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Bouffémont

BouffĂ©mont est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Val-d'Oise en rĂ©gion ĂŽle-de-France, Ă  l'orĂ©e de la forĂŞt de Montmorency et Ă  environ 25 km au nord de Paris.

Bouffémont
Bouffémont
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion ĂŽle-de-France
DĂ©partement Val-d'Oise
Arrondissement Sarcelles
Intercommunalité Communauté d'agglomération Plaine Vallée
Maire
Mandat
Michel Lacoux
2020-2026
Code postal 95570
Code commune 95091
DĂ©mographie
Gentilé Bouffémontois
Population
municipale
6 596 hab. (2020 en augmentation de 6,78 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 1 463 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 02′ 36″ nord, 2° 17′ 57″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 194 m
Superficie 4,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pĂ´le principal)
Élections
DĂ©partementales Canton de Domont
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Bouffémont
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Bouffémont
Liens
Site web ville-bouffemont.fr

    Ses habitants sont appelés les Bouffémontois.

    GĂ©ographie

    La commune est limitrophe de Moisselles, Baillet-en-France, Chauvry, Domont, Saint-Prix et Montlignon.

    Communes limitrophes de Bouffémont[1]
    Chauvry Baillet-en-France
    Bouffémont Moisselles
    Saint-Prix Domont

    Bouffémont est divisée en trois quartiers principaux :

    • le Village est le quartier ancien de la ville ;
    • les Hauts-Champs est le quartier qui s'est dĂ©veloppĂ© près de la gare et qui regroupe la plupart des logements ;
    • le Trait-d'Union est le quartier situĂ© entre les Hauts-champs et le Village.

    Bouffémont est desservie par la gare de Bouffémont - Moisselles, sur la ligne H du Transilien, branches Paris-Nord — Persan-Beaumont / Luzarches. La gare est desservie à raison d'un train omnibus toutes les demi-heures en heures creuses et tous les quarts d'heure en heures de pointe, les trains étant en revanche directs de Paris à Sarcelles - Saint-Brice. Il faut de 23 à 28 minutes de trajet à partir de la gare du Nord.

    • Carte de la commune.
      Carte de la commune.
    • Occupation des sols.
      Occupation des sols.
    La gare de Bouffémont - Moisselles.
    La gare de Bouffémont - Moisselles.

    Urbanisme

    Typologie

    BouffĂ©mont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 1] - [3] - [4] - [5]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Paris, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 411 communes[6] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7] - [8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂ´le principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[9] - [10].

    Toponymie

    Beffus mons, Buffonis mons, Bofesmont[11].

    Le nom de Bouffémont est attesté au XIIe siècle. Il provient de l'anthroponyme germanique Boffo, ou peut-être de la famille des Boffe qui vivaient ici sous le règne de Louis VII, et du latin mons.

    Histoire

    Le château de Bouffemont.

    Le village appartient au prieuré de Bois Saint-Pierre, dépendant de l'abbaye Saint-Victor de Paris.

    Le château de la Chasse, situé près de Bouffémont, appartint aux barons de Montmorency.

    Le château de Bouffémont, ancienne propriété de la marquise de Preignes puis du baron Édouard Louis Joseph Empain bâtisseur du métro parisien.

    Aux XVIIIe et XIXe siècles, les habitants vivent essentiellement du ramassage des châtaignes et du travail du bois.

    Le village a connu un accroissement important de sa population après 1968, un organisme HLM ayant construit un nouveau quartier entre le vieux village et la gare.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[12], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .

    Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 1986 de la septième circonscription du Val-d'Oise.

    Elle faisait partie de 1793 à 1964 du canton d'Écouen, année où elle intègre le canton de Sarcelles-Centre du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d'Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Domont[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 4 à 11 communes.

    Bouffémont fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d'instance d'Écouen en février 2008[14]), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[15] - [16].

    Intercommunalité

    La ville faisait partie de la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France, créée en 2002.

    Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, celle-ci a fusionné avec la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency, auxquelles s'ajoutent également les communes de Montlignon et Saint-Prix.

    C'est ainsi qu'a été créée le la communauté d'agglomération Plaine Vallée dont Bouffémont fait désormais partie.

