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Binic

Binic [binik] est une ancienne commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Binic-Étables-sur-Mer. Binic appartient au pays historique du Goëlo.

Binic
Binic
L'avant-port de Binic à marée basse.
Blason de Binic
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement CĂ´tes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Saint-Brieuc Armor Agglomération
Statut commune déléguée
Code postal 22520
Code commune 22007
DĂ©mographie
Gentilé Binicais
Population 3 800 hab. (2014)
DensitĂ© 638 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 36′ 09″ nord, 2° 49′ 27″ ouest
Altitude 10 m
Min. 0 m
Max. 86 m
Superficie 5,96 km2
Élections
DĂ©partementales Plouha
Historique
Commune(s) d'intégration Binic-Étables-sur-Mer
Localisation
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Binic
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Binic
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Binic
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Binic
    Binic, les casiers
    Binic, le port à marée basse

    Elle est notamment connue pour être une station balnéaire attractive, où le tourisme prédomine. Binic est appelée aussi « le grain de beauté des Côtes-d'Armor ».

    GĂ©ographie

    Binic se situe dans la partie ouest de la baie de Saint-Brieuc, la Côte du Goëlo (qui va du sillon de Talbert à l’anse d’Yffiniac). Son port de plaisance, accessible seulement à marée haute, propose 500 places à flot. Il est fréquenté par quelques bateaux de pêche côtière.

    Selon le recensement de 1999, elle compte 3 110 habitants. Sa population est Ă  peu près multipliĂ©e par trois l’étĂ©.

    Binic est divisée en plusieurs quartiers :

    • les Fontaines-Gicquel ;
    • la Ville-Biard ;
    • la Ville-Even ;
    • la Ville-Garnier ;
    • la Ville-Gilbert ;
    • la Ville-Jacob.

    Histoire

    Binic tire son nom du préfixe penn (qui signifie tête, chef, bout ou cap) et de Ic qui est le nom de la rivière voisine qui se jette dans la mer. Binic est donc l’embouchure de l’Ic. On la surnomme Cité des Embruns ou encore Le Grain de Beauté des Côtes-d'Armor.

    Le NĂ©olithique

    L'histoire de Binic remonte au Néolithique (entre 3500 et 1800 av. J.-C.). En effet, on y a retrouvé des monuments mégalithiques tel le dolmen La Table de Margot (détruit en 1816 lors de travaux du port).

    Le Moyen Ă‚ge

    Au Moyen Âge, Binic (alors appelée Benic) était un petit village d'au plus une vingtaine de maisons. Mais c'était toutefois un grand lieu de foires et de marchés où venaient les habitants des villages alentour.

    Époque moderne

    Charles Colbert de Croissy écrit en 1665 que « dans les ports de Binic il n'y a, que de petitz (petits) bâtiments (bâtiments) de cinquante à soixante thonneaux (tonneaux) qui s'y puissent retirer, la mer asseichant (asséchant) de fort loing (loin). [La côte est] gardée par la parroisse (paroisse) de Plelou (Plélo) qui fournit quatre gardes de cent hommes chacune, et la parroisse d'Estable (Étables-sur-Mer) qui en fournit quatre autres de pareil nombre »[1].

    Le XIXe siècle

    En 1821, grâce à François Le Saulnier de Saint-Jouan, un armateur binicais, avec l'appui de la duchesse d'Angoulême, fille de Louis XVI, Binic devient une commune à part entière en se détachant de la paroisse d'Étables-sur-Mer. Elle compte alors 1 611 habitants. Il faut attendre 1840 pour que les limites entre Binic et les communes d'Étables-sur-Mer et de Pordic soient définitivement arrêtées.

    Au XIXe siècle, Binic connut son apogée en devenant, en 1845, le premier port français pour la Grande Pêche. Le port recevait annuellement 150 à 160 navires et l'activité se partageait entre la pêche à Terre-Neuve et le cabotage (importation de sel, de vin, de bois du Nord, de farines et légumes). Binic était alors le premier port de pêche à la morue.

