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Boullarre

Boullarre est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Boullarre
Boullarre
Église Saint-Étienne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CC du Pays de Valois
Maire
Mandat
Joël Goniaux
2020-2026
Code postal 60620
Code commune 60092
Démographie
Population
municipale
214 hab. (2020 en diminution de 5,73 % par rapport à 2014)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 54″ nord, 3° 00′ 17″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 148 m
Superficie 7,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives 4e circonscription de l'Oise
Localisation
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Boullarre
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Boullarre
Liens
Site web https://sites.google.com/view/boullarrenews/

    Géographie

    Description

    Cartographies de la commune
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    1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

    Boullarre est un village rural du Valois/Multien dans l'Oise, proche de la Seine-et-Marne, situé à 15 km au sud-est de Crépy-en-Valois, trente au nord-ouest de Château-Thierry, vingt au nord de Meaux et 56 km au nord-est de Paris.au

    Géologie et relief

    Le territoire de Boullarre est essentiellement implanté sur le plateau agricole du Multien, marqué par une dépression assez profonde au nord du territoire communal constituée par la vallée de la Grivette.

    Le long de la Grivette passe la Voie verte du Pays de Valois, qui relie Ormoy-Villers à Mareuil-sur-Ourcq[1].

    Au milieu du XIXe siècle, le territoire de Boullarre était décrit comme constitué d'un « plateau d'étendue moyenne, qui s'incline vers le nord pour occuper les pentes ravinées de la vallée de Grivette[2] ». En 2011, les 757 hectares du territoire communal comprennet 145 hectares de bois et forêts et 63 % environ consacrés aux terres de cultures ou de paturage, exploitées par des agriculteurs de la commune ou des villages voisins[3].

    Le territoire communal se trouve sur le substrat calcaire du bassin parisien datant de l'ère tertiaire, constitué d'épaisses couches de calcaire coquilliers surmontés d'une strate de calcaire de Saint-Ouen. Le plateau est recouvert d'une épaisse ouche de limons sur lesquels sont implantés de champs de la grande culture céréalière et industrielle[4].

    Ambiance du village : un corps de ferme ancien.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La limite nord du territoire communal est constitué par le lit de la Grivette, une petite rivière longue de 15,3 km, qui jette dans le canal de l'Ourcq à Neufchelles[5] - [6]. Le long de la Grivette se trouyve une zone à dominante humide occupée par une végétation spontanée, des patures ou des milieux marécageux[4].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 740 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vendrest-Spc », sur la commune de Vendrest, mise en service en 1951[13] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[14] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 726,1 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 46 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[17] à 11,6 °C pour 1981-2010[18], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[19].

    Milieux naturels et biodiversité

    Le nord du territoiure communal est concerné pour une large part par le périmètre de la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF de type 1) de la basse-vallée de la Grivette.

    On y constate la présence de plusieurs milieux remarquables, rares et menacés en Europe, relèvent de la Directive habitats de l'Union Européenne :

    • la chênaie-charmaie acidocline du Lonicero periclymeni-Quercetum petraeae (type subatlantique méridional) ;
    • la chênaie-charmaie à Jacinthe du Hyacinthoido non-scriptae-Fagetum sylvaticae (type subatlantique méridional à Tilia cordata) ;
    • la chênaie-hêtraie du Fago sylvaticae-Quercetum petraeae (type subatlantique méridional) ;
    • les pelouses et les lisières calcicoles..

    qui abritent de nombreuses d'espèces végétales et animales de grande valeur patrimoniale, et où passent de grands mammifères, provenant notamment de la forêt de Retz

    La flore comprend, entre autres la scutellaire naine (Scutellaria minor), le laiteron des marais (Sonchus palustris), le polystic à aiguillons (Polysticum aculeatum), le prunier à grappes (Prunus padus), le doronic à feuilles de plantain (Doronicum plantagineum)... Les animaux les plus remarquables sont, pour l'avifaune nicheuse : le martin-pêcheur (Alcedo atthis), le pic mar (Dendrocopos medius), le pic noir (Dryocopus martius) ou la bondrée apivore (Pernis apivorus) et le busard Saint-Martin (Circus cyaneus)[20].

    Boullarre est également concerné par l'espace naturel sensible (ENS) de la basse vallée de la Grivette, considérée comme une zone humide d'intérêt départemental, aux termes du schéma départemental des ENS approuvé par le conseil général le [21].

    Urbanisme

    Typologie

    Boullarre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [22] - [23] - [24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25] - [26].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,3 %), forêts (29,3 %), zones urbanisées (3,4 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[28].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 88, alors qu'il était de 86 en 2013 et de 83 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 96,6 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 1,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boullarre en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (82,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Boullarre en 2018.
    Typologie Boullarre[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 96,6 90,4 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 1,1 7,1 8,2

    Planification de l'aménagement

    La commune s'est dotée en 2011 d'un plan local d'urbanisme[29].

    Toponymie

    Boularia, Boullearia, Boulars, Boulers, Boullere, Boullerre, Boullard, Boulards, Boulard, Boullars, Boullare, Boullarre-en-Multien (Graves)[2].

    Histoire

    Les vestiges d'un cimetière médiéval a été découvert sur le territoire communal[21]

    Louis Graves indiquait que, sous l'Ancien Régime, « Le seigneur de Boullarre était un des quatre vassaux fieffés de l'église de Meaux , obligés de porter l'évêque, de la porte (le la ville jusqu'à la cathédrale, lors de la première entrée ou installation du prélat. Cet usage qui existait dès les premiers siècles de la monarchie, dans un grand nombre de diocèses, était tombé en désuétude depuis la ligue, et long-terns avant, les fieffés qui étaient quelquefois de très-haute extraction, avaient coutume de se faire représenter.
    Le chapitre de Meaux y avait une prévôté avec haute, moyenne et basse justice[2] ».

