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Belloc-Saint-Clamens

Belloc-Saint-Clamens (BĂšthlĂČc e Sent Clamenç en gascon) est une commune française situĂ©e dans le sud du dĂ©partement du Gers en rĂ©gion Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois trĂšs vallonnĂ©, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Belloc-Saint-Clamens
Belloc-Saint-Clamens
La chapelle Saint-Clamens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Astarac Arros en Gascogne
Maire
Mandat
Claudine Ladois
2020-2026
Code postal 32300
Code commune 32042
DĂ©mographie
Gentilé Bellocois, Bellocoise
Population
municipale
139 hab. (2020 en augmentation de 7,75 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 13 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 27â€Č 27″ nord, 0° 26â€Č 10″ est
Altitude 255 m
Min. 159 m
Max. 272 m
Superficie 10,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mirande-Astarac
LĂ©gislatives PremiĂšre circonscription
Localisation
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Belloc-Saint-Clamens
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Belloc-Saint-Clamens
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Belloc-Saint-Clamens
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Belloc-Saint-Clamens

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la BaĂŻse et par divers autres petits cours d'eau. La commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable composĂ© de deux zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Belloc-Saint-Clamens est une commune rurale qui compte 139 habitants en 2020, aprĂšs avoir connu un pic de population de 655 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelĂ©s les Bellocois ou Bellocoises.

    Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protĂ©gĂ© au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Clamens, classĂ©e en 1890.

    GĂ©ographie

    Localisation

    Belloc-Sant-Clamens est une commune située en Gascogne, à km au sud de Mirande par la D 939. Belloc constitue une sorte de balcon entre la Baïse et la Petite Baïse qui permet de voir la chaßne des Pyrénées avec son pic du Midi.

    Communes limitrophes

    Les communes limitrophes sont Berdoues, Moncassin, Saint-MĂ©dard et Saint-Michel.

    Communes limitrophes de Belloc-Saint-Clamens[1]
    Saint-MĂ©dard
    Berdoues Belloc-Saint-Clamens Moncassin
    Saint-Michel

    GĂ©ologie et relief

    Belloc-Saint-Clamens se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Belloc-Saint-Clamens.

    La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainĂ©e par la BaĂŻse, la BaĂŻse, le ruisseau de Berdoy, le ruisseau de Lasmoulines, le ruisseau de Sentagne, le ruisseau des Moulines et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 12 km de longueur totale[4] - [Carte 1].

    La BaĂŻse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'Ă©coule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Saint-LĂ©ger, aprĂšs avoir traversĂ© 52 communes[5].

    La BaĂŻse, d'une longueur totale de 187,6 km, prend sa source dans la commune de Capvern et s'Ă©coule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne Ă  Saint-LĂ©ger, aprĂšs avoir traversĂ© 52 communes[5].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,7 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 817 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 10,4 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[9] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[10] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Mirande », sur la commune de Mirande, mise en service en 1971[11] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[12] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 791,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[13]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et Ă  24 km[14], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour 1981-2010[15] Ă  13,5 °C pour 1991-2020[16].

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensĂ©e sur la commune[17] : la « forĂȘt de Berdoues » (389 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[18] et une ZNIEFF de type 2[Note 5] - [17] : le « coteau en rive droite de la BaĂŻsole » (587 ha), couvrant 7 communes du dĂ©partement[19].

    • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Belloc-Saint-Clamens.
    • Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Vue générale de Belloc-Saint-Clamens depuis le nord. La commune s'inscrit dans un cadre rural.

    Typologie

    Belloc-Saint-Clamens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [20] - [I 1] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[I 2] - [I 3].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (76,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (47,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (27 %), forĂȘts (18,1 %), prairies (7,4 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 2].

    Voies de communication et transports

    Entrée nord de Belloc-Saint-Clamens sur la C6.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Belloc-Saint-Clamens est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la BaĂŻse et la Petite BaĂŻse. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[25]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2009[26] - [23].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Belloc-Saint-Clamens.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (94,5 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 83 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 83 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 93 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27] - [Carte 3].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[28].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

    Risques technologiques

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Puydarrieux, un ouvrage de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de 14,5 millions de mĂštres cubes[30]. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[31].

