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Couvron-et-Aumencourt

Couvron-et-Aumencourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Couvron-et-Aumencourt
Couvron-et-Aumencourt
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité CC du Pays de la Serre
Maire
Mandat
Carole Ribeiro
2020-2026
Code postal 02270
Code commune 02231
DĂ©mographie
Gentilé Covéronnais(es)
Population
municipale
949 hab. (2020 en augmentation de 5,33 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 71 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 38â€Č 37″ nord, 3° 31â€Č 03″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 91 m
Superficie 13,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Marle
LĂ©gislatives 1re circonscription de l'Aisne
Localisation
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Couvron-et-Aumencourt
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Couvron-et-Aumencourt
Liens
Site web https://www.couvron.fr/

    Ses habitants sont les Covéronnais[1]

    GĂ©ographie

    Localisation

    Cartographies de la commune
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    • 1Carte dynamique
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    • 3Carte topographique

    Couvron est située à 11 km de Crécy-sur-Serre, à 15 km de Laon, à 19 km d'Anizy-le-Chùteau et à 32 km de Saint-Quentin.

    L'accĂšs Ă  l'A 26, qui tangente au nord le territoire communal, en direction de Saint-Quentin est Ă  km de Couvron.

    Couvron-et-Aumencourt est desservie par la gare de Crépy - Couvron située à Crépy, sur la ligne d'Amiens à Laon et desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France.

    • EntrĂ©e de Couvron-et-Aumencourt.
      Entrée de Couvron-et-Aumencourt.
    • La gare de CrĂ©py-Couvron.
      La gare de Crépy-Couvron.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le territoire communal est drainé par le Broyon, un affluent de la Serre et donc un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,4 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 729 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pouilly-sur-Serre », sur la commune de Pouilly-sur-Serre, mise en service en 1959[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 735,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10].
    Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lĂšs-Clercs, mise en service en 1933 et Ă  28 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  10,3 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Couvron-et-Aumencourt est une commune rurale[Note 6] - [15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16] - [17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (63,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (64,6 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,2 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (20,7 %), forĂȘts (12,2 %), zones urbanisĂ©es (4 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Habitat et logement

    En 2019, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 396, alors qu'il Ă©tait de 378 en 2014 et de 367 en 2009[I 1].

    Parmi ces logements, 92,4 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 11,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Couvron-et-Aumencourt en 2019 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (3,5 %) et à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 64,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (62,7 % en 2014), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement Ă  Couvron-et-Aumencourt en 2019.
    Typologie Couvron-et-Aumencourt[I 1] Aisne[I 4] France entiĂšre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 92,4 86,5 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 3,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,3 9,9 8,2

    Histoire

    Révolution française et Empire

    Le , Couvron fusionne avec Aumencourt par arrĂȘtĂ© du Directoire de l'Aisne et prend son nom actuel[22].

    PremiĂšre Guerre mondiale

    Durant la premiĂšre Guerre mondiale, l'armĂ©e allemande implante un champ d’aviation Ă  quelques centaines de mĂštres de la base actuelle[23].

    Pendant la guerre, l’église de Couvron subi des dĂ©gradations, sans ĂȘtre dĂ©molie. Le , les vitraux sont soufflĂ©s et les cloches de l'Ă©glise furent enlevĂ©es par les Allemands pour ĂȘtre fondues[24].

    En 1917 est installée dans le bois entre Couvron et Crépy, aprÚs le passage à niveau, une Grosse Bertha qui bombarde Paris[24].

    En 1918, dans le cadre des destructions systĂ©matiques des sites industriels opĂ©rĂ©es par les Allemands, les deux sucreries d’Aulnois ainsi que la rĂąperie qui se trouvait Ă  cheval sur Couvron et de Vivaise, qui avaient Ă©tĂ© occupĂ©es par l’ennemi, sont dĂ©molies et vidĂ©es de tout leur matĂ©riel pour ĂȘtre expĂ©diĂ©en Allemagne[24].

    Par ordre du général allemand qui logeait au chùteau (actuellement démoli), tous les habitants du village sont évacués à pieds le vers Vervins[24].

    Le village est libĂ©rĂ© le . La rue principale du village, autrefois dĂ©nommĂ©e rue Saint-Nicolas, porte depuis 1919 le nom de rue du Colonel ChĂ©py, officier français tuĂ© ce jour-lĂ  lors d'une inspection du front, qui se trouvait Ă  la hauteur de la ferme d’Aumencourt, victime d’éclats d’obus tirĂ©s par les Allemands qui se retiraient[24].

    Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la guerre[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    L'Entre deux guerres

    En 1936, l'armĂ©e française implante une plate-forme d’opĂ©rations pour les besoins opĂ©rationnels de l'ArmĂ©e de l'Air, qui deviendra la base aĂ©rienne de Laon-Couvron[23] - [27].

