Buire-au-Bois
Buire-au-Bois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Buire-au-Bois | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Maire Mandat |
Thierry Bascour 2020-2026 |
||||
Code postal | 62390 | ||||
Code commune | 62182 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Buirois | ||||
Population municipale |
239 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 20 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 15′ 47″ nord, 2° 09′ 11″ est | ||||
Altitude | Min. 49 m Max. 142 m |
||||
Superficie | 11,81 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Auxi-le-Château | ||||
Législatives | 1re circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Ses habitants sont appelés les Buirois
La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.
Géographie
Localisation
La commune est située à 4 km au nord-est d'Auxi-le-Château (chef-lieu de canton).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Sur le territoire de la commune se trouve le fossé Chatillon, petit cours d'eau naturel de 2 km qui ne court que sur la commune[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré de type 4 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
|
Paysages
La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 3] - [3].
Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[4].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 4] : les bois de la Justice, bois d'Auxi-le-Château et Pâture Mille trous qui couvrent 1 518 ha. Cette ZNIEFF se répartit sur les communes d'Auxi-le-Château, Buire-au-Bois, Nœux-lès-Auxi et Beauvoir-Wavans[5].
et une ZNIEFF de type 2[Note 5] : la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées[6].
Urbanisme
Typologie
Buire-au-Bois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [7] - [8] - [9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10] - [11].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,8 %), prairies (23,9 %), forêts (11,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %), zones urbanisées (2,4 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].
Voies de communication
La commune est desservie par les routes départementales D 102, D 117 et la D 941 qui relie Frévent et Abbeville[14].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Buires en 1141 (petit cart. de Dommartin, f° 42 r°), Bures en 1284 (Bibl. nat., lat. 10112, f° 191 v°), Buyres en 1343 (ch. d’Art., Ricouart, p. 281), Buires lez Aulchy le-Chasteau en 1638 (Colbert, Flandre, t. CXL, f° 1 v°), Buire-Bertonval en 1720 (Saugrain)[15], Buire aux Bois en 1793 et Buire-aux-Bois et Buire-au-Bois depuis 1801[16].
Buire semble reproduire un Buria, formé sur le vieux haut-allemand bûr : « hutte , habitation »[17], du germanique burja, qui signifie « cabane » (puis sans doute hameau).
Au-Bois d'Orimont, ou de Pinchemont attesté sous les formes Pincemont en 1156 (bibl. de Nielles-lez-Bléquin, ms.) et Pinchemont en 1159 (cartul. de Dommartin, f° 56 b v°)[18].
Histoire
Avant la Révolution française, Bachimont, lieu situé sur l'actuelle commune de Buire-au Bois était le siège d'une seigneurie[19] - [20].
À la fin du XIXe siècle, un ouvrier agricole découvre un filon de phosphate (engrais agricole) qui est exploité pendant une vingtaine d'années[21].
Durant la Seconde Guerre mondiale, la présence d'une rampe de lancement de V1 dans la commune est la cause de bombardement par les Alliés. Située sur le hameau de Bachimont, les vestiges de cette rampe de lancement, d'un bunker et d'un bâtiment de stockage sont toujours visibles[21].
Politique et administration
Découpage territorial
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.
Commune et intercommunalités
La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[23]. À l'initiative des intercommunalités concernées[24], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[25] ;
- la communauté de communes de la région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants ;
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants.
Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [26] - [27] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [28].
Circonscriptions administratives
La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroit et passe de 26 à 84 communes.
Circonscriptions électorales
Pour l'élection des députés, La commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Équipements et services publics
Espaces publics
La commune obtient sa première fleur au concours des villes et villages fleuris lors du dévoilement du palmarès le [35].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[36].
Population et société
Démographie
Les habitants de la commune sont appelés les Buirois[37].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].
