Bartolomé Mitre
BartolomĂ© Mitre, nĂ© le Ă Buenos Aires et mort dans la mĂȘme ville le , est un militaire, homme politique et historien argentin.
Bartolomé Mitre | |
Bartolomé Mitre, président de la République argentine. | |
Fonctions | |
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Président de la République argentine | |
â (6 ans) |
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Vice-président | Marcos Paz (en) |
Prédécesseur | Fin de la Confédération argentine Juan Esteban Pedernera (président de la Confédération) |
Successeur | Domingo Faustino Sarmiento |
PrĂ©sident du gouvernement de l'Ătat de Buenos Aires | |
â (2 ans, 5 mois et 8 jours) |
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Vice-président | Vicente Cazón |
Prédécesseur | Felipe Llavallol (en) |
Successeur | Fin de l'Ătat de Buenos Aires RĂ©unification |
Biographie | |
Nom de naissance | BartolomĂ© Mitre MartĂnez |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Buenos Aires, Argentine |
Date de décÚs | |
Lieu de décÚs | Buenos Aires, Argentine |
Nationalité | argentine |
Parti politique | Parti unitaire Parti autonomiste national |
Conjoint | Delfina Vedia |
Profession | militaire |
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Présidents de la Nation argentine | |
Général et chef de guerre, partisan du parti unitaire, sa famille a quitté le pays sous le régime dictatorial de Juan Manuel de Rosas. Opposé aux fédéralistes de Justo José de Urquiza, il dirigea le soulÚvement de la province de Buenos Aires contre le systÚme fédéral que la Constitution argentine de 1853, patronnée par Urquiza, imposait. Il occupa diverses charges importantes au sein du gouvernement provincial aprÚs la sécession de la province, jusqu'à ce qu'en 1859 il fût battu militairement à Cepeda par Urquiza, qui cherchait à réincorporer Buenos Aires dans la Confédération Argentine.
AprÚs la défaite de Urquiza à la bataille de Pavón en 1861, l'Argentine est réunifiée et Mitre devient président de la République en 1862 pour une période de 6 ans.
Durant sa prĂ©sidence eut lieu la guerre de la Triple Alliance, oĂč l'Argentine, alliĂ©e au BrĂ©sil et Ă l'Uruguay affronta le Paraguay.
Il a Ă©crit une Histoire de la rĂ©publique argentine en 1882. En 1890, face Ă la crise du gouvernement de Miguel JuĂĄrez Celman, il crĂ©a le parti de lâUniĂłn CĂvica, dont se sĂ©parera ultĂ©rieurement l'UniĂłn CĂvica Radical (UCR). Mitre fut aussi le fondateur du journal La NaciĂłn, un des journaux les plus influents en AmĂ©rique latine.
CarriĂšre militaire
Son pĂšre Ă©tait un officier du trĂ©sor et appartenait au parti libĂ©ral et unitaire[1]. DĂšs l'enfance, BartolomĂ© manifesta son goĂ»t pour la littĂ©rature et publia Ă quinze ans un recueil de poĂ©sies lyriques. Son pĂšre, pour fuir Juan Manuel de Rosas, se rĂ©fugia Ă Montevideo. BartolomĂ© s'engagea dans l'artillerie uruguayenne et devient capitaine Ă dix-huit ans et lieutenant-colonel d'artillerie Ă vingt-trois. ParallĂšlement, il publia des articles dans divers journaux ainsi qu'un traitĂ© militaire. Il quitta l'Uruguay pour se rendre en Bolivie, oĂč il assura la direction d'un collĂšge militaire. Il rentra en Argentine aprĂšs la chute de Rosas en 1852.
Sécession et guerre entre fédéralistes et unitaires
Buenos Aires resta plongĂ©e dans la confusion, pendant quâUrquiza sâemparait de la propriĂ©tĂ© de Rosas Ă Palermo[2]. Deux jours plus tard, il nomma Vicente LĂłpez y Planes gouverneur de la province, lequel Ă son tour dĂ©signa ValentĂn Alsina, chef des unitaires exilĂ©s Ă Montevideo, comme son premier ministre[3]. En mĂȘme temps que lui arrivĂšrent Ă©galement Ă Buenos Aires Domingo Faustino Sarmiento, BartolomĂ© Mitre, le gĂ©nĂ©ral Lamadrid, Vicente Fidel LĂłpez et Juan MarĂa GutiĂ©rrez. Dans les mois qui suivirent, le gĂ©nĂ©ral Paz et beaucoup dâautres exilĂ©s firent aussi leur apparition.