    En 1851, la commune était propriétaire de sa mairie, de l'école, d'un lavoir, d'un jeu d'arc et de terres non cultivées. Deux carrières étaient mentionnées dans le territoire communal et la population vivait de l'agriculture[2].

    En 1894 est mise en service la ligne d'Ormoy-Villers à Mareuil-sur-Ourcq qui longeait le cours de la Grivette, mais les stations les plus proches étaient celle d'Antilly et la gare de Mareuil-sur-Ourcq. Fermée au trafic voyageurs en 1939, elle a vu circuler des trains de marchandises jusqu'en 2005[30]. Sa plateforme est devenue en 2017 la Voie verte du Pays de Valois

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Betz[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Nanteuil-le-Haudouin

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de l'Oise.

    Intercommunalité

    Boullarre est membre de la communauté de communes du Pays de Valois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1996 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1988 Jean Goniaux[Note 8]
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Michel Lemoine NC
    mars 2008 mai 2020 Philippe Lecot Intérimaire
    mai 2020[33] En cours
    (au 2 décembre 2020)
    Joël Goniaux Retraité, fils de Jean Goniaux

    Équipements et services publics

    Eau et déchets

    L'adduction d'eau de la commune est réalisée depuis un point de captage situé dans le fond de la vallée de la Grivette qui alimente le réseau du syndicat d'eau de Boullarre-Étavigny, et dessert ces deux communes. Le château-d'eau est situé à la sortie ouest du village, le long de la RD 18.

    En 2009, cette eau était potable mais on y constatait la présence de produits phytosanitaires, en quantité supérieure à la norme mais sans atteindre le seuil d'alerte[34].

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Étavigny, Rouvres-en-Multien, Varinfroy et Neufchelles au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI). L'école de Boullarre accueille des enfants d'âge primaire[35].

    Culture

    La bibliothèque Jean-Goniaux[36] a été inaugurée le . Son nom a été choisi par les habitants de Boullarre, il s'agit d'un ancien maire du village.

    La bibliothèque contient plus de 3 200 ouvrages (romans, littérature jeunesse, magazine...). Elle est située dans la cour de l'école au 17 rue des fontaines. Elle est actuellement gérée par Mélanie Gilles (conseillère municipale) et par Maelle Gilles (bénévole). Cette dernière est ouverte un samedi sur deux (cf site internet en annexe pour avoir accès au calendrier d'ouverture).

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

    En 2020, la commune comptait 214 habitants[Note 9], en diminution de 5,73 % par rapport à 2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    205233263236216222228206194
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    185214203209234221181195197
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    192191192150148146164172163
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    145129168169222225227227225
    2017 2020 - - - - - - -
    223214-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 111 hommes pour 109 femmes, soit un taux de 50,45 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    0,0
    1,8
    75-89 ans
    3,6
    16,8
    60-74 ans
    12,7
    21,2
    45-59 ans
    22,7
    23,0
    30-44 ans
    27,3
    15,0
    15-29 ans
    16,4
    21,2
    0-14 ans
    17,3
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monument

    • L'église Saint-Étienne (inscrite aux monuments historiques) date de 1180, avec beaucoup de modifications au niveau de la nef (voûtes Renaissance, adjonction d'un bas-côté, d'une chapelle au XVe siècle et d'un clocher au XVIIe siècle). Très beaux chœur et chevet plat d'origine, romans avec voûtes d'ogives[42] - [43].
    • Ancien lavoir.
    L'ancien lavoir.

    Personnalités liées à la commune

    • Georges Laugée (1853-1937), artiste peintre, se retire à Boullare, villa Demanne, vers 1930 pour y vivre les dernières années de sa vie.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Boullarre », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. La bibliothèque communale porte le nom de ce maire.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Voie verte du Pays de Valois : Cet aménagement de 18 km, inauguré en septembre 2017, emprunte en grande partie le tracé de l’ancienne voie ferrée entre Ormoy-Villers et Mareuil-sur-Ourcq. Le site est idéal pour se promener en toute sécurité puisque les véhicules motorisés y sont interdits. Piétons, cyclistes et rollers se partagent une voie en enrobé de 3 mètres de large. Quant aux cavaliers, ils cheminent sur une piste parallèle qui repose sur le terrain naturel », Entreprendre, innover, découvrir, sur https://www.cc-paysdevalois.fr/ (consulté le ).
    2. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Betz, arrondissement de Senlis (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, (lire en ligne), p. 77-79, sur Google Books.
    3. Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 7-8.
    4. Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 12.
    5. « Boullarre », sur SIGES - Seine-Normandie (consulté en ).
    6. « La Grivette : Code Sandre : F6365000 », SANDRE (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    13. « Station Météo-France Vendrest-Spc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Boullarre et Vendrest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Vendrest-Spc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Boullarre et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. [https://inpn.mnhn.fr/docs/ZNIEFF/znieffpdf/220013842.pdf « Basse vallée de la Grivette (Identifiant national : 220013842) : ZNIEFF Continentale de type 1 date=5/7/2018 »] [PDF], Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. Rapport de présentation du PLU, document mentionné en Liens externes, p. 28.
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    29. « Documents d'urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr, (consulté le ).
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