    Tendances politiques et résultats

    Lors du premier tour des Ă©lections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste DVG menĂ©e par le maire sortant Claude Robert obtient la majoritĂ© absolue des suffrages exprimĂ©s, avec 1 311 voix (51,37 %, 22 conseillers municipaux Ă©lus dont 3 communautaires), devançant de 70 voix celle DVD menĂ©e par Guillaume Besnier (1 241 voix, 48,62 %, 7 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire).
    Lors de ce scrutin, 34,77 % des Ă©lecteurs se sont abstenus[17].

    Au second tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, la liste DVG menée par Michel Lacoux obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 514 voix (32,63 %, 20 conseillers municipaux élus, dont 2 communautaires), devançant de 39 voix celle DVG menée par Hervé Boussange (475 voix, 30,15 %, 4 conseillers municipaux élus).
    Deux autres listes suivent : celle ECO de Nathalie Guadagin (25,07 %, 4 conseillers municipaux Ă©lus) et celle DVD de Bachir Arouna (12,12 %, 1 conseiller municipal Ă©lu).
    Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,46 % des électeurs se sont abstenus[18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 mars 2001[19] Michel Coffineau PS Technicien des PTT
    Député de la 5e circonscription du Val-d'Oise (1981 → 1986)
    Député du Val-d'Oise (1986 → 1988)
    Député de la 9e circonscription du Val-d'Oise (1988 → 1993)
    mars 2001[20] mars 2008[21] Guillaume Besnier DVD puis DLR Attaché commercial
    mars 2008 juillet 2020[22] Claude Robert[23] PS Chef d'entreprise
    Vice-président de la CA Plaine Vallée (2016 → 2020)
    juillet 2020[24] En cours
    (au 25 mars 2021)
    Michel Lacoux MRC Retraité de l'Éducation nationale
    Vice-président de la CA Plaine Vallée (2020 → )

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

    En 2020, la commune comptait 6 596 habitants[Note 3], en augmentation de 6,78 % par rapport Ă  2014 (Val-d'Oise : +3,84 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    276288295351362351336301301
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    326340334347324321314290322
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    316335370358442632626566766
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    6357753 1544 8415 7005 7015 6525 6075 898
    2014 2019 2020 - - - - - -
    6 1776 5786 596------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Bouffémont est, comme beaucoup de communes du Val-d'Oise, une commune résidentielle, dont les habitants vont travailler chaque jour dans d'autres villes de la région. En même temps, la ville abrite un important établissement de santé dépendant de la Fondation Santé des Étudiants de France[28] qui constitue, de très loin, le principal employeur de la localité.

    Bouffémont participe à partir de 2022 à l'expérimentation « Territoires zéro chômeur de longue durée »[29].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bouffémont ne compte aucun monument historique classé ou inscrit sur son territoire.