    L'agonie de la pĂŞche Ă  la morue

    La période correspondant au premier quart du XXe siècle, jusqu'au seuil des années 1930, est pour la commune celle d'une mutation en profondeur car l'activité de pêche à la morue à Terre-Neuve et en Islande y vit tant bien que mal ses dernières décennies.

    Confrontées durant la guerre aux sous-marins allemands, à la hausse des coûts d'armement et aux réglementations sur la pêche de plus en plus strictes - notamment en Islande - dans les années 1920 et à la concurrence des chalutiers à vapeur, les goélettes qui depuis les années 1860 étaient emblématiques des ports du Goëlo finissent par disparaître.

    Le bord de mer à marée basse.
    Binic, le bassin Ă  flots.

    C'est pour le port une période très morose qui débute. Elle va durer une trentaine d'années.

    Plus récemment s'est développée la pêche à la coquille Saint-Jacques, spécialité de la baie de Saint-Brieuc. Depuis 1992, les chalutiers binicais débarquent leur pêche au nouveau port de Saint-Quay-Portrieux, ville voisine de 6 kilomètres.

    La ligne de chemin de fer

    Entre 1906 et 1956, Binic a été desservie par une ligne des Chemins de fer départementaux des Côtes-du-Nord et a eu sa gare sur l'esplanade de la Banche, vaste espace remblayé et gagné sur la grève d'ailleurs construit à cet effet par l'ingénieur briochin Louis Auguste Harel de la Noë.

    Le chemin de fer a laissé à Binic des traces importantes : citons notamment les deux viaducs (viaduc de la Hasée dit du Chien noir en face de la station d'épuration et viaduc de Beaufeuillage en face de la zone artisanale) situés tous les deux le long de la D 4 en direction de Lantic.

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts porte les noms de 108 soldats morts pour la Patrie, dont 73 morts pendant la Première Guerre mondiale[2] :

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts porte les noms de 31 personnes mortes pour la France durant la Seconde Guerre mondiale[2].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Trois soldats originaires de Binic sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine et un est mort durant la guerre d'Algérie[2]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Benic en 1419[3].

    Le nom de Binic provient du celtique Pen qui signifie « tête », auquel est associé le nom du cours d'eau local (Ic), « eau » en vieux celtique, ce qui signifie donc estuaire de l'Ic[4] - [3] - [5]. À comparer avec Benodet (« embouchure de l'Odet »)[6].

    Le cours d'eau arrosant Binic s'appelle an Ig en breton. Le nom breton de la commune est Binig[5]. Binic en gallo[5].

    À Binic, les habitants ont hérité du surnom de « Couennes de lard »... à cause des portions de lard salé qu'ils emportaient lors de leurs longues campagnes en mer[7].

    Politique et administration

    Récapitulatif de résultats électoraux récents

    Scrutin 1er tour
    1er TĂŞte de liste % 2e TĂŞte de liste %
    Municipales 2014[8] PS Christian Urvoy 50,98 DVD René André 49,01

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1821 1847 François Le Saulnier de Saint-Jouan
    1847 1849 Jacques Le Pommelec
    1849 1852 Louis Marie
    1852 1870 Jacques Le Pommelec
    1870 1871 Albert Mancel
    1871 1874 Jacques Le Pommelec
    1874 1874 François Le Saulnier de Saint-Jouan
    1874 1881 Yves Le Suave
    1881 1884 Louis Le Saulnier de Saint-Jouan
    1884 1908 Jacques Le Pommelec
    1908 1912 Gaspard Le Pommelec
    1912 1927 Louis Piquenais
    1927 1929 Henri Oriou
    1929 1935 Joseph Corbille
    1935 1938 Marcel Duval
    1938 1941 Joseph Corbille
    1941 1941 Jules Le Bras
    1941 1944 Charles Bernard
    1944 1944 Henri Collin
    1944 1944 Joseph Corbille
    1944 1944 Joseph Corbille
    1944 1947 Robert Bouvier SFIO
    1947 1953 Joseph Le Goaster
    1953 1968 Ange Rossignol
    1968 février 1970[9]
    (démission)
    Louis Boulard[10] MĂ©decin
    mars 1970[11] mars 1977 Suzanne Joret[12] Maire honoraire
    mars 1977 mars 1983 Georges Le Gonidec DVD Agent de location
    mars 1983 mars 1989 Jean Burlot[13] DVD
    mars 1989 juin 1995 Michel Laudrin PS
    juin 1995 février 1997[14]
    (décès)
    Alain Guilloux DVD Cadre retraité
    avril 1997 mars 2008 Yvon Batard DVD puis
    UMP
    Expert maritime, ancien capitaine de la marine marchande
    mars 2008 mars 2016 Christian Urvoy PS Retraité de l'enseignement
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1831. Ă€ partir du , les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose dĂ©sormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂŞte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[16] - [Note 1].

