Cottévrard
Cottévrard est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Cottévrard | |||||
L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Normandie | ||||
DĂ©partement | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Rouen | ||||
Intercommunalité | CC inter-Caux-Vexin | ||||
Maire Mandat |
Fabrice Gamelin 2020-2026 |
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Code postal | 76850 | ||||
Code commune | 76188 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Cottévrardais, Cottévrardaises | ||||
Population municipale |
474 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 60 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 49° 38âČ 01âł nord, 1° 13âČ 23âł est | ||||
Altitude | Min. 133 m Max. 176 m |
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Superficie | 7,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de NeufchĂątel-en-Bray | ||||
LĂ©gislatives | 10e circonscription de la Seine-Maritime | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Seine-Maritime
GĂ©olocalisation sur la carte : Normandie
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GĂ©ographie
Bien que située sur le plateau du pays de Caux, Cottévrard fait partie pays de Bray comme tout l'ancien arrondissement de Neufchùtel.
Cottévrard est située à 4 km de Bosc-le-Hard, à 7 km de Saint-Saëns, à 9 km de Bellencombre, à 13 km de Buchy et à 16 km de TÎtes.
Elle est située à 5 km de l'échangeur du Pucheuil (no 11) de l'A28 et a donné son nom à une gare de péage de l'A29.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve Ă 12 km Ă vol d'oiseau[8] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 901,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et Ă 27 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11] Ă 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis Ă 11 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Cottévrard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (93,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (79,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,8 %), prairies (5,2 %), zones urbanisĂ©es (4 %), forĂȘts (2,9 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Cotevrart en 1147[21] et en 1197[22], Cothevrat en 1172 et 1178, Cotevrart en 1195[21], Cottevrard en 1793, Cottévrard en 1801[23].
Il s'agit d'un composé toponymique vraisemblablement peu ancien si l'on considÚre son origine et son mode de composition (« formule »).
François de Beaurepaire, citant Jean Adigard des Gautries et Fernand Lechanteur, penche pour un composĂ© de type germanique basĂ© sur les Ă©lĂ©ments kot « habitation » que l'on retrouve sporadiquement dans la toponymie normande, par exemple : Vaucottes (Seine-Maritime) ou Brocottes (Calvados). L'origine prĂ©cise de ce terme en Normandie, saxonne ou scandinave, est discutĂ©e[24]. Cependant, Ă©tant donnĂ© le caractĂšre plus rĂ©cent du mode composition « formule B », c'est-Ă -dire Cotte- + second Ă©lĂ©ment, il est prĂ©fĂ©rable d'y voir directement le vieux normand cotte « hutte, cabane » (cf. normand cottin hutte, cabane, niche Ă chien, voir aussi anglais cottage et coterie, tenure rurale modeste, puis rĂ©volte de cot(t)iers « petits paysans ») de mĂȘme origine, suivi du nom de personne Evrart, qui se perpĂ©tue dans le nom de famille Ăvrard, d'origine francique.
Histoire
Le village conserve des traces d'un établissement militaire sur tertre au nom inconnu datant du Bas Empire, auquel a succédé un chùteau fort médiéval datant des XIe et XIIe siÚcles, dont il reste quelques substructions qui sont propriétés de la commune[25]. Par contre le chùteau de Grosmesnil (situé au lieu-dit Grosmesnil) est un édifice beaucoup plus récent (XVIIIe siÚcle), seule la chapelle Saint-Georges a des origines anciennes qui remontent au XIIe siÚcle.
Selon l'abbĂ© Cochet, « Vers 1830, on a recueilli, notamment au hameau de Dreulles, des monnaies romaines, en grande partie de bronze ; quelques-unes Ă©taient de NĂ©ron et de Commode, vingt-sept de Titus, le plus grand nombre de Trajan. â La tradition du pays veut qu'il y ait eu Ă Dreulles une ville qu'on appelle la CitĂ© de Dreulles. Un vieux chemin de ce hameau porte le nom de Chemin de CĂ©sar.â Voie romaine de Cailly et de Rouen Ă Arques et Ă Dieppe. â Sur la route du Bosc-le-Hard est le Bois de la Moue, renfermant un tertre circulaire qui recouvrait un souterrain. Il y a Ă Dreulles des traditions oĂč se mĂȘle le nom de CĂ©sar[26] ».
