BivĂšs
BivÚs (VivÚrs en gascon) est une commune française située dans le nord-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».
BivĂšs | |
Vue générale. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Gers |
Arrondissement | Condom |
Intercommunalité | Communauté de communes Bastides de Lomagne |
Maire Mandat |
Chantal Calac 2020-2026 |
Code postal | 32380 |
Code commune | 32055 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | BivÚsiens, BivÚsiennes |
Population municipale |
134 hab. (2020 ) |
Densité | 13 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 43° 50âČ 03âł nord, 0° 48âČ 20âł est |
Altitude | 182 m Min. 107 m Max. 192 m |
Superficie | 9,93 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Fleurance-Lomagne |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par l'Arrats et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de trois zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
BivÚs est une commune rurale qui compte 134 habitants en 2020, aprÚs avoir connu un pic de population de 549 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les BivÚsiens ou BivÚsiennes.
GĂ©ographie
Localisation
Cette commune rurale se situe en Gascogne dans la vallĂ©e de l'Arrats en Lomagne Ă 28 kilomĂštre au nord-est dâAuch qui est la prĂ©fecture.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Cadeilhan, Estramiac, Homps, Monfort, Saint-LĂ©onard et Tournecoupe.
GĂ©ologie et relief
BivÚs se situe en zone de sismicité 1 (sismicité trÚs faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, un bras de l'Arrats, le ruisseau de BarrÚre, le ruisseau de Muras, le ruisseau de Napard, le ruisseau de Saudroue et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[4] - [Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, aprÚs avoir traversé 66 communes[5].
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[11] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 653,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă 27 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] Ă 13,5 °C pour 1991-2020[16].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[17] : les « bois et bosquets de Bives » (826 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[18] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5] - [17] :
- les « collines de Saint-Léonard à BivÚs » (817 ha), couvrant 4 communes du département[19] ;
- le « cours de l'Arrats » (815 ha), couvrant 30 communes dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne[20].
- Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
BivÚs est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [21] - [I 1] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2] - [I 3].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (96 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (96 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (80,7 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (15,3 %), forĂȘts (4 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de BivĂšs est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible)[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Arrats. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999, 2008, 2009 et 2018[27] - [24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 75 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 75 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Histoire
Au Xe siĂšcle, BivĂšs Ă©tait le fief de la famille de ce nom. DĂšs 1418 le fief devient celui de la maison de Marrenx. Lâune ou lâautre de ces familles a pu construire la partie la plus ancienne du chĂąteau de BivĂšs. Puis par alliance Ă partir du XVe siĂšcle, le chĂąteau est la propriĂ©tĂ© des Castelbajac.
En effet, Pierre de Castelbajac, Seigneur de Paridoux Ă©pouse en 1520, Rose de Marrenx, dame de BivĂšs. Les terres sont vendues en 1557 pour 1370 livres Ă Bernard de Roquelaure.
Son petit fils, Bernard de Castelbajac passe bail Ă bĂątir avec les maçons du village les et pour opĂ©rer des dĂ©molitions et d'importantes transformations du chĂąteau auquel il a Ă©tĂ© adjoint un corps de logis dâun Ă©tage, parallĂ©lĂ©pipĂšde flanquĂ© au nord-est dâune tour ronde, gage dâune vis de pierre.
Sa petite fille, seigneuresse de BivĂšs, Philiberte de Castelbajac, Ă©pousera Octavien II du Bouzet coseigneur de Ligardes, capitaine du rĂ©giment de Roquepine, deuxiĂšme fils dâOctavien I, le . Elle lui apportera donc le village de BivĂšs en dot.
En 1629 un contrat passĂ© avec un maĂźtre lissier dâAubusson tĂ©moigne des prĂ©occupations dĂ©coratives du chĂąteau de BivĂšs.
Devenu par échange la propriété d'Henri de Preissac d'Esclignac qui plus tard émigrera. Le chùteau sera alors vendu comme un bien national le .
