Dio-et-Valquières
Dio-et-Valquières (en occitan Dian e Valquièiras) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.
Dio-et-Valquières | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Béziers |
Intercommunalité | Communauté de communes de Grand Orb |
Maire Mandat |
Yvelise Descamps 2020-2026 |
Code postal | 34650 |
Code commune | 34093 |
Démographie | |
Gentilé | Diociens pour Dio et Valquierois pour ceux habitants à Valquières |
Population municipale |
147 hab. (2020 ) |
Densité | 7,8 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 40′ 06″ nord, 3° 14′ 02″ est |
Altitude | 250 m Min. 256 m Max. 701 m |
Superficie | 18,77 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Bédarieux (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Clermont-l'Hérault |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vernoubrel et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Dio-et-Valquières est une commune rurale qui compte 147 habitants en 2020, après avoir connu un pic de population de 443 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux. Ses habitants sont appelés les Dioquiérois ou Dioquiéroises.
Géographie
La commune de Dio-et-Valquières se situe dans l'arrière pays héraultais, proche de Bédarieux et de Lodève. Située entre les communes de La Tour-sur-Orb, Lunas, Lavalette, Brenas et Carlencas, elle présente des paysages variés comportant des vallons de terres rouges (les ruffes), des châtaigneraies, un plateau sauvage (le Pioch).
Elle compte quatre ruisseaux : le Vernoubrel, le Garel, le Nombringuières et le Brayou. Située en zone de basse montagne, elle est particulièrement exposée au vent du nord et au marin.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lunas », sur la commune de Lunas, mise en service en 1998[6] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7] - [Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 146 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 47 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13] - [14].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[15]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[16] - [17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[18] : le « plateau de Carlencas-et-Levas » (6 239 ha), couvrant 11 communes du département[19].
Urbanisme
Typologie
Dio-et-Valquières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [20] - [I 1] - [21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32 %), zones agricoles hétérogènes (20,2 %), prairies (3,2 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Dio-et-Valquières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].
Risques naturels
Dio-et-Valquières est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7] - [25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 31,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 149 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 147 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 2006, 2014 et 2015.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Dio-et-Valquières est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Histoire
Au XIIIe siècle, le château de Dio et les terres de Valquières faisaient partie de la seigneurie de Boussagues.
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2020, la commune comptait 147 habitants[Note 8], en diminution de 0,68 % par rapport à 2014 (Hérault : +7,37 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 13,6 % | 8,5 % | 7,7 % |
Département[I 5] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 79 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d'actifs (70,5 % ayant un emploi et 7,7 % de chômeurs) et 21,8 % d'inactifs[Note 9] - [I 4]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Bédarieux, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3] - [I 7]. Elle compte 10 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 58, soit un indicateur de concentration d'emploi de 17,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,2 %[I 8].
Sur ces 58 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 9 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
22 établissements[Note 10] sont implantés à Dio-et-Valquières au [I 11]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,3 % du nombre total d'établissements de la commune (6 sur les 22 entreprises implantées à Dio-et-Valquières), contre 14,1 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[33]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 892 ha[35] - [Carte 5] - [Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune de Dio-et-Valquières comporte un patrimoine multiple et varié comprenant :
- le château de Dio de l'époque des Wisigoths, une forteresse du XIIe siècle rénovée au XVIIe siècle par la famille du cardinal de Fleury ;
- l'église Saint-Étienne de Dio. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1998[36] ;
- l'église Saint-André de Valquières. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1998[37] ;
- la chapelle Saint-Jean du Moulin ;
- des capitelles et bergeries ;
- des croix.
- Église Saint-André de Valquières
- Église Saint-Étienne de Dio
Héraldique
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Les armoiries de Dio-et-Valquières se blasonnent ainsi : |
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Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[34].
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Dio-et-Valquières » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Dio-et-Valquières » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Dio-et-Valquières » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lunas - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Dio-et-Valquières et Lunas », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lunas - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Dio-et-Valquières et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Dio-et-Valquières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « plateau de Carlencas-et-Levas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Dio-et-Valquières », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Les risques majeurs dans l'Hérault », sur www.herault.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dio-et-Valquières », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Dio-et-Valquières - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Eglise paroissiale Saint-Etienne de Dio », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise paroissiale Saint-André de Valquières », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
Voir aussi
Bibliographie
- Luc Dejean, « Dio, Valquières et Vernazobres à travers le compoix de 1858 », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 5,‎ , p. 78-105
- Kateline Ducat, Le hameau castral de Dio (commune de Dio-et-Valquières, Hérault), première approche pour l'archéologie du bâti : mémoire de Master II, Paris, Université de Paris I,
- Louis Fargier, « Notes d'archéologie et d'histoire relatives à la seigneurie, à la communauté et aux châteaux de Dio en Languedoc », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 2,‎ , p. 50-63
- Louis Fargier, « Notes d'archéologie et d'histoire relatives à la seigneurie, à la communauté et aux châteaux de Dio en Languedoc (suite) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 3,‎ , p. 69-78
- Louis Fargier, Dio en Languedoc : notes d'histoire et d'archéologie relatives à la seigneurie, à la communauté et aux châteaux de Dio en Languedoc, Lodève, Impr. des Beaux-arts, sd, 110 p.
- Georges Auxietre, Commune de Dio-et-Valquières : monographie agricole, Montpellier, Éd. du regain, , 50 p.
- Claude Parado, « Coup d'oeil sur le passé : Vernazoubres, commune de Dio-et-Valquières », Bulletin du Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 61-62-63,‎ , p. 36-38
- Robert Gourdiole, « Les Gisements gallo-romains des alentours de Montjoux (communes de Lunas et Dio et Valquieres) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 1,‎ , p. 42-50
- J. Brunel, « Le Cap Barré et la Grotte de Montjaux (communes de Lunas et Dio et Valquières, Hérault) », Bulletin de la Société préhistorique française, no 5,‎
- Georges Auxietre, « Commune de Dio-et-Valquières (34650) : une vue sur le monde agricole en Hérault au début du XXe siècle », Bulletin du Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos 149-150-151,‎ , p. 57-72
- Michel Salvaire et Robert Gourdiole, « Le Castel Vielh de Dio », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 23,‎ , p. 41-84
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Dio-et-Valquières (1702-1902) [0,61 ml]. Cote : 93 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- Office du Tourisme
- Ressources relatives à la géographie :
- Webcam méteo live Commune de Dio et Valquières