Six bagues en argent doré avec chaton de verre, semblant dater du XIIIe siÚcle, ont été trouvées dans la cour du chùteau de Grosmesnil[26]
Politique et administration
Rattachements administratifs et Ă©lectoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la dixiÚme circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bellencombre[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Neufchùtel-en-Bray..
Intercommunalité
Bosc-le-Hard était membre de la communauté de communes du Bosc d'Eawy, créée en 2002.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité est dissoute le et ses communes réparties entre trois intercommunalités.
C'est ainsi que Cottévrard est désormais membre de la communauté de communes Inter-Caux-Vexin créée le .
Liste des maires
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[30].
En 2020, la commune comptait 474 habitants[Note 8], en augmentation de 4,64 % par rapport Ă 2014 (Seine-Maritime : â0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'Ă©glise paroissiale Saint-Martin est mentionnĂ©e dĂšs 1147. La partie la plus ancienne de l'Ă©glise est le chĆur qui remonte au XIIe siĂšcle, mais a Ă©tĂ© trĂšs modifiĂ© au XVIe siĂšcle. Alors que le clocher tombait en ruine en 1840, il a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© de le remplacer. Alors qu'ailleurs dans la rĂ©gion, on a beaucoup reconstruit en brique au XIXe, on a jugĂ© bon d'acquĂ©rir un clocher ancien en pierre, Ă savoir celui de l'Ă©glise Saint-Nicolas de Rouen qui devait ĂȘtre abattue, puisque la paroisse avait Ă©tĂ© supprimĂ©e Ă la RĂ©volution. Le clocher est mis en place en 1843; il s'agit d'un Ă©difice de style gothique flamboyant construit entre 1503 et 1533. C'est l'architecte rouennais Ălie Courtonne qui a rĂ©alisĂ© ce travail de transfert Ă l'instigation du comte de Grosmesnil[32]. La paroisse Ă©tait sous la patronage de l'abbaye de JumiĂšges avant la RĂ©volution française[33].
Personnalités liées à la commune
- Liste des curés
- Jean Pierre Nicolle (â 1842)
- Pierre Boniface Froment (â 1868), curĂ© pendant 25 ans
- Antoine Ambroise Lemasson (â 1876)
- Pierre Denis Lebas (â 1892)
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Fauvel, Cottévrard : de la guerre de 1870 à la guerre de 1914-1918, Petit-Caux, Wooz éditions, , 84 p. (ISBN 979-10-96714-02-5, OCLC 971608673)
- Daniel Fauvel, Cottévrard : Histoire de l'église, du prieuré et du presbytÚre, Petit-Caux, Wooz éditions, , 70 p. (ISBN 979-10-96714-10-0, OCLC 1027766751)
- Daniel Fauvel, Cottévrard : de la voie romaine à l'autoroute, Petit-Caux, Wooz éditions, , 64 p. (ISBN 979-10-96714-19-3, OCLC 1100245107)
- Daniel Fauvel, Cottévrard : les Cottévrardais à l'aube du XXe siÚcle, le crash de l'avion de John Alcock, Petit-Caux, Wooz éditions, 76 p. (ISBN 9791096714360, OCLC 1182580218)
Articles connexes
Liens externes
- Cottévrard sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Cottévrard (76188) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Cottévrard et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Cottévrard et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 271.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 62..
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- François de Beaurepaire, op. cit..
- Base Mérimée : chùteau fort
- Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure : rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll. « Répertoire archéologique de la France », , 652 p. (lire en ligne), p. 11, 561, lire en ligne sur Gallica.
- StĂ©phanie Petit, « Municipales 2020 : Ă CottĂ©vrard, Fabrice Gamelin prĂ©sente sa liste : Fabrice Gamelin, 1er adjoint Ă CottĂ©vrard est candidat aux Ă©lections municipales. Le maire, Jean-CLaude HautecĆur a dĂ©cidĂ© de ne pas se reprĂ©senter aprĂšs son unique mandat », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Ă CottĂ©vrard, Fabrice Gamelin succĂšde Ă Jean-Claude HautecĆur : EntourĂ© par deux adjoints, Fabrice Gamelin a Ă©tĂ© Ă©lu maire de CottĂ©vrard. L'Ă©quipe municipale veut s'attaquer Ă la sĂ©curitĂ© routiĂšre dans le village », Le RĂ©veil,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- in L'Ami de la religion et du roi: journal ecclĂ©siastique, politique et littĂ©raire, Ăditeur A. Le ClĂšre, 1843.
- Monuments historiques à Cottévrard