Binche
Binche (prononcé : /bɛ̃ʃ/ ; en wallon : Bince) est une ville francophone de Belgique située en Région wallonne dans la province de Hainaut. Elle est célèbre pour son carnaval et son patrimoine architectural. Binche est située dans la région du Centre sur l'axe reliant les villes de Mons et de Charleroi.
Binche | |||||
La ville et son enceinte médiévale. | |||||
Héraldique |
Drapeau |
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Administration | |||||
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Pays | Belgique | ||||
Région | Région wallonne | ||||
Communauté | Communauté française | ||||
Province | Province de Hainaut | ||||
Arrondissement | La Louvière | ||||
Bourgmestre | Laurent Devin (PS) | ||||
Majorité | PS - MR-CI | ||||
Sièges PS MR-CI UNION ECOLO |
31 20 5 5 1 |
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Section | Code postal | ||||
Binche Bray Waudrez Buvrinnes Épinois Leval-Trahegnies Péronnes-lez-Binche Ressaix |
7130 7130 7131 7133 7134 7134 7134 7134 | ||||
Code INS | 58002 | ||||
Zone téléphonique | 064 et 065 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Binchois(e)[1] - [2] | ||||
Population – Hommes – Femmes Densité |
33 470 () 48 % 52 % 546,6 hab./km2 |
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Pyramide des âges – 0–17 ans – 18–64 ans – 65 ans et + |
() 20,22 % 61,58 % 18,20 % | ||||
Étrangers | 8,95 % () | ||||
Taux de chômage | 19,03 % (octobre 2013) | ||||
Revenu annuel moyen | 11 807 €/hab. (2011) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 24′ 37″ nord, 4° 09′ 55″ est | ||||
Superficie – Terr. non-bâtis – Terrains bâtis – Divers |
61,22 km2 (2021) 77,79 % 12,24 % 9,97 % |
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Localisation | |||||
Situation de la ville dans l’arrondissement de La Louvière et la province de Hainaut | |||||
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Belgique
Géolocalisation sur la carte : Région wallonne
Géolocalisation sur la carte : Hainaut
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Liens | |||||
Site officiel | www.binche.be | ||||
Géographie
Structure communale
Battignies a fusionné avec Binche le grâce à la loi du .
Binche fusionne à Bray, Buvrinnes, Epinois, Leval-Trahegnies, Péronnes-lez-Binche, Ressaix et Waudrez lors de la fusion des communes de 1977.
Nom | Population | Superficie | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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I | Binche dont Battignies | 9 539 | 3,54 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
II | Bray | 2 908 | 6,18 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
III | Buvrinnes | 1 911 | 16,25 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
IV | Epinois | 1 555 | 3,57 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
V | Leval-Trahegnies | 6 475 | 7,76 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
VI | Péronnes-lez-Binche | 4 417 | 10,11 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
VII | Ressaix | 3 970 | 4,31 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
VIII | Waudrez | 2 823 | 8,94 km2 | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Total | 33 598 | 60,66 km2 | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Communes limitrophes
Toponymie - Étymologie
- Anciennes appellations : Bincium : 1124, 1182, 1193, 1200, 1229, 1248 - Binzium : 1159, 1204, 1206, 1209 - Bins : 1162, 1197, 1460 - Bonc : 1167, 1179, 1181, 1239 - Binchium : 1177, 1246, 1258 - Bince : 1279 - Bains : XVIe siècle - Beins : XVI et XVIIe siècle - Binch : 1232, 1256, 1790 -
- Étymologie (hypothèse) : Le nom proviendrait du latin Binchium, dérivé de Bincium, signifiant "colonie".
Histoire
Binche se développe au Moyen Âge à deux pas de la « chaussée Brunehaut » qui reliait dans l’Antiquité Bavay à Cologne et restera longtemps un axe de communication important.
Formes anciennes : 1124 Bincio. (Il existe une forme néerlandaise inusitée[3] Bing[4].)
La ville atteint son apogée en matière économique et de pouvoir lorsque la Belgique était sous domination espagnole.
Elle est au XVIe siècle le lieu de résidence de Marie de Hongrie, sœur de Charles Quint. Elle y organise, en 1549, les Triomphes de Binche.
La ville est pillée par les troupes du duc d'Anjou, lors du siège de 1578. Le château qui avait été édifié par l'architecte Jacques Du Brœucq et qui devait rivaliser avec celui de Fontainebleau est alors détruit.
