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Tôtes

Tôtes est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie. Les Tôtais y résident.

Tôtes
Tôtes
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Dieppe
Intercommunalité CC Terroir de Caux
Maire
Mandat
Jean-Yves Billoré-Tennah
2020-2026
Code postal 76890
Code commune 76700
Démographie
Gentilé Tôtais
Population
municipale
1 576 hab. (2020 en augmentation de 1,94 % par rapport à 2014)
Densité 207 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 40′ 46″ nord, 1° 02′ 52″ est
Altitude Min. 138 m
Max. 172 m
Superficie 7,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Luneray
Législatives 10e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
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Tôtes
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Tôtes

    Géographie

    Description

    La ville est située au carrefour des deux anciennes routes nationales (RN 27 et RN 29), ce qui avant la construction du réseau autoroutier en faisait un point de passage stratégique.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 933 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzebosc », sur la commune d'Auzebosc, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 933,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tôtes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (71,9 %), zones urbanisées (13 %), prairies (9 %), cultures permanentes (6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Villae quae dicitur Totes en 1030 (Jean Adigard des Gautries, 1959, p. 274) ; In villa que dicitur Toste en 1088 (Vernier Jumièges I, 117); Apud Tostas en 1172, 1173 et 1178; Apud Tostas en 1179 (Beaurepaire Saint-Victor, 403) ; In Tostes en 1180 (Stapleton, 63) ; Ecclesia de Tostes et Ecclesia de Tostis vers 1240 ; Tostes entre 1337 et 1431 (Auguste Longnon, 34, 91); Tostes entre 1319 et 1398, entre 1403 et 1422 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 3267, 3268) ; Ospital de Saint Martin de Tostes en 1409 et 1411 (Archives départementales de la Seine-Maritime tab. Rouen, reg. 14, f. 27 v.) ; Saint Martin de Tostes en 1454, 1461 et 1465 (Archives départementales de la Seine-Maritime, tab. Rouen) ; Grand fief de Tostes et paroisse de Tostes en 1409 (Archives de Seine-Maritime E, fds Pont-Saint-Pierre) ; Fief à Tostes en 1673 ; Saint Martin de Tostes en 1714 (Archives départementales de la Seine-Maritime, G 738) ; Tostes en 1715 (Frémont) ; Totes en 1757 (Cassini)[21].

    Tôtes procède du norrois topt, toft (danois toft, norvégien modernes tuft) « emplacement d'une ferme, domaine rural »[22]. Le -s final n'est pas la marque d'un ablatif locatif mais d'un accusatif pluriel comme l'indiquent les noms du même type, à savoir les appellatifs d'origine scandinave employés seuls et sans articles, par exemple Boos (Seine-Maritime, Bothas vers 1049). Il correspond au nominatif pluriel en -s des termes en -a masculin du vieil anglais (type guma « homme ») cf. noms de lieux anglais de même origine Tofts et Booths[22]. Au singulier, topt, toft a donné Le Tot de manière autonome ou -tot, appellatif suffixé[22].

    Homonymie avec Tostes (Eure), Tostes (Calvados) et Tofts (Norfolk, Angleterre).

    Histoire

    Des fouilles réalisées en ont révélé l’existence d’une occupation rurale gallo-romaine sur le site de la zone d'activités actuelle. L'ensemble mis au jour — certainement une villa rustica gallo-romaine — se met en place dans le courant du Ier siècle, sur un terrain auparavant inoccupé, et perdure jusqu’au IIIe siècle.

    En 1030, une partie du village de Tôtes est donnée à l'abbaye la Trinité-du-Mont de Rouen. Quelques années plus tard, en 1066, un seigneur de Tôtes combat lors de la bataille d'Hastings.

    On notera ensuite l'existence d'un château où a lieu en 1589 une entrevue entre les gouverneurs du Havre et de Dieppe, au temps de la Ligue.

