Colayrac-Saint-Cirq
Colayrac-Saint-Cirq est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Colayrac-Saint-Cirq | |||||
La mairie de Colayrac-Saint-Cirq en 2019. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Agen | ||||
Intercommunalité | Agglomération d'Agen | ||||
Maire Mandat |
Pascal de Sermet 2020-2026 |
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Code postal | 47450 | ||||
Code commune | 47069 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Colayracais, Colayracoises | ||||
Population municipale |
3 129 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 146 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 13′ 19″ nord, 0° 33′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 191 m |
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Superficie | 21,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Agen (banlieue) |
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Aire d'attraction | Agen (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Ouest agenais (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie | ||||
Elle est une des 44 communes composant l'Agglomération d'Agen.
Géographie
Localisation
Dans la moitié sud du département de Lot-et-Garonne, Colayrac-Saint-Cirq est une commune de l'aire d'attraction d'Agen située dans son unité urbaine, au nord-ouest d'Agen en pays de l'Agenais.
Communes limitrophes
Colayrac-Saint-Cirq est limitrophe de sept autres communes. Les communes limitrophes sont Madaillan, Sainte-Colombe-en-Bruilhois, Agen, Brax, Foulayronnes, Le Passage, Saint-Hilaire-de-Lusignan et Sérignac-sur-Garonne.
Ville | Paris | Marseille | Toulouse | Nantes | Montpellier | Bordeaux | Périgueux | |||
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Distance | 617 km | 514 km | 110 km | 456 km | 351 km | 146 km | 136 km | |||
source : données selon les cartes Michelin. |
Hydrographie
Bordée au sud sur plus de huit kilomètres par la Garonne, la commune est bordée à l'ouest sur six kilomètres par son affluent le ruisseau de Bourbon, et arrosée à l'est par le ruisseau de Ségone — autre affluent de la Garonne — sur plus de quatre kilomètres.
Voies de communication et transports
Le réseau Tempo exploité par la société Keolis Agen et dessert les communes de l'agglomération d'Agen, en remplacement du réseau Transbus.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Colayrac-Saint-Cirq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Agen, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[16] et 80 263 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[17] - [18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Agen dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19] - [20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,8 %), terres arables (14,3 %), forêts (14,3 %), prairies (11,4 %), zones urbanisées (10 %), eaux continentales[Note 7] (5,4 %), cultures permanentes (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Colayrac-Saint-Cirq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d’Agen, regroupant 20 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[24]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1435, 1875, 1930, 1712, 1770 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009, 2019 et 2021[26] - [22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8] - [30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[22].
Toponymie
La première partie du nom de la commune correspond soit à un nom d'homme latin Collarius, soit à un sobriquet (collarium signifiant collier), suivi du suffixe -acum[31], indiquant le « domaine de Collarius » ou le « domaine du collier ». La seconde partie du nom fait référence à saint Cyr, honoré dans l'ancienne église paroissiale du hameau de Saint-Cirq, dont les formes occitanes du nom, à partir de Cyricus, sont notamment Circ et Cirgue.
Histoire
La première mention écrite du lieu, dans un acte ancien, est celui de « Tricheries », qui constituaient au Moyen Âge un vaste domaine. L'histoire de Colayrac-Saint-Cirq commence à partir d'un petit hameau surplombant le village appelé Montréal (Mont du Roi) où fut construite en 1308 une bastide.
En 1351, Charles II, roi de Navarre le rasa. Seule la paroisse subsiste mais pour peu de temps puisqu'un pharmacien rachète l'église et se hâte de la démolir. Seul le village de Saint-Cirq en contrebas résiste.
Au XIVe siècle, les seigneurs de Madaillan occupèrent partiellement le territoire de Saint-Cirq.
Le village fut une zone de passage fort empruntée pendant la guerre de Cent Ans ou encore les guerres de religion qui ensanglantèrent la région. Vers 1649, un groupe de religieuses s'installa à Saint-Cirq et une église fut construite.
