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Coussay

Coussay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne actuellement en région Nouvelle-Aquitaine et antérieurement en Poitou-Charentes.

Coussay
Coussay
Le corps de garde à l'entrée du château.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes du Haut-Poitou
Maire
Mandat
Philippe Champier
2020-2026
Code postal 86110
Code commune 86085
Démographie
Gentilé Cusciacucien(ne)s
Population
municipale
248 hab. (2020 en augmentation de 1,64 % par rapport à 2014)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 50′ 18″ nord, 0° 12′ 14″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 149 m
Superficie 20,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Loudun
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Coussay
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Coussay
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Coussay
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Coussay

    Ses habitants sont appelés les Cusciacuciens[1].

    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 671 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Doussay », sur la commune de Doussay, mise en service en 1991[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 592,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 30 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Coussay
    Verrue
    Saint-Jean-de-Sauves
    (en un quadripoint)
    Coussay Doussay
    Chouppes

    Urbanisme

    Typologie

    Coussay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,7 %), zones agricoles hétérogènes (35,3 %), forêts (13 %), prairies (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Coussay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Envigne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2010[23] - [21].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coussay.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[25]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[26]. 93,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [27].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2005 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

    Toponymie

    Le nom du bourg proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Cusciacus[28].

    Histoire

    Aile du cloître longeant l'église abbatiale de Cormery.
    Les petites communes ont elles aussi versé leur sang lors de la grande guerre.


    Jadis, ce village était le siège d'un prieuré dépendant de l'abbaye Saint-Paul de Cormery, élevée au rang d'abbaye bénédictine an l'an 800 et située de nos jours dans le département d'Indre-et-Loire à une trentaine de kilomètres au sud de Tours. Les archives d'Indre-et-Loire conservent un diplôme de Louis le Pieux en date de 837 donnant à Cormery le domaine de Coussay ce qui permit l'implantation du prieuré dont il est parlé plus haut[29].

    il n'est pas de commune qui aient échappé à la saignée de la Grande Guerre. Cette trés originale plaque commémorative de la guerre de 14-18 apposée sur un des murs de l'église Saint Paul en témoigne.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1945 Alexis Sivion
    1945 1959 Aristide Montaubin
    1959 1989 Albert Bugean
    1989 2005 Michel Provost[30]
    Jean-Jacques Bourdier[31]

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Démographie

    En 2020, la commune de Coussay comptait 248 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres « recensements » sont des estimations. La densité de population de la commune est de 13 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France (INSEE- 2008).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    494530529609556581560570603
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    587587585556594593617610629
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    612610567554569536512494473
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    453363302284264265265265246
    2017 2020 - - - - - - -
    251248-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008,selon l'Insee; la densité de population de la commune était de 13 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Économie

    Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[34], il n'y a plus que 19 exploitations agricoles en 2010 contre 25 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 10 % et sont passées de 920 hectares en 2000 à 1 019 hectares en 2010[34]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares.

    57 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi orges et maïs), 22 % pour les oléagineux (tournesol), 2 % pour le fourrage et 3 % reste en herbes[34].

    3 exploitations en 2010 comme en 2000 abritent un petit élevage de bovins (115 têtes en 2010 contre 99 têtes en 2000). Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu en 2010 : respectivement, 36 têtes sur 3 fermes en 2000 et 614 têtes sur 9 fermes[34].

    Culture locale et patrimoine

    Le château de Coussay[35]

    C'est un château Renaissance, entouré de douves vives, construit par Denis Briçonnet au début du XVIe siècle, il fut la demeure du cardinal de Richelieu qui y séjourna à plusieurs reprises de 1609 à 1618[36] et plus particulièrement pendant son année de disgrâce en 1617. Richelieu était évêque de Luçon et prieur de Coussay.

    En fait, le château est un ancien prieuré attribué par Louis le Pieux à l'Abbaye Saint-Paul de Cormery qui en fit don à Coussay. En 1520, l'abbé Denis Briçonnet entreprend la reconstruction du logis du prieur et édifie deux pavillons. De son voyage en Italie, où il exerce de 1515 à 1519, la fonction d'ambassadeur auprès du pape Léon X, il rapporta un certain raffinement pour le décor.

    Le domaine de Coussay se compose d'une avant-cour cernée sur deux côtés par des communs, le pavillon d'entrée du prieuré et le pavillon abritant la fontaine. Une impasse dite du "corps de garde" témoigne de l'ancienne vocation militaire du lieu[37].