    En 2014, la commune comptait 3 800 habitants, en augmentation de 5,5 % par rapport Ă  2009 (CĂ´tes-d'Armor : 1,65 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    1 8282 2292 3242 4072 6402 8112 6732 7383 458
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    2 4572 2312 3792 2222 3052 2472 2312 3562 342
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 2232 1412 1402 2412 2612 0992 2122 3262 602
    1990 1999 2008 2013 2014 - - - -
    2 7983 1103 5283 8253 800----
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee Ă  partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Binic comporte une zone artisanale où sont notamment situées les entreprises Binic Gastronomie et la minoterie Hinault.

    La ville possède un statut prédominant dans le tourisme (Site de l'Office de Tourisme de Binic).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Binic est riche en monuments et lieux touristiques. Pour retracer son histoire, le Musée des traditions populaires de Binic regorge d'objets du passé, donnés par des institutions ou des particuliers, et présentés dans leur cadre d'origine. Ce sont aussi bien des objets de la vie quotidienne, que des instruments de pêche ou des vêtements traditionnels. Le musée évoque la vie quotidienne à Binic il y a un siècle, à travers une collection de coiffes, de costumes bretons et de d'objets divers se rapportant à la vie maritime et à la grande pêche. Des reconstitutions (salle de classe, forge, atelier de menuisier) complètent la visite.

    Les Ă©difices religieux

    • L'Ă©glise de Binic s'appelle Notre-Dame-de-Bon-Voyage. Sa construction a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e Ă  la place de l'ancienne chapelle Saint-Julien après l'instauration de Binic comme commune indĂ©pendante d'Étables-sur-Mer en 1821.
    • Binic compte Ă©galement la chapelle Saint-Gilles dans le quartier de la ville-Jacob, oĂą a lieu une procession chaque premier dimanche de septembre.
    • La chapelle privĂ©e Sainte-Anne est situĂ©e rue de la Griselle.

    Le cimetière

    Binic possède un très beau cimetière, situé sur les hauteurs qui dominent le bourg.

    Certains personnages connus y sont inhumés :

    Les monuments les plus intéressants sont les suivants :

    • La chapelle des Verry-Carfantan, famille d'armateurs de Binic.
    • L'enclos de la famille Le Saulnier de Saint-Jouan,
    • L'enclos de la famille Le SuavĂ©, Galerne, Le Noan, Petitjean.
    • L'enclos de la famille Besnier-Guilloux,
    • Les stèles de Louis, Samuel et Ange Fichet des Grèves, dont la tradition rapporte qu'ils ont Ă©tĂ© enterrĂ©s debout,
    • La tombe de L. Marie qui porte un crâne et deux tibias, sans doute pour rappeler que, quelle que soit la notoriĂ©tĂ© du dĂ©funt, les hommes sont Ă©gaux devant la mort,
    • Le monument funĂ©raire insolite de Yoko Tani.

    Les plages

    Il existe Ă  Binic trois plages donnant sur la Manche.

