Bougarber
Bougarber (prononcĂ© [buÉĄaÊbe] ; en bĂ©arnais Borg GarbĂšr ou BougarbĂš) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Bougarber | |||||
Centre bourg | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Pau | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Corinne Hau 2020-2026 |
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Code postal | 64230 | ||||
Code commune | 64142 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Population municipale |
835 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 23âČ 54âł nord, 0° 28âČ 16âł ouest | ||||
Altitude | Min. 154 m Max. 269 m |
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Superficie | 10,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton d'Artix et Pays de Soubestre | ||||
LĂ©gislatives | PremiĂšre circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune de Bougarber se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 17 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 10 km d'Artix[4], bureau centralisateur du canton d'Artix et Pays de Soubestre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Viellenave-d'Arthez (1,5 km), Viellenave-d'Arthez (2,7 km), Beyrie-en-Béarn (2,8 km), Uzein (3,2 km), Labastide-Monréjeau (4,3 km), Aussevielle (4,8 km), Casteide-Cami (4,8 km), Denguin (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Bougarber fait partie de la province du BĂ©arn, qui fut Ă©galement un Ătat et qui prĂ©sente une unitĂ© historique et culturelle Ă laquelle sâoppose une diversitĂ© frappante de paysages au relief tourmentĂ©[6].
Au nord-est, le territoire de Momas n'est distant que d'une cinquantaine de mĂštres.
Hydrographie
La commune est drainĂ©e par la GeĂŒle, l'AĂŻgue Longue, l'Uzan, le Lata, un bras de l'Aygue Longue, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[8] - [Carte 1].
La GeĂŒle, d'une longueur totale de 21,2 km, prend sa source dans la commune de Denguin et s'Ă©coule d'est en ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau Ă Mont, aprĂšs avoir traversĂ© 9 communes[9].
L'Aïgue Longue, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Pau et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Momas, aprÚs avoir traversé 13 communes[10].
L'Uzan, d'une longueur totale de 23,6 km, prend sa source dans la commune de Lons et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Luy du Béarn à Uzan, aprÚs avoir traversé 12 communes[11].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[12]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[15] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[16] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921[17] et qui se trouve Ă 3 km Ă vol d'oiseau[18] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[19], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[21].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[23], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique avec un systĂšme de saligues[Note 7] encore vivace[24] - [Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Bougarber est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,9 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (91,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (66,4 %), prairies (13,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10 %), forĂȘts (5,9 %), zones urbanisĂ©es (4,3 %)[30].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
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Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 208, 233, 733 et 945.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Bougarber est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[31]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[32].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'Aygue longue, l'Uzan et la GeĂŒle. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 2008 et 2009[33] - [31].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[34]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[36]. 38,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [37].
Toponymie
Bougarber est une bastide béarnaise dont le nom Bourg GarbÚ signifie 'bourg gerbier'.
Le toponyme Bougarber apparaĂźt sous les formes
Borc-Garber et Borc-Garbe (respectivement 1385[38] et XIVe siĂšcle[38], censier de BĂ©arn[39]),
Montgerbiel (XIVe siĂšcle[38], Jean Froissart, livre IV),
Borgarber (1402[38], censier de BĂ©arn[39]),
Mongarber (1538[38], réformation de Béarn[40]) et
Bourgarber (1625[38], titres de BĂ©arn[41]).
Le toponyme provient de deux mots d'origine germanique borc /burk/ 'bourg' et garbÚ (bas-latin garbarius) dérivé de garba 'gerbe de blé'[42].
Les Abésiaux, ancienne école, est mentionné sous la forme la Bésiau (1778[38], terrier de Bougarber).
Affiusat, lande de la commune, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[38].
Le toponyme Arbus apparaĂźt sous la forme Arbuus (1385[38], censier de BĂ©arn[39]).
Espiau, ancien hĂŽpital pour les pĂšlerins, est mentionnĂ© en 1170[38] (d'aprĂšs Pierre de Marca[43]), et apparaĂźt sous les formes Lespiaup (1290[38], titres de BĂ©arn[41]), Lespiaub (XIIIe siĂšcle[38], fors de BĂ©arn[39]), l'espitau de Lespiaub (1385[38], censier de BĂ©arn[39]) et Commenda Sancti Jacobi de Spinalba (1527[38], titres des Barnabites de Lescar[44]). Le toponyme Spinalba signifie 'Ă©pine blanche', une Ă©tymologie romane crĂ©dible, peut-ĂȘtre une rĂ©fection savante qu'il faut comparer avec Espiaubaig Ă Andrein en 1527.