    • L'Ă©glise Saint-Georges, au carrefour rue de la RĂ©publique / rue Pasteur : une courte nef de trois travĂ©es avec deux bas-cĂ´tĂ©s du XVIe siècle est adjointe Ă  un ensemble plus ancien du dĂ©but du XIIe siècle, se composant d'un clocher en bâtière et d'une grande travĂ©e Ă  l'angle de ce dernier et de la nef, servant de chĹ“ur. Cette configuration inhabituelle fait paraĂ®tre l'Ă©difice inachevĂ©. Les deux ensembles provenant d'Ă©poques diffĂ©rentes se distinguent par une hauteur des murs, des contreforts et une pente des toitures diffĂ©rents, mais les façades ont Ă©tĂ© uniformĂ©ment couvertes d'enduit, et toutes les baies sont plein cintre. Le portail principal, au centre du bas-cĂ´tĂ© sud, se situe sous un avant-corps lĂ©gèrement saillant et ornĂ© d'un petit fronton. Quelques moulures très simples, essentiellement sous la forme de bandeaux plats, agrĂ©mentent les façades[30] - [31].
    • Le lavoir couvert, rue de la RĂ©publique : datant du XVIIIe siècle, il est attenant Ă  une maison lui servant de clĂ´ture d'un cĂ´tĂ©, et un autre le mur le ferme Ă  l'arrière. Les deux autres cĂ´tĂ©s du petit Ă©difice en charpente sont ouverts ; la fontaine alimentant en eau le lavoir se situe Ă  leur angle[30].
    • L'ancien collège privĂ©, rue Pasteur : ce grand bâtiment d'allure reprĂ©sentative, avec une volumĂ©trie s'inspirant des châteaux classiques, a Ă©tĂ© Ă©difiĂ© en 1930 selon les plans de l'architecte Maurice Boutterin, prix de Rome en 1910, sur la demande du futur maire, le docteur Pichon. Ce « palais scolaire » de rĂ©putation internationale s'adresse aux jeunes filles de la bonne sociĂ©tĂ© (l'actrice Adina Mandlová y sĂ©journa), mais ne fait qu'une courte carrière en tant qu'Ă©tablissement d'enseignement secondaire. En effet, Ă  l'occupation allemande sous la Seconde Guerre mondiale, suit Ă  partir de 1950 une utilisation comme sanatorium : les Ă©lèves amĂ©ricaines ne sont plus assez nombreuses pour assurer l'Ă©quilibre financier du collège. L'Ă©difice est surĂ©levĂ© d'un Ă©tage, mais conserve sa silhouette particulière due au toit en terrasse. Le hall d'entrĂ©e, l'escalier central et la bibliothèque ont Ă©galement gardĂ© leur architecture d'origine et leur ornementation Art dĂ©co. Dans l'ancien parc de 30 ha, l'on peut toujours voir deux sphinx sculptĂ©s crĂ©Ă©s par Boutterin. Le sanatorium est nommĂ© ultĂ©rieurement centre mĂ©dical Jacques-Arnaud[30].
    • La villa « Le Manoir », Ă  cĂ´tĂ© de l'ancien collège : l'architecte de cette grande demeure en briques rouges et meulière avec de multiples pignons, une tour octogonale et des volumes dissymĂ©triques est Frantz Jourdain, connu Ă©galement comme critique d'art et homme de lettres[30].
    • Le château Empain : bien que ne datant que de 1860, l'illusion du style Louis XIII est presque parfaite. Le corps principal de logis d'un Ă©tage est flanquĂ© de deux pavillons qui lui sont perpendiculaires, les trois Ă©lĂ©ments disposant chacun d'une toiture indĂ©pendante avec de hauts combles Ă  la française. Les cinq lucarnes de la façade sur le jardin sont de trois formes diffĂ©rents et s'inspirent encore de la Renaissance. Les matières sont la pierre de taille pour l'ornementation sculptĂ©e et les chaĂ®nages, et la brique rouge pour les trumeaux. Le château est construit sur un haut soubassement, prĂ©cĂ©dĂ© par des arcades voĂ»tĂ©es en berceau. L'on accède au perron couvrant les arcades par un escalier Ă  double rĂ©volution. Des vĂ©randas closes flanquent les pavillons latĂ©raux. La porte principale est cantonnĂ©e de trois Cariatides de chaque cĂ´tĂ©, reprĂ©sentant des couples avec leurs enfants. Au dĂ©but du XXe siècle, le baron Édouard Louis Joseph Empain possède les deux tiers de BouffĂ©mont et emploie dans son château un nombre important d'habitants[30].
    • Les communs du château des Brouillards : il s'agit d'une grande maison en meulière, avec deux pavillons d'extrĂ©mitĂ© possĂ©dant des pignons sur trois cĂ´tĂ©s, un toit pointu et des fenĂŞtres pour la plupart sous la forme de demi-lunes. Le château proprement dit a Ă©tĂ© dĂ©moli. Son parc abandonnĂ© jouxte la forĂŞt de Montmorency[30].

    Personnalités liées à la commune

    • Frantz Jourdain (1847-1935), architecte, critique d'art et homme de lettres français, possĂ©dait une villa construite par ses soins Ă  BouffĂ©mont.
    • Le baron Édouard Louis Joseph Empain (1852-1929), ingĂ©nieur, entrepreneur, financier et riche industriel belge, constructeur du mĂ©tro de Paris. Il possĂ©dait les deux tiers des terres de BouffĂ©mont et s'y fit construire le château auquel son nom reste attachĂ©[30].
    • Le baron Edouard-Jean Empain dit Wado (1937-2018), petit-fils du prĂ©cĂ©dent, rendu cĂ©lèbre notamment par son enlèvement crapuleux en 1978, prĂ©sident-directeur-gĂ©nĂ©ral du groupe Empain-Schneider de 1971 Ă  1981, a habitĂ© au château et est enterrĂ© au cimetière communal[32].
    • En 1936, le chanteur O'dett a enregistrĂ© une chanson intitulĂ©e BouffĂ©mont Tsoin Tsoin, jouant sur le nom de la ville.
    • Vincent Pajot (1990-), footballeur.
    • Bud Powell, pianiste de Jazz amĂ©ricain, fut pensionnaire du sanatorium entre 1963 et 1966, ce qu'Ă©voque sa composition Blues for BouffĂ©mont.
    • Pierre PĂ©an (1938-2019), journaliste-Ă©crivain, auteur entre autres de : Affaires africaines, Une jeunesse française : François Mitterrand, 1934-1947, Vies et morts de Jean MoulinLa Face cachĂ©e du Monde : du contre-pouvoir aux abus de pouvoir, Chirac, l'Inconnu de l'ÉlysĂ©e, Jean Moulin, l’ultime mystère, avec Laurent Ducastel, habitait BouffĂ©mont[33] et il est inhumĂ© dans le cimetière communal[34]. Il a conduit en mars 1989 une liste politique alternative composĂ©e de militants Ă©cologistes ou encore d'extrĂŞme gauche contre le maire socialiste de BouffĂ©mont.

