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Bailleul-sur-Thérain

Bailleul-sur-Thérain est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Bailleul-sur-Thérain
Bailleul-sur-Thérain
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partement Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CA du Beauvaisis
Maire
Mandat
BĂ©atrice Lejeune
2020-2026
Code postal 60930
Code commune 60041
DĂ©mographie
Gentilé Bailleulois, Bailleuloises
Population
municipale
2 321 hab. (2020 en augmentation de 12,94 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 244 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 49° 23â€Č 10″ nord, 2° 13â€Č 22″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 138 m
Superficie 9,5 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bailleul-sur-Thérain
(ville isolée)
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Mouy
LĂ©gislatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Bailleul-sur-Thérain
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Bailleul-sur-Thérain
Liens
Site web https://www.bailleulsurtherain.fr/

    GĂ©ographie

    Description

    Vue aérienne de la commune et de ses étangs.

    Bailleuil-sur-ThĂ©rain est un bourg picard du Beauvaisis dans l'Oise, situĂ© Ă  12 km au sud-est de Beauvais, 14 km Ă  l'ouest de Clermont et 35 km au nord-est de Gisors. TraversĂ© par la RD 12 (Beauvais-Creil) il est aisĂ©ment accessible par la route nationale 31.

    La commune est traversĂ©e par la ligne de Rochy-CondĂ© Ă  Soissons oĂč se trouvait autrefois la gare de Bailleul-sur-ThĂ©rain. La station la plus proche est la Gare de Montreuil-sur-ThĂ©rain, desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares de Creil, et de Beauvais.

    La commune s'Ă©tend dans la vallĂ©e du ThĂ©rain jusqu'Ă  la riviĂšre de ce nom qui lui sert de limite au Sud; l'ancienne riviĂšre de Trye la sĂ©pare Ă  l'Est de la forĂȘt de Hez et de l'ancienne abbaye de Froidmont (dĂ©pendant de la commune de Hermes): la butte du Mont CĂ©sar est situĂ©e en entier sĂ»r son territoire[1].

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le Thérain, affluent de l'Oise et donc sous-affluent de la Seine, traverse le village au sud-ouest.

    D'importantes zones humides et Ă©tangs se trouvent de part et d'autre du cours d'eau.

    • Le ThĂ©rain Ă  Bailleul.
      Le Thérain à Bailleul.
    • Peupleraie entre Montreuil et Bailleul.
      Peupleraie entre Montreuil et Bailleul.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ© des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 661 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Beauvais-TillĂ© », sur la commune de TillĂ©, mise en service en 1944[8] et qui se trouve Ă  12 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 10,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[10] Ă  10,6 °C pour 1981-2010[11], puis Ă  11,1 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Bailleul-sur-ThĂ©rain est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [13] - [14] - [15]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bailleul-sur-ThĂ©rain, une unitĂ© urbaine monocommunale[16] de 2 175 habitants en 2017, constituant une ville isolĂ©e[17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52,7 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (53,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (37,4 %), forĂȘts (14 %), eaux continentales[Note 7] (11,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,6 %), zones urbanisĂ©es (9,4 %), prairies (5,7 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (4,7 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (4,4 %), mines, dĂ©charges et chantiers (3,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[22].

    Lieux-dits, hameaux et Ă©carts

    Froidmont, situĂ© au pied du Mont CĂ©sar oĂč fut Ă©rigĂ©e l'abbaye de Froidmont, est un hameau de Bailleul-sur-ThĂ©rain.

    • Le chĂąteau de Froidmont

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 942, alors qu'il Ă©tait de 861 en 2013 et de 844 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 92,8 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 75,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 24,7 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bailleul-sur-Thérain en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entiÚre. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entiÚre (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 59,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,6 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entiÚre[I 3].