Sur la commune se trouve le village de Waudrez, lieu de naissance de François Sébastien de Croix de Clerfayt.
La section de Binche est le chef-lieu de l'entité binchoise qui regroupe plusieurs anciennes communes (Bray, Buvrinnes, Épinois, Leval-Trahegnies, Péronnes-lez-Binche, Ressaix et Waudrez). L'ancienne commune de Battignies fut annexée à Binche dès 1881, les autres furent fusionnées avec Binche le 1er janvier 1977.
Évolution démographique
Elle comptait, au , 33 478 habitants, (16 038 hommes et 17 440 femmes), soit une densité de 551,90 habitants/km²[5] pour une superficie de 60,66 km².
Le graphique suivant reprend sa population résidente au 1er janvier de chaque année[6]
Folklore binchois
Le carnaval de Binche est sans doute le plus célèbre de Belgique[9] - [10]. Chaque année, il attire de plus en plus de visiteurs étrangers, notamment grâce à sa reconnaissance, en 2003, par l'UNESCO comme faisant partie du patrimoine mondial en tant que chef-d'œuvre du patrimoine oral et immatériel de l'humanité.
Tous les Mardis gras, près d'un millier de Gilles arborant des habits chamarrés et des masques de cire envahissent la petite cité du Hainaut. Leur nom viendrait du prénom espagnol « Gil », très courant au XVIe siècle, lorsque l'Espagne occupait les Pays-Bas. Les Binchois se seraient alors inspirés à la fois des conquistadors et des costumes des Incas pour créer la tenue des personnages de leur carnaval.
Héraldique
Blason de Binche. Les armoiries octroyées en 1838 montraient les armoiries des seigneurs de Binche qui ont dirigé la ville pour les Comtes de Hainaut.
En 1857, les armoiries ont été changées et se basaient alors sur le sceau de la ville de 1245. Ce sceau montrait le château local l'un des principaux château des Comtes de Hainaut. De part et d'autre du château se situent deux petiots écus, un avec les armoiries du Hainaut et l'autre avec le lion de Binche. Les armoiries ont été mieux décrites (blasonnées) et octroyées à nouveau en 1980 après la fusion des communes[11].
Blasonnement : D'azur au château fort d'or, le mur d'enceinte crénelé percé de fenêtres et d'une porte à la herse levée et surmontée d'un pignon munit de quatre tours également crénelées à toit conique dont deux de part et d'autre de la porte, le troisième angle, le toit de la quatrième apparaissant derrière un donjon aux fenêtres de style gothique dont la cheminée est surmontée d'une cigogne. Le château fort est adextré d'un écu écartelé aux 1 et 4 d'or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, aux 2 et 3 d'or au lion de gueules, armé et lampassé d'azur (Hainaut), et senestré d'un écu d'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules (Binche)[12].
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Ancien blason de Binche, avant l'arrêté royal du confirmé en 1980.
Blasonnement : D'argent au lion de sable armé et lampassé de gueules.
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Par arrêté de la Communauté française du , la ville de Binche possède son propre drapeau, dont les motifs proviennent des anciennes armoiries : « Drapeau blanc chargé d'un lion noir, les griffes et la langue rouges »
DC - AE
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Devise
La devise de la ville est « PLVS OVLTRE » (toujours plus loin), devise de Charles Quint.
- PLVS OVLTRE, « Élément du feu d'artifice avec Collégiale Saint-Ursmer en arrière-plan ».
- Le blason et la devise de Charles Quint.
Politique
Liste des bourgmestres depuis 1800
Bourgmestres | Mandat | Parti |
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C. Lecocq | 1800-1801 | - |
Nicolas Coquiart | 1801-1823 | - |
Maximilien de Biseau d'Hauteville | 1824-1836 | - |
Hubert Wanderpepen | 1836-1856 | Parti libéral |
Gustave Wanderpepen | 1856-1883 | Parti libéral |
Alfred Pourbaix | 1884-1885 | - |
Eugène Derbaix | 1885-1921 | Parti catholique |
Charles Derbaix | 1921-1946 | Parti catholique |
Charles Deliège | 1947-1970 | Parti libéral PLP |
Simone Mabille-Leblanc | 1970-1973 | Parti libéral (PLP) |
Fernand Derval | 1973-1976 | PSB |
Armand Le Roi | 1977-2000 | PSB |
André Navez | 2000-2006 | PS / MS |
Laurent Devin | Depuis 2006 | PS |
Résultats des élections communales
Résultats des élections et répartitions des sièges au conseil communal depuis la fusion des communes (1977). Le conseil communal de Binche, y compris le bourgmestre et les échevins, est actuellement composé de 31 membres (commune de 30 000 à 34 999 habitants). Le collège des bourgmestre et échevins de Binche comprend quant à lui le bourgmestre et 7 échevins.
