Ceaucé
Ceaucé (prononcé [sose][1]), dite Céaucé[2], est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 1 161 habitants[Note 1].
Ceaucé | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Orne |
Arrondissement | Alençon |
Intercommunalité | CC Andaine-Passais |
Maire Mandat |
Michel Dargent 2020-2026 |
Code postal | 61330 |
Code commune | 61075 |
Démographie | |
Gentilé | Ceaucéens |
Population municipale |
1 161 hab. (2020 ) |
Densité | 28 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 29′ 38″ nord, 0° 37′ 28″ ouest |
Altitude | Min. 100 m Max. 262 m |
Superficie | 41,52 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Bagnoles de l'Orne Normandie |
Législatives | 1re circonscription de l'Orne |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.mairie-ceauce.fr/ |
La commune a la particularité de faire partie à la fois des provinces historiques du Maine et de la Normandie dans le pays de Passais[3]. Commune mixte située pour moitié dans l'Orne, pour moitié dans la Mayenne après la Révolution, elle est finalement entièrement rattachée à l'Orne en 1831[4].
Géographie
Description
Ceaucé est située dans le Domfrontais, et, plus largement, dans le sud du Bocage normand, dans l'Orne et limitrophe de la Mayenne.
Son bourg est à 10 km au nord d'Ambrières-les-Vallées, à 12 km à l'est de Passais, à 12 km au sud de Domfront et à 14 km au nord-ouest de Lassay-les-Châteaux[5]. Il est desservi par l'ancienne route nationale 162 (actuelle RD 962).
Le point culminant (262 m) se situe en limite nord, sur les pentes du mont Margantin, près du lieu-dit la Chatonnière. Le point le plus bas (100 m) correspond à la sortie de la Varenne du territoire, au sud-ouest.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est limitée à l'ouest par la Varenne, un affluent de la Mayenne en rive droite et donc un sous-affluent de la Loire par la Maine.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Fraimbault », sur la commune de Saint-Fraimbault, mise en service en 1994[14] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[15] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 874 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Laval-Etronnier », sur la commune de Laval, dans le département de la Mayenne, mise en service en 2010 et à 48 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[18] à 11,8 °C pour 1981-2010[19], puis à 12 °C pour 1991-2020[20].
Urbanisme
Typologie
Ceaucé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [21] - [22] - [23]. La commune est en outre hors attraction des villes[24] - [25].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (57,1 %), terres arables (28,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (1,8 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (à partir de 1950)[27].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 833, alors qu'il était de 832 en 2013 et de 820 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 70,1 % étaient des résidences principales, 18,1 % des résidences secondaires et 11,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ceaucé en 2018 en comparaison avec celle de l'Orne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,1 %) supérieure à celle du département (10,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 68,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (69,4 % en 2013), contre 64,3 % pour l'Orne et 57,5 pour la France entière[I 3].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Celsiacum en 796[28]. Il serait issu de l'anthroponyme latin[28] ou roman[1] Celsius.
Le gentilé est Ceaucéen.
Histoire
Selon Jean François René Caillebotte, Clotaire Ier, en route pour la Bretagne, rencontre à Ceaucé Alnée et Erinée (ultérieurement sanctifiés). Au neuvième siècle, le corps de ce dernier y est déposé sous un tombeau par Francon Ier, évêque du Mans (794-816)[29].
En 1199, Ceaucé est divisée en deux paroisses par une donation d’Arthur à Juhel II, baron de Mayenne. « Ceaucé en Maine » dépend alors de l’élection de Mayenne, de la généralité de Tours et du parlement de Paris, tandis que « Ceaucé en Normandie » dépend de l’élection de Domfront, de l’intendance d’Alençon et du parlement de Rouen, la limite se trouvant au bois de Montchauveau.
En 1832, après six siècles de séparation, Ceaucé (1 215 habitants en 1831[30]) est réunifiée[31] et absorbe la commune homonyme mayennaise (1 946 habitants[32]).
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Alençon du département de l'Orne.
Elle faisait partie de 1801 à 1832 du canton de Juvigny-sous-Andaine, année où elle est rattachée au canton de Domfront[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bagnoles de l'Orne Normandie
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Orne.
Intercommunalité
Ceaucé était membre de la petite communauté de communes du Bocage de Passais-la-Conception, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe)du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Andaine-Passais dont est désormais membre la commune.
Cette intercommunalité bénéficie d'une dérogation prévue par la loi Notre, car sa population est inférieure à 15 000 habitants.
Tendances politiques et résultats
Lors des élections municipales de 2014 dans l'Orne, la liste DVG de la maire sortante Marie-France Bourrée est seule candidate et est donc élue avec les 499 suffrages exprimés. Sa liste de 15 conseillers municipaux est donc élue, et 4 d'entre eux siègent au conseil communautaire.
Lors de ce scrutin, 30,99 % des électeurs se sont abstenus, et 28,41 % d'entre eux ont voté blanc ou nul[33].
Lors des élections municipales de 2020 dans l'Orne, la liste menée par Michel Dargent[34] — dont fait partie l'ancienne maire Marie-France Bourrée, qui a été lue maire-adjointe — est la seule candidate et obtient les 281 suffrages exprimés. Sa liste est donc élue en totalité, avec 15 conseillers municipaux dont 4 communautaires.
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 55,27 % des électeurs se sont abstenus et 13,54 % d'entre eux ont voté blanc ou nul[35].
Administration municipale
Compte tenu de la population de la commune, le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et ses adjoints[36].
Jumelages
- North Petherton (Royaume-Uni) depuis 1994.
Équipements et services publics
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2020, la commune comptait 1 161 habitants[Note 8], en diminution de 7,34 % par rapport à 2014 (Orne : −3,22 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Sports
Le Club olympique ceaucéen fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district[45].