    Le logement à Bailleul-sur-Thérain en 2018.
    Typologie Bailleul-sur-Thérain[I 1] Oise[I 4] France entiÚre[I 5]
    RĂ©sidences principales (en %) 92,8 90,4 82,1
    RĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 2,5 9,7
    Logements vacants (en %) 5,7 7,1 8,2

    Projets d'aménagement

    La commune est Ă  l'initiative de la crĂ©ation en 2016 d'un Ă©coquartier, baptisĂ© « l'Entre-deux-Monts » sur une ancienne friche industrielle de cinq hectares oĂč Ă©tait exploitĂ©e une carriĂšre, et dont la premiĂšre tranche est constituĂ©e de vingt-neuf maisons, sur un total programmĂ© de 143 logements[23]. Le quartier devrait ainsi atteindre 500 habitants vers 2030, disposer d'une opĂ©ration d'habitat partagĂ©[24] et ĂȘtre plantĂ© de 700 arbres et 52 000 arbustes, aiunsi qu'une gestion des eaux pluviales intelligente, avec un bassin de rĂ©tention et une pompe alimentĂ©e par une Ă©olienne[25] et accueille depuis 2017 un foyer d'accueil spĂ©cialisĂ© pour les autistes adultes.

    Toponymie

    Bailleul-sur-Thérain a été désigné sous les formes suivantes : Bailleul, Bailleux , Baillieux (Balleotum, Ballotium supra Tharam, Bailliocum)[1].

    Histoire

    La commune disposait, de 1886 à 1939, d'une halte sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons .

    Selon Louis Graves, « En 1202 , il y avait Ă  Bailleu' mĂȘme un fort considĂ©rable qui relevait de l'Ă©vĂ©que de Beauvais, et qui Ă©tait possĂ©dĂ© par Renaud de Mello, seigneur de Bulles. Comme les vassaux ne pouvaient alors construire des chĂąteaux, ni les retenir sans l'agrĂ©ment de leur seigneur, Philippe de Dreux, Ă©vĂȘque de Beauvais, qui ne voulait point de forteresse incommode dans son voisinage , obtint de Philippe-Auguste des lettres qui le rendirent maĂźtre de celle-ci. Dix ans aprĂšs, Ă  l'occasion de la dispute que lui suscita la construction du chĂąteau de Bresles avec la comtesse de Clermont, le mĂȘme Ă©vĂȘque conduisit les communes de Beauvais au fort de Bailleu, et les y retint durant treize jours. Il ne reste plus aucun vestige de cette forteresse[1] ».

    En 1830, la commune était propriétaire d'un presbytÚre, d'une école, une partie du Mont-César à l'état de friche et de carriÚre, et environ vingt-huit hectares de pùtures marécageuses. On comptait également une tuilerie et deux moulins à eau[1].

    Les transports des habitants et des marchandises sont facilitées à partir de 1857, avec la création de la gare de Montreuil-sur-Thérain, proche du village, puis, en 1886, de la gare de Bailleul-sur-Thérain sur la ligne de Rochy-Condé à Soissons qui a fermé au service voyageurs en 1939.

    Une voie de chemin de fer militaire semble avoir été aménagée à Bailleul en décembre 1916.

    Installation d'une voie ferrée : préparation de la voie et pose des traverses par des soldats, en décembre 1916.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la premiÚre circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Nivillers [26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Mouy

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes Rurales du Beauvaisis (CCRB), créée le .

    La loi portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (Loi NOTRe) du , prĂ©voyant que les Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale (EPCI) Ă  fiscalitĂ© propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27], le prĂ©fet de l'Oise a publiĂ© en octobre 2015 un projet de nouveau schĂ©ma dĂ©partemental de coopĂ©ration intercommunale, qui prĂ©voit la fusion de plusieurs intercommunalitĂ©s, et en particulier de la communautĂ© d’agglomĂ©ration du Beauvaisis et de la communautĂ© de communes rurales du Beauvaisis, de maniĂšre Ă  crĂ©er un nouvel EPCI rassemblant quarante-quatre communes pour 93 341 habitants[28]. MalgrĂ© les rĂ©ticences du prĂ©sident de la CCRB[29], le schĂ©ma est entĂ©rinĂ©[30] - [31].