Le 20 février, jour anniversaire de la bataille d'Ituzaingó, les troupes brésiliennes et urquicistes défilÚrent dans Buenos Aires[4].
Peu aprĂšs, fĂ©dĂ©ralistes et unitaires se lancĂšrent dans une surenchĂšre : ces derniers prĂ©tendaient imposer au pays la suprĂ©matie de Buenos Aires, celle-lĂ mĂȘme quâavait dĂ©fendue Rosas. Lors des Ă©lections pour une nouvelle lĂ©gislature, les unitaires triomphĂšrent, mais confirmĂšrent nĂ©anmoins Vicente LĂłpez au poste de gouverneur[5].
De nombreux gouverneurs de province furent renversés : à Jujuy, Iturbe fut fusillé[6]; à Salta, José Manuel Saravia réussit au moins à avoir la vie sauve[7]; à Córdoba, une mutinerie de caserne renversa « Quebracho » López[8]; et à Mendoza, le général Segura revint au gouvernement sans difficulté majeure[9].
Urquiza invita les autres provinces Ă une rĂ©union devant se tenir Ă San NicolĂĄs de los Arroyos, dans lâextrĂȘme nord de la province de Buenos Aires[10], oĂč fut signĂ© fin mai lâaccord de San NicolĂĄs, lequel stipulait notamment qu'un congrĂšs gĂ©nĂ©ral constituant allait ĂȘtre convoquĂ©, avec le mandat de sanctionner une constitution qui prĂźt en compte les diffĂ©rents pactes ayant jusque-lĂ uni les diffĂ©rentes provinces. En outre, Urquiza se vit confier la fonction de Directeur provisoire de la ConfĂ©dĂ©ration argentine, c'est-Ă -dire devint le titulaire du pouvoir exĂ©cutif[11].
Alors quâils assistaient Ă cette rĂ©union, les gouverneurs de TucumĂĄn et de San Juan furent renversĂ©s en leur absence. Si BenavĂdez nâeut pas de difficultĂ© Ă recouvrer le gouvernement[12], GutiĂ©rrez par sa part dut recourir Ă la force[13]. Quelques mois plus tard, le Correntin Virasoro sera lui aussi renversĂ© pour ĂȘtre remplacĂ© par le ministre dâUrquiza, Juan Gregorio Pujol[14].
Seuls quatre gouverneurs poursuivirent leur mandat aprĂšs 1852 : Taboada Ă Santiago del Estero[15] et Bustos Ă La Rioja, qui tous deux passĂšrent ostensiblement dans le camp adverse[16] - [N 1]. Se maintinrent Ă©galement au gouvernement : Lucero, Ă San Luis[17], ainsi quâUrquiza lui-mĂȘme en Entre RĂos[18].
RĂ©unification
AprĂšs la bataille de Cepeda, le gouvernement de Buenos Aires sâĂ©tait consacrĂ© dâune part Ă intriguer entre Urquiza et Derqui, et dâautre part Ă se renforcer Ă©conomiquement et militairement. Il finit par refuser dâĂȘtre intĂ©grĂ© au reste du pays, en saisissant comme excuse le fait que le CongrĂšs avait refoulĂ© les dĂ©putĂ©s de Buenos Aires (lesquels avaient Ă©tĂ© Ă©lus au mĂ©pris de la loi nationale, apparemment afin justement de provoquer ce rĂ©sultat) et lâexĂ©cution dâAberastain. Il accusa Derqui de mener une politique criminelle et dĂ©nia toute autoritĂ© lĂ©gale et morale au gouvernement national[19].
Derqui gagna Rosario pour y placer lâinfanterie rĂ©unie Ă CĂłrdoba sous les ordres dâUrquiza. Celui-ci prit le commandement de lâarmĂ©e nationale, Ă laquelle vinrent se joindre un important contingent dâEntre RĂos et dâautres provinces du Litoral, en grande majoritĂ© des troupes de cavalerie. LâarmĂ©e nationale comprenait au total quelque 17 000 hommes.
LâarmĂ©e de Buenos Aires pour sa part se composait de 22 000 hommes, et avait une nette supĂ©rioritĂ© en matiĂšre dâinfanterie et dâartillerie. Mitre fit mouvement vers le nord de sa province et envahit la province de Santa Fe. Les deux armĂ©es se rencontrĂšrent le 17 septembre 1861 prĂšs de la localitĂ© de PavĂłn, dans la province de Santa Fe, oĂč Urquiza dĂ©ploya ses troupes dans une position dĂ©fensive, en disposant sa cavalerie sur les ailes, et se plaçant lui-mĂȘme Ă la tĂȘte de lâaile droite.
