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Bataille de l'Hallue

La bataille de l'Hallue, également appelée bataille de Pont-Noyelles, se déroula les 23 et , à proximité de l'Hallue, affluent de la rive droite de la Somme, durant la guerre franco-prussienne de 1870. Son issue fut indécise.

Bataille de l'Hallue
Bataille de Pont-Noyelles
Description de cette image, également commentée ci-après
Combat dans les rues de Pont-Noyelles, tableau de Ludwig Braun, (1836-1916)
Informations générales
Date 23-
Lieu Pont-Noyelles,
France
Issue indécise
Forces en présence
22 50040 000
Pertes
927 tués ou blessés1 000 tués
1 300 prisonniers

Guerre franco-prussienne de 1870

Batailles

CoordonnĂ©es 49° 56′ 27″ nord, 2° 26′ 31″ est
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Bataille de l'HallueBataille de Pont-Noyelles
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
(Voir situation sur carte : Hauts-de-France)
Bataille de l'HallueBataille de Pont-Noyelles
GĂ©olocalisation sur la carte : Somme
(Voir situation sur carte : Somme)
Bataille de l'HallueBataille de Pont-Noyelles

La bataille opposa 40 000 soldats français du gĂ©nĂ©ral Faidherbe aux 22 500 prussiens d'Edwin Freiherr von Manteuffel.
Les Français subirent de lourdes pertes dans le village devant leurs positions. Cependant, les Prussiens furent incapables de se maintenir sur les hauteurs qu'ils contrĂ´laient. Après que leur attaque fut repoussĂ©e, les Français continuèrent Ă  lancer des offensives, mais sans rĂ©sultat dĂ©cisif. Un millier de soldats français furent tuĂ©s, et 1 300 capturĂ©s. Environ 927 Prussiens furent tuĂ©s ou blessĂ©s.

Contexte historique

Depuis le 19 juillet 1870, date du début de la guerre, l'armée française subissait une série de défaites qui aboutirent à la capitulation de l'empereur Napoléon III à Sedan, le 2 septembre 1870. La république fut proclamée le 4 septembre et le Gouvernement de la Défense nationale décida de continuer la guerre pensant parvenir à rétablir la situation. Le 17 septembre, le siège de Paris débuta.

Le marĂ©chal Bazaine, assiĂ©gĂ© dans Metz depuis le 20 aoĂ»t, capitula le 28 octobre libĂ©rant de ce fait la Ire armĂ©e allemande qui put poursuivre sa marche par l'Oise et la Somme, entre Compiègne et Saint-Quentin. Cette force de 43 000 hommes et 180 bouches Ă  feu Ă©tait dirigĂ©e par le gĂ©nĂ©ral de Manteuffel qui avait reçu mission d'occuper Amiens, puis de marcher vers Rouen afin d'accroĂ®tre le glacis protĂ©geant la zone de blocus de la capitale et de tenir en respect les troupes françaises.

Cependant, Léon Gambetta, réfugié à Tours réorganisa les armées. L'Armée du Nord fut créée le 18 novembre 1870 et le 5 décembre le général Faidherbe était nommé à sa tête.

Après les combats de Villers-Bretonneux le 27 novembre 1870 et l'occupation d'Amiens par l'armée prussienne, l'Armée du Nord, qui s'était repliée au-delà de Doullens et de Bapaume, se reconstitua et s'organisa. Elle reçut des renforts, ce qui permit de former trois divisions.

Le général Faidherbe, nouvellement investi du commandement de cette armée, arriva à Lille le 3 décembre et donna aussitôt ses directives et instructions. Il envoya le général Lecointe vers Saint-Quentin avec mission d'agir sur la Haute-Somme. Quatre bataillons dont un de chasseurs, et une batterie de quatre réussirent le 9 décembre à s'emparer de Ham et de sa forteresse. Faidherbe, qui s'était rendu sur place, décida de se porter sur Amiens pour libérer cette ville. Le 18, il fit évacuer Ham. Le 17 décembre, l'Armée du Nord regroupée, vint s'établir sur l'Hallue entre Bavelincourt et Daours. Il établit son quartier général à Corbie.

Forces en présence

Armée du Nord

Les forces française (environ 43 000 hommes) Ă©taient scindĂ©es en deux corps d'armĂ©e :

Les formations cantonnèrent dans tous les villages situés sur la rivière et des avant-postes furent placés sur une ligne passant par les bois de Saint-Gratien, d'Allonville et de Querrieu (La Gorgue) [1] - [2] - [3].