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Habitations sociales de Binche
Le , le premier échevin de la ville, Albert Van Bastelaere (UNION) ainsi que le directeur gérant de la société Habitations sociales de Binche et environs, Philippe Gaillard, sont placés sous mandat d'arrêt. Les deux hommes sont inculpés d'abus de biens sociaux, de corruption active et sont écroués à la prison de Jamioulx[13]. Quelques jours après cette arrestation, Van Bastelaere est privé de ses attributions scabinales[14].
Élections du 8 octobre 2006
D'après les résultats du scrutin, le parti UNION, cartel composé du Mouvement socialiste (Belgique) du bourgmestre sortant André Navez, du cdH, du parti local Oser et d'indépendants, dispose de 16 sièges sur 31. Le Parti socialiste conduit par la ministre-présidente de la Communauté française de Belgique, Marie Arena, récolte 14 sièges, le dernier siège revenant au Mouvement réformateur binchois mené par Jérôme Urbain (25 ans). Même si, de chaque côté, on affirme qu'il n'y a pas eu de «pratique de débauchage», tant dans le parti UNION qu'au sein du PS binchois, la tentation de récupérer l'un ou l'autre siège du camp adverse en vue de conforter une majorité est grande.
Un véritable coup de théâtre se produit lorsqu'une élue du parti UNION, Marie-Rose Trézegnies, décide de quitter le parti, de siéger comme indépendante et de s'allier avec le PS et le MR binchois. La nouvelle coalition négociée par Marie Arena (PS) et Olivier Chastel (MR) dispose donc de 16 sièges sur 31 et compte présenter son pacte de majorité le [15].
Scandalisés, les élus d'UNION décident alors d'organiser une manifestation chaque vendredi sur la Grand-Place de Binche. La première manifestation rassemblera environ 1 500 personnes[16].
Le premier conseil communal de la nouvelle mandature tenu le à l'hôtel de ville de Binche se déroule dans une ambiance électrique et fait la une des journaux télévisés le lendemain : Marie-Rose Trézegnies est la cible des invectives d'une foule de partisans du bourgmestre sortant André Navez. Ce dernier crée la polémique lorsqu'il annonce qu'un élu PS, Philippe Labar, ne peut prêter serment, étant donné qu'il occupe un poste d'enseignant dans cette même commune. Labar décide alors de remettre sa lettre de démission en séance, ce qu'André Navez refuse, demandant alors l'expulsion de Labar de l'hôtel de ville par la police[17]. Le résultat étant de 15 voix de chaque côté, un nouveau conseil communal est tenu le pour régler la situation. Ce jour-là , les membres de la nouvelle majorité PS-MR peuvent désormais prêter serment : Laurent Devin (PS), élu PS ayant remporté le plus grand nombre de voix devant Marie Arena, devient bourgmestre de Binche et Jérôme Urbain, élu MR devient 1er Echevin[18].
Élections de 2018
Les élections de 2018 confirment à nouveau Laurent Devin en tant que bourgmestre de Binche.
Lieux et monuments
- Collégiale Saint-Ursmer. Elle incorpore quelques vestiges du monastère Sainte-Marie, qui a présidé à la naissance de la ville de Binche[19].
- Le beffroi de la ville qui figure au patrimoine mondial de l'UNESCO.
- Chapelle Saint-André[20].
- Les remparts de la ville repris sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de la Wallonie.
- Reste du château comtal, Palais de Marie de Hongrie.
- Musée du Carnaval et du Masque.
- Centre sur la dentelle et le Fuseau.
- Église du Saint-sacrement.
- Couvent des Récollets.
- Ancien prieuré de Prisches[19].
- Ancien refuge de l'abbaye de Bonne-Espérance[19].
- Chapelle Sainte-Anne érigée par l'abbé de Marchiennes-en-Ostrevent, Jean de Jonquoy[19].
- Église Notre-Dame du Travail, reprise sur la liste du patrimoine immobilier exceptionnel de la Wallonie.
