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Cenon-sur-Vienne

Cenon-sur-Vienne est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue sud de Châtellerault, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Cenon-sur-Vienne
Cenon-sur-Vienne
Place centrale avec mairie et poste.
Image illustrative de l’article Cenon-sur-Vienne
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Odile Landreau
2020-2026
Code postal 86530
Code commune 86046
Démographie
Gentilé Cenonais
Population
municipale
1 720 hab. (2020 en diminution de 5,86 % par rapport à 2014)
Densité 200 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 32″ nord, 0° 32′ 15″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 105 m
Superficie 8,60 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Châtellerault
(banlieue)
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chauvigny
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Cenon-sur-Vienne
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Cenon-sur-Vienne
Liens
Site web http://www.cenon-sur-vienne.fr/

    Ses habitants sont appelés les Cenonais[1].

    Géographie

    Localisation

    La commune de Cenon-sur-Vienne est située au confluent de la Vienne et du Clain.

    Au nord du territoire de la commune, le bourg et ses activités se développe entre les deux rivières, au plus proche du confluent (situé au bout du parc de Forclan), alors qu'au sud prennent place divers hameaux et lieux-dits éparpillés entre les terres agricoles et sur les reliefs peu prononcés de la vallée de la Vienne.

    Sur la rive droite de la Vienne se trouve le quartier des Sources, siège d'un important ensemble pavillonnaire et d'équipements sportifs (terrain de foot, gymnase et courts de tennis).

    Le Clain est franchi par le pont de Molé et la Vienne par l'ancien pont du tramway.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La région de Cenon-sur-Vienne présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose[2] :

    • pour 81 % de calcaire dans les vallées et les terrasses alluviales,
    • pour 6 % de calcaire sablonneux sur les collines et dans les dépressions sableuses des bordures du Bassin parisien,
    • pour 4 % de champagne ou aubues (ce sont des sols gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaires) sur les autres collines.
    • pour 9 % par l'agglomération.

    En 2006, 76 % de la superficie de la commune était occupée par l'agriculture, 7,5 % par des forêts et des milieux semi-naturels, 5,6 % pour les surfaces en eau et 11,1 % par des zones construites et aménagées par l'homme (voirie)[3]. La présence de milieux naturels et semi-naturels riches et diversifiés, même résiduelle, sur le territoire communal permet d’offrir des conditions favorables à l’accueil de nombreuses espèces pour l'accomplissement de leur cycle vital (reproduction, alimentation, déplacement, refuge). Forêts, landes, prairies et pelouses, cours d’eau et zones humides… constituent ainsi des cœurs de biodiversité et/ou de véritables corridors biologiques.

    Il y a une carrière recensée sur le territoire de la commune[4]

    Hydrographie

    La commune est traversée par 3,5 km de cours d'eau dont les principaux sont la Vienne sur une longueur de 3,3 km et la Clain sur une longueur de 0,2 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 682 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Naintre », sur la commune de Naintré, mise en service en 1985[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 687,1 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 28 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[15] à 11,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Cenon-sur-Vienne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [18] - [19] - [20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Châtellerault, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[21] et 40 721 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22] - [23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chatellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[24] - [25].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,1 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), zones urbanisées (17,8 %), forêts (7,6 %), eaux continentales[Note 8] (5,6 %), prairies (3,7 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Cenon-sur-Vienne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement de la Vienne et du Clain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[29] - [30]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999 et 2010[31] - [27]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Vienne "médiane" - Section Chauvigny/Cenon-sur-Vienne », approuvé le puis par le PPRI « Vienne Communauté d’Agglomération de Grand Châtellerault (CAGC) », prescrit le , pour ce qui concerne les débordements de la Vienne, et par le PPRI « Clain aval section Vouneuil-sur-Vienne / Châtellerault », prescrit le , pour les crues du Clain[32].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cenon-sur-Vienne.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[33]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[34]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[35]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 9] - [36].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[27].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade et de Vassivière dans la Creuse, des ouvrages de classe A[Note 10]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[38].

    Toponymie

    Le nom de la ville proviendrait de Senomagos, dérivant du gaulois senos qui signifie vieux, qu'on retrouve dans le nom de la tribu gauloise des Sénons, et "magos" signifiant champ ou marché, donc littéralement: "le vieux marché". Au VIIe siècle, le nom du bourg est Senomus[39].

    Histoire

    En partie sur le territoire de la commune (avec celui de Naintré) se situe le site archéologique du Vieux-Poitiers[40], dont les fouilles ont révélé l'existence de l'importante cité gallo-romaine de Briva — puis Vieux-Poitiers (Vetus Pictavis) après 742 et le partage du royaume de Charles Martel au profit de ses deux fils Carloman et Pépin le Bref — établie le long d'une ancienne voie traversant le territoire des Pictons.