    Toponymie

    Le toponyme est formĂ© du gascon beg (en orthographe actuelle bĂšth), de bĂšl « beau » et lĂČc, « lieu », pour donner « beau lieu »[32].

    Le sens du toponyme est le mĂȘme que pour Belloc(h) : « endroit agrĂ©able, bien situĂ© ».

    Histoire

    Antiquité

    Le territoire de la commune fut en partie la propriété de Caïus Antistius Arulianus qui posséda une immense villa et fit travailler des centaines d'esclaves et d'affranchis. C'est le nom qui figure sur le cippe que l'on trouve sous le porche- préau de la chapelle Saint-Clamens.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2001
    2008
    Odile Lacoste DVG
    2008 En cours Claudine Ladois[33] DVG Employée
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[35]. En 2020, la commune comptait 139 habitants[Note 9], en augmentation de 7,75 % par rapport Ă  2014 (Gers : +0,63 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    428215332404655600539586565
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    526467405442363361358318290
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    293277256239247258229202182
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
    177144143147148143143131129
    2020 - - - - - - - -
    139--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Le nombre d'habitants s'est stabilisé depuis le dernier recensement grùce aux naissances des jeunes couples qui sont restés au pays et ont repris l'exploitation familiale.

    Manifestations culturelles et festivités

    La salle des fĂȘtes.

    Économie

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 4]6,8 %5,2 %11,6 %
    DĂ©partement[I 5]6,1 %7,5 %8,2 %
    France entiĂšre[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  69 personnes, parmi lesquelles on compte 71 % d'actifs (59,4 % ayant un emploi et 11,6 % de chĂŽmeurs) et 29 % d'inactifs[Note 10] - [I 4]. En 2018, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement, alors qu'il Ă©tait infĂ©rieur Ă  celui de la France en 2008.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pĂŽle[Carte 4] - [I 7]. Elle compte 47 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 43 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 44, soit un indicateur de concentration d'emploi de 106,6 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 8].

    Sur ces 44 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 75 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 6,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    19 Ă©tablissements[Note 11] sont implantĂ©s Ă  Belloc-Saint-Clamens au [I 11]. Le secteur de l'industrie manufacturiĂšre, des industries extractives et autres est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 52,6 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (10 sur les 19 entreprises implantĂ©es Ă  Belloc-Saint-Clamens), contre 12,3 % au niveau dĂ©partemental[I 12].

    Agriculture

    Vieux monte-bottes.

    La commune est dans l'Astarac, une petite rĂ©gion agricole englobant tout le Sud du dĂ©partementle centre-nord du dĂ©partement du Gers, un quart de sa superficie, et correspond au pied de lÊŒĂ©ventail gascon[39]. En 2020, l'orientation technico-Ă©conomique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyĂ©levage[Carte 5].

    1988200020102020
    Exploitations22161713
    SAU[Note 13] (ha)7131 1501 2461 247

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] Ă  16 en 2000 puis Ă  17 en 2010[41] et enfin Ă  13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 51 % de ses exploitations[42] - [Carte 7]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a quant Ă  elle augmentĂ©, passant de 713 ha en 1988 Ă  1 247 ha en 2020[Carte 8]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 32 Ă  96 ha[41].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Elle est classĂ©e aux monuments historiques depuis 1890[43]. Cette chapelle a Ă©tĂ© dĂ©diĂ©e Ă  ClĂ©ment 1er, pape de 89 Ă  97. Le nom de la commune, Saint-Clamens, est lui-mĂȘme une forme gasconne du nom de ClĂ©ment.

    Des matĂ©riaux de rĂ©emplois tĂ©moignent d'une prĂ©sence gallo-romaine assez importante. La chapelle au cours de l'histoire n'a pratiquement pas subi de remaniement. Elle a conservĂ© ses murs en petit appareil, son mur campanaire, ses fenĂȘtres romanes.

    Sous l'auvent rustique, il y a un cippe funéraire gallo-romain du IVe siÚcle et sur le sol quelques débris de mosaïques.

    La nef unique contient une cuve baptismale octogonale dĂ©corĂ©e de pampre et sur ses murs, des peintures du XVe siĂšcle. La nef, dans son Ă©tat actuel, ne mesure guĂšre plus de 14 m de longueur hors-Ɠuvre.