    HĂ©raldique

    Blason de Bouffémont Blason
    D’azur à la silhouette du vieux village cousue de sable, clocher à dextre et beffroi à senestre, sommé d’un arc en ciel au naturel en barre ployé, encadrée d’une foret cousue de sinople, mouvant de la pointe et des flancs, chargée d’un visage féminin d’argent[35].
    DĂ©tails
    Adopté à l'unanimité par le conseil municipal en mai 1983

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Communes limitrophes de Bouffémont » sur Géoportail..
    2. « Communes limitrophes de Bouffémont » sur Géoportail..
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    12. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Décret du 15 février 2008 publié au Journal Officiel du 17 février 2008
    15. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
    16. Ministère de la justice - Conseil Départemental de l'Accès au Droit du Val-d'Oise
    17. Résultats officiels pour la commune Bouffémont
    18. « Val-d'Oise (95) - Bouffémont », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    19. Daniel Pestel, « Le second adjoint conduit l'équipe du maire », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    20. Daniel Pestel, « La première semaine du benjamin des maires », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ 131/3/2001 (lire en ligne) « À 31 ans, Guillaume Besnier (DVD) est le plus jeune maire du département. Il a été élu le 23 mars à Bouffémont, au bénéfice d'une triangulaire serrée avec Claude Robert (PS), adjoint au maire sortant Michel Coffineau (PS) qui ne se représentait pas après vingt-quatre ans de mandat ».
    21. « L'ancien maire démissionne du conseil municipal », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À nouveau battu, Guillaume Besnier (Debout la République) vient de démissionner du conseil municipal de Bouffémon ».
    22. Fabrice Cahen, « Val-d'Oise. Claude Robert, maire de Bouffémont, joue les prolongations : l avait prévu des vacances aussitôt l'installation de celui qui devait lui succéder. Claude Robert, maire (Ps) de Bouffémont (Val-d'Oise), devait prendre sa retraite d'élu », La Gazette du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Devoir jouer les prolongations n’est pourtant pas un souci pour l’élu Claude Robert engagé pour Bouffémont depuis 1995 ».
    23. « 180 logements verts prévus à Bouffémont », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne).
    24. « Compte-rendu du conseil municipal en date du 03 juillet 2020 » [PDF], Conseil municipal, sur http://www.ville-bouffemont.fr (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    28. Selon le fichier SIRENE, l'établissement se situait en 2019 dans la tranche de 250 à 499 salariés (employés directement) : « Fondation sante des etudiants de france (FSEF) - Information sur l’etablissement Centre jacques arnaud [sic] », sur L'Annuaire des Entreprises, (consulté le ).
    29. Elisabeth Borne et Brigitte Klinkert, « Arrêté du 15 avril 2022 habilitant les territoires pour mener l'expérimentation « territoires zéro chômeur de longue durée » », sur Légifrance, (consulté le ).
    30. Jean-Claude Cavard et Stéphane Gasser, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Bouffémont », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 178-182 (ISBN 2-84234-056-6).
    31. Mathieu Lours, « Bouffémont - Saint-Georges », Églises du Val-d’Oise : Pays de France, vallée de Montmorency, Gonesse, Société d’histoire et d’archéologie de Gonesse et du Pays de France,‎ , p. 66-67 (ISBN 9782953155402).
    32. Frédéric Naizot, « Bouffémont salue une dernière fois le baron Empain », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    33. « Pierre Péan dédicace dans son fief de Bouffémont », Le Parisien, édition du Val-d'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    34. « 2019 - Cimetières de France et d'ailleurs », sur www.landrucimetieres.fr (consulté le ).
    35. http://www.ville-bouffemont.fr/
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