Mitre attaqua avec son infanterie, mais fut refoulĂ© en un premier temps par lâartillerie confĂ©dĂ©rale. Entre-temps, les deux ailes de lâarmĂ©e confĂ©dĂ©rale attaquĂšrent la cavalerie portĂšgne, la forçant Ă se dĂ©bander. Urquiza retourna alors sur sa position, pendant que la cavalerie de gauche, commandĂ©e par Juan SaĂĄ et Ricardo LĂłpez JordĂĄn, pourchassait les soldats de Buenos Aires sur de longues distances.
Lâinfanterie portĂšgne, ayant rĂ©ussi Ă resserrer ses rangs, revint Ă lâoffensive, et repoussa ses adversaires de leur ligne de front, mais ceux-ci parvinrent Ă rĂ©organiser leurs positions Ă quelque distance de lĂ . Urquiza, qui nâavait aucune nouvelle de son aile gauche, dĂ©cida de ne pas envoyer chercher la rĂ©serve pour combattre, et de se retirer du champ de bataille, avec sa cavalerie et ses troupes de rĂ©serve. Ayant atteint San Lorenzo, il traversa le fleuve ParanĂĄ Ă destination de sa province dâEntre RĂos, en emmenant avec lui les divisions dâEntre RĂos et de Corrientes.
Plusieurs thĂ©ories ont Ă©tĂ© formulĂ©es pour expliquer cette retraite, sans quâaucune soit tout Ă fait satisfaisante. Les hypothĂšses les plus courantes attribuent cette action inattendue soit Ă une maladie rĂ©nale de Urquiza, soit Ă la mĂ©fiance de celui-ci vis-Ă -vis du prĂ©sident Derqui, dont il redoutait une trahison.
Président de la République
LâarmĂ©e de Mitre, harcelĂ©e par la cavalerie de SaĂĄ, de LĂłpez JordĂĄn et des Ă©migrĂ©s de Buenos Aires, avait Ă©tĂ© forcĂ©e de se replier sur San NicolĂĄs de los Arroyos. Ce ne fut quâau bout de quelques semaines, une fois certain de la dĂ©fection dâUrquiza, lequel avait retirĂ© y compris lâartillerie de Santa Fe vers sa province, que Mitre se rĂ©solut dâavancer.
Derqui se dĂ©battait au-dedans dâun chaos oĂč gouverner Ă©tait devenu impossible. Il tenta de nĂ©gocier avec Mitre, mais celui-ci exigea sa dĂ©mission et la dissolution du gouvernement national. Derqui dĂ©missionna finalement du gouvernement et sâexila Ă Montevideo, de sorte que la prĂ©sidence Ă©chut au vice-prĂ©sident Juan Esteban Pedernera.
Mitre sâempara de Rosario et mit la main sur les fonds douaniers de la ville, fonds avec lesquels il se proposait de financer sa subsĂ©quente invasion des territoires de lâintĂ©rieur. Quelques jours aprĂšs, lâarmĂ©e de Buenos Aires, sous le commandement de lâancien prĂ©sident uruguayen Venancio Flores, attaqua le restant de la cavalerie fĂ©dĂ©rale dans la bataille de Cañada de GĂłmez, laquelle se mua en un massacre perpĂ©trĂ© par lâinfanterie de Buenos Aires Ă lâencontre de soldats de la cavalerie fĂ©dĂ©rale, pour beaucoup alors quâils se trouvaient dĂ©sarmĂ©s ou sans dĂ©fense. Peu aprĂšs, le gouverneur de Santa Fe, Pascual Rosas, prĂ©senta sa dĂ©mission et fut remplacĂ©, moyennant proscription des fĂ©dĂ©ralistes, par lâunitaire Domingo Crespo.
Urquiza non seulement ne se mobilisa pas en dĂ©fense de son gouvernement, mais encore dĂ©clara que sa province recouvrait sa souverainetĂ©, ce qui revenait Ă dĂ©nier toute autoritĂ© au gouvernement national. Il dĂ©mantela la flotte nationale, pour la remettre au gouvernement provincial de Buenos Aires, et rĂ©cupĂ©ra pour sa province la ville de ParanĂĄ, jusque-lĂ capitale fĂ©dĂ©rale, et chargea Mitre dâassumer le gouvernement national intĂ©rimaire. Le 12 dĂ©cembre, Pedernera dĂ©clara dissous le gouvernement national.
