Chamberet
Chamberet (Chambarèt en occitan) est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Chamberet | |||||
La châsse de saint Dulcet. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Tulle | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vézère-Monédières-Millesources | ||||
Maire Mandat |
Bernard Rual 2020-2026 |
||||
Code postal | 19370 | ||||
Code commune | 19036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chambertois, Chambertoise[1]. | ||||
Population municipale |
1 399 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 35′ 03″ nord, 1° 43′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 376 m Max. 727 m |
||||
Superficie | 69,85 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Seilhac-Monédières | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | chamberet.net | ||||
Géographie
Localisation
Cette commune du Massif central est située sur le plateau de Millevaches dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin, près de Treignac au nord de la Corrèze et limitrophe du département de la Haute-Vienne. Elle est proche du Mont Gargan et des Monédières.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est arrosée par deux affluents de la Vézère : le Bradascou qui y prend sa source, et la Soudaine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,3 | 0,4 | 2,5 | 4,5 | 8,2 | 11 | 12,7 | 12,6 | 9,6 | 7,4 | 3,1 | 1 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 4,1 | 4,7 | 7,4 | 9,5 | 13,8 | 16,7 | 18,7 | 18,7 | 15,3 | 12,2 | 7 | 4,7 | 11,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,8 | 9 | 12,4 | 14,6 | 19,4 | 22,5 | 24,7 | 24,8 | 21 | 16,9 | 11 | 8,3 | 16,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−20,5 17.01.1987 |
−16 10.02.1986 |
−13 01.03.05 |
−4,5 22.04.1991 |
−1,5 08.05.1997 |
1 08.06.1989 |
4 04.07.1990 |
1 30.08.1986 |
−0,9 25.09.02 |
−5,2 25.10.03 |
−10 22.11.1993 |
−11,4 04.12.10 |
−20,5 1987 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18 30.01.1992 |
23,6 15.02.1998 |
25,8 19.03.05 |
28,3 30.04.05 |
30,6 30.05.01 |
36,1 22.06.03 |
37,8 16.07.15 |
38,4 12.08.03 |
33,5 17.09.1987 |
29,5 12.10.01 |
23,9 08.11.15 |
19 21.12.1987 |
38,4 2003 |
Précipitations (mm) | 115,3 | 104,7 | 94,8 | 121,7 | 107 | 92,9 | 96,5 | 87,1 | 107,4 | 122,4 | 137,1 | 119 | 1 305,9 |
Urbanisme
Typologie
Chamberet est une commune rurale[Note 4] - [10]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[11] - [12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13] - [14].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,7 %), forêts (37,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %), zones urbanisées (2,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Chamberet est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 47,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 002 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 239 sont en en aléa moyen ou fort, soit 24 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
La commune est en outre située en aval du barrage de Saint-Étienne-Cantalès, un ouvrage de classe A[Note 5] disposant d'une retenue de 133 millions de mètres cubes[21]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chamberet est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[23].
Histoire
Le nom de Chamberet apparaît pour la première fois en 930, lors de l'arrivée des reliques de saint Dulcet qui marque la création du bourg[24].
La châtellenie de Chamberet était une possession des Comborn-Treignac[25] .
Héraldique
Blason | Parti, au 1er, coupé au 1 d'or à deux lions léopardés de gueules, au 2, de sable au lion d'or, au 2e, fascé d'argent et de gueules à six pièces, les fasces d'argent chargées chacune de trois mouchetures d'hermine de sable. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[27].
Politique environnementale
Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[28].
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30]. En 2020, la commune comptait 1 399 habitants[Note 6], en augmentation de 3,17 % par rapport à 2014 (Corrèze : −0,89 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Économie
L’économie de la commune est tournée vers le tourisme, avec un hôtel, des restaurants, un camping, sept gîtes, un village « espace nature », une piscine municipale, un arboretum, un parc acrobatique en hauteur, des activités nature (golf, courses d'orientation...), des roulottes et des chalets découvertes. Il s'y trouve également une station de recherches publiques sur les chevaux, la station expérimentale de Chamberet.
Lieux et monuments
L’église Saint-Dulcet (église paroissiale) date du XIIe siècle. Elle a été restaurée à différentes époques à la suite de divers incendies et autres catastrophes.
- Au Xe siècle, l'église et les maisons étaient en bois, ce n'est que de 1127 à 1137[33] que l'église actuelle fut construite par les moines d'Uzerche et les Comborn[34].
- Les reliques de saint Dulcet, furent transportées à Chamberet afin qu'elles échappent aux bandes de Normands qui mettaient l'Aquitaine à feu et à sang au XIIe siècle[35].
- Le clocher, détruit pendant les guerres de Religion, a été reconstruit en 1660.
- Frappée par la foudre au matin de Noël 1818[36], l'effondrement du clocher provoqua trois morts pendant l'office.
- En 1881 (le 29 juillet), le feu venant d'une boulangerie voisine causa la perte de la sacristie alors couverte de bardeaux de bois.
- L'église a été restaurée à la fin du XIXe siècle[37].