    À l'est de cette cour, s'élève une plate-forme ceinte de douves vives. Elle est flanquée de quatre petites tours circulaires. Sur cette plate-forme défensive, a été construit le logis du prieur. Il est de plan rectangulaire et cantonné de quatre tours d'angle circulaires. Il comporte un rez-de-chaussée surélevé et un étage sous combles. La façade est, la principale, date du XVIe siècle. Elle est rythmée par d'élégantes fenêtres à meneaux et des lucarnes. Elle porte une ornementation délicate de rinceaux et de blasons des Briçonnet. La façade opposée, côté cour, a été dotée au XVIIe siècle d'une nouvelle porte lorsque le cardinal Richelieu, dont la famille possédait Coussay depuis 1543, décida la construction d'un escalier à double rampes. Cette façade est cantonnée de pilastres cannelés doriques supportant un fronton couronné de la coiffe épiscopale de Richelieu, évêque de Luçon.

    Le pavillon d'entrée est un robuste ouvrage quadrangulaire. Il porte pour tout ornement une belle fenêtre à meneaux dont les pilastres reposent sur deux cygnes aux ailes déployées.

    Le pavillon de la Fontaine date du XVIe siècle. C'est un édifice accosté de deux tourelles, dont une en surplomb. Il abrite un bassin recueillant les eaux d'une source. Vouté d'ogives retombant sur quatre colonnettes d'angle, le pavillon s'ouvre sur la cour par une arcade en anse de panier, surmontée d'une délicate frise de rinceaux. Le rez-de-chaussée du pavillon a été classé en 1924 comme Monument Historique, les façades et les toitures, le porche du corps de garde et du château l'ont été en 1949. Le reste du château est inscrit depuis 1935.

    Le château de Coussay est aujourd'hui une résidence d'artistes accueillant tous les ans de nouveaux travaux essentiellement d'art plastique.

    L'église Saint-Paul de Coussay

    L'église Saint-Paul. L'abside et le chœur sont inscrits comme Monument historique depuis 1952[38]. Dans le chœur, le vitrail axial représente Paul de Tarse appuyé sur l'épée de son martyre et son abside.

    Chevet église Saint-Paul de Coussay.

    Elle est romane d'origine, mais a été fortement remaniée à plusieurs reprises depuis la fin du XIe siècle. La nef a vu ses voûtes modifiées au XIIIe siècle. Le chevet a été reconstruit au XVe siècle. Il est de style gothique flamboyant. L'ensemble de l'édifice montre donc un caractère composite très marqué.

    L'édifice est en tuffeau blanc de la région.

    La souche du clocher est romane.

    Sous les deux baies jumelles percées dans le mur sud de la nef, apparaissent les traces d'une ancienne porte avec une grande arcature en plein cintre se posant sur des colonnes chapeautées de chapiteaux sculptés. La porte est, aujourd'hui, murée.

    À l'extrême droite de l'église, entre deux fenêtres, dans une niche, un petit personnage est sculpté en rond de bosse dans un style très archaïque (XIIe siècle ?).

    Le portail occidental comporte trois voussures en plein cintre. Elles sont décorées de palmettes et reposent sur des chapiteaux décorés de feuillage, surmontant des colonnes.


    Intérieur de l'église saint Paul de Coussay

    À l'intérieur, des coupoles de diamètre inégal ont été construites après coup, dans un plan primitivement non voûté. Le transept roman a vu ses chapiteaux d'origine remplacés. L'un d'eux représente des quadrupèdes dressés qui entourent un personnage. sur un autre, deux quadrupèdes s'affrontent violemment. Au-dessus de chaque bête, un personnage présente l'allure d'un homme crucifié. L'ensemble est chapeauté par un masque humain.

    Territoire en partie issu du hameau de Brizay

    Particularité peu fréquente la commune de Coussay a, en commun avec celle de Verrue, le fait de se partager le territoire du hameau de Brizay, situé à 2,5 km au nord.

    Le château de la Tourderie

    Le nom du château peut s'écrire aussi la Tour-de-Ry. Le logis, la tour fortifiée, le terre-plein, les douves et la cour sont classés comme Monument Historique depuis 1995. Les bâtiments des communs et le pigeonniers sont inscrits comme Monument Historique depuis 1993.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Doussay - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Coussay et Doussay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Doussay - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Coussay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Coussay », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    25. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Coussay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    27. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    28. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    29. Histoire d'un legs abbatial.
    30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    31. « Coussay », Association des maires de France, consulté le 31 juillet 2013
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    34. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    35. Une demeure encore à taille humaine
    36. [PDF] Historique du château de Coussay Sur le site chateaudecoussay.fr
    37. Un château de plaisance mais pas uniquement.
    38. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105439
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