AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Cottévrard

Cottévrard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Cottévrard
Cottévrard
L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Normandie
DĂ©partement Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité CC inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Fabrice Gamelin
2020-2026
Code postal 76850
Code commune 76188
DĂ©mographie
Gentilé Cottévrardais, Cottévrardaises
Population
municipale
474 hab. (2020 en augmentation de 4,64 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 60 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 38â€Č 01″ nord, 1° 13â€Č 23″ est
Altitude Min. 133 m
Max. 176 m
Superficie 7,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de NeufchĂątel-en-Bray
LĂ©gislatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cottévrard
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cottévrard
GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Voir sur la carte topographique de la Seine-Maritime
Cottévrard
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Cottévrard

    GĂ©ographie

    Bien que située sur le plateau du pays de Caux, Cottévrard fait partie pays de Bray comme tout l'ancien arrondissement de Neufchùtel.

    CottĂ©vrard est situĂ©e Ă  km de Bosc-le-Hard, Ă  km de Saint-SaĂ«ns, Ă  km de Bellencombre, Ă  13 km de Buchy et Ă  16 km de TĂŽtes.

    Elle est située à km de l'échangeur du Pucheuil (no 11) de l'A28 et a donné son nom à une gare de péage de l'A29.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,2 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 903 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă  27 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă  10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Cottévrard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (93,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,8 %), prairies (5,2 %), zones urbanisĂ©es (4 %), forĂȘts (2,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Cotevrart en 1147[21] et en 1197[22], Cothevrat en 1172 et 1178, Cotevrart en 1195[21], Cottevrard en 1793, Cottévrard en 1801[23].

    Il s'agit d'un composé toponymique vraisemblablement peu ancien si l'on considÚre son origine et son mode de composition (« formule »).

    François de Beaurepaire, citant Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, penche pour un composĂ© de type germanique basĂ© sur les Ă©lĂ©ments kot « habitation » que l'on retrouve sporadiquement dans la toponymie normande, par exemple : Vaucottes (Seine-Maritime) ou Brocottes (Calvados). L'origine prĂ©cise de ce terme en Normandie, saxonne ou scandinave, est discutĂ©e[24]. Cependant, Ă©tant donnĂ© le caractĂšre plus rĂ©cent du mode composition « formule B », c'est-Ă -dire Cotte- + second Ă©lĂ©ment, il est prĂ©fĂ©rable d'y voir directement le vieux normand cotte « hutte, cabane » (cf. normand cottin hutte, cabane, niche Ă  chien, voir aussi anglais cottage et coterie, tenure rurale modeste, puis rĂ©volte de cot(t)iers « petits paysans ») de mĂȘme origine, suivi du nom de personne Evrart, qui se perpĂ©tue dans le nom de famille Évrard, d'origine francique.

    Histoire

    Le village conserve des traces d'un établissement militaire sur tertre au nom inconnu datant du Bas Empire, auquel a succédé un chùteau fort médiéval datant des XIe et XIIe siÚcles, dont il reste quelques substructions qui sont propriétés de la commune[25]. Par contre le chùteau de Grosmesnil (situé au lieu-dit Grosmesnil) est un édifice beaucoup plus récent (XVIIIe siÚcle), seule la chapelle Saint-Georges a des origines anciennes qui remontent au XIIe siÚcle.

    Selon l'abbĂ© Cochet, « Vers 1830, on a recueilli, notamment au hameau de Dreulles, des monnaies romaines, en grande partie de bronze ; quelques-unes Ă©taient de NĂ©ron et de Commode, vingt-sept de Titus, le plus grand nombre de Trajan. — La tradition du pays veut qu'il y ait eu Ă  Dreulles une ville qu'on appelle la CitĂ© de Dreulles. Un vieux chemin de ce hameau porte le nom de Chemin de CĂ©sar.— Voie romaine de Cailly et de Rouen Ă  Arques et Ă  Dieppe. — Sur la route du Bosc-le-Hard est le Bois de la Moue, renfermant un tertre circulaire qui recouvrait un souterrain. Il y a Ă  Dreulles des traditions oĂč se mĂȘle le nom de CĂ©sar[26] Â».

    Six bagues en argent doré avec chaton de verre, semblant dater du XIIIe siÚcle, ont été trouvées dans la cour du chùteau de Grosmesnil[26]

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bellencombre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchùtel-en-Bray..

    Intercommunalité

    Bosc-le-Hard était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.

    Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité est dissoute le et ses communes réparties entre trois intercommunalités.