Armée prussienne

Le général Manteuffel, commandait l'armée prussienne. Il arriva à Amiens le 20 décembre. Le général von der Gœben commandait les 22 500 soldats du VIIIe corps d'armée prussien qui combattit à Amiens, sur l'Hallue et Bapaume.

Le général von Gœben plaça :

Positions de l'armée française

Le 19 décembre les positions étaient les suivantes :

Positions de l'armée prussienne

Le général Manteuffel, donna l'ordre d'attaquer le 23 décembre à 8 heures :

  • La 15e division devait attaquer droit sur l'Hallue, suivant un axe matĂ©rialisĂ© par les routes d'Albert et de Corbie.
  • La 16e division, empruntant les chemins au nord de la route d'Arras, devait dĂ©border l'aile droite des troupes françaises.
  • Une brigade d'infanterie fut gardĂ©e en rĂ©serve.
  • Une partie de la division de cavalerie dut assurer la liaison entre la 15e et la 16e division.
  • Les renforts attendus devaient ĂŞtre lancĂ©s dans la bataille au fur et Ă  mesure de leur arrivĂ©e.
  • GĂ©nĂ©ral Karl von Goeben, commandant la 8e armĂ©e prussienne.
    Général Karl von Goeben, commandant la 8e armée prussienne.
  • GĂ©nĂ©ral Faidherbe, portrait de 1860
    Général Faidherbe, portrait de 1860
  • GĂ©nĂ©ral von Manteuffel, commandant le Corps prussien
    Général von Manteuffel, commandant le Corps prussien

Armements

Fusils

Les Français utilisent le Chassepot modèle 1866, se chargeant par la culasse avec cartouches en papier et balles de 11 mm. Les Prussiens utilisent le Dreyze, créé en 1847, se chargeant par la culasse avec cartouches en papier et balles de 15 mm.

  • Fusil Chassepot, modèle 1866
    Fusil Chassepot, modèle 1866
  • Chassepot : dĂ©tail de la culasse et munition
    Chassepot : détail de la culasse et munition
  • Chassepot : dĂ©tail de la munition
    Chassepot : détail de la munition
  • SĂ©rie des fusils Dreyse. Le troisième Ă  compter de la gauche est le premier de la sĂ©rie (1847)
    Série des fusils Dreyse. Le troisième à compter de la gauche est le premier de la série (1847)

Canons

Les Français utilisèrent des canons en bronze de l'époque napoléonienne, se chargeant par la gueule et des canons à tubes en acier, modèle 1858. Ils utilisèrent aussi des canons à balles (mitrailleuses), pouvant projeter 25 balles.

Les Prussiens utilisèrent des canons Krupp se chargeant par la culasse et des obus à shrapnel.

  • Canon de campagne Ă  tube acier, modèle 1858
    Canon de campagne à tube acier, modèle 1858
  • Canon en batterie
    Canon en batterie
  • Canon Ă  balles (mitrailleuse)
    Canon Ă  balles (mitrailleuse)

DĂ©roulement des combats

Escarmouche à Querrieu du 20 décembre

Von Mirus, commandant la 6e brigade de cavalerie et qui était à Amiens depuis deux jours, envoya une reconnaissance forte d'un escadron de cavalerie, d'un bataillon et d'une batterie d'artillerie en direction de Querrieu. Arrivé aux lisières du bois de La Gorgue, à deux kilomètres en avant de Querrieu, ce fort détachement se heurta à un avant-poste français et, soutenu par son artillerie, engagea un long combat. Deux bataillons français réagirent avec vigueur, d'autant plus que le général du Bessol jeta trois compagnies partant de Bussy-lès-Daours sur le flanc droit de l'ennemi. Celui-ci se vit contraint au repli, d'abord sur la ferme des Alençons, puis sur Amiens. Dans cette affaire, il perdit trois officiers et soixante-neuf hommes tués ou blessés. Elle coûta sept morts et vingt blessés aux Français.

Combats du 23 décembre

La bataille se dĂ©roula sur un front de 12 kilomètres de large et une profondeur de 4 Ă  5 kilomètres, sur un sol enneigĂ© et par une tempĂ©rature glaciale, aggravĂ©e par un vent assez fort soufflant du nord.