    Le calvaire érigé en 1902, démoli lors des bombardements allemands, est restauré le , devant une foule nombreuse[24].

    Seconde Guerre mondiale

    La base aérienne connaßt une grande activité durant la DrÎle de guerre puis la Campagne de France de mai-juin 1940[23].

    AprĂšs l'armistice du 22 juin 1940, la base est utilisĂ©e et agrandie par la Luftwaffe jusqu’en 1944[23] - [27].

    Couvron-et-Aumencourt est libéré le [28].

    L'aprĂšs-guerre

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne[30].

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crécy-sur-Serre[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements Ă©lectoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Marle[30].

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Aisne[31].

    Intercommunalité

    Penvénan est membre fondateur de la communauté de communes du Pays de la Serre, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Cette intercommunalité succÚde au Syndicat du Pays de la Serre créé en 1986.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1959 1965 Jean Wateau
    1965 1971 Yvonne Ladeux
    1971 1977 SylvĂšre Tribouilloy
    1977 2001 Marcel VivÚs PS Conseiller général du canton de Crécy-sur-Serre (1993-2001)
    2001 2014 Edmond Sebestyen[33] PS Enseignant universitaire
    2014[34] En cours
    (au 11 novembre 2020)
    Carole Ribeiro SE Fonction publique
    PrĂ©sidente de la CC du Pays de la Serre (2020 → )
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[35]

    Équipements et services publics

    Enseignement

    La commune dispose d'une école de 6 classes, de la maternelle au CM2, dotée d'un accueil périscolaire et d'une cantine[36].

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 949 habitants[Note 8], en augmentation de 5,33 % par rapport à 2014 (Aisne : −1,93 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    636646707751772768817807802
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    748712685701692677656664636
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    624616573465516484498504574
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    6065906666978991 0151 4141 3761 151
    2017 2020 - - - - - - -
    938949-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee Ă  partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Privat.
    • Monument aux morts, Ă©difiĂ© en 1923, grĂące Ă  une souscription lancĂ©e dans la population par les anciens combattants de l’époque en mĂ©moire de leurs camarades tombĂ©s au front, la municipalitĂ© ayant participĂ© aux dĂ©pense[24]
    • Calvaire.
    • L'astroboule, sculpture monumentale de Claude Viseux.
    • Base aĂ©rienne de Laon-Couvron occupĂ©e par l'armĂ©e amĂ©ricaine de la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1967 et restituĂ©e alors Ă  l'armĂ©e française Ă  la suite de la sortie de la France du commandement centralisĂ© de l'OTAN.
    • Église Saint-Privat.
      Église Saint-Privat.
    • Église Saint-Privat.
      Église Saint-Privat.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.
    • Calvaire.
      Calvaire.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « La commune en quelques mots », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr/ (consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Pouilly-sur-Serre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Couvron-et-Aumencourt et Pouilly-sur-Serre », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Pouilly-sur-Serre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Couvron-et-Aumencourt et Fontaine-lÚs-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    16. « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le )
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    23. « De l’avion au char : le camp militaire », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr (consultĂ© le ).
    24. Marcel Vives, « Centenaire de la Libération de Couvron » [PDF], Vie locale > Histoire de la commune -, sur https://www.couvron.fr, (consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 3 août 1921, p. 9097.
    27. DGAC, « Plate-forme d'opérations de LAON - COUVRON (Aisne) », Atlas historique des terrains d'aviation de France métropolitaine 1919-1947, sur https://www.anciens-aerodromes.com, (consulté le ).
    28. « Libération de Couvron (39-45) », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr/ (consulté le ).
    29. « Il y a dix ans, la base de Laon-Couvron fermait. Le dĂ©part des militaires a laissĂ© un vide (1/4) : La base militaire de Couvron-et-Aumencourt a fermĂ© ses portes il y a dix ans, laissant un vide dans le village aprĂšs le dĂ©part de nombreuses familles », L'Union ,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    30. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Couvron-et-Aumencourt », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    31. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et aprÚs la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    32. « Les Maires de Couvron », Vie locale > Histoire de la commune, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
    33. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    34. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    35. « Second mandat de maire pour Carole Ribeiro Ă  Couvron-et-Aumencourt », L'Union,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    36. « Ecole primaire et maternelle », Jeunesse > L'école > Ecole primaire et maternelle, sur https://www.couvron.fr (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Couvron-et-Aumencourt », MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).
    • Carte spĂ©ciale des rĂ©gions dĂ©vastĂ©es : 22 SE, Laon [Sud-Est], Service gĂ©ographique de l'armĂ©e, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.


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