    • L'avant-port est une plage encadrĂ©e de pierres : des rochers Ă  chaque extrĂ©mitĂ© et la digue la surplombant. Au-dessus de la plage, le sentier des douaniers offre un point de vue sur la mer. La plage de l'avant-port devient touristique Ă  partir de 1906 avec la construction des premières cabines de bain en bois. La rampe en zigzag dite SuavĂ©-Galerne est construite avant 1939. Le tunnel sous la falaise du Goulet est construit pendant la Seconde Guerre mondiale par les soldats allemands[19].
    • La Banche est la plus grande plage de Binic. On y trouve une piscine, un bassin d'eau de mer et un club de plage pour animer les journĂ©es des plus jeunes.
    • La plage du corps de garde est elle situĂ©e dans un dĂ©cor plus sauvage et est nettement moins frĂ©quentĂ©e que les deux prĂ©cĂ©dentes.

    Le port

    Celui qui vit partir tant de marins au large de Terre-Neuve accueille aujourd'hui plus de 600 unitĂ©s sur ponton et mouillage dans le bassin et l'avant-port. CeinturĂ© par 1 300 m de quais, il est constituĂ© d'un avant-port, de 4 hectares, et d'un bassin Ă  flot, de 3,35 hectares.

    Le marché

    Depuis le XVIe siècle, la situation géographique privilégiée du marché et sa vocation maritime ont inscrit Binic dans l'histoire des foires et marchés. À l'époque, on y trouvait toute sorte de produits : produits de la mer, de la terre, du négoce et de l'armement de navires. Plusieurs foires se déroulaient à date fixe chaque année.

    Depuis la Révolution française, ce marché a lieu chaque jeudi matin. Aujourd’hui, en saison, près de 200 commerçants s'y installent, proposant des produits régionaux, des produits frais et divers autres produits…

    Personnalités liées à la commune

    Festivités

    • Festival littĂ©raire des Escales, mer et aventures en mars
    • Festival des Marionnet'ic en avril
    • La Morue en fĂŞte en juin[25]
    • l'Aqua Bomb en juin : compĂ©tition officielle de lancer de bombe Ă  eau de mer en origami
    • Le LyncĂ©us Festival dĂ©but juillet. Chaque annĂ©e depuis 2014, une vingtaine d'artistes (auteurs, comĂ©diens, cinĂ©astes, plasticiens...) se rĂ©unissent en rĂ©sidence durant le mois de juin et crĂ©ent des Ĺ“uvres prĂ©sentĂ©es dans la ville pendant les trois jours du festival.
    • Les Animakids en juillet-aoĂ»t
    • Le Sandball Tour[26] en juillet
    • Binic Folks Blues Festival en aoĂ»t. Chaque annĂ©e depuis 2009, un grand festival de Folks et Blues organisĂ© par l'association La Nef D Fou[27]. En 2011, le festival a notamment accueilli Radio Moscow, les Black Diamond Heavies et Left Lane Cruiser[27]. Huit ans après sa crĂ©ation, la notoriĂ©tĂ© du Binic Folks Festival ne cesse de croĂ®tre, soulevant des interrogations quant aux capacitĂ©s d'accueil des participants, notamment après l'Ă©dition de 2015 qui a accueilli près de 40 000 personnes[28].
    • Le festival Grain d'pirate en aoĂ»t organisĂ© par l'association Grain d'pirate. Rassemblement de pirates, corsaires et flibustiers, cet Ă©vĂ©nement fait revivre la ville au temps de son passĂ© corsaire. Sa première Ă©dition en 2015 a accueilli près de 5000 visiteurs sur un camp pirate dressĂ© sur l'esplanade de la Banche. Spectacles de rue, dĂ©ambulations, combats de pirates et coups de canon ont animĂ© le port de Binic.
    • Couleurs de Bretagne[29] en aoĂ»t
    • Magic Binic en octobre, festival de magie.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D'azur à deux poissons d'argent nageant l'un sur l'autre (superposés en fasce), au chef d'hermine.
    Commentaires : Ce blason, institué en 1969 par le docteur Boulard, maire de Binic, est inspiré du blason de la famille Le Saulnier de Saint-Jouan, d'azur à trois poissons d'or, posés en fasce l'un sur l'autre.