    C'est ainsi que Cottévrard est désormais membre de la communauté de communes Inter-Caux-Vexin créée le .

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1829 1830 De Grosmesnil
    1848 MĂ©gard
    1852 1860 Jacques Dufour
    194X Ernest BenoĂźt
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2014 Pierre Duvivier DVD Agriculteur retraité
    2014 mai 2020[27] Jean-Claude HautecƓur
    mai 2020[28] En cours
    (au 2 juin 2020)
    Fabrice Gamelin

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[30].

    En 2020, la commune comptait 474 habitants[Note 8], en augmentation de 4,64 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    395365387372398375374362312
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    300287302295286328273263267
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    285289270242231235239250251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    241219219291358339345369385
    2014 2019 2020 - - - - - -
    453476474------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee Ă  partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin est mentionnĂ©e dĂšs 1147. La partie la plus ancienne de l'Ă©glise est le chƓur qui remonte au XIIe siĂšcle, mais a Ă©tĂ© trĂšs modifiĂ© au XVIe siĂšcle. Alors que le clocher tombait en ruine en 1840, il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de le remplacer. Alors qu'ailleurs dans la rĂ©gion, on a beaucoup reconstruit en brique au XIXe, on a jugĂ© bon d'acquĂ©rir un clocher ancien en pierre, Ă  savoir celui de l'Ă©glise Saint-Nicolas de Rouen qui devait ĂȘtre abattue, puisque la paroisse avait Ă©tĂ© supprimĂ©e Ă  la RĂ©volution. Le clocher est mis en place en 1843; il s'agit d'un Ă©difice de style gothique flamboyant construit entre 1503 et 1533. C'est l'architecte rouennais Élie Courtonne qui a rĂ©alisĂ© ce travail de transfert Ă  l'instigation du comte de Grosmesnil[32]. La paroisse Ă©tait sous la patronage de l'abbaye de JumiĂšges avant la RĂ©volution française[33].

    Personnalités liées à la commune

    Liste des curés
    • Jean Pierre Nicolle (†1842)
    • Pierre Boniface Froment (†1868), curĂ© pendant 25 ans
    • Antoine Ambroise Lemasson (†1876)
    • Pierre Denis Lebas (†1892)

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Daniel Fauvel, CottĂ©vrard : de la guerre de 1870 Ă  la guerre de 1914-1918, Petit-Caux, Wooz Ă©ditions, , 84 p. (ISBN 979-10-96714-02-5, OCLC 971608673)
    • Daniel Fauvel, CottĂ©vrard : Histoire de l'Ă©glise, du prieurĂ© et du presbytĂšre, Petit-Caux, Wooz Ă©ditions, , 70 p. (ISBN 979-10-96714-10-0, OCLC 1027766751)
    • Daniel Fauvel, CottĂ©vrard : de la voie romaine Ă  l'autoroute, Petit-Caux, Wooz Ă©ditions, , 64 p. (ISBN 979-10-96714-19-3, OCLC 1100245107)
    • Daniel Fauvel, CottĂ©vrard : les CottĂ©vrardais Ă  l'aube du XXe siĂšcle, le crash de l'avion de John Alcock, Petit-Caux, Wooz Ă©ditions, 76 p. (ISBN 9791096714360, OCLC 1182580218)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Cottévrard et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cottévrard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 271.
    22. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 62..
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    24. François de Beaurepaire, op. cit..
    25. Base Mérimée : chùteau fort
    26. Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 11, 561, lire en ligne sur Gallica.
    27. StĂ©phanie Petit, « Municipales 2020 : Ă  CottĂ©vrard, Fabrice Gamelin prĂ©sente sa liste : Fabrice Gamelin, 1er adjoint Ă  CottĂ©vrard est candidat aux Ă©lections municipales. Le maire, Jean-CLaude HautecƓur a dĂ©cidĂ© de ne pas se reprĂ©senter aprĂšs son unique mandat », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    28. « Á CottĂ©vrard, Fabrice Gamelin succĂšde Ă  Jean-Claude HautecƓur : EntourĂ© par deux adjoints, Fabrice Gamelin a Ă©tĂ© Ă©lu maire de CottĂ©vrard. L'Ă©quipe municipale veut s'attaquer Ă  la sĂ©curitĂ© routiĂšre dans le village », Le RĂ©veil,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    32. in L'Ami de la religion et du roi: journal ecclĂ©siastique, politique et littĂ©raire, Éditeur A. Le ClĂšre, 1843.
    33. Monuments historiques à Cottévrard
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.