    Dans le chevet Ă  sept pans, il est possible d'admirer un sarcophage en marbre de Saint-BĂ©at, palĂ©ochrĂ©tien du IVe siĂšcle de l'Ă©cole d'Arles. Il fut excavĂ© en 1864 au lieu-dit Guilhou. Il est richement sculptĂ© de scĂšnes de vendanges et d'allĂ©gories sur l'Ă©coulement de la vie. Sur le grand cĂŽtĂ© visible du couvercle, des putti jouent au cerceau. À ses extrĂ©mitĂ©s apparaissent deux grosses tĂȘtes chevelues au profil bien dessinĂ© et au nez fin. Sur la cuve, des personnages offrent au dĂ©funt les symboles de la richesse et de la crĂ©ativitĂ© mises en Ɠuvre sur son domaine : rameau feuillu, faucille, corbeille de blĂ©, gerbe de blĂ©, corbeille et branches chargĂ©es de fruits. Au pied des personnages, de petits animaux. Sur les petits cĂŽtĂ©s du sarcophage ont Ă©tĂ© sculptĂ©s les scĂšnes de vendange. Le sarcophage sert, aujourd'hui, de socle Ă  l'autel de la chapelle.

    À l'extĂ©rieur, l'abside est renforcĂ©e aux angles par trois contreforts de trĂšs faible Ă©paisseur mais de grande largeur dans lesquels sont percĂ©es des fenĂȘtres. Ces fenĂȘtres ont des vitraux dont deux sont antiques, ne comportant pas d'autres motifs dĂ©coratifs que des losanges et des carrĂ©s sertis de plomb.

    Le portail méridional date du XVIe siÚcle.

    Les chapiteaux tant de l'intĂ©rieur que de l'extĂ©rieur sont de la mĂȘme Ă©poque. Leur Ă©pannelage est simple mais comporte au-dessus de l'astragale, une partie cylindrique qui amorce la colonne. Des torsades ornent l'astragale lui-mĂȘme et le dĂ©cor simplement gravĂ© figure des rangĂ©s de palmettes, des tiges ondulĂ©es portant des demi-palmettes, des brins tressĂ©s, des fils de demi-triangles ou de demi-cercles ou de simples ondulations.

    Des statues en bois peint sont fixĂ©es au mur sud de la chapelle. Y figure l'Ă©vĂȘque saint Clamens. Au fond de la chapelle reposent sur le sol, des fonts baptismaux Ă  huit cĂŽtĂ©s.

    À remarquer les fresques sur le cĂŽtĂ© nord : une crucifixion du XIIe siĂšcle (la Vierge prie et Marie Madeleine fait une offrande). Le bandeau portant l'inscription INRI traverse le bois de la croix donnant ainsi un inhabituel effet de perspective.