Le , la commune prend le nom de Colayrac Saint-Cirq. Une fusion de Colayrac et de Saint-Cirq se fait et le préfet propose d'associer les deux noms c'est ainsi que naît, le , la commune de Colayrac-Saint-Cirq.
Mais l'acteur principal de l'expansion du village est bien évidemment la Garonne. L'importance croissante du trafic des marchandises et le point d'implantation stratégique de la ville ont contribué au développement du port. L'activité fluviale était essentiellement axée sur le commerce de produits locaux.
L'agriculture est en développement dans le village et à la fin du XIXe siècle, la culture des arbres fruitiers et des oignons bat son plein. En 1890, la production d'asperges est introduite.
Depuis, Colayrac-Saint-Cirq vit de son agriculture, continuant de jouir de la solide réputation de ses terres[32] .
Politique et administration
Liste des maires
Structure administrative
Jusqu'en 2015, Colayrac-Saint-Cirq fait partie du canton d'Agen-Nord, il devient par le décret no 2014-257 du , le bureau centralisateur du canton de l'Ouest agenais (canton no 15) comprenant onze communes.
Population et société
Démographie
Les habitants de Colayrac-Saint-Cirq sont appelés les Colayracais et Colayracaises.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2020, la commune comptait 3 129 habitants[Note 9], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Santé
Pour la santé, la commune dépend beaucoup d'Agen :
- l’hôpital Saint-Esprit au nord d'Agen ;
- la clinique Calabet ;
- la clinique Saint-Hilaire Esquirol ;
- l’hôpital de Monbran ;
- l’hôpital psychiatrique-la Candélie à Foulayronnes.
Sports
Basket, football, pétanque, rugby, tennis
Presse écrite
On peut trouver dans la commune plusieurs types de journaux, Sud Ouest (siège à Bordeaux) avec une actualité régionale, Le Petit Bleu de Lot-et-Garonne journal de l'Agenais ou La Dépêche du Midi actualité du Lot-et-Garonne.
Radios
Quatre radios émettent des décrochages à destination de l'agglomération agenaise :
- Virgin Agen (89.8 FM) ;
- 47 FM (87.7 FM), créée en 2007 ;
- ARL (95.9 FM) ;
- Radio Bulle (93.6 FM) ;
- Espoir FM (93.1 FM), créée en 1981.
Télévision
Dans le département de Lot-et-Garonne la seule chaîne régionale est celle de France 3 Atlantique.
Possibilité d'avoir les programmes de la TNT.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église de l'Immaculée-Conception.
- Sa nef.
- L'église Saint-Cirq-et-Sainte-Julitte de Saint-Cirq.
- Son clocher-mur.
- Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Emmanuel Jacques, Marie Chaumié (1890-1934), député, est né à Colayrac-Saint-Cirq, mort dans l'accident du Dewoitine D.332 L'Émeraude.
- Georges Archidice (1912-1968), député du Lot, né à Colayrac-Saint-Cirq.
- Maurice Mességué (1921-2017), herboriste et écrivain, est né à Colayrac-Saint-Cirq.
- Scali Delpeyrat (1966-), comédien, est né à Colayrac-Saint-Cirq.
Héraldique
Blason | Tranché, de gueules au léopard d'or, et d'azur à trois fasces ondées d'argent ; à la cotice d'or brochant sur le tout.
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Détails | Officiel, adopté le , créé par Roger Séré[39]. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- Colayrac-Saint-Cirq sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Agen-La Garenne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Colayrac-Saint-Cirq et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 d'Agen », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Colayrac-Saint-Cirq », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie des risques d'inondations du TRI d’Agen », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Colayrac-Saint-Cirq », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 200..
- colayrac-saint-cirq.fr
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Église de l'Immaculée-Conception, Observatoire du patrimoine religieux, consulté le 18 juin 2019.
- Église Saint-Cirq et Sainte-Julitte (Saint-Cirq), Clochers de France, consulté le 18 juin 2019.
- GASO - Banque du blason - 47069.