Sous le porche, il y a une pierre tombale médiévale dressée comme une croix
Depuis le 25 juin 1981, sont classés aux monuments historiques, dans l'église de Chamberet, les éléments suivants :
- la grande châsse émaillée du XIIIe siècle, représentant la mise au tombeau de saint Dulcet
- le bras reliquaire en cuivre du XIVe siècle
Chasse de Saint Dulcet, une face Chasse de Saint Dulcet, un profil Chasse de Saint Dulcet, autre face Chasse de Saint Dulcet, autre profil bras reliquaire
Autres monuments :
- borne fontaine, datée de la deuxième moitié du ou du début du XIXe siècle ;
- château d'Enval, construit du XVIIe au XIXe siècle, inscrit avec son parc paysager de la fin du XIXe à l’Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 29 mai 1991[38] ;
- chapelle Saint-Dulcet (peut-être du XVIIIe siècle, restaurée en 1827[39]) ;
- chapelle Saint-Nicolas (reconstruite en 1827, elle existait au XIe siècle[40])
- l’ancien presbytère était installé dans un manoir de la deuxième moitié du XVIe siècle, et a été restauré à la fin du XIXe siècle[41]
La Maison de l'Arbre s'enracine dans le tourisme régional et sensibilise le public autour de trois thèmes : les tourbières, le rôle des champignons dans l'écosystème forestier et, une étude approfondie de ce qu'est un lichen.
L’arboretum est constitué d'une collection de 105 espèces différentes, d'un fructicetum, d'une collection de plantes aquatiques, d'une bambouseraie, d'un étang, d’une pommeraie constituée exclusivement de variétés locales, dont la reinette brune museau de lièvre de la Corrèze et la pomme reinette dorée rouge des vergnes sainte germaine.
Personnalités liées à la commune
- Zina Morhange (1909-1987), médecin et résistante, déportée à Auschwitz et survivante de ce camp d'extermination.
- Marcelle Delpastre (1925-1998), ou Marcela Delpastre en occitan, poétesse française et occitane.
- Daniel Chasseing (1945-), homme politique, ancien maire de la commune, élu sénateur de la Corrèze en 2014.
Vie locale
Événements et manifestations
- Le Festival d'accordéon de Chamberet organisé chaque année en octobre pendant cinq jours et qui regroupe près de 5000 festivaliers.
- Le quarante-deuxième Tour du Limousin traversa la commune, le mardi , lors de la première étape : Limoges - Ussel.
Voir aussi
Bibliographie
- Maurice Gady, Chamberet (monographie historique), imprimerie Lachaise, Brive, 1948 (plaquette de trente pages épuisée ; AD Corrèze Br 188)
- Daniel Borzeix, Histoire de Chamberet, tome I, des origines à la fin du XVIe siècle, Treignac, éditions Les Monédières, 1981 (épuisé, seul tome paru).
- Paul Estrade (sous la dir. de), Les Forçats espagnols des GTE de la Corrèze (1940-1944), 2004, (dont le témoignage de M. et Mme Peyraud, de Chamberet)
- Yves Lavalade, Les Noms de lieux de la commune de Chamberet, Treignac, éditions Les Monédières, 2005.
- Le XXe siècle en Limousin, Treignac, éditions Les Monédières, 2001 (dont Éric Moratille, Évolution politique du canton de Treignac ; Jan dau Melhau, Marcelle Delpastre : Entre deux mondes, entre deux langues et André Plantadis, son témoignage de maire de Soudaine-Lavinadière).
- Daniel Borzeix, Le Pays de Treignac autrefois, Treignac, éditions de L'Esperluette, 2011.
- Monique Borzeix, Histoire des écoles du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2013.
- Yves Lavalade, Les noms de lieux du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2014 (dont évidemment Chamberet, p. 28-51)
- Cartulaire de l’abbaye d’Uzerche (Corrèze) du Xe au XIVe siècle, éd. J.-B. Champeval, 190 (ex. n° 484 av 1133 et n° 814 p. 338,n° 814 p. 338, ca 1132). https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1120156/f236.item.r=chamberet
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- « Ville de Chamberet », sur http://www.conseil-general.com/ (consulté le ).
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Fiche du Poste 19036001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Chamberet », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Chamberet », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « barrage de Saint-Étienne-Cantalès », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur www.correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Site de la commune
- Champeval, Jean-Baptiste, (1847-1915)., Cartulaire de l'abbaye d'Uzerche, Corrèze : du Xe au XIVe siècle, avec tables, identifications, notes historiques, Bibliothéque nationale de France, (OCLC 491712903, lire en ligne).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Chamberet, consultée le 27 octobre 2017
- Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Construction en 1137
- Relation au monastère d'Uzerche
- Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze
- Manoir Renaissance, autrefois presbytère à Chamberet
- Notice sur la Base Mérimée, consultée le 22 août 2008
- Notice sur la Base Mérimée, consultée le 22 août 2008
- Notice sur la Base Mérimée, consultée le 22 août 2008
- Notice sur la Base Mérimée, consultée le 22 août 2008
- Notice sur la Base Mérimée, consultée le 22 août 2008
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )