Saint-Saëns (Seine-Maritime)
Saint-Saëns (/sɛ̃.sɑ̃s/) est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Saint-Saëns | |||||
Vue panoramique du bourg de Saint-Saëns. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Normandie | ||||
Département | Seine-Maritime | ||||
Arrondissement | Dieppe | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Communauté Bray-Eawy | ||||
Maire Mandat |
Karine Hunkeler 2020-2026 |
||||
Code postal | 76680 | ||||
Code commune | 76648 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Saënnais | ||||
Population municipale |
2 326 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 91 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 20″ nord, 1° 16′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 90 m Max. 229 m |
||||
Superficie | 25,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Saëns (ville-centre) |
||||
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Neufchâtel-en-Bray | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Géolocalisation sur la carte : Normandie
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.saintsaens.fr | ||||
Elle est labellisée « station verte ».
Sa prononciation traditionnelle était /sɛ̃.sɑ̃/ (« sain san ») comme le nombre 500 jusqu'à environ 1940-1950[1].
Géographie
Saint-Saëns est située dans le pays de Bray, au bord de la Varenne et au pied de la forêt d'Eawy.
Le bourg est situé à 6 km de Bellencombre, à 12 km de Buchy, à 15 km de Neufchâtel-en-Bray, à 17 km de Tôtes, à 25 km de Londinières et à 35 km de Dieppe.
Elle est située à 3,5 km de l'échangeur du Pucheuil (no 11) de l'A 28 et à 4,5 km de l'A 29.
Depuis la fermeture de la ligne Montérolier-Buchy - Saint-Saëns, Saint-Saëns est desservie par la gare de Montérolier-Buchy située à 8,5 km.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Buchy », sur la commune de Buchy, mise en service en 1960[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2 °C et la hauteur de précipitations de 901,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,5 °C pour 1981-2010[13], puis à 11 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-Saëns est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Saëns, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 3 829 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), forêts (35,9 %), prairies (15,2 %), zones urbanisées (4,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (3 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].
Toponymie
Attestée sous la forme latinisée Sancti Sidonii avant 830[25], Saint Saen en 1374 (Arch. S.-M. B — Ech., f. 108), Saint Saens en 1400 et 1402 (Arch. S.-M. tab. Rouen, reg. 9, f. 236)[26].
Nommée d'après Sidoneus, moine de Jumièges, fondateur d'une abbaye éponyme en ce lieu vers 674[27]. La forme savante de ce prénom est Sidoine , la forme populaire Saëns.
Remarque : l'articulation du s final dans la prononciation moderne ne se justifie pas d'un point de vue grammatical, le -s, ancienne désinence du cas sujet masculin (issu de -us en latin) ne se prononce plus depuis le Moyen Âge, tout comme dans les prénoms Gilles, Georges, etc.
Histoire
La commune a vécu de l'industrie de la tannerie entre le XIIIe et le XIXe siècle[28]. Au XXe siècle, quelques bâtiments rappellent encore cette activité disparue[29].
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Saëns-la-Forêt[30].
En 2009, la ville reçoit la Marianne d'Or du Civisme pour avoir eu le pourcentage de votants le plus élevé pour les régionales (les élections régionales ont, a priori, eu lieu en 2010).
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie depuis 1826 de l'arrondissement de Dieppe du département de Seine-Maritime (dénommé jusqu'en 1955 Seine-Inférieure). Pour l'élection des députés, elle dépend de la douzième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Saëns[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Neufchâtel-en-Bray
Intercommunalité
La commune faisait partie depuis fin 1993 de la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Bray.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , le préfet a approuvé en un schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la fusion de la communauté de communes de Saint-Saëns-Porte de Brayavec la communauté de communes du Pays Neufchâtelois et huit communes issues de la communauté de communes du Bosc d'Eawy[31].
En conséquence, la communauté Bray-Eawy, dont est désormais membre la commune, est créé au .
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2020, la commune comptait 2 326 habitants[Note 11], en diminution de 9,46 % par rapport à 2014 (Seine-Maritime : −0,25 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Saint-Saëns comprend quatre établissements scolaires : l'école élémentaire privée Sainte-Marie, l'école élémentaire publique La Varenne, l'école maternelle publique Les Petits Tanneurs et enfin le collège Guillaume-le-Conquérant.