Histoire
Protohistoire
- Tumulus posthallstattiens
à environ 800 m au sud-est du chùteau, un tumulus fouillé en 1913 par l'abbé André Pédebucq[45] a livré des débris de bronze ; une urne funéraire à col évasé, pied étroit et panse légÚrement carénée, recouverte d'une coupe ; et un vase rempli de cendres, recouvert d'une coupe ornée de gravures rectilignes. Fabre attribue ce mobilier au premier ùge du fer[46].
En 1920, l'abbĂ© PĂ©debucq continue les fouilles sur le premier tumulus et en fouille deux autres[47]. Ils ont livrĂ© des les vases recouverts de coupes et remplis de cendres, de formes atypiques, qui peuvent aussi bien dater de l'Ăąge du cuivre (Chalcolithique) que du post-Hallstatt. Une datation est cependant possible grĂące Ă des fragments de fibules : une fibule en fer dont le pied courbĂ© en angle droit se termine par un bouton et une fibule Ă arbalĂšte dont l'axe en fer est ornĂ© de disques de bronze[46]. Ces vestiges sont comparables au mobilier Ă©quivalent d'Avezac-Prat et du Tursan. La fibule en fer Ă bouton est frĂ©quente sur le plateau de Ger. Mais les modĂšles en forme d'arbalĂšte et dont l'axe est ornĂ© de disques de bronze n'y ont pas Ă©tĂ© signalĂ©s, alors qu'ils sont trĂšs nombreux Ă Avezac et dans le Tursan oĂč ils ont Ă©tĂ© trouvĂ©s avec une fibule de La TĂšne II. Ces formes appartiennent Ă la premiĂšre ou Ă la deuxiĂšme pĂ©riode posthallstattienne, ou peut-ĂȘtre aux deux[48].
Moyen-Ăge
Paul Raymond[38] note qu'en 1385, Bougarber comptait cinquante-neuf feux et dépendait du bailliage de Pau.
Les Hospitaliers
L'Espiau était une commanderie[38] de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, qui dépendait de Sainte-Christine (Espagne). L'hÎpital était situé dans les landes du Pont-Long, sur le chemin Romiu, nom qui s'appliquait à tous les chemins suivis depuis le XIe siÚcle par les pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, couramment bordés de commanderies, d'hÎpitaux ou auberges.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune de Bougarber fait partie de quatre structures intercommunales[50] :
- la communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées ;
- le SIVU pour le service de soins infirmiers à domicile pour personnes ùgées du canton de Lescar ;
- le syndicat « eau et assainissement » des Trois Cantons ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques.
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[52].
En 2020, la commune comptait 835 habitants[Note 11], en diminution de 2,22 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
La commune fait partie de l'aire urbaine de Pau.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Bougarber s'étend aujourd'hui au-delà des limites de la bastide, le long des voies perpendiculaires à la rue principale médiévale, la CarrÚre. La bùti s'est un peu densifié le long de cette voie. Les fossés ont été comblés. La porte nord du XIVe siÚcle, spécimen du systÚme défensif des bastides béarnaises, reste visible. Cette porte[55] est inscrite aux monuments historiques.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Notre-Dame[56] date partiellement du XVIIe siĂšcle.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Page de la commune sur le site de la communauté de communes du Miey de Béarn
- Les bastides en Pyrénées-Atlantiques
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[22].
- La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Bougarber » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Bougarber », sur www.geoportail.gouv.fr.
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Bougarber », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Bougarber et Artix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Bougarber », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Fiche communale de Bougarber », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Sandre, « la GeĂŒle ».
- Sandre, « l'Aïgue Longue ».
- Sandre, « l'Uzan ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Fors de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xive siÚcle (lire en ligne)..
- Réformation de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, coll. « manuscrits du XVIe au XVIIIe siÚcle ».
- Titres de la vicomté de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6)..
- D'aprĂšs Pierre de Marca, Histoire de BĂ©arn
- Titres des Barnabites de Lescar - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- [Pedebucq 1922] AbbĂ© AndrĂ© Pedebucq, « Fouilles de trois tumuli Ă Bougarber », Bulletin de la SociĂ©tĂ© des Sciences, Lettres et Arts de Pau, t. 45, 2e sĂ©rie,â , p. 223-227 (lire en ligne [sur gallica]), p. 224-225. CitĂ© dans Fabre 1943, p. 59.
- [Fabre 1943] Gabrielle Fabre, « Contribution Ă l'Ă©tude du protohistorique du Sud-Ouest de la France », Gallia, vol. 1, no 1,â , p. 43-79 (lire en ligne [sur persee]), p. 59.
- Pedebucq 1922.
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- MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Notre-Dame
- Site du Miey de BĂ©arn - Notice sur l'Ă©cole de Bougarber