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Saint-Gilles-les-ForĂȘts

Saint-Gilles-les-ForĂȘts est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement de la Haute-Vienne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Gilles-les-ForĂȘts
Saint-Gilles-les-ForĂȘts
Église Saint-Gilles de St-Gilles-les-ForĂȘts
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Briance-Combade
Maire
Mandat
Serge Reineix
2020-2026
Code postal 87130
Code commune 87147
DĂ©mographie
Population
municipale
46 hab. (2020 en augmentation de 6,98 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 5,6 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 37â€Č 47″ nord, 1° 40â€Č 00″ est
Altitude Min. 420 m
Max. 731 m
Superficie 8,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton d'Eymoutiers
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Saint-Gilles-les-ForĂȘts
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Saint-Gilles-les-ForĂȘts

    GĂ©ographie

    Localisation

    Situation de la commune de Saint-Gilles-les-ForĂȘts en Haute-Vienne.

    La commune est dans le sud-est de la Haute-Vienne, et elle est limitrophe du département de la CorrÚze.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Saint-Gilles-les-ForĂȘts[1]
    Sussac Domps
    La Croisille-sur-Briance Saint-Gilles-les-ForĂȘts Chamberet
    (CorrĂšze)
    Surdoux

    GĂ©ologie et relief

    La commune de Saint-Gilles-les-ForĂȘts est situĂ©e sur la bordure occidentale du plateau de Millevaches et nord-ouest du Massif central. Elle abrite d'ailleurs Ă  l'ouest le Mont Gargan (731 m), troisiĂšme sommet de la Haute-Vienne, qui offre une vision Ă  360° sur les paysages limousins.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Pour ce type de climat, la tempĂ©rature dĂ©croĂźt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nĂ©bulositĂ© minimale en hiver et maximale en Ă©tĂ©. Les vents et les prĂ©cipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 5,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 364 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 14,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Chamberet », sur la commune de Chamberet, mise en service en 1986[8] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 305,9 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche[Note 5], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et Ă  41 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12] Ă  11,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  11,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Gilles-les-ForĂȘts est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (55,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (55,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (55,1 %), prairies (44,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Saint-Gilles-les-ForĂȘts est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse) et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].

    Risques naturels

    Carte des zones d'alĂ©a retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gilles-les-ForĂȘts.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[23]. 55 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (27 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 7] - [24].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulĂ© dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Gilles-les-ForĂȘts est classĂ©e en zone 2, Ă  savoir zone Ă  potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bĂątiments[25].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 2008 Michel Lamarsaude
    mars 2008 2014 Jean-Louis Penicaud
    mars 2014 2020 CĂ©line Penicaud
    mars 2020 En cours Serge Reineix
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[27].

    En 2020, la commune comptait 46 habitants[Note 8], en augmentation de 6,98 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    161175222251261262289255258
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    260219232265246275249257289
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    27823821720920219816512993
    1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019
    787360555653544347
    2020 - - - - - - - -
    46--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee Ă  partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Toponymie

    L'hagiotoponyme Saint-Gilles fait référence à Gilles l'Ermite.

    Le terme « forĂȘts » (foresta, en latin, dĂ©jĂ  en 1315), Ă©voque ces immenses Ă©tendues boisĂ©es qui courent de ChĂąteauneuf jusqu'au pied du mont-Gargan (Ă  l'origine Saint-Gilles-la-ForĂȘt-de-Neuvic).
    Cependant, il est probable que le terme renvoie aux deux hameaux appelĂ©s ForĂȘt (la ForĂȘt-Basse et la ForĂȘt Haute), il faut donc comprendre : Saint Gilles les (deux) ForĂȘts.

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de La ForĂȘt-BayĂ©e[28].

    En occitan, la commune est nommée Sent Geris.

    Histoire

    Dans le PouillĂ© de 1315, la paroisse de "La ForĂȘt", rattachĂ©e aux moines de Meymac, est citĂ©e dans la liste de l'archiprĂȘtrĂ© de La Porcherie, entre la paroisse de Lacelle et celle de Chamberet.

    Extrait du Pouillé de 1315. Ancien diocÚse de Limoges (Source : Archi.dept.23).

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de La ForĂȘt-BayĂ©e[28].

    Lieux et monuments

    (Gorges Guinguouin fut l'instituteur de la commune, avant d'ĂȘtre maire de Limoges Ă  la libĂ©ration de la ville.)

    • StĂšle de granit rose gravĂ©e de noms de jeunes rĂ©sistants, situĂ©e sur la route d'accĂšs au village, dite de La ForĂȘt Haute, commĂ©morant l'hĂ©roĂŻsme de ces jeunes, morts en luttant contre l'ennemi allemand.

    Patrimoine campanaire

    La commune est membre de l'Association Campanaire Limousine (voir : www.clocheslimousines.fr). Elle dispose de cloches dans les bĂątiments suivants :

    • Ă©glise Saint-Gilles (1 unitĂ©) ;
    • Ă©glise ruinĂ©e du Mont Gargan (1 unitĂ©).
    La mini Ă©glise « Saint-Gilles Â» face Ă  la mairie de Saint-Gilles-les-ForĂȘts.

    Personnalités liées à la commune

    • Gina Palerme (1885-1977), actrice du cinĂ©ma muet et comĂ©dienne de music-hall.
    • Georges Guingouin (1913-2005), hĂ©ros de la RĂ©sistance limousine, secrĂ©taire de mairie et instituteur Ă  Saint-Gilles-les-ForĂȘts de 1935 Ă  1940, libĂ©rateur de Limoges et maire de 1945/1947, est inhumĂ© dans le petit cimetiĂšre communal en compagnie de son Ă©pouse.
    • Pardoux Panteix (1859-1937) fut un travailleur migrant saisonnier. Sa tombe est remarquable : y figurent une faucille et un marteau.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Chamberet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Gilles-les-ForĂȘts et Chamberet », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    10. « Station Météo-France Chamberet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Gilles-les-ForĂȘts et Limoges », sur fr.distance.to (consultĂ© le ).
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Les risques prĂšs de chez moi - commune de Saint-Gilles-les-ForĂȘts », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consultĂ© le )
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consultĂ© le )
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    30. « Eglise paroissiale Saint-Gilles », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    31. « PremiÚre Eglise paroissiale Saint-Gilles, détruite », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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