Commerces, artisans et producteurs
Saint-Saëns possède un centre bourg animé de divers commerces, ainsi que des artisans (savonnerie...) et des producteurs (légumes, fromage...).
Santé
Confronté au non remplacement des médecins partant à la retraite et au risque de faire partie d'un désert médical, la municipalité et la communauté Bray-Eawy élaborent en 2017 un projet de maison médicale sur un terrain de 700 m2, à proximité du Leader price[40].
Autres équipements
La ville de Saint-Saëns possède notamment un golf et un cinéma.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château du Vaudichon.
- Église Saint-Saëns due à Lucien Lefort.
- Château du Quesnay, propriété en son temps du général Alexis Hély d'Oissel (1859-1937), puis de sa descendance Lefebvre de Laboulay.
Personnalités liées à la commune
- Charles Lemercier de Longpré, baron d'Haussez (Neufchâtel, - Saint-Saëns, ), ministre de la Marine de Charles X de 1829 à 1830.
- Alexis Hély d'Oissel, général de division, Grand officier de la Légion d'Honneur, héros de la Grande Guerre 14-18
- Alain Bienaimé (1957-1994), footballeur français, est né à Saint-Saëns.
Héraldique
|
Les armes de Saint-Saëns se blasonnent ainsi : |
---|
Ces armes reprises par la ville de Saint Saëns étaient celles de la famille de Limoges, possesseurs du fief de Saint Saëns et du manoir du Quesnay. Gabriel de Limoges, Grand Maître des Eaux et Forêts en Normandie, fit ouvrir l'Allée des Limousins en forêt d'Eawy.
Pour approfondir
Bibliographie
- Claude Fournier (préf. Alain Le Vern), Saint-Saëns, Darnétal, Éditions Petit à Petit, , 89 p. (ISBN 2-84949-034-2)
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Saint-Saëns sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune Saint-Saëns (76648) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- François Hubert était surnommé Gouville.
- Charles-François Dumesnil a été maire pendant 4 mois.
- Charles Parfait de Cacqueray de Monval a été maire pendant 1 mois.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Doit-on prononcer le "s" final de Saint-Saëns ?
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Buchy - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Saëns et Buchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Buchy - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Saëns et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Saëns », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 144.
- Charles de Robillard de Beaurepaire et dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, t. 2, Paris, 1982-1984 (lire en ligne), p. 933.
- Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 933.
- Balade à Saint-Saëns
- http://www.saintsaens-portedebray-tourisme.com
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « La Seine-Maritime adopte sa nouvelle carte des intercommunalités et dit « oui » au futur pôle métropolitain de l’estuaire de la Seine », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
- Des rues du village portent le nom de ces maires.
- Stéphanie Petit, « Qui était Simone Vallès, première femme maire de Saint-Saëns ? : Jacques et Simone Vallès... Il ne s'agit pas uniquement du nom de la bibliothèque municipale ou celui d'une rue. Le couple a fortement marqué Saint-Saëns », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Stéphanie Petit, « Municipales 2020 : A Saint-Saëns, 8 nouveaux candidats composent la liste de Jacky Hucher : Jacky Hucher, maire de Saint-Saëns, accueille huit nouveaux candidats sur sa liste en vue des élections municipales. Précisions », Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
- Réélu pour le manadt 2014-2020 : Romain Savary, « Le maire sortant Jacky Hucher réélu avec 73,6 % : Lors du premier tour des Municipales, les Saint-Saënnais ont envoyé un message fort à ceux qui proposaient une alternance à la politique de Jacky Hucher. Ils n'en veulent pas », Le Réveil, (lire en ligne).
- Stéphanie Petit, « Karine Hunkeler devient la deuxième femme maire de Saint-Saëns : Karine Hunkeler a été élue maire de Saint-Saëns. L'élue souhaite lancer l'audit financier comme elle l'avait annoncé lors de la campagne électorale », Le Réveil, « Sans surprise, c’est Karine Hunkeler, tête de liste de 2020 vous appartient qui a été élue. Elle a remporté 15 voix sur les 19 ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Anaïs Grammatico, « Réunion entre élus et médecins : un terrain a été identifié pour la maison médicale », Le Réveil, édition Bresle - Oise - Somme, no 3492, , p. 4.
- « Le manoir du Quesnay et ses abords », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).