Beaufort (Nord)
Beaufort est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Beaufort | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Avesnes-sur-Helpe | ||||
Intercommunalité | CA Maubeuge Val de Sambre | ||||
Maire Mandat |
Thérèse Pecher 2020-2026 |
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Code postal | 59330 | ||||
Code commune | 59058 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Beaufortois, Beaufortoises | ||||
Population municipale |
1 013 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 12′ 56″ nord, 3° 57′ 54″ est | ||||
Altitude | 168 m Min. 154 m Max. 207 m |
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Superficie | 12,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Maubeuge (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Avesnes-sur-Helpe | ||||
Législatives | 12e circonscription du Nord | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://mairie-beaufort.fr/ | ||||
Géographie
Description
Beaufort est située dans le sud-est du département du Nord (Hainaut).
La commune fait partie administrativement de l'Avesnois, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache.
Le village se trouve à 90 km de Lille (préfecture du Nord), Bruxelles (Belgique), à 35 km de Valenciennes, Mons (B) ou Charleroi (B), à 13 km d'Avesnes-sur-Helpe (sous-préfecture) et à 8 km de Maubeuge.
Beaufort comporte des espaces boisés qui forment la Haie d'Avesnes.
Beaufort est placé sur l'axe routier connu qu'est la RN 2 (route nationale 2) reliant Paris à Bruxelles.
Communes limitrophes
Hydrographie
La commune est drainée par le le ruisseau d’Auffignies ou ruisseau de la Warenne autour duquel l’habitat s’est développé et qui conflue dans le ruisseau d'Eclaibes à Éclaibes. C'est un sous-affluent de la Meuse par la Sambre.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 70 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Beaufort est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,5 %), prairies (32,8 %), zones urbanisées (4 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (1,6 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Beaufort compte trois hameaux : la Haute-Borne, Marlière et Ropsies, situé à l'est du village
- Chapelle Notre-Dame
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 446, alors qu'il était de 430 en 2014 et de 398 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 0,7 % des résidences secondaires et 4,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Beaufort en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) inférieure à celle du département (1,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (81,8 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].
Voies de communication et transports
La route nationale 2, traversant l'ensemble du village de part en part était un axe important de circulation reliant Paris à Mons (Belgique). Un projet a donc été monté par la direction départementale de l'Équipement en 2002 afin de libérer cet axe saturé et accidentogène, et malgré l'hostilité importante de la population, le Ministre des transports en exercice à cette époque prit la décision de choisir un tracé traversant le village à la manière de la RN2. L'ancien itinéraire constitue désormais la RD 602.
Le village est desservi par une ligne de transport à la demande du réseau Stibus, qui permet de rejoindre l’Iôt Saint Pierre à Hautmont et d’y trouver différentes correspondances, ainsi que par les lignes 436 et 402 des autocars du réseau départemental Arc-en-Ciel[21].
Toponymie
La localité a été dénommée Beaufort en 1133 (Tit. de Saint-Aubert. Le Carp. Pr. II, 82.), Kiviniis en 1173 (Chron. de Gisl. 85), Bovinies (Delwarte, III, 21.), Bouvignies(l'abb. Hossart, Hist. du Hainaut, 281.), Belfort en 1184 (chron. de Gisl., 138), Beaufort en 1186 (J. de G., ann. du Hain., XII, 339), Beaufort en 1273, (1er cart. du Hainaut, pièce 363), Biaufort en 1286 (cart. de l'abb. d'Alne), Biauffort (manuscrit de la bibliothèque de Valenciennes)[22].
Beaufort tire son nom de la tour construite en 1173 par les comtes de Hainaut.
Histoire
Antiquité
On a trouvé, près de la tour de Beaufort, des médailles romaines[22]
Moyen Âge
Une fortification est construite en 1173 par Bauduin V, comte de Hainaut, de Namur et de Flandre, pour défendre ses terres contre les incursions de Jacques, seigneur d'Avesnes, son vassal[22].
En 1186, Beaufort forme une paroisse du décanat de Maubeuge[22].