    La fusion prend effet le , et la commune est dĂ©sormais membre de la communautĂ© d’agglomĂ©ration du Beauvaisis (CAB).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[32]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    vers 1962 EugĂšne Fournier
    mars 1989 avril 2004[33] Yves Rome PS Professeur de collĂšge
    DĂ©putĂ© de l'Oise (1re circ.) (1997 → 2002)
    Conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Nivillers (1988 → 2015)
    PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral de l'Oise (2004 → 2015)
    PrĂ©sident de la CC rurales du Beauvaisis (2001 → 2014)
    Démissionnaire à la suite de son élection de président du Conseil général
    mars 2004[34] mars 2014 Gratien CarrÚre PS Retraité de l'enseignement
    mars 2014[35] En cours
    (au 10 juillet 2020)
    BĂ©atrice Lejeune[36] - [37] PS Enseignante, cadre territoriale
    ConseillĂšre rĂ©gionale de Picardie (2004 → 2015)
    Vice-prĂ©sidente du conseil rĂ©gional de Picardie (2004 → 2015)
    Vice-prĂ©sidente de la CA du Beauvaisis (2017 → )
    RĂ©Ă©lue pour le mandat 2020-2026[38]

    Politique de développement durable

    La commune compte de nombreux aménagements paysagers, dont 150 tilleuls, arbres typiques des villages de Picardie, et a adopté dÚs 2005 une charte « Zéro phyto »[36].

    Les enfants des Ă©coles bĂ©nĂ©ficient depuis la fin des annĂ©es 2000 d’une alimentation bio Ă  la cantine et de produits de saison, issus de circuits courts[36] - [39].

    Dans l'objectif d'atteindre le « zĂ©ro dĂ©chet », la municipalitĂ© a engagĂ© en 2020 l'opĂ©ration « dĂ©clic bailleulois » oĂč une vingtaine de familles volontaires sont invitĂ©es « Ă  rĂ©duire leurs dĂ©chets pendant six mois »[40].

    GrĂące Ă  un partenariat avec la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Beauvaisis, la commune est acteur du projet Moby organisĂ© par le ministĂšre de la Transition Ă©cologique et solidaire, l’Agence de l’environnement et de maĂźtrise de l’énergie (ADEME), et Eco CO2 qui tend Ă  rĂ©duire les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre, en mettant en place un plan de dĂ©placement Ă©tablissement scolaire (PDES) qui ambitionne de toucher 900 Ă©coles pour la pĂ©riode 2020-2021[41].

    Distinctions et labels

    Trois fleurs attribuée en 2007 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris[42], puis quatre fleurs en 2012[36] - [43].

    En 2019, la commune est labellisĂ©e deux abeilles API citĂ©, qui rĂ©compense les collectivitĂ©s pour leur implication dans la prĂ©servation des pollinisateurs, grĂące Ă  ses actions en matiĂšre d’agriculture, de plantations, d'actions locales en matiĂšre de dĂ©veloppement durable, comme la favorisation des circuits courts[43] - [44].

    Équipements et services publics

    Petite enfance

    La commune s'est dotée en 2016 d'une double structure d'accueil des petits enfants[45] :

    • les nourrissons dans une crĂšche de vingt berceaux ;
    • les enfants de dix-huit mois Ă  trois ans dans un « jardin passerelle », ayant une capacitĂ© de dix places et organisĂ© en lien avec l'Ă©cole maternelle ;

    Ces deux structures sont aménagées à cÎté de la bibliothÚque et de l'école[46].

    • L'Ă©cole de Froidmont
      L'Ă©cole de Froidmont
    • Kiosque
      Kiosque

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[48].

    En 2020, la commune comptait 2 321 habitants[Note 8], en augmentation de 12,94 % par rapport Ă  2014 (Oise : +1,35 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    737730791707721710687665668
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    659680694709713695641732663
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    717670725654680688642676745
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    9271 1501 2121 5231 5671 7531 9912 1862 078
    2014 2019 2020 - - - - - -
    2 0552 3182 321------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee Ă  partir de 2006[49].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  39,1 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 18,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 22,8 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 1 109 hommes pour 1 138 femmes, soit un taux de 50,65 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (51,11 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,3
    90 ou +
    0,6
    4,2
    75-89 ans
    5,1
    13,6
    60-74 ans
    13,3
    21,9
    45-59 ans
    21,5
    20,2
    30-44 ans
    20,9
    19,4
    15-29 ans
    17,9
    20,4
    0-14 ans
    20,6
    Pyramide des ùges du département de l'Oise en 2018 en pourcentage[51]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,5
    90 ou +
    1,3
    5,3
    75-89 ans
    7,5
    15,1
    60-74 ans
    15,8
    20,9
    45-59 ans
    20,1
    19,5
    30-44 ans
    19,4
    17,9
    15-29 ans
    16,5
    20,8
    0-14 ans
    19,4