    • La chapelle Saint-Clamens
    • Le clocher-mur.
      Le clocher-mur.
    • Le porche abritant le cippe.
      Le porche abritant le cippe.
    • Le chevet et ses fenĂȘtres encadrĂ©es de colonnettes.
      Le chevet et ses fenĂȘtres encadrĂ©es de colonnettes.
    • La nef et chƓur.
      La nef et chƓur.
    • Le sarcophage servant de socle Ă  l’autel.
      Le sarcophage servant de socle à l’autel.
    • Fonts baptismaux.
      Fonts baptismaux.
    • L'Ă©glise de l'Assomption, rebaptisĂ©e au XIXe siĂšcle et nouvellement restaurĂ©e, domine le centre du village par sa tour rectangulaire qui finit en terrasse.
    • L'Ă©glise de l'Assomption
    • L'Ă©difice en 2019.
      L'Ă©difice en 2019.
    • Le porche.
      Le porche.
    • Le chevet vu depuis le village.
      Le chevet vu depuis le village.
    • Site castral de Belloc. Un chĂąteau est citĂ© en 1209 dans le cartulaire de Berdoues[44] ; il appartient alors Ă  la famille des Montesquiou, et semble-t-il pour une part aux comtes d'Astarac (actes n°102 et 784). Cette forteresse Ă©tait situĂ©e Ă  l'ouest de l'Ă©glise, au sommet du coteau qui domine le versant abrupt de la vallĂ©e de la BaĂŻse[45], Ă  l'emplacement d'une actuelle propriĂ©tĂ© privĂ©e. Aucun vestige de l’ancienne demeure seigneuriale n’est visible aujourd’hui en Ă©lĂ©vation.
    • Ancien chĂąteau de Lanecastet. La carte de Cassini indique une maison noble Ă  « SabatiĂ© », dont le nom est encore utilisĂ© pour le bĂątiment visible sur le cadastre de 1823[46]. La carte d’Etat-Major mentionne « Lanecastel » au XIXe siĂšcle, et aujourd’hui la maison porte le nom « Le DanĂ© ». Aucun vestige de l’ancienne demeure seigneuriale n'est visible en Ă©lĂ©vation. PropriĂ©tĂ© privĂ©e, ne se visite pas.
    • Site castral de Saint-Clamens. Le chĂąteau de Saint-Clamens est signalĂ© comme ruinĂ© en 1198, dans le cartulaire de Berdoues[44] : « totam ex integro terram [
] a Sent Clem que terra est inter ecclesiam et castellum qui fuit de Sent Clem » (acte n°62). Il se trouvait Ă  quelque distance de l'Ă©glise paroissiale, vers le cĂŽteau : c'est sans doute son emplacement qu'indique le lieu dit A la Mothe citĂ© dans le cadastre de 1750[47] - [45]
    • Motte castrale de Serres. Le castellum de Serres apparaĂźt en 1174 dans le cartulaire de Berdoues[44] comme possession des seigneurs de Marrast (acte n°5). La mention renvoie Ă  un point situĂ© 750 mĂštres au sud de l'Ă©glise de Belloc, dans un bosquet oĂč apparaissent quelques travaux de terrassement : on devine une plate-forme de faible hauteur infĂ©rieure Ă  2 mĂštres, dotĂ©e d’un enclos subordonnĂ©[48].
    • Autres lieux et monuments
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.
    • Croix dans le village.
      Croix dans le village.
    • Vierge.
      Vierge.
    • Puits.
      Puits.

    Personnalités liées à la commune

    Henri Lazies (1929-2018) : joueur de rugby international, formé à Auch

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges CourtĂšs (dir.), Communes du dĂ©partement du Gers, vol. III : Arrondissement de Mirande, Auch, SociĂ©tĂ© archĂ©ologique et historique du Gers, , 437 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 40101206)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[8].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[29].
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    11. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    13. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
    • Cartes
    1. « Réseau hydrographique de Belloc-Saint-Clamens » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
    2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Site de l'Insee

    1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
    2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
    3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
    4. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Belloc-Saint-Clamens » (consulté le ).
    5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
    6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
    8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Belloc-Saint-Clamens » (consulté le ).
    9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
    10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
    11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Belloc-Saint-Clamens » (consulté le ).
    12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

    Autres sources

    1. Carte IGN sous GĂ©oportail
    2. Plan séisme
    3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
    4. « Fiche communale de Belloc-Saint-Clamens », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    5. Sandre, « la Baïse ».
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    9. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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    12. « Orthodromie entre Belloc-Saint-Clamens et Mirande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Mirande - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Belloc-Saint-Clamens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF la « forĂȘt de Berdoues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
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    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Belloc-Saint-Clamens », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. DREAL Occitanie, « CIZI », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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    30. « Barrage de Puydarrieux », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
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    32. Ernest NÚgre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1124 - (ISBN 2600001336).
    33. Site de la préfecture - fiche de Belloc-Saint-Clamens
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
    39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    40. PrĂ©sentation des premiers rĂ©sultats du recensement agricole 2020, MinistĂšre de l’agriculture et de l’alimentation, 10 dĂ©cembre 2021
    41. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans la commune de Belloc-Saint-Clamens - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siÚge dans le département du Gers » (consulté le ).
    43. « Chapelle », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    44. « Cartulaire de l'abbaye de Berdoues ».
    45. Benoßt Cursente, Les Castelnaux de la Gascogne médiévale, Bordeaux, Fédération historique du Sud-Ouest, , p. 123-124..
    46. Archives départementales du Gers, 3P_BELLOC-SAINT-CLAMENS_2, section A, n°405.
    47. Archives départementales du Gers, C 183, fol. 224.
    48. Benoßt Cursente, Les Castelnaux de la Gascogne médiévale, Bordeaux, Fédération historique du Sud-Ouest, , p. 153..
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