Offensive prussienne et contre-offensive française

Le 23 décembre à 8 heures du matin, le 8e corps d'armée prussien se mit en marche.

  • La 15e Division reçut l'ordre de rejeter les troupes françaises au-delĂ  de l'Hallue, mais de ne point s'aventurer sur la rive gauche tant que le mouvement dĂ©bordant de la 16e Division, plus au nord, fit sentir. La 15e Division se dirigea donc vers Allonville, suivie de trois batteries Ă  cheval et de l'artillerie de corps, puis elle obliqua Ă  l'ouest en direction de Querrieu. Les avant-postes français se replièrent vers la rivière, donnant l'alarme aux troupes situĂ©es en arrière.
  • La 29e brigade prussienne (von Bock) qu'accompagnèrent deux escadrons de hussards et deux batteries, suivant la route d'Albert qu'elle a rejoignit au bois de La Gorgue, se heurta vers 11 heures 15 au 18e bataillon de chasseurs qui, appuyĂ© par trois batteries, tint Querrieu.
  • Deux batteries prussiennes, bientĂ´t renforcĂ©es par deux autres, furent mises en position au sud de la route d'Albert ; elles ouvrirent le feu et un duel particulièrement violent se dĂ©clenche, qui dura près d'une heure. Les Prussiens s'emparèrent du village. La lutte se poursuivit dans Pont-Noyelles que les chasseurs du 18e, soutenus par deux bataillons du 70e de marche, dĂ©fendirent Ă©nergiquement. Ă€ la sortie est du village, les Prussiens furent stoppĂ©s, reçus par un feu nourri dĂ©clenchĂ© par les Ă©lĂ©ments de la brigade de Gislain, en position sur la rive gauche de l'Hallue.
  • Pendant ce temps, plus au sud, le 20e bataillon de chasseurs de la brigade FĹ“rster, qui tenait le village de Bussy-lès-Daours, se vit l'objet d'une attaque concentrique exĂ©cutĂ©e par un bataillon venant du nord d'une part et deux compagnies plus un escadron de hussards venant de l'ouest par la Croix du Landy d'autre part. Vers 13 heures, ils durent Ă©vacuer le village. Dans l'après-midi, Ă  l'ouest de la ligne Querrieu-Bussy, 42 pièces prussiennes s'opposèrent au mĂŞme nombre de tubes français mis en position sur la rive gauche de l'Hallue.
  • Ayant pris possession de Bussy-lès-Daours, les Prussiens se portèrent en nombre contre Vecquemont et y menèrent une vigoureuse attaque ; ils se heurtèrent Ă  une rĂ©sistance assurĂ©e par le 19e bataillon de chasseurs et les fusiliers marins de la brigade du capitaine de vaisseau Payen, qui furent appuyĂ©s Ă  leur droite par la brigade FĹ“rster. Les Prussiens furent accueillis par une grĂŞle de projectiles, et Ă  15 heures, ils furent encore clouĂ©s au sol dans l'impossibilitĂ© de progresser. Manteuffel qui se porta en personne sur les hauteurs dominant Querrieu Ă  l'ouest, fit envoyer des renforts d'artillerie qui arrivèrent vers 16 heures. La brigade Payen, obligĂ©e d'Ă©vacuer Vecquemont, prit position sur la rive gauche de l'Hallue.
  • Ă€ Pont-Noyelles, les Prussiens tentèrent vers 15 heures 30 de gravir les pentes est de la rivière, mais après une contre-attaque menĂ©e par un bataillon du 70e de marche et une compagnie 101e mobile commandĂ©e par le capitaine d'Hauterive, chargeant Ă  la baĂŻonnette, les Français reprirent Pont-Noyelles ; ils n'arrivèrent cependant pas Ă  s'y maintenir.
  • Plus au nord, la 30e brigade prussienne tentèrent de prendre FrĂ©chencourt. Ce village tomba Ă  son tour ; les Prussiens furent arrĂŞtĂ©s par le feu du 18e bataillon de chasseurs et d'un bataillon de mobiles descendant du bois de Parmont. La Division Du Bressol tint les hauteurs.
  • Au nord de FrĂ©chencourt, la 16e Division prussienne de von Barnekow, partie d'Amiens sur la route de Doullens, se dirigea vers Poulainville et Rainneville sans qu'au cours de la matinĂ©e elle ait rencontrĂ© qui que ce soit. Ă€ 13 heures, le gĂ©nĂ©ral von GĹ“ben envoya au gĂ©nĂ©ral von Barnekow l'ordre de se rabattre sur la droite. Ce dernier dirigea alors ses unitĂ©s vers Beaucourt-sur-Hallue et Saint-Gratien.
  • Lorsque la 31e brigade (von Gneisenau) qui vint de dĂ©passer Saint-Gratien se disposa Ă  se dĂ©ployer, elle reçut l'ordre de se porter vers Montigny-sur-l'Hallue. C'est avec les Ă©lĂ©ments de la 2e brigade (PittiĂ©) de la Division Derroja, que le combat s'engagea. Les premiers heurts se produisirent vers 15 heures. Les Prussiens s'emparèrent de Montigny, repoussèrent les Français sur BĂ©hencourt ; ces derniers, dans leur retraite, dĂ©truisirent les points de passage sur l'Hallue, mais les Prussiens, sous un feu nourri, lancèrent une passerelle sur la rivière.
  • Avec un renfort fourni par la 32e brigade (von Rex) les Prussiens occupèrent Beaucourt, Montigny, BĂ©hencourt et Bavelincourt, pour se masser Ă  l'ouest de Beaucourt, alors que son artillerie (6 batteries) prit position au nord de ce village. Cette dernière canonna, sans succès, l'artillerie française qui Ă©tait en position dominante et trop Ă©loignĂ©e.