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Profilafroid est une entreprise crĂ©Ă©e en 1946 Ă  Bailleul-sur-ThĂ©rain, rattachĂ©e au groupe autrichien Voestalpine et spĂ©cialisĂ©e dans le profilage d'acier Ă  froid. Elle emploie en 2017 cent-cinquante salariĂ©s et façonne chaque annĂ©e {{unitĂ©[45000|tonnes}} d’acier, aprĂšs avoir eu 800 salariĂ©s dans les annĂ©es 1980[54].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'oppidum du Mont CĂ©sar.
    Le logis de l'abbaye de Froidmont.

    Bailleul-sur-Thérain compte deux monuments historiques sur son territoire :

    • Oppidum :
      L'oppidum de Bailleul-sur-ThĂ©rain est un site gaulois puis gallo-romain, oppidum gaulois et camp de CĂ©sar (inscrit monument historique par arrĂȘtĂ© du 22 octobre 1979[55]) : Le camp de CĂ©sar[56] a peut-ĂȘtre Ă©tĂ© le chef-lieu des Bellovaques, avant son transfert Ă  Caesaromagus (Beauvais).
      Le site est étudié au XVIIIe siÚcle et fouillé au XIXe siÚcle. Il connut une période d'occupation trÚs longue, de l'ùge du bronze final jusqu'à la période mérovingienne. sa superficie est de 35 ha. Un seul sondage a été effectué en 1974[57].
    • ChĂąteau :
      chĂąteau de Bailleul-sur-ThĂ©rain (façades et toitures du bĂątiment principal Ă  l'exclusion de la poterne d'entrĂ©e avec ses deux tours, façades et toitures des communs, grille d'entrĂ©e inscrites monument historique par arrĂȘtĂ© du 19 avril 1961[58]) : Le chĂąteau est citĂ© dĂšs le XIIIe siĂšcle. RemaniĂ© aux siĂšcles suivants, il abrite pendant un temps le petit sĂ©minaire africain de la mĂšre Anne-Marie Javouhey.
    • Le chĂąteau de Bailleuil
    • Façade nord
      Façade nord
    • Mur du chĂąteau, rue du Gravier
      Mur du chĂąteau, rue du Gravier

    On peut Ă©galement aussi noter :

    • Ă©glise Saint-Lude[59] ;
    • L'Ă©glise Saint-Lude
    • Façade
      Façade
    • Portail
      Portail

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Bailleul-sur-ThĂ©rain », Ma commune, MinistĂšre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales (consultĂ© le ).

