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Colombier-Fontaine

Colombier-Fontaine est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Colombier-Fontaine
Colombier-Fontaine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Matthieu Bloch
2020-2026
Code postal 25260
Code commune 25159
DĂ©mographie
Gentilé Les Cros [1]
Population
municipale
1 205 hab. (2020 en diminution de 10,94 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 157 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 27′ 12″ nord, 6° 41′ 25″ est
Altitude Min. 298 m
Max. 474 m
Superficie 7,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Bavans
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Colombier-Fontaine
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Colombier-Fontaine
Liens
Site web www.colombierfontaine.fr

    Ses habitants sont appelés les Cros.

    GĂ©ographie

    Colombier-Fontaine se trouve Ă  14 km de MontbĂ©liard, 36 km de Belfort et 70 km de Besançon.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Colombier-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [2] - [3] - [4]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Colombier-Fontaine, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[5] et 2 032 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6] - [7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de MontbĂ©liard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[8] - [9].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (49,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,3 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), eaux continentales[Note 3] (2,4 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Premières traces d'habitation

    De nombreuses trouvailles archéologiques ont été faites sur le territoire communal depuis le XIXe siècle ; celles-ci montrent que ce lieu a été colonisé par l'homme depuis plus de 2000 ans.

    • Au pied des Roches, au sud du village, on dĂ©couvrit en 1876 divers objets de l'Ă©poque nĂ©olithique (silex taillĂ©s, pointe de flèche) avec un site probablement d'abri sous roche.
    • La pĂ©riode romaine a donnĂ© des vestiges plus abondants aux Neufs PrĂ©s le long de la voie romaine (Vesontio – Epomanduodurum : Besancon-Mandeure). Cette voie est portĂ©e sur les cartes dès le XVIIIe siècle (Cassini) et sur les cartes d’état-major. Les premiers tĂ©moignages furent trouvĂ©s lors du creusement du canal du RhĂ´ne au Rhin en 1825, près du village (restes de construction, tuileaux, lacrymatoire en verre contenant un anneau d’or, objets en bronze, fer et mĂ©dailles). Vers 1885, sur le chemin d'Etouvans, Ă  km, des fouilles ont rĂ©vĂ©lĂ© de nouvelles constructions (avec chaudière en terre, une monnaie de l’empereur Antonin et une petite amphore - musĂ©e de MontbĂ©liard).
    • En 1870, près du moulin Rayot (usine de filature), on dĂ©couvrit quelques sĂ©pultures barbares isolĂ©es, Ă©lĂ©ments d’un cimetière mĂ©rovingien - burgonde probablement plus vaste.

    L'origine du nom

    Colombier-Fontaine est d'abord nommĂ© Colombier (Colombir et Colombeur dans les chartes du XIIe siècle), Colombier-SupĂ©rieur puis Colombier-Savoureux (qui signifie « habitations sur l'eau Â») et enfin Colombier-Fontaine Ă  partir du XVIIe siècle tout ceci pour le diffĂ©rencier de Colombier-Châtelot[12]. Il semble que les premiers habitants de Colombier-Fontaine, ainsi que ceux de Villars-sous-Écot soient originaire des tribus bourguignonnes qui s'Ă©taient installĂ©es dans la plaine de Mathay[12].

    Première mention du village

    Selon les historiens, la plus vieille charte mentionnant Colombier-Fontaine serait datée de 1141. Nous n'avons pas retrouvé ce document, mais il parait sûr qu'à cette époque, le village a été du ressort du comté de Montbéliard fondé aux IXe et Xe siècles. Par ailleurs, le 8 janvier 1147, l’archevêque de Besançon, par une charte, y confirme les possessions du prieuré de Lanthenans de l’ordre de saint Augustin[12]. Cette maison religieuse est située entre Colombier-Châtelot et le Lomont, à une distance de km au sud-ouest. Le document dit ceci : « terram de Colombeyr superiori cum molendino », attestant de plus l'ancienneté des moulins sur le petit ruisseau. Un peu plus tard, le 4 mai 1177, une bulle du pape Alexandre III assure les mêmes possessions au même prieuré et désigne « ecclesiam de Colombier cum capella sua de Villar », c'est-à-dire l'église de Colombier avec sa chapelle de Villars-sous-Écot[12]. Il en ressort que Villars-sous-Ecot était à cette époque un hameau peu considérable, dépendant de Colombier-Fontaine[12]. Et il semble bien qu’une paroisse était constituée à Colombier, Villars en était la filiale et l’église-mère devait avoir une certaine importance dès le XIIe siècle, d'ailleurs le patronage de celles-ci bénéficiait aux seigneurs de Neuchâtel qu'ils transmirent en 1316 à Girard et Jacques de Guemonhans, aujourd'hui Goumois (Doubs), puis en 1370 au nouvel hôpital de Blamont[12].

