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Esteville

Esteville est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Esteville
Esteville
Le château (XVIIe siècle).
Blason de Esteville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Rouen
Intercommunalité Communauté de communes inter-Caux-Vexin
Maire
Mandat
Manuel Grente
2020-2026
Code postal 76690
Code commune 76247
Démographie
Gentilé Estevillais, Estevillaises
Population
municipale
496 hab. (2020 en diminution de 5,88 % par rapport à 2014)
Densité 94 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 24″ nord, 1° 13′ 21″ est
Altitude Min. 156 m
Max. 176 m
Superficie 5,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bois-Guillaume
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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    Géographie

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 853 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 24 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Esteville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,7 %), prairies (18,1 %), zones urbanisées (9,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Etevilla vers 1185 ; puis Eteville en 131 9; ensuite Esteville en 1362 - 1365 ; Touffreville Etheville en 1648 ; Edeville en 1715 ; Touffreville et son annexe à Edeville en 1738 ; Esteville en 1757[21] - [22].

    La prononciation moderne « Esstevil » est basée sur l'adjonction exceptionnelle d’un s graphique après la voyelle e à partir du XIIIe siècle dans certains documents, puis régulièrement dès le milieu du XVIIIe siècle, mais non conforme à la prononciation traditionnelle et à l'étymologie[23]. Edeville, souvent noté vers le XVIIe siècle, reflète l'évolution régulière de la prononciation à partir de la forme originelle Eteville.

    Il s'agit d'une formation médiévale en -ville « domaine rural » (appellatif toponymique issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural »). Le premier élément Este- représente vraisemblablement un nom de personne comme dans la plupart des composés en -ville.

    Pour expliquer le premier élément Este-, Albert Dauzat, reprenant une suggestion de Hermann Gröhler, et qui ne connaît pas de forme ancienne, émet l'hypothèse d'un *Aestivalis (villa)[24], comprendre « domaine rural utilisé comme lieu d'estivage ». Le mot estival en français est un emprunt médiéval au latin de l'époque impériale aestivālis, de même sens, dérivé du latin classique aestīvus « id. », dérivé de aestās, -ātis « été »[25]. Estival est attesté pour la première fois en français au XIIe siècle. Cette explication est incompatible avec la nature des formes anciennes.

    En revanche, d'après les formes anciennes et celles régulièrement attestées jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, François de Beaurepaire propose le nom de personne francique Etto[23] que l'on retrouve dans le toponyme Etting en Lorraine (suivi du suffixe germanique -ing).

    Remarque : Esteville se trouvant dans un environnement où les éléments toponymiques anglo-scandinaves sont nombreux (Touffreville[26], Critot, Yquebeuf, Bracquetuit, etc.), il est possible d'y voir le nom de personne féminin vieux danois Etta (vieux norois Ætta), hypocoristique d’Ǣstríðr (cf. Astrid), même si la présence de femme dans l'anthroponymie scandinave en Normandie est très rare (cf. la Haye-Gonnor à 15 km).

    L'ancienne paroisse de Touffreville a été rattachée à Esteville, elle est mentionnée sous la forme latinisée Touffrevilla au XIIe siècle. Il s'agit d'un des nombreux Touffreville de Normandie (ex. : Touffreville-la-Câble, Torfreivilla en 1218 ; Touffreville-la-Corbeline, Turfretvilla vers 1040 ; etc.). Comme le montrent davantage les formes anciennes d'autres Touffreville, le premier élément est l'anthroponyme scandinave Þórfriðr (Thorfridr) latinisé en Torfridus, Torfredus dans les textes de la Normandie ducale[27]. On le trouve également dans Touffrécales à Fresnoy-Folny (Seine-Maritime, Torfrescalis en 1156) précédé du vieux norois skáli « habitation temporaire, chalet », ainsi que dans le Mesnil-Touffray (Calvados).