Des lettres de mars 1273, de Jean de Hainaut, fils aîné de feu Jean d'Avesnes indiquent que par accord fait entre son père et Bauduin d'Avesnes, seigneur de Beaumont, son oncle, il a été convenu que Bauduin et ses héritiers devaient avoir pour leur part, entr'autres biens, la ville de Beaufort, ainsi que les bois de Maubeuge, que la comtesse de Flandre, Marguerite d'Alsace, son aïeule, possédait avec l'abbesse de Maubeuge[22].
Passée à la châtellenie de Beaumont en 1272, la terre est apportée en dot aux seigneurs d'Avesnes au XIVe siècle[22]. .
Un traité passé en 1304 entre Jean Ier de Hainaut, et Henri VII, comte de Luxembourg à la demande du roi Philippe IV le Bel où le comte de Luxembourg renonce en faveur du comte de Hainaut, à ses prétentions sur les terres de Beaufort, moyennant une rente perpétuelle de 2 200 livres tournois[22].
Temps modernes
Beaufort est cédé à la France par échange, en vertu d'un traité signé à Lille le et relève alors de la prévôté de Maubeuge. Il compte 861 habitants, dont 120 indigents et 4 mendiants[22].
Selon la légende, de nombreux tunnels ont été creusés entre la tour de Beaufort, le château de Limont-Fontaine (situé à 4 km) et les remparts Vauban de la ville de Maubeuge. Ils étaient destinés à permettre l'évacuation du comte de Hainaut en cas d'invasion du bourg. Certains vestiges sont encore visibles dans les caves les plus anciennes du village.
Époque contemporaine
La rue de l'hôpital rappelle qu'une des fermes imposantes a pris la fonction d'hôpital de campagne pendant la Première Guerre mondiale, époque où Beaufort était en territoire allemand.
Le village est également occupé pendant la Seconde Guerre mondiale par un commandement d'infanterie allemand. Il occupait notamment le château Carré, situé aux abords du village. Aucune destruction n'a été à déplorer, ni pendant l'Occupation, ni lors de la Libération. Néanmoins, le village est fortement marqué par le défilé américain d'avril 1945.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.
Elle faisait partie de 1793 à 1910 du canton de Maubeuge, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Maubeuge-Nord. En 1958, elle rejoint le canton d'Hautmont[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Avesnes-sur-Helpe
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription du Nord.
Intercommunalité
Beaufort était membre de la communauté de communes Sambre - Avesnois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Équipements et services publics
La commune s'est dotée d'une salle socio-culturelle[22].
Un marché alimentaire est organisé depuis mars 2021 devant la salle socioculturelle les mercredis après-midi des semaines impaires[30].
Enseignement
Beaufort relève de l'académie de Lille.
Les enfants de la commune sont scolarisés dans deux écoles, chacune de deux classes, l'une 36 rue Pasteur et l'autre ruelle Mailly[31].
Afin de les remplacer, la commune se dote d'une nouvelle école pour la rentrée 2023, dont le chauffage sera assuré, ainsi que la mairie et la salle socio-culturelle, par une chaufferie au bois déchiqueté construite à cette occasion[32].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2020, la commune comptait 1 013 habitants[Note 8], en augmentation de 3,68 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 507 hommes pour 506 femmes, soit un taux de 50,05 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,23 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Manifestations culturelles et festivités
Le village de Beaufort est membre d'une confédération de villes et villages des Beauforts. Cette association ("Beaufort en Nord") réunit chaque année un collectif d'habitants de chaque ville du même nom dans un lieu de réunion (lieu changeant chaque année).
À cette occasion, un concours atypique d'épouvantails est organisé dans l'ensemble du village. Plus un concours de décoration qu'un concours de comparaison, il permet d'animer l'ensemble du bourg pendant plusieurs semaines.
Enfin, le marché de Noël, organisé chaque début décembre permet de réunir les savoir-faire des associations et artisans des alentours.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
- Ruines du donjon, du XIIe siècle, dit « tour sarrasine », dont il subsiste la salle du rez-de-chaussée, la trace de l'escalier et un côté de la muraille du 1er étage.