Combats au crépuscule

A 16 heures, la nuit allait bientôt tomber. Les Prussiens tinrent la rive droite de l'Hallue et le village de Pont-Noyelles. Le mouvement enveloppant qu'ils comptaient effectuer par le nord échoua et leurs troupes furent menacées par des forces françaises qui apparaissaient au sud-est de Contay, marchant sur Beaucourt ; c'était la brigade Aynes de la division Derroja.

Le général Faidherbe donna alors l'ordre d'attaque sur toute la ligne de front. Cette attaque se poursuivit de 16 à 18 heures :

  • Au centre, le gĂ©nĂ©ral Lecointe, ayant rassemblĂ© toutes ses troupes encore organisĂ©es, lança une offensive sur Pont-Noyelles. Deux attaques successives furent menĂ©es, mais ses unitĂ©s, le 18e bataillon de chasseurs et le 70e de marche, non habituĂ©s au combat de nuit, après une lutte corps Ă  corps et Ă  l'arme blanche, durent se retirer, d'autant que Manteuffel envoya sur place deux nouveaux bataillons en renfort pour soutenir ses unitĂ©s attaquĂ©es.
  • Au sud, la brigade FĹ“ster parvint Ă  franchir l'Hallue entre Querrieu et Bussy, mais elle fut stoppĂ©e par des renforts envoyĂ©s Ă©galement par Manteuffel. Vers 17 heures, Ă  Daours, la brigade Payen attaqua en direction de Vecquemont, mais elle fut arrĂŞtĂ©e Ă  son tour.
  • Ă€ 19 heures, l'obscuritĂ© Ă©tait totale. Les Prussiens occupèrent tous les villages de la vallĂ©e et s'y installèrent en cantonnements. L'armĂ©e française fut obligĂ©e de bivouaquer sur ses positions, de nuit, sur les hauteurs et en rase campagne. Le sol Ă©tait couvert de neige, la tempĂ©rature descendit jusqu'Ă  8° en dessous de zĂ©ro, un vent glacial soufflait sur le terrain sans nul obstacle.

Mouvement de troupes du 24 décembre

Au matin du 24 décembre, les Allemands se retranchèrent sur la ligne de défense gagnée la veille. A 9 heures, l'artillerie française déclencha un tir sur Béhencourt, sans provoquer de réaction prussienne. Après l'échec des attaques françaises contre Contay et Beaucourt-sur-l'Hallue et une tentative d'encerclement du flanc gauche de l'armée prussienne à Vadencourt, les adversaires revinrent sur leurs lignes de départ; l'après-midi se passa sans combat.

Le général Faidherbe, prit la décision d'ordonner la retraite. Celle-ci, protégée par un rideau d'éléments retardataires, commença vers 14 heures.

Les Prussiens ne commencèrent la poursuite que le 25, alors que l'Armée du Nord était arrivée à Bapaume, où les combats reprirent le 3 janvier 1871.