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mai 2020[28] Roger Léger Membre du bureau de la CCPNOR (2015 → 2016)
    mai 2020[29] En cours
    (au 10 août 2020)
    Manuel Grente Horizons Agent général d'assurances

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2020, la commune comptait 496 habitants[Note 8], en diminution de 5,88 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    222320212199299353358360338
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    337304297270315312289246253
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    245245244239215216244297278
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    252261320428378376510529514
    2017 2020 - - - - - - -
    495496-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Firmin. Il ne reste presque rien de l'ancienne église placée sous le patronage du seigneur de Grainville. L'église actuelle, anciennement dédiée à sainte Clotilde, date du début du XVIIe siècle. Elle est alors la chapelle du château voisin et dépend de Touffreville. À partir de 1870, l'édifice subit de profondes transformations dues à l'architecte Georges Simon[34].
    • L'église Saint-Sulpice (de l'ancienne commune de Touffreville). L'église, bâtie probablement au XIIIe siècle, est reconstruite au XVIe siècle, comme l'atteste une dédicace datée du 10 mai 1589. Elle est restaurée dans les années 1950, à la suite des bombardements en 1944, mais elle est amputée de sa partie ouest. Elle possède un retable du XVIe siècle en bois sculpté. Ce retable figure la passion du Christ. Il comprend sept groupes ornés de figurines en terre cuite dorées, relevées de couleur rouge, et surmontés de riches dais gothiques. De chaque côté, des auvents représentent saint Antoine et le patron de la paroisse Saint-Sulpice[34].
    • Le Château d'Esteville à Esteville - XVIIe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé Pierre y a habité plus de 20 ans et y est enterré depuis le vendredi 26 janvier 2007, aux côtés de 20 de ses compagnons et de sa secrétaire Lucie Coutaz qui l'a secondé durant une grande partie de sa vie. Il avait toujours gardé sa petite chambre dans cette commune ; de ses mains, il avait tout conçu dans cette petite chambre toujours dans l'esprit d'Emmaüs car pour l'abbé Pierre « avec un rien on fait vivre tous quand on s'en donne la peine ». Aujourd'hui sa tombe est devenue un lieu de recueillement, la petite commune d'Esteville compte entre 300 et 500 visiteurs par jour[35]. Un centre du Mouvement Emmaüs, « La Halte d'Esteville », où se trouve la chambre de l'abbé, héberge encore aujourd'hui des jeunes en difficulté. Depuis quelques années un "musée" y est installé en l'honneur de celui-ci : le centre abbé Pierre Emmaüs.
    • Lucie Coutaz

    Héraldique

    Armes d'Esteville

    Les armes de la commune d'Esteville se blasonnent ainsi :

    De gueules au chevron accompagné en chef de deux besants et en pointe d’une tête de daim, le tout d’argent, au chef d’or chargé d’un château de gueules accosté de deux trèfles de sinople.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Esteville et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Esteville et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 74.
    22. François de Beaurepaire, op. cit..
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 274a.
    24. Site du CNRTL : estival (lire en ligne)
    25. Hameau d'Esteville
    26. François de Beaurepaire, op. cit., p. 156.
    27. « Municipales 2020. Manuel Grente, candidat à Esteville : Le conseiller municipal veut remettre de la vie dans la commune avec la liste « Ensemble pour Esteville », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « Le maire Roger Léger, 81 ans, élu en 2001 ne se représentant pas c’est Manuel Grente, conseiller municipal sortant, 38 ans, agent général d’assurances, qui a décidé se présenter pour lui succéder ».
    28. « Municipales 2020. Le conseil d’Esteville a élu Manuel Grente au poste de maire : Le conseil municipal s’est réuni mardi 26 mai 2020. Manuel Grente a été élu maire », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « La séance d’installation du nouveau conseil municipal s’est tenue mardi 26 mai 2020, à huis clos, sous la présidence de Roger Léger, maire sortant (élu depuis 2001) qui ne se représentait pas. Manuel Grente, 38 ans, seul conseiller municipal sortant, a décidé de briguer un mandat de maire pour 2020-2026 avec sa liste « Ensemble pour Esteville » élue au premier tour le 15 mars 2020 ».
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. « Esteville », dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1389 p. (ISBN 2-84234-017-5) .
    34. Esteville, un lieu de mémoire et d'accueil (communiqué de l'association Emmaüs de Paris)
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