En 2020, la commune comptait 239 habitants[Note 7], en augmentation de 5,75 % par rapport à 2014 (Pas-de-Calais : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 114 hommes pour 118 femmes, soit un taux de 50,86 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Sports et loisirs
La commune dispose de deux sentiers de randonnée :
- Le sentier de randonnée des Moulins (10,5 km). En direction de Bachimont, il longe les anciennes mines de phosphate et le moulin menteur pour atteindre le fond d’Haravesnes. Après un passage aux anciennes rampes de lancement de V1, il jouxte le château et traverse le bois du Tambour pour revenir à Buire-au-Bois[43] ;
- Le sentier de randonnée du bois Patou[43].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame et son clocher à bulbe.
- Les anciennes carrières de phosphates.
- Le monument aux morts[44].
Seigneurs de Bachimont
- Simon de Lamiré, chevalier, est seigneur de Bachimont (lieu situé sur Buire), Bourseville, Bouillancourt et Allenay au XVIIe siècle. Il a épousé Bonne de Collaut ou de Collant[19].
- Robert de Lamiré de Bachimont, (1627-1688), né à Bachimont, fils de Simon de Lamiré, alchimiste, empoisonneur, impliqué dans l'affaire des poisons.
- Charles Antoine Denis de Caboche est seigneur de Bachimont au XVIIIe siècle. Il est noble, chevalier de Saint-Louis et colonel dans l'artillerie royale[20].
- Marie Anne Charlotte Guislaine Julie de Caboche, fille de Charles Antoine Denis, épouse le Édme Antoine du Puget, capitaine au corps royal d'artillerie. Il bénéficie le d'une sentence de noblesse reconnaissant son appartenance à cette classe sociale. À cette date, il demeure à Bachimont et déclare vouloir se fixer dans la province d'Artois. Il est né à Joinville le de Jean Pierre du Puget, procureur du roi des traites foraines de Joinville et de Marie Françoise Guillaumez[20].
Héraldique
Blason | D'or à trois maillets de sinople; au chef du même chargé d'un gland feuillé de deux pièces d'or[45]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Buire-Au-Bois », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Buire-Au-Bois » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat océanique altéré de type 4 apparaît comme une transition entre l'océanique franc (type 5) et l’océanique dégradé (type 3). Entre le Nord-Pas-de-Calais et la Normandie il s'agit d’une fine bande tandis qu'à l’Ouest, cette transition s'élargit jusqu'à atteindre plus de 150 km. Elle affecte également le sud-ouest du Massif central, de la Dordogne à l'Aveyron et le nord des Pyrénées. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5°C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8/an) et chauds soutenu (entre 15 et 23/an). L'amplitude thermique annuelle (juillet-janvier) est proche du minimum et la variabilité interannuelle moyenne. Les précipitations, moyennes en cumul annuel (800-900 mm) tombent surtout l'hiver, l’été étant assez sec. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - fossé Chatillon ( E5501550) » (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013296 - bois de la Justice, bois d'Auxi-le-Château et Pâture Mille trous », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF 310013733 - La moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Marie-Thérèse Morlet, Toponymie de la Thiérache, Editions D'Artrey, , p. 46.
- Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
- Roman d'Amat, « Bachimont (Robert de Lamiré, sieur de »), dans Dictionnaire de Biographie française, tome IV, Paris, 1948, Letouzey et Ané.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 110, lire en ligne.
- Lisa Lasselin, « Buire-au-Bois, bienvenue dans un village d’antan », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à -dire regroupant la population municipale, c'est-à -dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
- Alexis Degroote, « Bilan de maire à Buire-au-Bois : la mairie a fait peau neuve, maintenant, il faut se pencher sur le cas de l’église… : Pour l'instant, Marie-José Dubois ne souhaite pas encore s'exprimer sur une probable candidature en mars 2014. Une maire qui a connu un mandat bien rempli avec son équipe, avec notamment la rénovation de la mairie. Une équipe qui a aussi commencé à réfléchir sur un autre dossier : celui de l'église, fermée depuis maintenant bientôt deux ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Buire-au-Bois : Marie-José Dubois réélue maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Buire-au-Bois – Dans le viseur, la restauration de l’église et l’implantation d’éoliennes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Thomas Diévart, « Découvrez le palmarès 2018 des villes et villages fleuris en Picardie », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 6 (lire en ligne).
- « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
- Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Buire-au-Bois (62182) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 22 septembre 2016, p. 14.
- « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).