Il est représenté à la fin du XVIe siècle dans les Albums de Croy comme une tour massive de plan carré située sur une motte castrale. L'intérieur ou se trouvent plusieurs pierres tombales datant de 1650 est remarquable par son mobilier avec notamment une chaire datant de 1699[22] - Église de l'Assomption des XVIe et XVIIIe siècle, constituée d'une nef essentiellement en brique adossée par une tour carrée surmontée d'un clocher tronqué[22] - [38]
- Le kiosque à danser, qui date de la fin XIXe siècle. Démonté vers 1960 lors du réaménagement de la place et prêté pendant une quarantaine d’années à la ville de Maubeuge, il a réintégré depuis son emplacement initial[22].
- Monument aux morts situé à proximité du carrefour principal de la commune, à l'emplacement d'un ancien vivier, alimenté par la fontaine Taviaux et où les chevaux pouvaient s’abreuver[38].
- Chapelle, rue d'Avesnes, construit en 1858 par la famille Trampont-Bidorez à l'emplacement d'une croix de chemin[22].
- Chapelle du Bourselot, située rue d'Hautmont / rue Victor Hugo à partir de partir de 1674 à l'initiative d'Augustin Grégoire, surnommé le Bourselot, qui habitait la maison voisine. Elle abrite une Vierge à l'Enfant couronnée et porte également les noms de N.D. de Consolation ainsi que N.D. de Grâce avec la date de 1749. Honorine Masson et Lucienne Labbéont fait restaurer le bâtiment en 1831[22].
- Chapelle N.D. de la Route, édifiée à l'initiative de l’Abbé Lefèbvre en 1959 en remplacement de celle qui a été détruite en 1918 pendant la Première Guerre mondiale et qui était située dans la pâture Colson, chemin d’Eclaibes[22].
- Un parcours de petite randonnée (3 ou 7 km) a été créé pour admirer les ruelles du village et la campagne environnante[39].
- Église de l'Assomption
- Sur le circuit d'Avesnes
- Circuit d'Avesnes
- Notre Dame de Bon-secours
- Chemin cannelle
Personnalités liées à la commune
- Jean-Philippe Janssens (1973- ), dit Jeanfi, humoriste, y a vécu.
Héraldique
Blason | De gueules à trois écussons d’argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Beaufort (59058= », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Beaufort », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Beaufort » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Beaufort » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaufort - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Beaufort - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans le Nord » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Beaufort et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Beaufort et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Horaires de bus », Vie pratique, sur http://mairie-beaufort.fr (consulté le ).
- « Beaufort », sur https://villesetvillagesdelavesnois.org (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 120-121, lire en ligne.
- « Thérèse Pécher succède à François Monet », La Sambre La Frontière, no 1921,‎ , p. 20.
- « Bilan des maires: à Beaufort, l’entretien du patrimoine communal pour François Monet : En 2008, lorsqu’il a pris la tête de la commune de 1 000 habitants, François Monet faisait alors ses premiers pas de maire, après avoir œuvré comme adjoint », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Six ans plus tard, des problèmes de santé l’ont obligé à lever le pied, à passer le relais à son adjointe, Thérèse Pecher ».
- « Thérèse Pécher et sa liste «Unis pour Beaufort» veulent augmenter l’attractivité du village : La maire sortante de Beaufort veut rempiler pour un second mandat, qu'elle voudrait axer autour de la qualité de vie et de l'écologie. Elle s'est entourée de plusieurs membres du conseil municipal actuel ainsi que de nouvelles têtes ayant un regard nouveau sur le village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Beaufort : un deuxième mandat pour Thérèse Pécher : Installée dans le fauteuil de maire depuis mars 2014, Thérèse Pécher a vu son mandat se prolonger de six ans », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- « Le P’tit Marché », sur http://mairie-beaufort.fr (consulté le ).
- « Écoles », Vie locale, sur http://mairie-beaufort.fr (consulté le ).
- Benoit Didier, « Beaufort: La nouvelle école va enfin voir le jour : C’est peu dire qu’elle s’est fait attendre, cette école! Mais ça y est, Thérèse Pecher, maire de Beaufort, l’affirme, les travaux vont débuter cet été », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Beaufort (59058) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Patrimoine », Mairie > la commune, sur http://mairie-beaufort.fr/ (consulté le ).
- « Chemin de randonnée », Tourisme, sur http://mairie-beaufort.fr (consulté le ).