    La commune actuelle est formée en 1809 par fusion des deux anciennes communes de Tôtes et de Bennetot (Bernetot en 1032—35, « le domaine de Beornus », nom de personne anglo-saxonne[22].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1816 Amable Pierre de Maurès de Malartic
    1864 de Malartic
    1881 Maxime de Malartic
    1930 1936 A. Lambert
    Les données manquantes sont à compléter.
    1963 G. Delacroix
    mars 1989 novembre 2012[23] Jean-Marie Leduc PS Inséminateur
    Député de la Seine-Maritime (10e circ.) (1988 → 1993)
    Conseiller régional
    Conseiller général de Tôtes (1979 → 1985)
    Démissionnaire
    décembre 2012[24] En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-Yves Billoré[25] - [26] Génération.s[27] Fonctionnaire territorial
    Vice-président de la CC des Trois Rivières (2008 → 2011[28])
    Président du SIVOS (2020[29] → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[30]

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2020, la commune comptait 1 576 habitants[Note 8], en augmentation de 1,94 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    520510505637746811901945986
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    823811828830834834788811734
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    650751713671642667640703722
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8268198489561 0591 0841 2851 3301 508
    2018 2020 - - - - - - -
    1 5491 576-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • La situation de carrefour de la ville a amené la construction en 1611 de l'auberge du Cygne, qui sera un relais postal (sous Louis XIII) et un lieu où ont séjourné diverses personnalités.
    • Face à l'Auberge du Cygne, le château de Belloy, appelé aussi château de Tôtes, fut édifié au XIXe siècle.
    • Le manoir du Bosc-aux-lièvres plus ancien et situé dans un hameau à l'écart du centre-bourg a beaucoup de charme, avec ses deux tourelles encadrant une jolie façade en briques.
    • L'actuelle église Saint-Martin date également du XIXe, période au cours de laquelle elle fut reconstruite en style néo-gothique.
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • Le château de Tôtes.
      Le château de Tôtes.
    • Manoir du Bosc-aux-lièvres
      Manoir du Bosc-aux-lièvres

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Armes de Tôtes

    Les armes de la commune de Tôtes se blasonnent ainsi :
    Parti : au 1) de gueules aux trois oies d'argent, au 2) coupé en I d'or aux trois marteaux contournés de gueules et en II d'azur aux trois croisettes d'argent ; sur le tout d'or au chef d'azur chargé de trois étoiles aussi d'or[35].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Tôtes », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzebosc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tôtes et Auzebosc », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzebosc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tôtes et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Charles de Robillard de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, réédition 1980, p. 981.
    22. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard, 1979.
    23. « Le maire de Tôtes passe la main : Après l'élection partielle, les élus de Tôtes vont réélire un maire lundi. Jean-Marie Leduc ne sera pas candidat… », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
    24. « Jean-Yves Billoré devient maire : Elu en 2008, le conseiller municipal succède à Jean-Marie Leduc », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
    25. « Jean-Yves Billoré », Maires, sur http://seine76.fr, (consulté le ).
    26. « Le maire de Tôtes Jean-Yves Billoré-Tennah est candidat aux élections européennes », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Le maire de Tôtes, Jean-Yves Billoré-Tennah, se présente aux élections européeennes, sur la liste Printemps européen, menée par Benoît Hamon. Élu maire en décembre 2012 à la suite de la démission de Jean-Marie Leduc, Jean-Yves Billoré fait partie du conseil municipal depuis 2008. Il s’était déjà présenté aux élections régionales sur la liste socialiste de Nicolas Mayer-Rossignol, et aux législatives de mai 2017 au côté de Jean-Pierre Thévenot, candidat socialiste ».
    27. Jean-Yves Billoré rejoint Génération.s
    28. « Dissension et divergence : Le conseil communautaire a voté majoritairement l'éviction du vice-président Jean-Yves Billoré », Paris Normandie,‎ (lire en ligne).
    29. Augustin Bouquet des Chaux, « Le maire de Tôtes, Jean-Yves Billorés-Tennah, prend la tête du Sivos : endredi 3 juillet 2020, le maire de Tôtes Jean-Yves Billoré-Tennah a été élu à la tête du syndicat intercommunal à vocation scolaire des cinq communes du Plateau », Les Informations dieppoises,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    30. « Municipales 2020. Jean-Yves Billoré entame un deuxième mandat de maire : Le conseil municipal d’installation a reconduit Jean-Yves Billoré dans sa fonction de maire », Paris-Normandie,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lundi 25 mai, le conseil municipal a procédé à l’élection du maire de Tôtes. Seul candidat, Jean-Yves Billoré-Tennah, qui avait fait son entrée comme conseiller municipal en 2008 puis élu maire en décembre 2012, succédant ainsi à Jean-Marie Leduc. Le jeune maire sortant, a donc été réélu avec 18 voix ».
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    35. GASO - Banque du blason - 76700.
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