Manifestations culturelles et festivités
- Fête de saint Ernier :
Chaque lundi de Pentecôte, environ 300 paroissiens de Ceaucé et des alentours réalisent rituellement un périple de 8 km, rythmé de chants et de prières et ponctué d’arrêts devant des calvaires préalablement décorés de fleurs. Cette manifestation trouve ses origines au XIe siècle, lorsque le moine Ernier, envoyé par l’évêque du Mans pour évangéliser la région, remplace les stèles celto-romaines de Mercure par des calvaires. Jusqu’en 1870, il y avait un grand tour de 42 km et un petit tour de 18 km, réduit à 8 km depuis les années 1970. Saint Ernier est supposé protéger la récolte des moissons[46].
- Art et jardin :
Chaque année, ce festival a lieu le dernier dimanche de septembre. Il réunit une centaine d’exposants : artisans, pépiniéristes, fleuristes, paysagistes, horticulteurs, peintres, ferronniers, sculpteurs, souffleurs de verre. 2 conférences ponctuent la journée, sur des thèmes variés autour du jardin. Cette manifestation a été créée en 1999, et attire chaque année de nombreux visiteurs[47]. - Village lumière ;
Évènement incontournable par excellence, les illuminations animent le bourg lors du mois de décembre. Dès le mois de novembre, les 150 bénévoles se mobilisent pour monter les décors, autour du thème des métiers et de la vie d’antan. Tout au long du mois, des crêpes et cidres chauds sont vendus dans un chalet aux nombreux visiteurs. La commune fait partie du concours des villes et villages illuminés avec 70 autres communes du bocage ornais. Ceaucé est toujours bien classée[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Menhir de la Pierre, classé Monument historique[49].
- Manoir de la Grande Pierre, inscrit aux Monuments historiques[50].
- Manoir de la Servière (XIVe et XVIIe siècles), inscrit aux Monuments historiques[51].
- Église Saint-Ernier (XIXe siècle).
- Chapelle Saint-Laurent.
- Pèlerinage[52] dédié à saint Ernier ou Ernée[53], abbé du VIe siècle, dont une relique est conservée.
Personnalités liées à la commune
- Auguste Salles (1860 à Ceaucé - 1941), professeur.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Ceaucé », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Ceaucé », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Ceaucé » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Population municipale 2020.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Ceaucé » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ceaucé - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Ceaucé - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Orne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 88.
- L'orthographe retenue pour le Code officiel géographique est Ceaucé ; le site officiel communal orthographie Céaucé.
- Isabelle Séguy et Christine Théré, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001 : Dictionnaire d'histoire administrative, INED, , 406 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne), p. 151.
- « Les communes mixtes de l'Orne et de la Mayenne », dans Claude Motte, Isabelle Séguy et Christine Théré avec la collaboration de Dominique Tixié-Basse, Communes d'hier, communes d'aujourd'hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001 — Dictionnaire d'histoire administrative, Paris, Institut national d'études démographiques, coll. « Classiques de l'économie et de la population / Études et enquêtes historiques », , VIII-406 p., 27 cm (ISBN 978-2-7332-1028-4 et 2-7332-1028-9, OCLC 691900402, BNF 39063370, présentation en ligne), p. 151
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Fraimbault - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Ceaucé et Saint-Fraimbault », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Fraimbault - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Laval-Etronnier - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
- Jean François René CAILLEBOTTE, Essai sur l'histoire et les antiquités de la ville et arrondissement de Domfront. Troisième édition, (lire en ligne)
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Mairie de CEAUCE - Son Histoire », sur www.mairie-ceauce.fr (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Ceaucé », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Résultats officiels pour la commune Ceaucé
- Nathalie Guérin, « Municipales 2020. A Ceaucé, Michel Dargent conduira la liste « Ceaucé objectif cohésion » : Candidat aux municipales 2020 à Ceaucé (Orne), Michel Dargent présente la liste « Ceaucé Objectif Cohésion » et son projet », Le Publicateur libre, (lire en ligne, consulté le ) « Menée par Michel Dargent, la liste « Ceaucé objectif cohésion », comprend 15 candidats et deux suppléants. Elle regroupe des personnes de 18 à 76 ans, dont le maire sortant de Ceaucé (Orne), Marie-France Bourrée et sept conseillers sortants ».
- « Orne (61) - Ceaucé », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Nathalie Guérin, « A Ceaucé, une plaque a été dévoilée à la mémoire de Louis Terrenoire, ancien maire de la commune : Le 8 janvier 2022, la municipalité de Ceaucé a rendu hommage à Louis Terrenoire. Maire de 1959 à 1977, il avait fait de Ceaucé une des communes du Bocage les mieux équipées », Le Publicateur libre, (lire en ligne, consulté le ).
- « François Williams démissionne de sa fonction de maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Ouest-france.fr - Céaucé. Marie-France Bourrée, nouveau maire de la commune » (consulté le ).
- Réélection 2014 : « Ceaucé (61330) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- « Municipales. Michel Dargent est le nouveau maire de Céaucé : Samedi 23 mai, c’est sans surprise et à l’unanimité que Michel Dargent, tête de liste, a été élu maire », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – CO Ceaucé » (consulté le ).
- « Lundi de la Pentecôte, 16 mai, petit tour en l'honneur de Saint-Ernier », sur actu.fr (consulté le ).
- Ouest-France, « Les derniers préparatifs de la fête d’Art et jardin à Céaucé », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- Ouest-France, « Le village de Ceaucé lance ses illuminations vendredi 29 novembre », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- « Menhir de la Pierre », notice no PA00110761, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de la Grande-Pierre », notice no PA00110759, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Manoir de la Servière », notice no PA00110760, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Normandie Web Ceaucé
- Les saints dans le Passais