En 1855 BivĂšs devient la propriĂ©tĂ© de la famille de Mellis. Le chĂąteau sera victime d'un incendie. Une reconstruction partielle fera l'objet dâune transformation et dâun changement de style renaissance. DorĂ©navant lâimage actuelle du chĂąteau nâa pas changĂ©.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[32]. En 2020, la commune comptait 134 habitants[Note 7], en augmentation de 8,94 % par rapport Ă 2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %). |
Depuis le dernier recensement de 2007, on y compte 138 habitants. La moyenne est de 13,9 habitants par kmÂČ. Depuis 1999, la population de BivĂšs a augmentĂ© de 6,2 %.
Manifestations culturelles et festivités
- FĂȘte patronale : dimanche suivant le 8 septembre[35].
Ăconomie
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 4] | 6,6 % | 4,5 % | 9,2 % |
DĂ©partement[I 5] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entiĂšre[I 6] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 76 personnes, parmi lesquelles on compte 78,9 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 9,2 % de chÎmeurs) et 21,1 % d'inactifs[Note 8] - [I 4]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 30 en 2013 et 30 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 53, soit un indicateur de concentration d'emploi de 75,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,6 %[I 8].
Sur ces 53 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 83 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
8 établissements[Note 9] sont implantés à BivÚs au [I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à BivÚs), contre 14,4 % au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'exploitation de grandes cultures (hors céréales et oléoprotéagineuses)[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] Ă 21 en 2000 puis Ă 16 en 2010[38] et enfin Ă 17 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[39] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă elle augmentĂ©, passant de 773 ha en 1988 Ă 965 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 27 Ă 57 ha[38].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
à BivÚs se trouve quelques curiosités telles que :
- un chùteau des XIIIe et XIVe siÚcles remanié Renaissance ;
- des pigeonniers ;
- un moulin Ă vent ;
- la chapelle Notre-Dame-des-Neiges du Chicoy.
LâĂ©glise Saint-AndrĂ©
L'Ă©glise paroissiale est en rĂ©alitĂ© une ancienne chapelle voĂ»tĂ©e en berceau avec une sacristie du XIIe siĂšcle. La nef, le chĆur et le clocher-mur datent de 1612.
Le clocher comporte cinq arcades toutes garnies de leur cloche. Ce qui est rarissime.
En entrant dans la chapelle, le regard se porte Ă droite sur une statue moderne dâun bienheureux Martyr de Germain de Paris : Antoine Charles Octavien du Bouzet (1739-1792)[40] nĂ© au chĂąteau de BivĂšs.
Celui-ci au diocĂšse de Lectoure, fut vicaire gĂ©nĂ©ral de Reims et abbĂ© commendataire de Notre-Dame-des-Vertus Ă partir de 1775. Il fut a assassinĂ© lors des massacres de , le 3, en lâabbaye de Saint-Germain-des-PrĂ©s Ă Paris oĂč il a Ă©tĂ© incarcĂ©rĂ© pour refus de serment. Il sera bĂ©atifiĂ© sous Pie XI le comme faisant partie des "Martyrs de Septembre".
Un des vitraux prĂšs du chĆur reprĂ©sente saint AndrĂ©.
En 1853, lâĂ©glise sera restaurĂ©e.
Actuellement le clocher se dĂ©tĂ©riore et des travaux doivent ĂȘtre entrepris pour le restaurer.
L'édifice est répertorié dans la base Mérimée[41].
Voir aussi
Bibliographie
- Georges CourtÚs (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39919209)
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- BivÚs sur le site de la communauté de communes Bastides de Lomagne
- BivÚs sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de BivÚs » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Site de l'Insee
- « Commune rurale - définition » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », (consultĂ© le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à BivÚs » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à BivÚs » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à BivÚs » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
- « Fiche communale de BivÚs », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
- Sandre, « l'Arrats »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Ste-Anne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre BivÚs et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ste-Anne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre BivÚs et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de BivÚs », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois et bosquets de Bives » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « collines de Saint-Léonard à BivÚs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « cours de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de BivÚs », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur www.gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de BivÚs », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Site de la préfecture - fiche de BivÚs
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département du Gers » (consulté le ).
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