Ă Corrientes, la nouvelle de PavĂłn incita le parti libĂ©ral, qui Ă©tait dans lâopposition, Ă se soulever contre le gouvernement du fĂ©dĂ©raliste JosĂ© MarĂa RolĂłn. Le gouverneur dĂ©pĂȘcha contre les insurgĂ©s une petite armĂ©e, sous le commandement du colonel Cayetano Virasoro, qui fut vaincue Ă Goya, dans une bataille sans portĂ©e majeure. Mais RolĂłn, sâavisant que la guerre Ă©tait susceptible de se prolonger, dĂ©missionna le 8 dĂ©cembre pour Ă©viter toute nouvelle effusion de sang. Virasoro remit lui aussi sa dĂ©mission, et ses forces se rendirent au colonel Reguera dans la Cañada de Moreno.
Le gouvernement correntin fut alors repris en mains par le libĂ©ral JosĂ© PampĂn, qui appela Ă lâaide le gĂ©nĂ©ral CĂĄceres. Toutefois, les commandants en chef, notamment les colonels Acuña et Insaurralde, refusĂšrent de se soumettre Ă eux. CĂĄceres, avec le concours du gĂ©nĂ©ral RamĂrez, les battit dans un combat Ă CuruzĂș CuatiĂĄ, en aoĂ»t 1862.
Peñaloza, surnommĂ© El Chacho, rentra Ă La Rioja, dont le gouverneur avait dĂ©cidĂ© de faire la paix avec Buenos Aires, dĂ©clarant que sa province « nâavait aucune part dans les actes de vandalisme que commettait don Ăngel Vicente Peñaloza dans les provinces de TucumĂĄn et de Santiago del Estero ». En mĂȘme temps pĂ©nĂ©traient dans la province les colonels Ignacio Rivas, Ambrosio Sandes et JosĂ© Miguel Arredondo. Face Ă cette offensive gĂ©nĂ©rale contre sa province, Peñaloza, avec plus de discernement que son gouverneur, rĂ©solut de ne pas livrer sa province dĂ©sarmĂ©e, et les fĂ©dĂ©ralistes se prĂ©paraient Ă repousser lâinvasion.
El Chacho sâempara de la capitale provinciale, puis fit mouvement vers le sud de la province, oĂč il fut rejoint et battu, lors de deux batailles, par lâefficace cavalerie de Sandes. Tous les officiers faits prisonniers furent exĂ©cutĂ©s, souvent aprĂšs avoir subi dâatroces tortures[N 2] - [20]. Les fĂ©dĂ©ralistes furent Ă©galement vaincus dans les environs de la capitale provinciale.
El Chacho ouvrit alors un nouveau front : il envahit San Luis, joignit ses troupes Ă celles des caudillos locaux Juan Gregorio Puebla et Fructuoso Ontiveros et mit le siĂšge devant la capitale San Luis. Quoiquâil ne parvĂźnt pas Ă sâen rendre maĂźtre, il obtint une trĂȘve, qui devait servir de base Ă des traitĂ©s de paix ultĂ©rieurs. Ă son retour dans les plaines de La Rioja, Peñaloza fut Ă nouveau battu, mais obtint fin mai que Rivas conclĂ»t avec lui, prĂšs de la localitĂ© de Tama, le traitĂ© de La Banderita, aux termes duquel les fĂ©dĂ©ralistes se soumettaient au prĂ©sident fraĂźchement Ă©lu BartolomĂ© Mitre.
Le nouveau gouverneur, Francisco Solano GĂłmez, au passĂ© unitaire, Ă©tait cependant entourĂ© dâamis du caudillo, et dĂ©signa commandant dâarmes Felipe Varela. Ce faisant, il se privait de la possibilitĂ© de dĂ©sarmer Peñaloza, lequel en effet gardait ainsi la main sur les armes de ses hommes.
Les mois suivants furent une pĂ©riode de paix, mais aussi de misĂšre et de brimades Ă lâencontre de ceux qui Ă©taient accusĂ©s dâĂȘtre des fĂ©dĂ©ralistes. Nombre dâanciens montoneros furent arrĂȘtĂ©s, et plusieurs exĂ©cutĂ©s[21].
AprÚs la présidence
Il est l'auteur de ce qui est considĂ©rĂ© comme l'Ćuvre fondatrice de l'historiographie officielle argentine, son Historia de San MartĂn. Il traduisit en outre L'ĂnĂ©ide de Virgile et la Divina Commedia de Dante Alighieri[22]. Des historiens postĂ©rieurs ont fortement mis en doute son travail comme historien et l'interprĂ©tation dominante du XIXe siĂšcle argentin qui se dĂ©gage de son Ćuvre. C'est ce qu'on appelle le « rĂ©visionnisme historique argentin ».
