formaldéhyde, ce sont essentiellement les micro-organismes (bactéries, champignons) du sol qui épureraient l'air, la plante jouant néanmoins un rÎle important, puisqu'un substrat ayant contenu un Epipremmum se montre plus performant pour épurer l'air que s'il n'en a pas contenu[21].
Une Ă©tude portant sur 13 plantes ornementales a montrĂ© leurs capacitĂ©s diffĂ©rentes Ă rĂ©duire la concentration de formaldĂ©hyde dans une enceinte expĂ©rimentale. Les trois plantes les plus efficaces sont Syngonium podophyllum Schott, Pandanus veitchii Hort., et Dieffenbachia picta Lodd., qui sont capables dâabsorber plus de 2 mg/m2 de surface foliaire, par contre Epipremnum aureum fait partie du groupe qui a absorbĂ© 1 Ă 2 mg de formaldĂ©hyde par m2 de surface foliaire[22]. Les feuilles des plantes purifient principalement le formaldĂ©hyde Ă travers les stomates sur les feuilles: la molĂ©cule est convertie en substances non toxiques via des rĂ©actions d'oxydo-rĂ©duction.
Notes et références
Notes
Références
- (fr) Référence INPN : Pothos, Scindapsus doré, Liane du diable, Arum grimpant (Français) (TAXREF)
- Référence Biodiversity Heritage Library : 15949139#page/84/
- Référence Biodiversity Heritage Library : 20101971#page/32
- P. Boyce, « A Review of Epipremnum (Araceae) in Cultivation », Aroideana, vol. 27,â (lire en ligne)
- (en) Référence Tropicos : Epipremnum pinnatum (L.) Engl. (+ liste sous-taxons)
- Chiu-Yueh Hung, Jie Qiu et al., « Gibberellin deficiency is responsible for shy-flowering nature of Epipremnum aureum », Scientific Reports,â (lire en ligne)
- Bailly, « ÏÏÎÎŒÎœÎżÎœ »
- Gaffiot, « aurÄus, a, um »
- (en) Référence Plants of the World online (POWO) : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting
- Pietro Puccio (traduction Michel Olivié), Monaco Nature Encyclopedia, « Epipremnum aureum » (consulté le )
- Jacques Fournet, Flore illustrée des phanérogames de Guadeloupe et de Martinique, Gondwana éditions, Cirad,
- J. Florence IRD, Orstom, 1993, « La végétation de quelques ßles de Polynésie française » (consulté le )
- (en) « Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting | Plants of the World Online | Kew Science », sur Plants of the World Online (consulté le )
- Sastre C., Breuil A., Plantes, milieux et paysages des Antilles françaises. Ăcologie, biologie, identification, protection et usages., Biotope, MĂšze,
- Site de ASPCA (consulté 2009-03-11)
- Collectif, « Plantes et Ă©puration de lâair intĂ©rieur », Les Avis de lâAdeme,â (lire en ligne)
- Majbrit Dela Cruz, Jan H. Christensen, Jane Dyrhauge Thomsen & Renate MĂŒller, « Can ornamental potted plants remove volatile organic compounds from indoor air? â a review », Environmental Science and Pollution Research, vol. 21,â , p. 13909â13928
- Wolverton, BCHow To Grow Fresh Air, Penguin Books, New York, 1997.
- « Les plantes dépolluantes » [PDF], sur plantairpur.fr (consulté le ).
- (en) Kamal Meattle, « How to grow fresh air », sur ted.com, (consulté le ).
- Damien Cuny, "« Biosurveillance des polluants de l'air intérieur, Les apports du Programme Phytair », Air pur - Environnement et santé, no 1, octobre 2012, voir pages 2 à 7, APPA Nord-Pas-de-Calais).
- Yang Han, ... Richard Brown, « Plant-based remediation of air pollution: A review », Journal of Environmental Management, vol. 301,â (lire en ligne)
Voir aussi
Articles connexes
- Phyt'air (programme de test de plantes capables d'épurer l'air intérieur.
- Phytoremédiation
Bases de référence
- (en) Référence BioLib : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S. Bunting (consulté le )
- (en) Référence Catalogue of Life : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting (consulté le )
- (en) Référence Flora of Pakistan : Epipremnum aureum (consulté le )
- (en) Référence GRIN : espÚce Epipremnum aureum (Linden & André) G. S. Bunting (consulté le )
- (fr+en) Référence ITIS : Epipremnum aureum (Linden & André) Bunting (Nom accepté: Epipremnum pinnatum (L.) Engl.) Non valide (consulté le )
- (fr+en) Référence ITIS : Epipremnum pinnatum (L.) Engl. (consulté le )
- (en) Référence Kew Garden World Checklist : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting (1964) (consulté le )
- (en) Référence NCBI : Epipremnum aureum (taxons inclus) (consulté le )
- (en) Référence The Plant List : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S.Bunting (source : KewGarden WCSP) (consulté le )
- (en) Référence Tropicos : Epipremnum aureum (Linden & André) G.S. Bunting (Syn. Epipremnum pinnatum (L.) Engl.) (+ liste sous-taxons) (consulté le )
Autres liens externes
- Jardin botanique de Montréal, affichage de Epipremnum
- Le Guide des Plantes d'Intérieur
- (en) Pothos (Epipremnum aureum)