    Le pont qui sert aujourd'hui encore à franchir la Vienne a été construit en 1912-1913, spécialement pour le tramway d'intérêt local des Voies Ferrées Économiques du Poitou (VFEP) qui reliait Châtellerault à Chauvigny et Bouresse dans les années 1910-1935[41].

    Le pont sur la Vienne.

    En 1939, l’usine Rocher, spécialisée dans la coutellerie, emploie 800 personnes[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[43]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 ? 1977 Marcel Ribbe
    1977 2001 Michel Gaudineau PS 1er vice-président de la communauté d'agglomération du Pays Châtelleraudais
    mars 2001 mai 2020 Jean-Claude Bonnet PS
    mai 2020 En cours Odile Landreau
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].

    En 2020, la commune comptait 1 720 habitants[Note 11], en diminution de 5,86 % par rapport à 2014 (Vienne : +1,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    243264278254261291391452480
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    510529547544590606612668668
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    640595585535512503533659784
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    8408379631 2401 6201 9001 8431 8221 822
    2014 2019 2020 - - - - - -
    1 8271 7371 720------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, la densité de population de la commune était de 212 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    La commune appartient à une zone de faible dynamisme démographique qui impacte une partie des membres de la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais. L’évolution moyenne annuelle a été, de 1999 à 2006, de 0,90% contre 1,32% pour la communauté d’agglomération de Poitiers. Ceci s’explique par la crise économique qui touche le secteur industriel très représenté dans la communauté d’agglomération du pays châtelleraudais[48].

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[49], il n'y a plus que cinq exploitations agricoles en 2010 contre 6 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté et sont passées de 921 hectares en 2000 à 1 071 hectares en 2010. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares.

    55 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orges et maïs), 19 % pour les oléagineux et 11 % pour le fourrage[49].

    Industrie

    La commune accueille les deux unités de conception et de production du fabricant de matériel de manutention et de magasinage Fenwick-Linde (groupe Kion), spécialisé dans la fabrication de transpalettes, gerbeurs, préparateurs de commandes et autres tracteurs. Le site emploie environ 550 salariés sur une surface de 32 700 m2[50].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil et religieux

    • Balisage jacquaire et GR à Cenon-sur-Vienne.
      Balisage jacquaire et GR à Cenon-sur-Vienne.
    • La Vienne à vélo à Cenon-sur-Vienne.
      La Vienne à vélo à Cenon-sur-Vienne.
    • Lecture du milliaire installé dans le hall de la mairie.
      Lecture du milliaire installé dans le hall de la mairie.

    Patrimoine naturel

    • Selon l'inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[56], il y a deux arbres remarquables sur la commune qui sont un cyprès chauve situé dans le parc du château des Sources et un séquoia géant situé dans la parc public de l'école Marcel-Ribbe.
    • La vallée de la Vienne couvrant moins de 1 % du territoire est géré par le conservatoire d'espaces naturels de Poitou-Charentes.
    • Le parc de Forclan, une ancienne prairie inondable a été aménagée en parc de loisirs avec aires de jeux et de fitness et des pontons pour les pêcheurs[57].

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Thuillier (1910-2004), photographe, inventeur du diaporama, fondateur du photo-club de Cenon.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[7].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'Å“uvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[37].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 15/09/2009.
    2. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    3. Observatoire régional de l'environnement de Poitou-Charentes
    4. .BRGM, Observatoire des Matériaux, mai 2013
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Naintre - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Cenon-sur-Vienne et Naintré », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Naintre - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Cenon-sur-Vienne et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Unité urbaine 2020 de Châtellerault », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    22. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. « Les risques près de chez moi - commune de Cenon-sur-Vienne », sur Géorisques (consulté le )
    28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Châtellerault », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    30. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    31. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    32. « Les plans de prévention des risques naturels (PPRN) dans la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le )
    33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Cenon-sur-Vienne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
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    49. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    50. Le Groupe Fenwick en quelques chiffres Consulté le 14/05/2012.
    51. Voir une photo de 1928 sur le site Vieux-Poitiers et dans l'article La voie romaine Poitiers-Tours-Le Mans.
      Cf. François Eygun, « Une borne milliaire d'Hadrien, trouvée à Cenon », dans Bulletins de la Société des antiquaires de l'Ouest, 3e série, t. 8, 1928, p. 136-138 (découverte de CIL XVII-2, 441) (en ligne).
    52. « Borne milliaire romaine », notice no PA00105373, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Cf. :
      * Gerold Walser, CIL XVII-2, 1986, inscr. 435 à 444 p. 161-163 (partiellement en ligne).
      * François Eygun, « Poitou-Charentes », dans Gallia, 27 fasc. 2, 1969, p. 278 (découverte de CIL XVII-2, 439 et 439a) (en ligne).
    54. François Eygun, « Poitou-Charentes », dans Gallia, 27 fasc. 2, 1969, p. 278 (en ligne).
    55. Voir le site de la mairie.
    56. Poitou-Charentes Nature, 2000
    57. (fr)« Forclan: une prairie inondable avant un parc », (consulté le ).
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