    Dix ans après, en 1187, le pape Grégoire VIII confirme également par une autre bulle les biens de l'abbaye de Lieu-Croissant (près de L'Isle-sur-le-Doubs) sur la demande de l'archevêque bisontin Humbert et en particulier des terres « terras in territorio de Colombiers »...

    Le fief de Colombier-Fontaine

    Colombier-Fontaine fit partie en 1282 du démembrement du comté de Montbéliard qui constitua la seigneurie du Châtelot jusqu'en 1790[13].

    À la différence de Colombier-Châtelot qui n’avait pas de fief. Colombier-Savoureux a été très convoité durant le Moyen Âge par les vassaux des Neuchâtel-Bourgogne, et un château y existait qui fut démoli après 1587[12]. Mais, avant eux, avant la formation de la seigneurie du Châtelot, Thierry et Renaud de Trémoins (70) fils de Guillaume, tenaient déjà un fief comtal à Colombier-Fontaine en 1273. En 1298, Wuillemin de Trémoins tenait toujours ce fief, malgré la formation de la seigneurie du Châtelot en faveur des sires de Neuchâtel-Bourgogne en 1282.

    On sait aussi que Richard de Neuchâtel-Bourgogne, fils aîné de Thiébaud Ier épousa Marguerite de Montfaucon qui possédait déjà en 1273 Lougres, Etouvans et Colombier-Fontaine. Il est possible que ces terres formèrent sa dot.

    En 1284, Humbert de Longevelle écuyer, fils d'Eudes, chevalier, reprit de Thiébaud III de Neuchâtel-Bourgogne un fief à « Colombier-Saveroux » qu'il avait acquis de Simon de Falon, et ce qu'il tenait en fief de Perrin de Montbéliard. Un peu plus tard, en 1299, Villemenet, fils de Joly de Trouvans, reprit du même sire de Neuchâtel ce qu'il avait à « Logres » à « Colombier Saveroux » et à Etouvans. D'autres vassaux des Neuchâtel apparaissent au XIVe siècle avec les seigneurs de Saint-Maurice[14]. Ainsi Jean Sauvageot de Saint-Maurice, chevalier, reprit de Thiébaud IV ce qu'il avait à Colombier-Savoureux, Saint-Maurice, Montussaint et Villars-sous-Ecot, en 1336[12]. Un autre document le mentionne en 1340 et on suit sa descendance en 1380 avec un Jean de Saint-Maurice qui confirma au XIVe siècle l'achat des terres qu'il avait fait auprès du seigneur de Neuchâtel pour Saint-Maurice et colombier-Fontaine[12]. Mais la branche mâle de la famille s'éteignit en 1490 et l’héritage échut à deux filles qui transmirent leurs biens à leurs héritiers.

    En 1368, il y avait aussi la famille de Vaîtes. Jehan de Vaîtes et sa femme Marguerite, fille de Thiébaud de Roches, vendirent le meix qu’ils possédaient à Colombier-Fontaine à Thiébaud VI de Neuchâtel[12]. Catherine de Dampierre, épouse de Richard de Scey, donna toutes ses dîmes qui lui revenaient de l'église de Colombier-Fontaine à la chapelle de la Vraie-Croix à L'Îsle[12]. Au début du XVe siècle, deux vassaux des Neuchâtel, les nobles Henri de Villers et Thiébaud Berchenet tenaient des biens à Colombier. D’autres seigneurs en bénéficièrent encore aux XVe et XVIe siècles avant leur réunion au domaine direct du comte de Montbéliard dans le cadre de la seigneurie du Châtelot en 1561.

    La réforme

    Le XVIe siècle fut marqué par l'introduction de la Réforme, ainsi en 1602 le duc Frédéric de Montbéliard institua Daniel Barthol pasteur à Colombier[13], et par la terrible invasion des Guise pendant l'hiver 1587-1588. D'horribles excès par le pillage, l’incendie et la torture, furent commis par les reîtres du duc de Lorraine. Les mêmes horreurs se répétèrent de 1633 à 1637 pendant la guerre de Trente Ans et durant 3 ans de 1635 à 1638, la peste anéantit la population du village, tant et si bien que la paroisse de Colombier mais aussi celles de Belverne et de Goumois (Doubs) furent supprimées faute d'une population suffisante[13].