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Site de l'Insee

    Autres sources

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    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    24. Patrick Caffin, « Bailleul-sur-ThĂ©rain veut tenter l’habitat partagĂ© pour son Ă©coquartier : Le projet pilote pourrait concerner cinq ou six logements. Une visite guidĂ©e va ĂȘtre organisĂ©e », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
    25. Aubin Laratte, « Dans l’Oise, l’un des rares Ă©coquartiers en zone rurale continue de tracer son sillon : L’écoquartier de l’Entre-Deux-Monts, Ă  Bailleul-sur-ThĂ©rain (Oise) est le premier Ă  avoir obtenu ce label dans les Hauts-de-France, en 2016. D’ici Ă  2030, il devrait compter 500 habitants », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ) « l est l'un des rares Ă©coquartiers situĂ© en zone rurale en France, le premier Ă  avoir obtenu le label en rĂ©gion Hauts-de-France ».
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    27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, Légifrance.
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    29. « CommunautĂ© de communes rurales du Beauvaisis : vers un mariage forcĂ© ? : Le prĂ©fet et la commission dĂ©partementale ont choisi de rattacher la CCRB Ă  la CommunautĂ© d’AgglomĂ©ration du Beauvaisis », L'Observateur de Beauvais, no 926,‎ , p. 14 « A priori, le prĂ©fet et la commission dĂ©partementale ont choisi de la rattacher Ă  la CommunautĂ© d’AgglomĂ©ration du Beauvaisis. Ce qui n’est pas forcĂ©ment du goĂ»t de Jean-François Dufour, son prĂ©sident (PS), furieux de perdre son indĂ©pendance pour si peu. Peu pressĂ©, semble-til, d’effectuer ce mariage forcĂ©, il a cependant pris quelques contacts, notamment avec la communautĂ© voisine du Clermontois, Ă  la surprise de quelques Ă©lus de la CCRB qui pensent que le bassin de vie breslois se tourne plus naturellement vers le Beauvaisis. «J’ai eu la surprise d’apprendre que le Clermontois rĂ©flĂ©chissait Ă  un rapprochement avec
 la CommunautĂ© d’AgglomĂ©ration du Beauvaisis» a-t-il dĂ©clarĂ© ».
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    31. Patrick Caffin, « Beauvaisis : une fusion qui manque de dynamisme mais qui se prĂ©pare », Le Parisien,‎ (lire en ligne) « C’est dommage que le prĂ©fet n’ait pas Ă©tĂ© plus dynamique pour mettre la pression afin que davantage de communes fusionnent. Il y en a 8 autour de CrĂšvecƓur-le-Grand qui sont candidates pour nous rejoindre. Nous estimons que pour exister et rĂ©sister en termes de projets dans la nouvelle grande rĂ©gion, il faut atteindre au minimum 100 000 habitants. Avec ces communes, nous les aurions. Avec la CCRB, nous y sommes presque (NDLR : 93 000 habitants). » Mais ce ne sera que partie remise puisqu’aprĂšs 2017, les communes pourront faire acte de candidature pour rallier l’entitĂ© qu’elles souhaiteront ».
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    36. « BĂ©atrice Lejeune, maire de Bailleul-sur-ThĂ©rain (Oise, 2 300 habitants) », ActualitĂ©s, sur http://www.villes-et-villages-fleuris.com, (consultĂ© le ) « EngagĂ©e trĂšs jeune dans le service public et la politique, elle devient conseillĂšre municipale de Bailleul-sur-ThĂ©rain en 1995, puis adjointe au Maire en 2001. Elle poursuit en parallĂšle sa carriĂšre d’attachĂ©e de la fonction publique en tant que Directrice de Cabinet dans la communautĂ© d’agglomĂ©ration et Vice-PrĂ©sidente de la rĂ©gion Picardie. C’est lĂ  qu’elle dĂ©couvre le label des Villes et Villages Fleuris et sa dĂ©marche qu’elle poursuit en tant que maire de Bailleul-sur-ThĂ©rain depuis 2014 ».
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    46. Patrick Caffin, « Bailleul-sur-ThĂ©rain innove encore, cette fois pour l’accueil des enfants », Le Parisien,‎ (lire en ligne) « La grande fiertĂ© de la municipalitĂ© reste l’ouverture du jardin passerelle. « C’est un projet qui nous tenait Ă  cƓur, confirme BĂ©atrice Lejeune. Les enfants multiplieront les contacts avec les Ă©lĂšves de la petite section de maternelle. Nous avons passĂ© une convention avec l’Éducation nationale pour avoir cinq temps communs et travailler sur la motricitĂ©, la lecture et la musique. L’espace jeux sera le mĂȘme et ils feront les activitĂ©s natures (poulailler, jardinage) ensemble ».
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    54. Patrick Caffin, « Bailleul-sur-ThĂ©rain : Profilafroid, une entreprise au profil d’acier : FondĂ©e il y a soixante-dix ans d’existence, le leader français du profilage d’acier Ă  froid continue de se dĂ©velopper. Mieux, il recrute », Le Parisien, Ă©dition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
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    56. L'expression camp de César désigne généralement un établissement de l'ùge du fer final (période gauloise), voire médiéval.
    57. http://oppida.org/page.php?lg=fr&rub=00&id_oppidum=27
    58. « Chùteau », notice no PA00114492, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
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