- Le patrimoine immobilier classé.
- L'ancienne collégiale Saint-Ursmer (XVe/XVIIe siècle).
- La chapelle Saint-André située dans le parc communal.
- La cour intérieure du musée du Carnaval et du Masque.
- Façade du centre sur la Dentelle et enseigne « Le Fuseau ».
- L'église du Saint-sacrement.
- Le chœur de l'église du Saint-Sacrement.
Personnalités liées à Binche
- Gille de Binche ou de Bins, un des plus célèbres compositeurs et des premiers représentants de l'École bourguignonne,
- François Sébastien de Croix de Clerfayt, feld-maréchal,
- André Joseph Boussart, général de division et baron de l'Empire, né en 1758 à Binche,
- Caroline Popp, femme de lettres née en 1808 à Binche,
- Germaine Degueldre, supercentenaire et doyenne de Belgique depuis le , née en 1900 à Binche,
- Marcel Quinet, compositeur né en 1915 à Binche,
- Samuël Glotz, folkloriste né en 1916 à Binche,
- Clément Lhotellerie, cycliste vivant à Binche,
- Licaï Pourtois, double championne du monde de ju-jitsu.
- Nicolas Daneau (1866-1944), musicien, pédagogue et compositeur, né à Binche.
Sports
La commune de Binche abrite aussi de nombreux clubs de sport dans des disciplines diverses :
- La Royale Union sportive binchoise évolue en Division 2 ACFF
- Les clubs de Buvrinnes et Péronnes-lez-Binche évoluent dans les séries provinciales.
- Le club de base-ball Baseball Club Binche Guardians qui est supporté par la Ligue francophone belge de baseball–softball et la fédération Royale Belge de baseball et softball.
- Équipe de volley-ball (VC Binche).
- Club de basket (BC Binche), qui évolue dans la salle du DBM.
- Club de rugby, le R.C.C.Binche (Rugby Coyotes Club).
- Club de Taï-Do Ryu (Taï-Do, Kobudo, Ju-Jitsu et Self-défense) → Club Sankiuju[21].
Notes et références
- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 29.
- Binchou en dialecte local (ibid.).
- Binche dans les médias flamands
- Armorial du Royaume de Belgique et du Grand Duché de Luxembourg. 1931
- http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/stat-1-1_f.pdf
- 3_Population_de_droit_au_1_janvier,_par_commune,_par_sexe_2011_2014_G_tcm326-194205 sur le site du Service Public Fédéral Intérieur
- Page d'accueil de l'INS
- http://www.ibz.rrn.fgov.be/fileadmin/user_upload/fr/pop/statistiques/population-bevolking-20190101.pdf
- Chloé Monge-Cadet, « De Binche à Eupen: les 8 carnavals à ne pas manquer en Belgique (carte interactive) », Le Soir,‎ (lire en ligne, consulté le )
- « Qui sont les personnages de nos carnavals? », L’Avenir,‎ (lire en ligne, consulté le )
- Heraldy of the World (https://www.heraldry-wiki.com/heraldrywiki/index.php?title=Binche)
- Lieve Viaene-Awouters et Ernest Warlop, Armoiries communales en Belgique, Communes wallonnes, bruxelloises et germanophones, t. 1 : Communes wallonnes A-L, Bruxelles, Dexia, , p. 174
- Article de La Libre Belgique du 06/10/2005
- Article de La Libre Belgique du 29/10/2005
- Article de La Libre Belgique du 17/10/2006
- Article de La Libre Belgique du 10/11/2006
- Article de La Libre Belgique du 05/12/2006
- Article de 7 sur 7 du 16 décembre 2006
- Joseph Delmelle, Abbayes et béguinages de Belgique, Rossel Édition, Bruxelles, 1973, p. 59 et 60
- Charles-Joseph Voisin, vicaire général à Tournai, « La Danse Macabre et la fleur de la mort à la chapelle du cimetière de Binche », Bulletin des Commissions royales d'art et d'archéologie, t. VIII,‎ , p. 246-254 (lire en ligne)
- « Club Sankiuju (Taï-do) », sur www.binche.be (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
Bibliographie
- Roland Ed., « Une église au Moyen Àge, Notre-Dame à Binche (1363-1413) », Documents et rapports de la Société royale d'archéologie et de paléontologie de Charleroi, t. XLIX,‎ 1951-1954, p. 153-193