    Le pays tenta de se reconstruire mais de nouvelles menaces apparaissaient à l'horizon avec la conquête par la France de la Franche-Comté en 1674. Cela entraîna pour Colombier-Fontaine et la seigneurie du Châtelot des tribulations à la fois politiques et religieuses et qui se traduisirent de toute manière par une annexion française « de facto » en avril et mai 1700[15]. Dès lors, sur le plan administratif et souverain, le droit du roi prévalut sur le droit du prince de Montbéliard qui, après une période de séquestre jusqu’en 1748, ne retrouva que les droits utiles, mineurs, d’un vassal vis-à-vis d’un suzerain tout puissant.

    L'annexion Ă  la France

    En 1789, le prince de Montbéliard, seigneur du Châtelot, perdit tous ses droits seigneuriaux avec leurs revenus. En 1790, la seigneurie fut également supprimée et la commune de Colombier-Fontaine entra dans le département du Doubs et dans le canton de Mathay. Ce canton fut transféré à Écot en 1800, celui-ci fut supprimé le 19 octobre 1801 et remplacé par le canton de Pont-de-Roide. Les biens ecclésiastiques qui demeuraient à Colombier-Fontaine ceux de l’hôpital de Valentigney, ceux du prieuré de Lanthenans, furent vendus comme biens nationaux vers 1793-94.

    Les invasions de 1814 et de 1815 furent néfastes à Colombier-Fontaine qui dut satisfaire à de nombreuses réquisitions et au logement de troupes chez l’habitant. Par contre la guerre de 1870 causa moins d’ennuis au village. Le pont sur le Doubs, construit en pierre en 1863, sauta (3 arches) comme tous les autres de la région en 1870, ce qui protégea d’une certaine manière Colombier-Fontaine et les villages de la rive gauche du Doubs où les Prussiens ne passèrent pas et où restèrent jusqu’en janvier-février 1871 des soldats français. Le pont fut rebâti par l’État en 1873.

    La Seconde Guerre mondiale

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, Colombier-Fontaine fut marqué par plusieurs faits de résistance en relation avec la « bataille du rail ». Entre Voujeaucourt et Colombier, la ligne de chemin de fer fut plusieurs fois coupée par le maquis en juillet et août 1944. Le pont sur le Doubs sauta encore au moment de la Libération, les 15 et 16 novembre 1944, à la suite des durs combats de Saint-Maurice. Il ne fut reconstruit qu’en 1950.

    HĂ©raldique

    Blason de Colombier-Fontaine Blason
    Inconnu.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1988 ? Aimé Guillot
    mars 2001 juin 2013 Claude Villard[16] décédé en cours de mandat
    juillet 2013 mai 2020 Danièle Lefèvre[16] Retraitée, ex-première adjointe
    mai 2020 En cours Matthieu Bloch[16] LR Clerc de Notaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

    En 2020, la commune comptait 1 205 habitants[Note 4], en diminution de 10,94 % par rapport Ă  2014 (Doubs : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    315313331388414409432413415
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    388442504505509469502486490
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    444497673787863938990887955
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 1721 2361 3711 3701 5231 4821 4221 4081 356
    2018 2020 - - - - - - -
    1 2331 205-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee Ă  partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste.
    • Le temple protestant des XVIIe et XVIIIe siècles.
    • Une gare SNCF.
    • L'Ă©glise Saint-Jean-l'ÉvangĂ©liste.
      L'église Saint-Jean-l'Évangéliste.
    • L'Ă©glise protestante.
      L'Ă©glise protestante.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Doubs », sur habitants.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Colombier-Fontaine », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel
    13. Précis historique de la réformation
    14. Nobiliaire universel de France
    15. Histoire des diocèses de Besançon
    16. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Histoire des diocèses de Besançon et de saint-Claude, volume 2, Jean-François Nicolas Richard, 1851, p. 380.
    • Nobiliaire universel de France ou recueil gĂ©nĂ©ral des gĂ©nĂ©alogies historiques des maisons nobles de ce royaume, volume 6, Nicolas Viton de saint-Allais, Bureau du nobiliaire universel de France, 1815, p. 180.
    • PrĂ©cis historique de la rĂ©formation et des Ă©glises protestantes dans l'ancien ComtĂ© de MontbĂ©liard et ses dĂ©pendances, Georges-FrĂ©dĂ©ric Goguel, 1841, p. 81, 92, 168.
    • Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neuchâtel, au comtĂ© de Bourgogne, Jean François N.Richard, 1840, p. 66, 67, 69, 122, 138, 160, 167, 168, 182, 400, 426.

    Articles connexes

    Liens externes

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