Lieux de mémoire des combats

  • Pont-Noyelles :
    • La Colonne Faidherbe un monument a Ă©tĂ© Ă©rigĂ© en 1873, en mĂ©moire des combats, sur les hauteurs de Pont-Noyelles au lieu-dit La Bahotte d'oĂą le gĂ©nĂ©ral Faidherbe avait son poste de commandement et a dirigĂ© les derniers combats. Jusqu'en 1913, des cĂ©rĂ©monies commĂ©moratives ont eu lieu sur le site, au jour anniversaire de la bataille, avec la participation des populations de Pont-Noyelles, Querrieu et des autres villages de la vallĂ©e, des enfants des Ă©coles, des sociĂ©tĂ©s musicales et des personnalitĂ©s administratives et politiques.
    • L'Ossuaire de Pont-Noyelles[4] situĂ© en contrebas de la route Amiens-Albert, Ă  l'entrĂ©e du village de Pont-Noyelles, qui regroupe des corps de militaires tuĂ©s au cours de la bataille. Dans chacun des villages de la vallĂ©e, leurs corps reposent dans les cimetières communaux.
    • Cimetière communal : tombes de soldats
  • Querrieu, cimetière communal :
    • Ossuaire (fosse commune) surmontĂ© d'une stèle et d'un calvaire, Ă©rigĂ©s en 1875, qui contient des corps de douze soldats français.
    • Une autre fosse contient les corps de dix-huit militaires prussiens.
  • Corbie, dans le cimetière communal :
    • Monument Ă  l'ArmĂ©e du Nord ;
    • tombes de soldats français et prussiens et ossuaire ;
  • Fouilloy, dans le cimetière communal monument aux morts ;
  • Daours, dans le cimetière communal, monument et ossuaire ;
  • tombes collectives ou individuelles avec ou sans monuments dans les cimetières communaux de Bavelincourt, Beaucourt-sur-l'Hallue, BĂ©hencourt, Bussy-lès-Daours, Corbie, Franvillers, FrĂ©chencourt, Lahoussoye, Montigny-sur-l'Hallue, Vecquemont.
  • Odonymie :
  • Colonne Faidherbe près de Pont-Noyelles
    Colonne Faidherbe près de Pont-Noyelles
  • Ossuaire prussien Ă  Querrieu
    Ossuaire prussien Ă  Querrieu
  • Ossuaire français Ă  Querrieu
    Ossuaire français à Querrieu

Pour approfondir

Ouvrages

  • George Bruce, Harbottle's Dictionary of Battles. (Van Nostrand Reinhold, 1981) (ISBN 0-442-22336-6).
  • Arthur Chuquet, La Guerre 1870-71, Paris, Plon-Nourrit et Cie, 1901.
  • GĂ©nĂ©ral Faidherbe, Campagne de l'ArmĂ©e du Nord en 1870-1871, Ă©dition E. Dantu, Paris, 1871 - Lire sur Gallica.
  • Adolphe LĂ©cluselle, La Guerre dans le Nord (1870-1871), 1898, rĂ©Ă©dition, Colombelles, Éditions Corblet, 1996
  • Pierre Milza, L'AnnĂ©e terrible, tome 1 La guerre franco-prussienne septembre 1870-mars 1871, Paris, Perrin, 2009 (ISBN 978 - 2 - 262 - 02 498 - 7)
  • LĂ©once Rousset, Histoire gĂ©nĂ©rale de la Guerre franco-allemande, les armĂ©es de province, tome 5, Ă©dition Jules Tallandier, Paris, 1911 - Lire sur Gallica.
  • Justus Scheibert: Der Krieg zwischen Deutschland und Frankreich, bearbeitet nach dem groĂźen Generalstabswerk, Verlag Paulis Nachfolger, Berlin 1895, S. 240–243
  • Friedrich Engels: Ăśber den Krieg. Transkription eines Textes aus der The Pall Mall Gazette Nr. 1842 vom 7. Januar 1871.

Articles

  • Gilles de Monclin "La bataille de l'Hallue", in Histoire et Traditions du Pays des Coudriers, No 21 pages 29 Ă  36.
  • Georges Pierson "La bataille de Pont-Noyelles", in Histoire et Traditions du Pays des Coudriers, No 8 pages 37 Ă  42.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

    Références


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