En 1890, face Ă la crise du gouvernement de Miguel JuĂĄrez Celman, il crĂ©a le parti de lâUniĂłn CĂvica, dont se sĂ©parera ultĂ©rieurement l'UniĂłn CĂvica Radical (UCR). Mitre fut aussi le fondateur du journal La NaciĂłn, un des journaux les plus influents en AmĂ©rique latine.
- Monument de Bartolomé Mitre.
Notes
- Il est du reste assez significatif que Taboada et Bustos également passÚrent dans le camp de Bartolomé Mitre à la suite de la bataille de Pavón.
- Sarmiento conseillait Ă ses amis de Buenos Aires : « Si Sandes tue des gens, gardez le silence. Ce sont des animaux bipĂšdes dâune condition tellement perverse, que je ne saurais dire ce que l'on gagnerait Ă les mieux traiter. »
Références
- Adolphe Bitard, Dictionnaire général de biographie contemporaine française et étrangÚre, Paris, A. Lévy et Cie, , 525 p., p. 392
- James R. Scobie, La lucha por la consolidaciĂłn de la nacionalidad argentina : 1852-62, Hachette, , 21-22 p.
- MarĂa SĂĄenz Quesada, La RepĂșblica dividida, La Bastilla, , p. 20
- Castagnino, Leonardo, « Después de Caseros », La Gazeta Federal
- SĂĄenz Quesada (1979): 21-24.
- Emilio A. Bidondo, Historia de Jujuy, Plus Ultra, , p. 366-370
- Antonio Zinny, Historia de los Gobernadores de las Provincias Argentinas, vol. tome IV, Hyspamérica, , 244-248 p.
- EfraĂn Bischoff, Historia de CĂłrdoba, Plus Ultra, , 221-231 p.
- Zinny (1987) tome III: 306-315.
- Manzoni, MarĂa Elena et Vianello, Adriana, Los dos viajes de don Bernardo, revue Todo es Histoire, no 40, 1970.
- Cisneros y Escudé (1998): El Acuerdo de San Nicolås.
- Horacio Videla, Historia de San Juan, Plus Ultra, , 151-156 p.
- Carlos PĂĄez de la Torre, Historia de TucumĂĄn, Plus Ultra, , 507-509 p.
- Antonio Emilio Castello, Historia de Corrientes, Plus Ultra, , 379-388 p.
- Luis C. Alén Lascano, Historia de Santiago del Estero, Plus Ultra, , 351-361 p.
- Armando RaĂșl BazĂĄn, Historia de La Rioja, Plus Ultra, , 413-417 p.
- Urbano J. NĂșñez, Historia de San Luis, Plus Ultra, , 381-404 p.
- Beatriz Bosch, Historia de Entre RĂos, Plus Ultra, , 199 p.
- Note du gouverneur Mitre au président Derqui, juin 1861, cité dans AGM, Antecedentes de Pavón, tome VII, p. 103-104.
- FermĂn ChĂĄvez, Vida del Chacho, Ăd. TheorĂa, Buenos Aires, 1974.
- Mercado Luna, Ricardo, Los coroneles de Mitre, Ăd. Plus Ultra, Buenos Aires, 1974.
- La Divina Comedia traducida por Mitre
Voir aussi
Sources et bibliographie
- (es) Eduardo JosĂ© MĂguez, BartolomĂ© Mitre : entre la naciĂłn y la historia, Buenos Aires, Edhasa, , 442 p. (ISBN 9789876284776, BNF 46518752).
- (es) Pablo A. Chami, NaciĂłn, identidad e independencia : en Mitre, Levene y Chiaramonte, Buenos Aires, Prometeo Libros, , 124 p. (ISBN 978-987-574276-5, SUDOC 140349766).
- (es) Miguel Angel de Marco, Bartolomé Mitre : Biografia, Buenos Aires, Planeta, , 498 p. (ISBN 950-742-907-7, BNF 38987311).
- (en) John L. Robinson, Bartolome Mitre : historian of the Americas, Washington, D. C., University press of America, , 117 p. (ISBN 0-8191-2505-9, BNF 34801080).
Articles connexes
- PĂ©ninsule Mitre
- David Calandra (en) (1856-1915) le sculpteur du monument de Bartolomé Mitre (Plaza Mitre)