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă  1999, que les populations correspondant Ă  une enquĂŞte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population lĂ©gale publiĂ©e par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Jean Kerhervé, François Roudaut et Jean Tanguy, La Bretagne en 1665 d'après le rapport de Colbert de Croissy, Brest, Centre de Recherche Bretonne et Celtique. Faculté des Lettres et des Sciences Sociales. Université de Brest, coll. « Cahiers de Bretagne occidentale n°2 », , page 128.
    2. « MémorialGenWeb Relevé », sur www.memorialgenweb.org (consulté le )
    3. « Noms de lieux bretons », Editions Jean-paul Gisserot, (ISBN 2877474828, consulté le ), p. 57
    4. « Infobretagne, Etymologie et Histoire de Binic » (consulté le )
    5. « Binic », Geobreizh (consulté le )
    6. « Villes bretonnes, nom breton », Geobreizh (consulté le )
    7. Dimitri Rouchon-Borie, « Les tribus bretonnes :les Crapauds rouges de Tréveneuc, pas si simple qu'on croâ ! », sur https://www.letelegramme.fr, (consulté le ).
    8. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014/(path)/MN2014/022/022007.html
    9. « Les habitants de Binic (Côtes-du-Nord) sont allés dimanche aux urnes. En effet, après la démission collective du maire, le docteur Boulard, et de treize conseillers municipaux sur dix-sept [...], les Binicais avaient à élire leurs quatorze remplaçants ainsi que le successeur d'un conseiller décédé. »
    10. Avis de décès du Docteur Louis BOULARD, Le Télégramme, 4 octobre 2006 (lire en ligne)
    11. « Mlle Joret maire de Binic », Le Monde,‎ (lire en ligne)
    12. « Suzanne Joret, ancienne maire et doyenne de Binic, est décédée à 103 ans », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    13. « Jean Burlot, ancien maire de Binic, est décédé », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
    14. « Alain Guilloux maire de Binic est décédé », Le Télégramme,‎ (lire en ligne)
    15. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    19. « Front de mer du Goulet et plage de l'avant-port », sur Archives départementales des Côtes-d'Armor, (consulté le )
    20. « Présentation de la commune de Binic », sur Archives départementales des Côtes-d'Armor, (consulté le )
    21. Télé 7 Jours n°1289, semaine du 9 au 15 février 1985, pages 78-79 : "À soixante-treize ans Henri Vincenot veut créer un élevage d'escargots", article d'Éric de Goutel "La Bretagne, c'est ma seconde patrie. J'y ai passé deux ans, dans mon enfance à Binic, près de Paimpol, chez tonton Désiré, parce qu'un rhume m'était tombé sur la poitrine. J'y suis allé longtemps en vacances."
    22. Antoine de Baecque et Serge Toubiana, François Truffaut, Éditions Gallimard, (1re éd. 1996), p. 28
    23. Marie-Claudine Chaupitre, « Binic. Edgar Tupët-Thomé nommé Grand-Croix de la Légion d’honneur », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    24. Cédric Roger-Vasselin, « Dernier adieu à Edgar Tupët-Thomé, Compagnon de la Libération », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
    25. site officiel de la Morue en fĂŞte
    26. site officiel du Sandball
    27. Céline Millecam, « 5, 6, 7 août : Festival Folks Blues de Binic », Rock Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
    28. Folks Blues Festival : comment gérer l'affluence ? sur La Presse d'Armor, 30 janvier 2016
    29. site officiel de Couleurs de Bretagne

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Christian QuerrĂ©, Binic, port du GoĂ«lo : histoire des origines Ă  nos jours, Éditions du Dahin, Binic, 1987, 285 p.
    • Christian QuerrĂ© et Philippe Leribaux, Souvenirs de Binic, 1900-1960, Éditions du Dahin, Binic, 2004
    • Jean-Pol Dumont Le Douarec, Binic, Éditions Celtics Chadenn, 2005
    • R. BroutĂ©, La naissance de la commune de Binic, Les Carnets du GoĂ«lo no 3 (1988), bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Ă©tudes historiques et archĂ©ologique du GoĂ«lo.
    • Jean-François Jacq. L'âge d'or des Corsaires. ApogĂ©e. Rennes. 2011. (ISBN 978-2-84398-398-6).

    Liens externes

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